Jean


Vues: 5863 Created: 2007.11.17 Mis à jour: 2007.11.17

Lisa

Lisa

Author: Jean

Lisa trouvait la situation insolite !

Se retrouver nue dans un environnement inhabituel en compagnie d’une jeune femme toute aussi nue qu’elle et de plus manifestement muette !

Elles s’étaient détaillées discrètement et incontestablement se trouvaient mutuellement jolies pour ne pas dire attirante bien qu’a l’opposé l’une de l’autre.

La poitrine de Lisaétait aussi ferme et arrogante que celle de la jeune fille mais la pointe des seins de la blonde muette étaient bien plus rouges et plus longs que ceux de Lisa.

Ils semblaient en constante érection et se détachaient sur une aréole très marquée presque violette.

Si les fesses de la blonde étaient plus ouvertes, elles étaient aussi saillantes que celles de Lisa et toutes deux offraient, vue de dos, la vue directe sur leur sexe très charnu.

La blonde ne dissimulait pas sa fente rouge avec ses quelques poils trop clairs et la brune Lisa avait un sexe totalement épilé, légèrement entrouvert, il dévoilait des lèvres intimes toujours humides et le début du tunnel vaginal.

La blonde exhibait un clitoris d’une taille surprenante, semblable au pénis d’un adolescent.

Quand la jeune fille n’était pas excitée, ce qui était rare, le clitoris pendait le long de sa fente sexuelle presque cachée par les grandes lèvres, mais en cas d’excitation il se dressait comme la petite verge qu’il aurait pu être.

Lisa avait souvent manipulé celle d’un cousin pour savoir tout le plaisir qu’il était possible de donner et de recevoir a l’aide de cet organe mais saisissant celui de la jeune femme elle constata que si l’extrémité pouvait se gonfler plus encore , aucune ouverture ne pouvait dispenser la dangereuse mais si délectable liqueur.

Comme pour son cousin, la manipulation de l’objet en provoqua le raidissement et une augmentation de la longueur et du diamètre.

Entre les lèvres vaginales, la liqueur féminine coulait en abondance.

Lisa n’eut que l’embarras du choix pour donner et recevoir du plaisir regrettant malgré tout l’absence du jet final et la taille modeste somme toute de son visiteur intime.

Apres de nombreux échanges a leur grande satisfaction un repos s’avérait indispensable et Lisa, s’accoudant a une table admirait le paysage magnifique de ce coin sauvage ne se doutais pas que ses fesses se présentaient dans une positions qui inspirerait des désirs troubles a son amie qui se glissant contre elle posait son ventre contre ses fesses réalisant un contact charnel des plus troublant.

L’entre jambes couvert d’un mélange de salive et de cyprine elle pouvait sentir l’étrange verge remonter comme si elle voulait retrouver la chaleur de son sexe ou il se glissa tout du long ,mais il ressortis couvert de lubrifiant naturel puis continuant son ascension se trouva contre la plus secrète ouverture de Lisa.

Oh bien sur a l’occasion de leurs jeux , une langue puis des doigts avaient bien exploré a sa grande satisfaction cette petite taupinière cachée.

Elle butais en son centre et Lisa poussant dans son ventre faisait son possible pour l’accueillir et la taille modeste de l’engin permit enfin a l’extrémité de se glisser en elle franchissant la petite porte.

Lisa donna un coup de rein pour forcer l’introduction jusqu'à sentir contre ses fesses les poils de son amie et sa mouille lui couler le long des jambes.

A en juger par les soupirs que poussaient sa compagne le plaisir devait être partagé entre toutes deux .

Lisa c’est sur appréciait le glissement rythmique de la colonne de chair qui lui ramonait le boyau.

Soudain elle sentis des jet frapper ses fesses et y portant la main reconnu très vite l’odeur de la petite femelle en chaleur. Mais pour la faire encore plus s’empaler sur son clitoris de rêve elle lui glissa les doigts réunis en cône dans son vagin, poussant pour la pénétrer plus encore.

Enfin, après une ultime jouissance, elle voulu ressortir du pauvre anus tuméfié le morceaux de viande qui semblais s’élargir encore .

Collées comme deux chiennes elle ne pouvait se séparer et la douleur était partagé par toutes deux, l’une sur son clitoris devenu plus gros qu’une grosse verge d’adulte et l’autre le sphincter étiré presque au point de rupture.

