Marie Jo


Vues: 5040 Created: 2007.10.22 Mis à jour: 2007.10.22

Prescription Médicale

Prescription Médicale

Author: Marie Jo

« Docteur, depuis ma dernière visite, je n'ai rien perdu de plus. Jusque là j'avais perdu régulièrement une quinzaine de kilos, et depuis trois semaines, plus rien. Pourtant je continue de suivre votre régime à la lettre, et je ne voudrais pas m'arrêter avant d'en avoir perdu encore cinq. Est-ce que je dois réduire ma ration journalière ?

- Certainement pas, vous êtes active, si vous réduisez le peu que vous mangez actuellement, vous allez nous faire des malaises, et vous pourriez dire adieu à votre 95 C. que nous avons réussi à préserver jusqu'à maintenant.

- Mais alors, qu'est ce qui coince ?

- A mon avis, votre corps résiste, il voit s'appauvrire de jours en jours les réserves de graisse qu'il avait accumulée craignant une éventuelle pénurie, et comme votre régime s'éternise, il essaye de préserver ce qu'il peut en retenant tout ce qu'il peut. Etes-vous constipée ?

- Oui... Non je prends trois suppositoires de glycérine par semaine pour aller à la selle régulièrement.

- Bon, ça confirme ce que je vous explique. Alors vous allez devoir l'obliger à évacuer tous les déchets qu'il retient et qui vous intoxiquent. Vous allez remplacer vos suppositoires par des lavements.

- Des lavements ? Avec une poire ?

- Non avec un bock ! Vous allez devoir tous les deux jours prendre un lavement de deux litres d'eau tiède juste un peu salée, pas de glycérine, que vous garderez au moins dix minutes, pour bien nettoyer votre colon en profondeur, et empêcher votre corps de s'auto intoxiquer.

- Mais ça doit être très désagréable, et difficile à faire...

- Ne croyez pas cela, vous commencerez par une dose plus modeste, c'est à dire que dès que vous ne pouvez plus supporter la quantité, vous arrêtez, et vous recommencez le lendemain, jusqu'à garder deux litres pendant dix minutes, un quart d'heure, je suis sûr que votre mari se fera un plaisir de vous aider. Et vous vous y ferez très vite. »

Il avait l'air sûr de lui le médecin, aussi je vais chercher à la pharmacie le bock à lavement, je crois que je redoute plus encore qu'une série de piqûres. Le soir, j'explique à mon homme que le docteur m'a conseillé de faire appel à son aide pour me purger, s'il veut que je garde ma poitrine, il doit se dévouer.

Le lendemain soir je dois passer au supplice, le pharmacien m'a expliqué comment procéder, hauteur du bock, purger l'air du tuyau, choix de la canule et tous ces petits détails qui pourraient nous pourrire la vie. Nous préparons le lavement ensemble, et je finis par m'installer le séant sur une grosse serviette éponge, allongée sur le lit présentant mes fesses à mon époux. Je n'en mène pas large... on a beau être intime, la situation est très dérangeante. Il commence par m'enduire l'anus de vaseline, je suis sûr qu'il en a mis beaucoup trop ! Ensuite il m'applique la canule face au trou, mais pas dans le bon axe, et ne parvient pas à entrer, il me fait mal, finalement il parvient à se faufiler dans les profondeurs de mon postérieur. Moi qui lui ai toujours refusé le droit à la sodomie je suis furieuse de devoir supporter ce traitement. Et pourquoi maintenant est-il obligé de me secouer tout ça dans le derrière, ah ! C'est le robinet qui était coincé. Bon mais il ne l'est plus, je sens l'eau qui inonde mon ventre. Petite fille ma mère m'avait imposé ce supplice, mais cela avait dût être aussi pénible pour elle car je me débattais, et par la suite elle eut recoure aux suppositoires plus simples à utiliser. Soudain je suis pris d'une terreur : Si le robinet est encore coincé quand je vais crier grasse, je risque d'éclater !

L'eau pénètre inexorablement le moindre recoin de mon ventre qui gargouille avec des bruits obscènes, les coliques se succèdent en rafales et je demande à mon bourreau d'arrêter. Le matériel ne me fait pas de mauvais tour, je sers les fesses tant que je peu, mon mari me libère de la canule mais ce n'est pas rassurant, finalement, c'était bien d'avoir quelque chose à serrer. Je résiste tant que je peu, et m'enfui vers les toilettes ou je peu tout relâcher et me vider abondement. Je me rends compte que jamais un suppositoire ne m'a fait évacuer autant de déchets en une seule fois. Je crois que je ne pourrais jamais me vider de toutes ces coliques et pourtant d'un coup je réalise que je suis vide.

Lorsque je reviens des toilettes, mon chéri me demande si je veux savoir mes performances... « Surtout pas, tu recommenceras demain et demain, jusqu'à ce que je garde les deux litres durant les dix minutes, et alors tu m'accorderas une journée de repos. »

Et le lendemain, je reçois un nouveau lavement. Mon ventre gonfle et gargouille comme la veille, ces sensations ne sont plus nouvelles, mais je finis rapidement par détaler vers les toilettes. Je me vide tant que je peux. Je me rends compte que tout mon ventre ne se libère pas d'une seule fois mais en plusieurs vagues successives. Alors je laisse paisiblement écouler cet infâme bouillon jusqu'à la dernière goutte, je réalise que je viens de prendre la totalité du lavement, mais je ne l'ais certainement pas gardé suffisamment longtemps.

