Anonymous


Vues: 3851 Created: 2007.11.19 Mis à jour: 2007.11.19

Mon Desir Depuis Toujours

Mon Desir Depuis Toujours

Je suis maintenant une veuve de trente-neuf ans et j’habite en Gironde. Depuis l'âge de neuf ans j'ai toujours trouvé que les lavements étaient agréables. Quand j'étais petite (je devais avoir une dizaine d'années), j'ai passé une semaine à l'hôpital après une opération, et l'on me faisait chaque jour un lavement. Je trouvais cela embarrassant et un peu humiliant, mais j'y prenais en même temps un plaisir dont je n'arrive pas à me rappeler exactement la nature aujourd'hui.

Quoi qu'il en soit, ces impressions ont été si durables que je ne les ai jamais oubliées et que j'ai plusieurs fois essayé de les faire revivre. Jusqu'à l'âge de dix-sept ans, j'ai essayé de m'en rappeler tous les détails, car cela me servait de fantasme masturbatoire. A vingt ans, je me suis acheté un bock à lavement et une canule, mais j'ai trouvé que le lavement administré par moi- même ne m'apportait pas la même satisfaction. Comme j'avais une amie infirmière, je me suis confessée à elle. Elle s'est proposée pour me donner un lavement, j'ai accepté et j'ai trouvé l'expérience très satisfaisante. Au bout d'un mois, alors qu'elle m'avait administré plusieurs lavements, elle a offert d'elle-même de changer de rôle avec moi. C'est ainsi que je suis devenue "l'infirmière" à mon tour. J'ai trouvé cela très agréable et j'ai commencé à me demander Si je n'étais pas un petit peu anormale.

J'avais déjà des relations sexuelles avec des hommes, et je mourais d'envie d'accomplir le désir caché dont je commençais à prendre conscience je voulais me faire administrer un lavement par un homme. Mais je n'avais pas le courage d'aborder le sujet avec un ami. Or, un jour, chez des amis, lors d'une soirée qui tournait à la partie de groupe, un des invités m'entraîna dans une chambre, me mit en travers de ses genoux, baissa ma culotte et me donna, pour rire, une fessée qui me fit grand plaisir. Voyant mon excitation, il s'enhardit, écarta mes fesses de ses mains et inséra dans mon anus un doigt mouillé de salive. Je ne pus lui cacher mon intense plaisir sexuel, et quand il me demanda ce que je ressentais, je lui répondis que c'était agréable parce que ça donnait l'impression de recevoir un lavement.

Intéressé par cette réponse, il me posa d'autres questions et finit par obtenir de moi une confession sincère. A ma grande joie, il se montra très compréhensif et s'offrit à m'administrer un véritable lavement si je le désirais.

Rendez-vous fut pris pour le lendemain soir chez lui. Pendant toute la journée, je crus mourir, tant l'attente était à la fois délicieuse et insupportable. Après une fantastique demi-heure passée sur ses genoux, il m'entraîna dans sa chambre à coucher où il m'administra un lavement copieux, chaud et savonneux, qui me rappela exactement ceux de l'infirmière de mon enfance, à cette seule différence - de taille, il est vrai - que tout en maintenant d'une main la canule dans mon anus, il me masturbait de l'autre. La sensation était indescriptible. J'ai joui presque immédiatement, et à la fin du lavement, j'avais eu plusieurs orgasmes.

Il avait une grande expérience des femmes, et il m'apprit que je n'étais pas la seule, de loin, à aimer ce genre de traitement, mais que rares étaient celles qui osaient l'avouer. Après, nous avons fait l'amour, et il m'a donné un autre lavement avant mon départ.

J'ai continué à le voir une fois par semaine environ, et la troisième fois, nous avons inversé les rôles, lui devenant le patient et moi, I’infirmière. Il aimait les deux rôles mais ne cachait pas une préférence très nette pour le rôle actif.

Deux ans plus tard, je me suis mariée avec un homme que mes goûts en la matière n'intéressaient aucunement. Nous avons eu des rapports sexuels normaux, qui m'ont rendue très heureuse. Je ne l'ai jamais trompé au sens fort du terme, mais, à l'occasion, j'ai revu mon ancien partenaire afin de refaire cette expérience qui me trouble en m'excitant toujours profondément. Mon mari a trouvé la mort dans un accident de voiture, et je me retrouve veuve, sans enfants. Je continue à me livrer à mon activité sexuelle favorite quand l'occasion s'en présente, ce qui est malheureusement rare, et je suis toujours aussi excitée quand le jour fatidique arrive. Ce sont toujours les mêmes sensations et impressions : le déshabillage devant le ou la partenaire, l'examen intime, l'écartement des fesses, l'application de vaseline dans l'anus, l'introduction de la canule, l'écoulement de l'eau chaude accompagnée de masturbation, tout cela est absolument exquis.

Bien que je sache que mes réactions n'ont rien d'unique, je me demande toujours combien de femmes aiment cette activité et s'y adonnent. Et quand j'entends des gens parler avec répugnance des lavements, je me dis qu'ils ne savent vraiment pas ce qu'ils perdent...