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Vues: 7652 Created: 2007.09.18 Mis à jour: 2007.09.18

Un Lavement à la Pharmacie

Un Lavement à la Pharmacie

Cela faisait à peine deux jours que j’avais emménagé, que déjà les problèmes commençaient. En effet, le soir du troisième jour, je me couchait inquiète car je n’était pas allée à selle de toute la journée. Le jeudi, idem. Je pense que c’est le voyage, plus le stress de l’emménagement qui on provoqués cette terrible constipation que je n’oublierait jamais. Vendredi, en fin de journée, la gêne intestinale était devenue insupportable. Je décidais alors de faire un saut à la pharmacie. M’y étant prise à la dernière minute, j’arrivais à cinq minutes de la fermeture.

La pharmacienne qui me reçu devait avoir dans les quarante ans passés, et était plutôt jolie. Derrière, sur la droite, j’entre aperçu une jeune femme en blouse blanche qui rangeait des médicaments dans un grand tiroir. Discrètement, j’expliquai mon problème à mon interlocutrice et lui demandai quel remède elle avait à me proposer. Elle sorti alors deux boîtes en carton et une sorte de sac plastic avec un long tuyau. Avec une infinie douceur, elle m’expliqua que la première boîte contenait des suppositoires à la glycérine, la seconde des micros lavements et que le sac était un sac à lavement. Confuse et inexpérimentée, je lui demandais conseil. Elle me répondit que le lavement était, incontestablement, le moyen le plus efficace, mais que chaque personne à ses préférences. Je lui dis que je n’y connaissais rien et que je ne pouvais vraiment pas choisir, et que, même si je prenais le lavement, je ne saurais pas comment m’y prendre.

A ce moment là, elle me pria de patienter et partit dans l’arrière boutique. A son retour elle me fit une proposition.

- En principe, je devrais fermer maintenant. Mais puisque votre problème à l’aire sérieux, et qu’apparemment vous n’y connaissez rien en laxatifs, voilà ce que je vous propose. Ma collègue et moi-même sommes d’accord pour rester un moment pour vous administrer un lavement. Nous allons fermez la boutique et passer à l’arrière… si vous êtes d’accord…

Je fût bien évidement surprise, mais surtout par la générosité de la pharmacienne (et de sa collègue) qui était prête à rester, pour moi, après ses heures de travaille. Je ne savais pas ce qui m’attendait au moment ou j’acceptais la proposition.

Elle me fit passer dans une petite salle où se trouvait un lit (comme ceux que l’on trouve chez les médecins), qui était probablement destiné aux premiers secours ou aux petits bobos. Alors apparu sa collègue, une jeune apprentie qui ne devait pas avoir plus de 18 ans. Elle était très belle et sa timidité naturelle augmentait son côté angélique. Sa supérieure lui demanda d’aller fermer la porte d’entrée et d’éteindre les lumières visibles de l’extérieur, et en criant, lui demanda de ramener une boîte de « Bulboïde » pour adulte. Elle dû lire sur mon visage que je ne savais pas ce qu’était ce médicament car elle s’empressa de m’expliquer qu’il s’agissait des suppositoires à la glycérine. Elle me dit qu’elle avait décidé de commencer par m’en administrer deux pour que je me débarrasse du plus gros de mes selles et, avec un sourire gentil, me proposa d’enlever mes bas.

Après m’être exécutée, la présence de la pharmacienne me troubla. Je venais de prendre conscience qu’à présent, seule ma jupe séparait son regard de mon intimité. Il faut dire que je portais une culotte translucide qui laissait apparaître la couleur et les formes de mon sexe intégralement épilé. Sans autre tergiversation, elle me fit coucher à plat ventre sur le lit. Une fois installée, elle s’approcha de moi, remonta ma robe jusqu’au milieu de mon dos et baissa ma culotte à hauteur de mes genoux. Quant l’apprentie revint dans la pièce, j’étais cul nu. Heureusement, j’avais la tête tournée face au mûr, ce qui les empêchait de voir la honte qui avait rougi mon visage.