Effectivement le troisième jour, mon postérieur est de nouveau visité par la canule, et mon ventre copieusement inondé, avec mon peu d'entraînement, je contrôle plutôt bien la situation. Je cherche une bonne place et laisse mon ventre bouillonner à plaisir, j'imagine une armée de lutins avec balais brosses et serpillières en train de frotter l'intérieur de mon intestin pour en chasser la moindre impureté. Finalement je me rends aux toilettes sans précipitation et évacue tranquillement le lavement, les lutins et tout ce qui veut bien sortir.

Le quatrième jour fut un jour de relâche, je suis étonnée de m'être si vite adaptée à ce traitement que j'estimais monstrueux il n'y a pas si longtemps. Le cinquième jour me trouva offrant courageusement mon derrière à mon bourreau qui s'acquitta de sa tâche avec conscience. Les petits lutins m'occupèrent l'esprit le temps voulu et je partis me vider avec un bon livre pour penser à autre chose. Le septième jour mon pèse personne m'offrit deux cents grammes d'encouragement. C'est donc avec enthousiasme que je reçus mon lavement du jour, ce vieux fou de médecin allait avoir raison...

Il faudra dix semaines pour que je perde les cinq kilos dont j'avais juré de me débarrasser. Mon mari s'acquitta de son rôle sans faillir, pourtant plusieurs fois j'ais remarqué la forte bosse d'une grosse érection dans le pantalon de pyjama, mais me considèrent comme ‘'malade'' jamais il n'abusa de la situation. Pendant encore deux semaines j'espaçais les lavements le temps de stabiliser mon poids et de réhabituer mon intestin à contrôler la situation.

C'est peut être deux mois plus tard qu'un soir, le voilà qui me propose un lavement, sans vraiment de raisons plausibles. Assez surprise, j'accepte sans crainte, m'étant bien habituée à ce genre d'exercices et pensant que cela ne pouvait pas me faire de mal. Quelques minutes plus tard, le voilà qui revient avec tout le matériel nécessaire. Il me fait m'installer confortablement, me lubrifie délicatement et longuement et finit par placer la canule au plus profond de mon cul avant de libérer l'eau. Je suis rapidement envahie par le liquide assez chaud, ce qui me surprend et me déstabilise un peu. Et soudain je réalise que si d'une main il maintien la canule en place, de l'autre, il est en train d'explorer ma chatte avec tout le savoir-faire qui le caractérise dans ce type d'exercice. Voilà qui ne contribue pas à me ramener à la réalité, avant de pouvoir protester, je pars comme une gamine dans un orgasme ravageur qui me laisse sans réaction un long moment. Ce sont les coliques qui me rappellent à la vie, et je dois bien sûr aller vider mes entrailles avant de pouvoir engueuler le monsieur qui vient de me faire une chose pareille.

Finalement lorsque je reviens, je suis calmée. Je retrouve un homme assez fier de lui et du bon tour qu'il vient de me jouer. Je fais celle qui n'est pas trop fâchée, et accepte les nouveaux hommages de mon infirmier d'opérette. Je suis tout de même vexée de m'être fait avoir de la sorte, aussi le lendemain soir, c'est moi qui arrive dans la chambre en portant le bock plein à raz-bord. Mon compagnon s'étonne et me demande si je tien à recevoir un nouveau lavement ce soir ? Je lui explique que s'il tient à continuer ses exploits de la veille, il doit me montrer ses fesses et me faire voir comment il supporte le traitement. Protestations, supplication, excuses, je vois le monsieur se dégonfler progressivement. Je reste inflexible ! J'ai beaucoup aimée sa petite démonstration de la veille, je ne suis pas opposée au fait de renouveler l'expérience, je n'y mets qu'une toute petite condition, il doit maintenant me laisser lui faire un lavement, si non il n'est pas près de pouvoir me remettre une canule dans les fesses...

Finalement il se rend bien compte que je ne transigerais pas, et avec beaucoup d'appréhensions il doit me confier son derrière pour que moi aussi je puisse jouer. Il se montre très brave, certes il gémit beaucoup, et pour l'encourager, je ne me prive pas de lui faire une douce et très longue fellation. Et quand il revient des toilettes, j'ais déjà rangé tout le matériel, et je me suis assoupie.

Depuis ce jour mémorable je suis régulièrement purgée abondement trois fois par semaine, ce qui me fait un bien fou. Outre le fait qu'il en profite joyeusement pour me masturber, pour me sucer et même pour me sauter, délicatesses que j'apprécie finalement au plus haut point, ce traitement est surtout des plus bénéfique sur ma santé : adieu les kilos superflus, et bonjour la jolie peau et le teint de lys. Mes suppositoires d'entant, je ne veux plus en entendre parler, d'ailleurs que pourrais-je bien en faire, puisque je ne suis plus jamais constipée. Un détail, mon mari aussi reçoit un à deux lavements par mois, lui n'aime décidément pas ça du tout, il faut voir comment il proteste à chaque fois que je lui impose ce traitement, mais pour pouvoir continuer de jouer avec mon cul, il sait très bien qu'il ne peut se dérober à mes bons soins.

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