Martin.


Vues: 3407 Created: 2007.08.08 Mis à jour: 2007.08.08

Lavements Tendresse

Lavements Tendresse

Author: Martin.

Moi, je suis un vieux machin retraité depuis quelques temps. Sans être fortuné, je suis tout de même à l'abri du besoin dans une grande maison confortable. Petite ombre au tableau, je vis seul, une femme m'accorde ses faveurs et ses moments de tendresse, mais elle cultive son indépendance, et je sais qu'il est préférable de la laisser seul chez elle après une nuit de câlins.

Un soir, alors que j'étais sorti pour voir des être humains à l'extérieur de chez moi, bien obligé, puisqu'il n'y en avait pas d'autre que moi à mon domicile, j'ai rencontré une jeune femme, je devrais plutôt dire une jeune fille, parce qu'effectivement elle avait plutôt l'âge d'être ma fille. Après avoir échangé avec elle des propos sur la solitude et ses désagréments, je compris rapidement que pour elle s'ajoutait une réelle détresse matérielle. Je continuais donc la conversation, cherchant à apprivoiser cet oiseau tombé du nid. Je lui proposais d'abord de partager mon repas, dans un petit restaurant du quartier, moi je sortais de table, mais c'était un vrai bonheur de la voir dévorer pour deux. Après quoi l'aillant mise en confiance, je lui offris de venir finir la nuit dans ma chambre d'amis. Elle craignait bien quelques dérapages de ma part, mais elle devait manquer de solutions de secourt et elle finit par accepter.

Le lendemain ayant passée une bonne nuit, avalé un vrai petit déjeuner, elle m'expliqua ses malheurs, son enfance à l'orphelinat, ses études interrompues trop tôt faute de moyens financiers, et puis le chaumage, et la lente dégringolade vers le fond et la misère.

Je l'écoutais très ému, rien ne me permettait de douter de son récit. Aussi, il me vint une idée : Puisqu'elle n'avait pas de parents et que je n'avais pas d'enfants, nous pourrions nous adopter, elle pourrait reprendre ses études, moi je serais moins seul dans cette grande demeure et je me rendrais utile. Je ne fut pas bien long à la convaincre !

Elle ne repartit donc pas de mon logis, elle n'était pas en cage, et elle ne me devait rien. Le jour où elle sentirait que sa vie ne serrait plus ici, il serrait temps pour elle de reprendre son vol. Moi, j'avais le bonheur d'avoir chez moi un petit oiseau qui virevoltait en tout sens, et je me sentais soudain utile. Elle me tient maintenant au courant de sa vie, elle est très studieuse, me fait participer à ses résultats et a pris l'habitude de m'appeler ‘'Papa'', pour faciliter vis à vis de ses copines, et elle est toute fière d'avoir enfin, elle aussi un papa. Et moi, vous croyez que je ne suis pas fière d'avoir une jolie fille comme elle ?

Il y a quelques jours, je l'ai vu rentrer fatiguée, abattue, devant mon inquiétude, elle m'expliqua que sa journée avait été éprouvante, et qu'elle ne se sentait pas bien. Pour l'entourer de mon affection je lui propose pour la détendre de lui donner une douche. Ce qu'elle accepte sans hésitations.

Nous voici donc tous deux dans la salle de bain, elle se déshabille, moi je règle la température de l'eau et prépare une grosse éponge douce et du gel douche. Je commence par la shampouiner et lui lave ses longs cheveux de jais. Puis je la savonne partout, et la frotte comme je le ferais à un enfant, elle s'abandonne et se détend, se tournant en tous sens et offrant à ma vue un très beau corps de femme. Je réalise le côté incongru de la scène, mais je pense que c'est le rôle d'un autre homme que moi, plus jeune, d'éveiller cette femme à l'amour. Pour le moment, elle rattrape les caresses qu'elle n'a pas reçues de ses parents. Une fois qu'elle est rincée de partout, je l'enroule dans une grande serviette de bain et l'invite à se sécher. Elle se frotte, s'éponge soigneusement, elle a retrouvé le sourire.

Alors, toujours enveloppée dans sa serviette, elle m'explique qu'elle est très constipée, et qu'elle a grand besoin d'un lavement, et elle veut savoir si j'ai de quoi la soulager ?

Heureusement, j'ai dans un placard de la salle de bain une poire à lavement, je prépare dans le lavabo de l'eau tiède légèrement salée, je presse la poire et la laisse se remplir pendant que je sors de la vaseline. Je m'assois sur la baquette et l'invite à s'installer.