Enfin le mandrin pus sortir, presque sanguinolent, couvert de secrétions et comme l’anus ne pouvait se refermer asse, vite d’autant plus qu’il étais douloureux , les matières encore présentes coulèrent doucement accompagné de vents trop odorants.

Ces petits ennuis vite réparés, on songeât à d’autres plaisirs et le frère de la muette surpris a vouloir regarder sous les jupes de Lisa se vit proposer soit, d’être dénoncé et battu soit, de se soumettre aux fantaisies de nos deux coquines.

En grand secret elle le mirent nu pour vérifier ce qui faisait leur différence et ce qui les rapprochait !

Si le clitoris de mademoiselle était un instrument de plaisir celui de son frère étais encore plus complet dans la recherche du plaisir.

Il fut bientôt évident que le frère et la sœur n’avait plus guère de secret l’un pour l’autre mais Lisa réussit pourtant a le surprendre.

Alors qu’il se trouvait fort engagé entre ses cuisses, elle referma ses mollets sur ses reins et il se prêta aux jeux croyants qu’elle recherchait une union plus étroite.

Lui écartant les fesses a pleine main elle permis a sa sœur de lui enduire la petite ouverture d’une crème onctueuse et d’y présenter sa fausse verge , s’enfonçant entre les globes mais surprenant son frère d’une facilitée si grande bientôt accompagnée d’un plaisir si intense.

Lisa bénéficiât de cette découverte

Le plaisir qu’elle lui procurait augmentait la taille de sa verge et ses mouvements procurèrent un grand plaisir a sa sœur et a Lisa .

L’anus du garçon semblait téter le clitoris de sa sœur, se crispant sur lui pour envelopper en serrant toute la colonne de chair, puis s’ouvrant le plus qu’il pouvait pour la laisser pénétrer au fond de son rectum.

Sa verge pilonnait sans relâche le vagin accueillant.

Le gland se décalottait laissant un champignon violacé s’épanouir et emplir tout le vagin, buttant contre l’utérus qui a chaque poussée semblais lui donner un baiser.

Enfin au paroxysme de la jouissance tous trois jouirent et les deux filles inondèrent leur partenaire qui lançât au fond de sa plaisante demeure un flot de sperme épais et gluant !

Désormais Lisa et le garçon pouvaient comparer les sensations procurées par une introduction anale assurée par la jeune fille.

Le garçon prétendait que rien ne valais l’usage d’un sexe masculin qui de plus finissait sur un jet à nul autre pareil.

La muette pour ne pas être en reste apporta tout le matériel nécessaire aux lavements vaginaux et rectaux.

Rapidement elle leur montra tous les accessoires disponibles et sa collection de poires, de canules, les brocs, tubes et robinets suffisaient a équiper un hôpital les alèses en prime sans compter les tampons couches et autre matériel absorbant.

Le jeune homme expliquât que sa sœur travaillait dans un hôpital et au fil du temps, de larcin en larcin avait rassemblé tout ceci.

Lui-même n’avait jamais été convié a participer a l’utilisation de tout ceci qu’il découvrait également ignorant l’usage de certain de ces objets.

Si une canule rectale courte en ébonite, munie de son robinet lui était vaguement connue , les sondes souples en caoutchouc l’étonnèrent par leur longueur.

Se méprenant sur l’orifice d’utilisation d’une sonde vaginale il en était surpris par le diamètre pourtant comparable a une bonne verge masculine mais capable de bien plus d’endurance.

Lisa voulus recevoir un lavement évacuateur en prélude a une vraie sodomie pour éviter les inconvénients de sa première expérience.

Marie, la muette mise tout en œuvre pour satisfaire son amie et c’est une canule courte qui prit place entre les fesses de Lise au bout d’une grosse poire de caoutchouc rouge et c’est Jean le frère qui après l’avoir remplie d’eau tiède lui injecta un bon litre d’eau additionnée de savon fondu.

Marie lui injecta la seconde poire et elle du se vider.

Un bock de faïence pris la relève et c’est la canule fichée entre ses fesses au bout d’un tuyau de caoutchouc qui se vida de ses trois litres, lui gonflant le ventre.

Lise se crispais sur la canule croyant qu’elle allait s’échapper et redoutant un accident .

Ils avaient pris la précaution de placer une alèse chargée de protéger le matelas.

