Anonymous


Vues: 3568 Created: 2007.08.24 Mis à jour: 2007.08.24

Obsedée Par Les Canules

Obsedée Par Les Canules

Je me nomme Catherine, vingt-trois ans, brune, assez bien faite avec un fessier bien galbé. Je suis une obsédée des fesses et des canules, lavements et thermomètres. J'aime faire l'amour, et tous ces instruments me procurent plus de plaisir dans mon petit trou serré qu'une queue dans mon sexe.

L'autre jour, en rentrant de courses plus tôt que prévu chez mes parents (qui sont absents) et en déposant mes affaires, j'entends comme des râles étouffés. Voyant la porte de l'armoire à pharmacie ouverte, je m'avance tout doucement dans la salle à manger. Devant moi sur le divan, Colette, la femme de ménage, retroussée jusqu'aux reins et une belle lune offerte, dans laquelle je vois un thermomètre faire de rapides va-et-vient, sortant légèrement du cratère brun pour rentrer aux trois-quarts. Je suis trempée à la vue de ce spectacle excitant. «Ça fait du bien Colette?»

Quel sursaut lorsqu'elle m'aperçoit, très gênée, rouge comme une pivoine: «Excuse-moi Catherine.» Posant le thermomètre, Colette me dit éprouver beaucoup de bien côté anus, et qu'elle éprouve de plus en plus de besoins, étant en manque.

M'asseyant à côté de Colette et posant une main sur son fessier, je lui dis que moi aussi je me sers du thermomètre et de la poire à lavements, afin de donner du plaisir à mon trou serré mais gourmand. Me saisissant du thermomètre, je passe ma main gauche sous le ventre de Colette et caresse sa vulve trempée. Profitant des ondulations de sa belle lune, je pousse doucement, regardant notre «amant» disparaître lentement dans cette lune bien chaude et imprimant des va- et-vient. Au bout de dix minutes de ce jeu-là, Colette pousse de nombreuses plaintes, jouissant dans un orgasme violent. Puis, baissant ma jupe et mon slip, je prends sa place et mon orifice serré subit le même traitement. Une demi-heure plus tard, je plante la canule de la poire à lavement dans le cul de Colette qui jouit une fois de plus durant l'injection.

L'instant d'après, je montre ma lune à Colette et lui demande de m'administrer deux poires. Elle m'administre une belle paire de claques sonores sur les fesses et les deux lavements me font jouir, m'inondant copieusement les intestins.

Cinq minutes plus tard, revenant des toilettes, j'embrasse et pelote ma chère Colette (ma copine maintenant) la félicitant du bien qu'elle a procuré à mon cul…

Catherine