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Vues: 17317 Created: 2007.08.09 Mis à jour: 2007.08.09

La Fessée Accompagnait le Lavement

La Fessée Accompagnait le Lavement

Ma belle-mère, la cinquantaine, veuve, belle femme plantureuse, nous avait accompagnés en vacances en Autriche. Malheureusement elle tomba malade. Le médecin avait diagnostiqué une obstruction du côlon.

Le brave homme ne s'exprimait qu'en allemand et ma femme m'appela a la rescousse. Ma pauvre belle-mère était assommée en apprenant la prescription du médecin : un médicament a prendre plusieurs fois par jour, mais surtout un grand clystère de 1 litre et demi au moins pour libérer ses intestins.

Elle n'a qu'a se rendre a l'hôpital où on le lui administrera immédiatement, avait dit le médecin. Ma belle-mère s'opposa énergiquement a l'idée d'aller a l'hôpital a peine arrivée en vacan-ces.

« J'ai apporté ma douche vaginale », disait-elle. Quand on enlève la grosse canule de la poire, on peut y adapter une fine canule a lavement. Tout se trouve dans une pochette en plastique blanc, dans ma valise.

Ma femme avait vite trouvé l'ustensile, remplacé la canule vaginale par la canule rectale. Toutefois, le contenu de cette « grosse poire en caoutchouc ne dépassait pas les 300 a 400 ml. Je fis remarquer a mon épouse qu'elle devrait ainsi administrer a sa mère quatre fois le contenu de cette poire pour atteindre la quantité prescrite.

Josiane fit la moue mais sa mère déclara que cela ne posait aucun problème. Je préparai l'eau savonneuse et passai le récipient a mon épouse.

A peine étais-je revenu dans le living, une dispute éclata entre les deux femmes. Josiane m'appela.

- Ça ne va pas ! Si maman ne veut pas se laisser faire, elle n'a qu'a se rendre a l'hôpital.

Ma belle-mère la supplia d'essayer encore. Josiane refusa net. Nos vacances étaient en danger ! Je priai Josiane de refaire un essai, disant :

- C'est quand même pas Si difficile ! - Ah i Si tu crois que c'est facile, avec elle, tu n'as qu'a le taire toi-même, me répondit-elle en me poussant la poire dans les mains.

Mais enfin, Jo-siane, tu n'es pas raisonnable, je ne... Elle me coupa la parole : Pourquoi pas ? A cet hôpital, on ne lui laissera pas garder son pantalon d'après-ski !

Il fallait trouver une solution tout de suite. Je remplis a nouveau la poire, saisis ma belle-mère par le bras et la retournai sur le ventre.

Sa chemise de nuit trempée collait a son volumineux fessier. Car dès qu'elle avait senti la savonnée tiède passer dans le rectum, ma belle mère avait essayé de s'y dérober. En remuant sa croupe, elle avait éjecté la canule. Josiane, qui pressait la poire des deux mains, avait inondé l'ample arrière-train de sa mère. A mon entrée, à l'appel de Josiane, belle-maman avait précipitamment repoussé sa chemise de nuit et s'était retournée, mouillant ainsi chemise de nuit et drap du dessous. La nuisette trempée, qui ne cachait que fort peu ses charmes, fut vite retroussée. Le séant pale se contractait et elle serrait les fesses convulsivement. J'y appliquai deux claques sonores avant de les écarter entre le pouce et l'index pour pouvoir introduire la canule dans son orifice mignon. En talochant copieusement ses rondeurs jumelles, je réussis a lui administrer le contenu de trois poires, soit un bon litre, avant qu'elle ne se dérobe a la toilette.

Le lendemain, nous attendions la visite du médecin qui tardait a venir. Ma femme s'impatientait et partit seule faire ses courses. Elle était a peine sortie que le médecin arriva. Il examina ma belle-mère, se déclara satisfait mais insista pour qu'elle se rende a l'hôpital pour recevoir un grand lavement de deux litres, unique moyen pour palier une rechute et une nouvelle obstruction.

Le médecin parti, ma belle-mère m'implora de lui faire le grand lavement moi-même. Je lui expliquai que ce serait impossible avec cette poire. Qu'elle ne supporterait jamais les cinq injections successives nécessaires pour lui administrer deux litres de liquide. Elle me conjura de le faire tout de suite, avant le retour de Josiane, s'engageant a endurer docilement les cinq injections.

- Ecoute bien, je lui dis, Si tu fais des histoires, je double la dose - Non, pas quatre litres, s'écria- t-elle.

- Mais non, pas cette dose-la Je doublerai la dose de claques Si tu n'es pas sage !

- Pas de problème, rit-elle, soulagée d'avoir obtenu gain de cause. Tu n'as qu'a tripler ma fessée si tu veux !

-Alors grouille-toi i » lui dis-je en lui plaquant la main au panier. Elle se montra obéissante, me présentant immédiatement les pulpeuses rondeurs de ses fesses dodues et nues. Pour commencer, tout alla très bien, mais pendant que je remplissais la poire pour la quatrième fois, belle-maman s'éclipsa sournoisement vers les toilettes. Elle avait disparu quand je me retournai. Je l'attendis, la poire a la main. Si tu ne veux pas que je me fache, tu prends ceffe fois-ci tes deux litres sans rechigner ! Alors le joufflu au vent, et en vitesse ! Elle s'exécuta sans un mouvement de révolte, dénudant son derrière.

Une dizaine de claques magistrales lui rougirent les fesses avant que je ne les écarte entre le pouce et l'index. Je vidai la poire une première fois et y ajoutai encore une volée de claques. Je continuai ainsi. Chaque injection était précédée et suivie d'une bonne fessée. Calmée et résignée, elle me laissa terminer ma besogne. Josiane, rentrée entre temps, se bidonnait a la vue de sa mère qui se précipitait aux W.C., toute retroussée et serrant des deux mains ses grosses miches écarlates.

Tu m'épates, mon chou Je ne t'aurais jamais cru capable d'une telle performance i T'es le roi des fesseurs... de grosses matronnes !

- Un peu de retenue, s'il te plait, Josiane. Si tu t'imagines que c'était amusant

- A en juger par la couleur de ses fesses, tu n'as quand même pas du t'ennuyer, mon chéri i Je vois que tu t'es bien occupé de ma pauvre vieille mère.

- Ça suffit Josiane, Si tu ne veux pas que je m'oc-cupe de tes fessesl !

- Mais si, mon chéri, je veux bien. Je me déculotte de suite ou tu préfère le faire toi-même ?

J'avais prévenu ma douce Josiane qu'elle mettait son joli popotin arrondi en grand danger. Elle n'avait pas voulu entendre raison. Contraint a punir mon épouse insolente, je l'ai allongée en travers de mes genoux, troussée, déculottée et j'ai résolument rougi ses fesses épanouies. Mère et fille se sont montrées satisfaites de mon exploit.

Edmond, Bruxelles