La pharmacienne prit la boîte de suppositoires et m’expliqua que finalement, elle allait m’en mettre trois pour augmenter l’efficacité du traitement. Je balbutiais mon consentement quant je sentis ses doigts écarter mes fesses. Elle fit rentrer le premier suppositoire délicatement mais profondément à l’aide de son index, puis le second, et le troisième encore plus loin car je sentis tous ses doigts frôler mon derrière. Ayant toujours été sensible à ce genre d’attouchements, je ressentis un certain plaisir à me faire pénétrer par son doigt, et le fait que la jeune apprentie ait assisté à la scène augmentait étrangement mon plaisir, que je me gardai bien de montrer. Ensuite, elle me demanda si j’avais de la fièvre, et comme je ne pouvais pas lui répondre avec certitude, elle me dit qu’elle allait me prendre la température pour être sûre. Elle envoya la jeunette chercher un thermomètre pendant qu’elle s’enduisait le majeur de vaseline. Son doigt fit plusieurs mouvements de va et vient dans mon anus avant d’en sortir. Quant l’apprentie revint avec le thermomètre, la pharmacienne lui dit de me le mettre dans l’anus, bien profondément. La fille s’exécuta sans dire mot, avec beaucoup de tendresse, elle fit rentrer l’instrument bien de moitié dans mon rectum, puis elle resta là, le tenant de sa main droite, tout en me caressant le haut des fesses avec son autre main.

J’aurais pu rester comme ça pendant des heures si les suppositoires n’avaient pas commencé à faire leurs effets. Trois jours sans aller à selle plus le thermomètre dans le cul, en moins de cinq minutes, j’avais une envie de faire caca comme jamais auparavant. Je commençait à avoir de sérieuses crampes quant j’en informais la jeune fille qui tenait encore l’objet planté entre mes fesses. Elle me répondit que c’était normal, et que je devais faire preuve de patience, parce que je devais les garder encore dix minutes. Horrifiée par ces propos, je voulu me retourner face à elle pour la regarder dans les yeux (de façon à qu’elle puisse lire ma désapprobation dans les miens), et comme elle tenait fermement le thermomètre, le mouvement brusque le fit rentrer encore plus profondément dans mon derrière. J’eus comme un spasme qui me laissa sans voix. Sans s’apitoyer, elle me remit en place en me donnant des petites tapes sèches sur les fesses.

A son retour, la pharmacienne, qui était partie se laver les mains, demanda comment cela ce passait. L’apprentie répondit, avant même que je n’ai eu le temps d’articuler un mot, que tout allait bien. Alors qu’en fait, j’étais sur le point d’exploser. D’un ton satisfait, la pharmacienne demanda alors à la jeune fille d’aller faire bouillir de l’eau. Elle s’approcha de moi, et après m’avoir écarté une fesse, alla chercher le petit bout de thermomètre qui dépassait de mon orifice, pour doucement le sortir, et le lire.

-Vous n’avez pas de fièvre, me dit-elle.

Et tout en me nettoyant l’anus avec un mouchoir, elle me demanda si les suppositoires faisaient de l’effet. Je répondis avec empressement que oui et que je ne tiendrais sûrement pas les dix minutes imposées par sa collègue.

-Mais oui, mais oui, répondit-elle. Retournez-vous, je vais vous masser le ventre.

La douleur m’avait fais oublier que ma culotte était baissée et je me retournai avec l’espoir que le massage proposé me soulage. Je ne repris conscience de ma nudité que lorsque sa main, après quelques passages sur mon ventre, vint frôler mon pubis. Un sentiment troublant, partagé entre le plaisir et la douleur, m’envahi à ce moment là. Le massage était doux mais la douleur devenait insupportable, et au moment où j’allais la supplier de me laisser aller aux toilettes, c’est elle qui m’invita à y aller.

