Jean


Vues: 7581 Created: 2007.10.05 Mis à jour: 2007.10.05

Souvenirs de Jean

Chapitre 1

En ces années la juste après la guerre j'habitais un petit village ou il étais difficile de s'informer a 12 ans des différences entres garçon et filles. Bien sur j'en avais une vague idée mais il était presque impossible d'aller plus loin. La nourriture occasionnait souvent des constipations et comme le dogme établis voulait des selles a heures fixes chaque jour je me trouvait bien malheureux avec un transit très lent.

Aussi rituellement je me retrouvait avoir un suppositoire formé par un copeaux de savon roulé en forme cône qui vous brûlais les intestins avant d'être restitué presque fondu avec bien sur les glaires chargées de protéger mon intérieur.

A l'occasion d'une maladie j'ai découvert le lavement à la poire !

Délicieux moment qui provoqua ma première érection qui fut volontairement ignoré par ma mère.

J'avais découvert, en je ne sais en quelles circonstances, une culotte en plastique presque neuve mais qui faisait un bruit épouvantable. J'avais découvert mon anus a l'aide d'une glace et comme mon domaine réservé étais le grenier malgré la chaleur épouvantable qui y régnait je m'étais confectionné un bock et avait aussi trouve chez une vieille personne une canule et une poire que j'avait dissimulé dans mon domaine.

Un jour donc où a plat ventre sur un du premier carré de plastique je m'administrais un lavement, provoquant l'habituelle érection, je remontais sur mes fesses la culotte en plastique et a plat ventre en coinçant mon sexe entrepris une lente masturbation avec mon ventre plein. Ma première éjaculation fut sensationnelle et je du même laisser échapper quelques gouttes dans cette culotte toute collante. Je cherchais comment améliorer et provoquer à nouveaux, cette délicieuse sensation.

Une exploration de la table de nuit maternelle me fit découvrir des ovules de glycérines vaginales sans doute destiné à faciliter une lubrification. La taille de ces ovules me semblaient incroyables (un œuf de pigeon).

Je réussis à subtiliser une boîte et comme j'étais serviable, j'explorais chez nos voisins ce qui pouvait avoir une connotation sexuelle.

En cette après guerre la morale et les conditions de vie étaient très différentes et ainsi une voisine, femme dans les 35 ans qui ne parlait pas un mot de Français se trouvait rejeté par les locaux. Son mari je le sus par la suite étaient encore prisonnier des Russes et ne pouvant communiquer elle était fort démunie.

Un jour ou revenant de chercher du lait a la ferme je la croisais et par signe elle me fit comprendre qu'elle en voudrait bien. De mon bidon je versais un verre qu'elle but avec avidité et comme surpris je la regardais (surtout sa poitrine fort bien faite) en riant elle me fit signe que non et mimant un bercement me signifiât que non elle n'avait pas d'enfant.

Doucement d'un doigt hésitant j'essuyais la moustache laiteuse et elle me saisit la main la plaquant sur son sein le laissa pétrir et comme le corsage s'entrouvrait, la pointe bistre se montra nourrissant de chair ma bouche avide.

Le lendemain je fis 15km sur un vieux vélo pour dérober un bidon de lait qui visiblement ne ferait pas défaut puis ce fut le retour avec un passage par le ruisseaux pour y jeter le reste aigre et frotter au sable l'aluminium et le couvercle jusqu'à ce qu'il parut neuf.

De retour je me rendis comme chaque jour après la traite prendre mon bidon habituel et m'arrangeant avec le gamin obtint un autre bidon plein. Je déposais le mien à sa place et me rendis en douce chez ma voisine ou avec force geste et petit dessins, je lui fis comprendre qu'il lui appartenait.

Bien sûr elle voulut savoir ce qu'elle me devait ? Le premier était gratuit mais ensuite il me faudrait quelque menue monnaie. Ceci admis et compris elle voulut savoir ce que je désirais pour moi ?

Comme elle se trouvait a mes coté je lui tendis les lèvres et elle compris que j'étais vierge et me tendis ses lèvres jouant avec ma langue et laissant ma main caresser ses fesses.

Elle m'entraîna dans sa chambre se débarrassant de sa petite robe légère il ne lui restait qu'une sorte de caraco et une culotte de coton qui n'étais que confortable. En un instant elle était nue et entrepris de me déshabiller remarquant de suite mon sexe qui ne cessait de grossir. Elle s'extasiait sur sa taille en une langue inconnue mais for explicite. Elle se disposa a quatre pattes après avoir mis des

serviettes sous elle et comme je m'approchait de son sexe elle me laissa la découvrir. Je bus toute la cyprine qui s'écoulais d'elle, découvrit son clitoris, mes lectures m'ayant beaucoup aidée. Je buvais son sexe, tétais son clitoris et emporté par mon élan découvrit surpris qu'une femme aussi avait un anus.

La je savait faire du moins en théorie, mais très vite après lui avoir léché le pourtour, tété le petit monticule ridé j'introduisit ma langue aussi loin que je pus.

Sans l'avoir pénétré je lui offris son premier orgasme ! Haletante elle me hissa sur elle et guida ma verge dans son vagin ou je me mis à naviguer avec ardeur. Notre orgasme fut simultané mais je restais dur malgré une abondante émission de sperme.

Très surprise elle se laissa caresser mais ma main devenant indiscrète sur son anus elle me questionna en langue des signes inventée entre nous.

Se levant d'un bond elle revint très vite avec un petit pot et entrepris de m'enduire la verge d'une substance graisseuse puis me confiant le pot me tendis ses fesses en les écartant des deux mains.

Une noisette sur les bords et une autre a introduire d'un index délicat et attentif puis curieux se sentant accueillis et même désiré. Un autre doigt se joignis au premier puis un troisième sans difficulté. Ce fut elle qui guida mon sexe a la place de mes doigts et quand enfin elle décida de mon éjaculation ce fut son doigt dans mon anus qui la provoqua avec une abondance qui la surpris.

Comme elle se rendait dans la salle de bain, je pus voir une grosse poire rouge qu'elle remplit d'eau avant de me la tendre et de la guider dans son sexe.

La canule vaginale me fascinait et elle la remplit à nouveaux puis me tendit ses fesses où j'injectais le contenu qu'elle rendit sur les toilettes devant moi.

Je remplis à nouveaux la poire et lui tendis me tournant et lui présentant mes fesses je puis sentir le doux glissement et l'injection qu'elle renouvela jusqu'à ce que n'en pouvant plus je pris sa place pour me vider ne conservant qu'une érection qu'elle soigna d'une bouche avide.

Mais mon village cachait bien d'autres surprises