Anonyme


Vues: 7948 Created: 2007.09.13 Mis à jour: 2007.09.13

Delicieuses Poires

Delicieuses Poires

Mon histoire est ancienne, elle s'est passé dans les années soixante, alors que j'avais 18 ans, (j' ai aujourd'hui la cinquantaine). J'étais interne dans un lycée d'une grande ville en classe de terminale loin de chez mes parents. Aussi je ne rentrai chez moi qu'un week end sur deux. une épidémie de grippe m'avait cloué au lit à l'infirmerie de l'internat. Après 3 jours je reprenais les cours, à peine guéri l'infirmière m'avait demandé de revenir à l'infirmerie après les cours de l'après midi pour un contrôle.

C'était un samedi et les cours finissaient de bonne heure, la plupart des élèves retournaient dans leur famille; mais ce n'était pas le cas pour moi ce week end, ce qui ne me rendait pas très gai en étant de plus fatigué par cette grippe, ce qui m'attendait était pourtant incomparable avec un week end en famille.

J'arrivais à l'infirmerie en milieu d'après midi pour y rencontrer une jeune infirmière que je n'avais pas vue jusque là, probablement de garde le week end. Elle avait une fiche me concernant et après quelques questions elle me dit qu'elle allait vérifier tout de suite si tout allait bien.

Elle me fit entrer dans la salle de soins à coté du bureau, et me demande de m'allonger sur la table d'examen. Elle commence par me donner le thermomètre que je me mets dans le cul un peu gêné. Pendant ce temps elle m'interroge sur mes divers symptômes: toux, maux de gorge….. La prise de température est négative, tout va plutôt bien, sauf un peu de constipation du à la fièvre les jours précédents. Elle me fait allonger et me palpe le ventre, ce qui est plutôt excitant par une jeune et jolie infirmière. Elle me dit que c'est fréquent après la grippe et que le médecin a prescrit un lavement si cela arrivait. Elle pense aussi que ça me fera du bien et me propose de me l'administrer.

J'avais déjà eu plusieurs lavements étant jeune c'était un traitement pour les vers intestinaux que ma mère nous donnait à moi et à ma sœur, cela nous amusait et ce n'était pas désagréable, aussi je répondais que j'étais prêt pour un lavement si cela devait me faire du bien.

Elle me demande d'enlever mes vêtements du bas et de rester allongé sur la table d'examen, en me tendant une petite couverture. Pendant ce temps elle prépare le lavement: une casserole d'eau à chauffer sur la plaque gaz, elle sort une grosse poire en caoutchouc avec une longue canule souple qu'elle rempli en chassant l'air par pression successive. Elle m'explique qu'elle va me donner deux poires, environ un litre.

Elle s'est approchée de moi, a enlevé la couverture, j'étais nu devant elle, elle m'a fait mettre sur le coté jambes repliées, mes fesses bien exposées elle les a écartées et déposé un peu de vaseline sur l'anus puis elle m'a massé et pénétré profondément avec le doigt avant de le retirer et de le remplacer par la canule souple qu'elle m'a enfoncée lentement, ça glissait bien et je la sentais avancer dans mon ventre jusqu'à ce que la poire chaude arrive au contact de mes fesses. Cela ne me laissait pas indifférent et je commençais à bander.

En même temps qu'elle me disait qu'elle allait presser le lavement, j'ai senti la giclée d'eau comme une sensation de pénétration chaude très excitante avec un effet sexuel immédiat: Je sentais le plaisir monter dans mon sexe comme au début d'une masturbation, transmis par les muscles de l'anus qui se contractaient sous l'effet de la pression du lavement. La belle infirmière me parlait en pressant la poire par saccade en me demandant si je sentais bien le lavement et si ça allait. Je ne lui cachais pas que je le trouvais bon.

A la fin de l'injection la pression de l'eau était presque douloureuse tant le plaisir était intense je sentais mon sexe prêt à jaillir à la moindre masturbation. J'ai senti la canule sortir de mon cul et entendu la poire se remplir d'air avec des gargouillis.