Sur le chemin, je dû me débarrasser de ma culotte qui me gênais pour courir. Il faut dire que je me tenais les fesses serrées avec les deux mains de peur que tout ne sorte prématurément. Heureusement, on avait prit la peine de m’indiquer où était les toilettes, et à peine posée sur la cuvette, je pu me vider sans le moindre effort.

De retour dans la petite salle, les deux femmes m’attendaient pour le lavement. La jeunette tenait le sac gonflé à bloc et la pharmacienne le long tuyau. Moi, je l’avais oublié, le lavement. A vrai dire, je me sentais beaucoup mieux, et il est clair que le lavement était devenu inutile. Mais, suite aux sensations étranges que je venais de vivre, je décidais de me prêter aux jeux. La pharmacienne s’approcha de moi et me dit ceci:

-Vu votre peu de résistance aux suppositoires, je pense qu’il serait plus judicieux que je vous administre le lavement directement aux toilettes. Nous avons quant même préparés deux litres d’eau, alors si nous sommes sur place, même si vous relâchez vos sphincters trop tôt, les dégâts serons limités.

J’acquiesçais d’un mouvement de la tête et fis demis tour. Les deux femmes me suivirent, mais seule la pharmacienne rentra avec moi dans les toilettes. Il est vrai que la pièce était particulièrement étroite. Après s’être déchaussée, la pharmacienne s’assit sur la cuvette et m’invita à m’allonger sur ses genoux. Pendant ce temps, l’assistante s’affaira à suspendre le lourd sac le plus haut possible, puis resta, durant toute l’opération, sur le pas de la porte. A peine installée, je sentis le tuyau rentrer, non sans douleur, dans mon rectum déjà fortement éprouvé. L’eau commença à m’envahir très rapidement, je la sentais chaude en moi. Au début, ce fût très agréable, mais quant les premières crampes si firent sentir, et que je reconnu les douleurs intestinales qu’avaient provoqués les suppositoires, je compris que j’allais en baver. En effet, ce fût dur, très dur… La pression de l’eau qui me remplissait inexorablement et ma position contraignante, rendirent la séance particulièrement insupportable. Mais malgré mes râles et mes supplies, je dû prendre les deux litres qui avaient été préparés. Et en guise de cerise sur le gâteau, arrivé à un demi litre de la fin, ma tortionnaire demanda à la petite jeune de presser le sac afin d’écourter mes souffrances, alors qu’en réalité, elle ne fit que les augmenter. La pharmacienne aurait souhaité que je garde l’eau quelques minutes, mais à peine avait-elle enlevé la petite canule de mon anus, que déjà je laissais s’échapper un petit jet d’eau clair. Sans hésiter, elle précipita son index dans mon petit trou et le garda le temps que je me lève et que je me positionne, tant bien que mal, sur la cuvette. Quant elle enleva enfin son doigt, un torrent d’eau jailli de mon cul, quel soulagement…

Quant j’eu fini, je me rendis compte que mon sexe était humide. Heureusement, les deux femmes avaient quitté la pièce. Je ne pense pas qu’elles aient eu l’occasion de s’en rendre compte, mais moi, ce fait me laissa songeuse.

Après un nettoyage vigoureux, je remis ma culotte que l’apprentie avait soigneusement mise sur une chaise. La pharmacienne me demanda comment j’allais et me dit que si le problème persistait, je pouvais revenir les voir sans autre façons. Après leur avoir serré la main en les remerciant, je pris congé. J’étais quelque peu groggy, et sur le chemin du retour, je n’ai cessé de penser à l’expérience que je venais de vivre. Le soir venu, j’ai dû reconnaître que j’avais pris un certain plaisir à prendre le thermomètre et ce lavement, et après y avoir longuement réfléchi, je décidais d’y retourner le lendemain.