Marie retirant la canule d’un geste rapide la remplaça par une autre canule qu’elle gonfla rapidement rendant étanche l’orifice dilaté.

Jean profita de ce répit pour lécher le pubis et téter le clitoris surpris de cette sollicitude.

Marie a son tour profita de la position de jean pour lui glisser dans le rectum plusieurs suppositoires de glycérine et pour faire bonne mesure un tampon vaginal chargé de se dilater a cet endroit !

Comme Marie se trouvait libre Jean et Lisa se chargèrent d’occuper ses orifices et choisissant le plus gros injecteur vaginal Lise le glissa doucement entre les lèvres inférieures de Marie tandis que Jean pour ne pas être en reste glissait doucement une longue canule en caoutchouc qui franchissant tous les obstacles remontais dans le ventre de Marie .

La canule bien lubrifiée se glissait loin en elle occasionnant de brèves coliques et mouvements spasmodiques, mais comme Lise lui injectais dans le vagin une grosse poire d’eau tiède puis utilisant une petite sonde stérile la glissait dans sa vessie qu’elle se mis a remplir aussi !

Jean lui avait raccordé la longue canule sur le bock et laissait le liquide couler très doucement dans le colon de Marie.

Déjà le ventre distendu de Marie laissait croire a une grossesse et Jean lui massait tendrement le ventre.

Lise la main enduite de crème masturbait doucement le clitoris qu’elle prenait parfois en bouche.

Lisa du aller se soulager après avoir dégonflé la canule qui fut éjecté avec force et jean lui injecta quelques poires pour que l’eau sorte claire.

Jean a son tour après avoir retiré le tampon comme un bouchon de champagne se libera avec force , Lise lui rendant a son tour le même service.

Puis Lise se couchant sur Marie se glissa son clitoris dans le vagin.

S’assurant d’une complète introduction elle sentis soudain un jet brûlant jaillir avec force du vagin de Marie puis le poids de Lise aidant, sa vessie a son tour se libera sur Lise qui Vicieusement lui écarta bien les fesses laissant le colon de Marie rendre tout ce qui lui avait été injectée .

L’allése avait heureusement un rebord qui permettait de contenir la masse de liquide heureusement clair et pas trop odorant mais les fesses et le dos de Marie baignait dans un jus douteux.

Le clitoris de Marie bien engagée dans son vagin Lisa se donnait du plaisir quand elle sentit les mains de Marie lui saisir les fesses et les écarter offrant a jean sa petite ouverture.

Apres l’avoir bien léchée et suçotée puis avoir tenté d’y introduire sa langue en pointe il y présenta son index soigneusement enduit de crème lubrifiante.

En un instant l’index fut au fond du rectum explorant la cavité, mais Jean voulant corser la chose présenta l’extrémité du tube et d’une poussée résolue lui introduisit la presque totalité du contenu surprenant Lise par sa cotée glacée mais onctueuse. Impossible de serrer les fesses suffisamment pour retenir cette crème qui lentement ressortait d’elle.

Lui écartant les fesses il présenta la pointe de son sexe juste au centre et n’y appliqua qu’une très légère pression.

Insensiblement il entrait en elle, écartant les chairs pourtant crispées, mais qui, lasses de maintenir cette impossible étanchéité préféraient se saisir de cet objet qui la pénétrait.

L’introduction laborieuse n’était pas douloureuse, mais Lise sentait la grosseur de ce qu’on lui injectait et tentait de faciliter la pénétration en poussant de son côté comme si elle avait voulu se soulager.

Enfin totalement introduit entre ses fesses durcies par l’effort il ne bougeât plus jouissant du contact et embrassant le dos offert.

Elle sentait battre une veine alimentant la verge tendue et imaginait le gland au fond de son ventre supposant le prépuce déroulé et le champignon s'épanouissant en sa secrète demeure.

Elle attendait qu'il se mis en mouvement glissant en elle jusqu'à presque sortir puis se renfonçant avec vigueur.

Elle voulut l’inciter à bouger et se crispant sur lui pour faire savoir son impatientante elle crus le sentir encore grossir a la limite de ce qu’elle pouvait croyait elle supporter.

Puis il se mis doucement en mouvement et elle crus qu’il allait emporter son rectum avec lui ,les chairs soudées autour de lui ne voulaient pas laisser échapper leurs proie.

Puis comme il se renfonçait elle crus sentir un léger glissement.

Bien sur le mouvement se termina en apothéose