Elle vient à ma grande surprise s'étendre en travers de mes genoux, et m'offre deux jolies fesses bien pommées... Alors, d'une main, j'écarte doucement les deux globes de chaire rose et délicatement de mon autre main je lubrifie le petit trou qui se cache au fond du vallon. Puis je tends le bras, empoigne la poire, la glisse délicatement dans le petit orifice récalcitrant, et doucement fais passer le contenue dans les entrailles de la demoiselle. Je retire la canule de son anus et j'entends : « Encore, s'il te plait. » J'ai une seconde d'hésitation, je peux en tendant le bras remplir la poire dans le lavabo, et c'est ce que je fais. La poire de nouveau pleine retourne abreuver le petit trou assoiffé, le corps de ma patiente est traversé d'un frisson, et le retrait de la poire suivi d'une nouvelle demande. Une troisième poire vient gonfler les intestins de la belle. Après le retrait, elle se relève, s'enroule dans sa serviette et vient se blottir contre moi. Son ventre gargouille tant qu'il peut, mais cela ne semble pas trop la déranger. Je la prends dans mes bras, je me rends compte que tout son corps tressaute au rythme des coliques que lui donne le lavement et après quelques minutes passées comme ça sans rien dire, brusquement l'oiseau s'envole vers les toilettes. Elle n'en reviendra qu'un long moment plus tard et après s'être vêtu d'un peignoir de bain. « Tu ne m'en veux pas de t'avoir demandé ça ? Tu sais j'adore les lavements, ils me font beaucoup de bien et quand j'étais à l'orphelinat c'était le seul moment où l'on s'occupait de moi personnellement. Tous les autres actes de la vie étaient collectifs. Et puis cela me nettoie très bien les boyaux, même ceux de la tête... »

Je suis évidemment surpris par ces aveux de ma petite sauvageonne, et j'en parle au pharmacien de mon quartier, un homme sage à la grande expérience et l'esprit largement ouvert. Il n'a pas l'air surpris, et m'explique qu'il connaît quelques personnes qui, comme elle, ont besoin de recourir fréquemment à ce traitement pour mettre de l'ordre dans leurs intestins et dans leurs idées. Il m'affirme qu'une de ses clientes prend quotidiennement un lavement de deux litres, sans aucun inconvénient et ajoute en plaisantant que c'est une très mauvaise cliente : Elle n'est jamais malade... j'en profite alors pour lui demander conseil dans le choix du matériel que je dois utiliser pour la soigner, puisque apparemment la poire est trop petite. Il me recommande l'usage d'un bock et d'une canule en pyrex qui me semble monstrueuse, mais il m'affirme qu'il n'y a pas de risque de la voir se briser en service normal et que c'est ce qui lui est le plus demandé par les clystérophiles. En homme pratique, il me conseil également dans la préparation du contenu du bock, et sur la hauteur à donner au récipient. Je repars donc avec le matériel proposé en prévision...

Quelques jours plus tard, je remarque une baise de forme chez ma protégée, je lui demande si elle a de nouveau besoin d'un lavement : « Oui, j'en ai besoin, mais si tu veux vraiment jouer le jeu, tu ne dois pas me demander si j'ai envie, tu dois me l'imposer ! C'est encore meilleur pour moi. »

Je lui explique alors que je lui trouve très mauvaise mine, et que j'ai l'intention de la purger. Je l'invite donc à aller s'installer sur la banquette de la salle de bain. Pendant qu'elle se déshabille, je prépare le bock. Je lis une certaine gourmandise dans son regard. Je lui explique que je le remplis complètement, mais que si cela lui fait trop, j'arrêterais quand elle le voudra.

Cette fois je lui demande de s'étendre sur le dos, jambes repliées, cuisses écartées. Son anus est ainsi bien exposé, et je le lubrifie doucement. En suite je présente devant la grosse olive qui finie la canule et d'une légère pression, je la fais pénétrer. Ma patiente, surprise par la taille de l'objet, a un petit sursaut, mais avale l'instrument goulûment. Je suspends le bock à un crochet que je j'ais spécialement rajouté, et la préparation part à l'assaut des entrailles de la chère enfant.

Tout d'abord, elle ne bouge pas, bientôt, elle ferme les yeux, ensuite elle laisse échapper un léger râle, pas une plainte, juste un léger râle de satisfaction. Maintenant elle ondule doucement pour aider l'eau à faire son chemin. En faite, tout le bock est rapidement englouti, et elle arbore maintenant un joli petit ventre tout rond. Je la libère de la canule, elle garde encore les yeux fermés, et porte sur le visage une grande béatitude. Je dépose un baisé sur son front, et quitte la pièce.

Plus tard, elle vient me prendre dans ses bras pour me remercier de mes bons soins, elle est rayonnante.

Quelques jours plus tard, je lui ‘'impose'' un nouveau lavement qui se déroule dans les même conditions, mais après l'avoir laissée seule, la porte de la salle de bain laisse filtrer soupirs et gémissements. De toute évidence, la demoiselle prolonge mon traitement d'une solide masturbation. Je ne suis pas choqué, une jeune femme de son age a besoin d'une vie sexuelle, même sous forme d'herzats. Je suis un peu surpris par la façon dont elle détourne l'usage de mes lavements, apparemment elle a choisi de laisser sa vie sentimentale en sommeil, mais de satisfaire son corps.

J'entends déjà les pisse-vinaigre, parmi vous, me dire que ces jeux de pipi-caca sont malsains, que je ne devrais pas participer à ça.

Malsains, c'est une question de jugement, et je n'ai pas à juger. Quand j'aime quelqu'un, je l'aime tel qu'il est ! Si je commence à l'aimer tel que je voudrais qu'il soit, c'est que je l'aime déjà beaucoup moins...