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Vues: 8557 Created: 2007.09.10 Mis à jour: 2007.09.10

Souvenirs Erotiques de Suzy

Souvenirs Erotiques de Suzy

Exrait d'un livre paru en 1974

Cette bonne déculottée administrée, la servante emporta Pauline à la salle de bains où elle la doucha. Essuyée elle nous la ramena et lui passa son pyjama. Tandis qu'elle finissait d'enfiler la veste, la maman considérait le séant de la donzelle bien moulé par le pantalon. Estimant, avec raison, qu'elle méritait un supplément, elle ordonna à la soubrette de la déculotter. L'intéressée déboutonna le Pantalon, le baissa complètement et sur un signe de sa patronne,la basculant sur ses genoux, appliqua une succulente fessée sur la peau dévêtue. Aussi excellente fesseuse que sa maîtresse elle claqua délicieusement les deux rondeurs jumelles.

La fouaillée terminée, elle ouvrit le tiroir de la table de nuit et tendit un thermomètre à la servante,

- prenons-lui sa température, c'est préférable, enfonce bien le thermomètre

La bonne s'acquitta de sa tache avec zèle : seul un petit bout du thermomètre dépassait de la lune rubiconde. L'adolescente n'avait même pas protesté contre l'effraction de son petit cratère beige,

- cela vous surprend peut-être, mais elle y est habituée, elle reçoit fréquemment le thermomètre, cela aussi fait partie de la punition.

Après un dizaine de minutes, sur un signe de sa patronne, la bonne délivra le derrière de Pauline de son occupant et le lui tendis,

- bon pas de fièvre, mais je constate qu'un bon lavement s'impose,

la soubrette le prépara et la maman me proposa de l'administrer ; je n'en espérait pas tant.

Prosternée sur son lit, la donzelle, malgré ses protestations, ponctuées chaque fois par une claque sur une fesse, reçut de mes mains huit fois de suite la grosse canule d'une poire de un litre.

je prenait mon temps pour introduire le pal bien lubrifié et tout aussi lentement je pressai la poire arrachant à l'adolescente des nooon ! éplorés.

- vous vous y prenez remarquablement bien, vous avez surement une grande habitude...

Après un long moment de rétention, la jeune-fille expulsa son lavement devant nous, sur un pot de chambre.

Puis la bonne coucha la pucelle.

L'heure du goûter survenant nous regagnâmes la maison. Des brioches, de la marmelade d'orange, un thé odorant nous firent oublier pour un temps nos polissonneries, mais la dernière bouchée avalée je sautai sur mon lit.

Après quelques cabrioles je m'agenouillais, penchant le buste sur la couverture, je relevai mes jupes sur mon dos lui révélant ainsi ma lune revêtue de ma culotte « petit bateau ».

- Quel beau joufflu tu possèdes, ma petite lise.

- Tu veux le voir, dis-je fortement émue.

- Mais je le vois, ma poulette.

- Oui, mais comme l'autre fois. Tout nu. Chiche.

- Chiche, petit masque, répliqua-t-elle en riant.

Je voulus baisser mon froc.

- Laisse cela, je sais le faire aussi bien que toi. Tu sembles oublier qu'il n'y a pas longtemps je portais les mêmes.

Elle descendit le petit vêtement sur mes mollets. Je frémis en sentant l'air frais caresser ma croupe. Ma cousine la dégagea parfaitement en remontant davantage mes jupes. L'ayant ainsi bien découverte, elle passa dessus le plat de sa main.

- T'as l'air d'aimer ça les chatouilles sur le derrière. Ne t'amuses-tu pas à ce petit jeu avec tes camarades. Je me souviens lorsque j'avais ton âge avec Nicole, une élève de ma classe, nous nous dépêchions de rentrer chez elle avant le retour de ses parents. Nous nous enfermions dans sa chambre, nous nous déculottions et après avoir contemplé nos derrières, nous nous les caressions mutuellement.

- Vous en restiez là.

- Effrontée! Bien sûr que non, nous finissions toujours par une petite branlette, parfois deux. Nous nous prenions toujours la température.

Avant que je ne réalise elle écarta du pouce et de l'index gauche mes deux fesses, débusquant ma rondelle. Me demandant où elle voulait en venir, je tournai la tête. Je la vis enfoncer le doigt de son autre main dans sa bouche, l'y tourner un moment et lorsqu'elle le jugea suffisamment baveux le ressortir et l'approcher de ma pastille où elle l'introduisit lentement.

- Tu vois, dit-elle en agitant son médius dans mon rectum, Je pourrais à l'occasion te servir d'infirmière.

- A en juger par ta façon de procéder je serai drôlement soignée !

– Je sais aussi me servir d'un thermomètre, mademoiselle, mettre des suppositoires et donner des lavements.

- Vrai, tu me soignerais, mais alors tu me déshabillerais.

- Bien sûr entièrement. Je te déculotterais, je te laverais, y compris ta minette, tout et tout.