Je restais immobile étourdi par ce plaisir que je venais de découvrir. L'infirmière me demande alors de me retourner sur le dos pour vérifier si tout allait bien avant de me donner la 2ème poire. Je ne bougeais pas par pudeur d'exiber mon sexe en érection. L'infirmière m'a alors gentiment caressé les fesse en m'expliquant que ma réaction sexuelle était normale, et qu'elle voulait vérifier la souplesse de mon ventre. Je me laisse faire et elle me palpe le ventre en frôlant mon sexe tendu jusqu'au nombril. Elle me dit que tout va bien et qu'elle va me donner une autre poire un peu plus chaude.

Elle regarde mon sexe, qui n'était presque pas décalotté: (en érection mon gland reste couvert aux 3/4, pour baiser je me décalotte avant la pénétration), elle me demande si je n'ai pas mal pour décalotter en vérifiant que mon prépuce coulisse bien sur le gland. J'ai eu alors une réaction réflexe de tendre ma main vers sa cuisse proche de moi que je serrai en remontant au- dessus de sa blouse vers ses fesses pendant qu'elle me tripotait le sexe en me disant que malgré mon prépuce un peu étroit, ça fonctionnait bien. Je ne lâchais pas sa cuisse, elle m'a alors demandé d'être sage et me promettant une récompense après la 2ème poire. Elle est allée préparer la suite du lavement: chauffage de l'eau, remplissage de la poire et me l'a administré lentement, je sentais à nouveau le plaisir de la pression et de la chaleur dans mon ventre, presque insupportable, mais tellement jouissif; les giclées d'eau chaude c'est le fantasme de l'éjaculation sans fin.

J'ai senti la canule sortir et je serai l'anus pour retenir mon lavement. J'ai alors à nouveau tendu la main vers la cuisse de mon infirmière en remontant ma caresse vers ses fesses en lui demandant ma récompense, l'atmosphère érotique qui s'était installé entre nous supposait une récompense évidemment sexuelle.

Elle m'a alors demandé de lui promettre que cela resterait un secret entre elle et moi et que je n'en parlerai à personne ce que je fis sans hésiter. Tout est allé très vite, en quelques secondes, elle a enlevé sa culotte, enjambé la table de soin et s'est lentement empalée en guidant mon sexe dans sa fente toute mouillée.

Presque immédiatement mon orgasme a éclaté, violent et long, secoué de spasmes avec une éjaculation qui n'en finissait pas et d'incroyables contractions de l'anus pour retenir mon lavement. En retrouvant mes esprits toujours en érection, je portais mes mains sur ses seins que je dégageais de la blouse, elle se balançait d'avant en arrière en frottant son clito, les yeux révulsés, je lui caressais aussi le cul et le ventre, pendant quelques minutes jusqu'à ce qu'elle jouisse dans un long râle de plaisir. Lentement elle s'est arraché à mon pieux toujours raide, souriante et en me disant qu'il était temps d'aller aux toilettes.

En relachant mon lavement je me masturbais jusqu'à un nouvel orgasme, puis peu à peu je me suis senti relaxé et calmé.

A mon retour dans la salle de soin tout était rangé et propre, ayant retrouvé son attitude professionnelle, l'infirmière me renvoyait au lycée. Je devais revenir à l'infirmerie le lundi mais elle n'était plus là; à plusieurs reprise je me suis plains de constipation, mais j'ai du me contenter de quelques médicaments en pilules…..

Après plus de 30 ans j'aime toujours autant les poires (et aussi les autres lavements: seringue, sac, bock avec toute sorte de canules), et j'en ai dégusté des centaines; souvent en solitaire car hélas les femmes (épouses ou maitresses) jouant le role d'infirmière clystérophile comme celle de ma première expérience sont si rares...

signé: rentou.fi@wanadoo.fr

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Douai59 Il ya 6 ans