- J'aimerais bien être un peu malade.

- Petit démon, quelle idée. En tout cas si on nous observait quo penserait-on! N'as-tu pas honte de me montrer ta lune, ta grosse lune ?

- Oh non, car je sais que tu aimes à le regarder, mais n'es-tu pas honteuse d'employer un tel mot et aussi de fourrer ton doigt dans mon cul.

- Tu le sens bien ?

dit-elle en le remuant dans mon intestin.

- Vachement. Tu parles d'un suppositoire !

En riant de ma remarque elle ressortit son doigt et alla l'essuyer après son mouchoir contenu dans son sac. Pour la première fois elle n'osa pas le sucer, ce qu'elle fit par la suite. Revenant vers moi elle reluqua de nouveau ma mappemonde.

- Elle te plaisent, dis-je en les empoignant des deux mains, j'en ai une fameuse paire. Quel ballon, et de cette façon je te le présente bien.

J'entendis ma cousine ouvrir le tiroir de ma table de nuit, y farfouiller puis le refermer,

- dis-moi ma chérie, est-ce que tu veux ?

Je tournais la tête ; elle tenait dans sa main un thermomètre qu'elle secouait…

- Oh oui, oh oui, prends moi ma température, je suis toute fiévreuse !

Mon petit trou étant déjà mouillé, elle n'eut aucune difficulté à me l'enfoncer, plus loin que je ne le faisait moi-même,

- dis-moi mon poussin, tu prends ta température toute seule ou c'est ta maman qui s'en charge ?

- je me la prends, mais je me rends compte que j'aimerais bien qu'elle s'en occupe…

Elle retint le thermomètre pendant environ dix minutes tout en patinant de son autre main mes globes jumeaux, puis le retirât.

- 37°6, pas de fièvre et elle posa le thermo sur la table de nuit.

- En prenant ta température, j'ai eu tout le temps d'apercevoir aussi autre chose. Tu devines?

- Ma fente ?

- Oui. Couche-toi sur le dos que j'examine tes parties sexuelles.

Je m'exécutai non sans écarter largement les cuisses. Ma cousine remontant mes jupes au-dessus de mon nombril considéra ma barquette de la mine alléchée d'une gourmande en présence de son gâteau favori. Pour mieux lui offrir, je tendis mon ventre en creusant mes reins ; elle glissa dessous un des gros coussins ornant mon lit-divan ; de cette façon elle pouvait me lorgner tout à son aise.

J'acceptai. Elle sortit mon vase de nuit et l'approcha de ma fontaine. Sans plus attendre je me soulageai. Retirant l'ustensile à demi empli, elle me nettoya la figue.

Je me redressai et m'assis au bord du lit. Annie après avoir vidé mon pot, enfila sa culotte.

- A propos de pisse, tu sais ce qui m'est arrivé cette nuit ?

- Non,

répliquai-je.

- Eh bien, je rêvais que je me promenais dans les bois tenaillée par un besoin pressant, repérant un coin isolé je m'y accroupissais pour faire pipi et je me réveillais baignant dans mon Jus, ma chemise de nuit trempée.

- Oh ! la sale, tu aurais mérité la fessée.

- Et comment ! Hélas, personne n'était là pour me la donner.

En réalité elle avait imaginé cela pour connaître mes réactions ; celles-ci l'édifièrent. Me penchant vivement vers elle, j'administrai quelques tapes sur sa croupe ; pour se soustraire à mes coups, elle rentra les fesses et comme je persistai elle avança de deux ou trois pas. Je la suivis. Elle marcha encore en tournant la tête de mon côté, de ce fait elle ne vit pas le lit où elle s'écroula, le ventre sur la couverture et les genoux sur le tapis.

- Eh bien, m'écriai-je, te voilà en bonne position, j'ai bien envie de te fesser, d'autant que tu me présente parfaitement ton arrière-train.

- Oh non,

implora-t-elle en essayant de protéger de sa main son gros derrière gonflant sa robe à la craquer.

Je saisis son poignet et le repoussai Sur ses reins.

- Tiens, cousinette, pour te punir de tes saletés. Prends celles-ci, et celle-la … et encore cette autre … tiens sur ta lune dodue.,. pan … pan … pan …

Accompagnant mes paroles, comme un écho ma main faisait clac, clac, clac … La fessée ne dura pas cinq minutes, je n'avais pas osé trousser ma victime mais vu la minceur de sa toilette je sentis distinctement l'élasticité de son popotin.

Je riais nerveusement ; ma cousine aussi au point de lâcher quelques gouttes de pisse dans son froc ; pour lui éviter une inondation complète de sa lingerie, je lui permis de se rendre aux cabinets qu'elle gagna en serrant les cuisses.

Là elle se hâta de chevaucher la cuvette, de relever ses robes et, pour se soulager plus vite se contenta de tirer sur l'entrejambe de sa culotte,

- ça va mieux ! Je ne pensais pas que tu avais la main aussi leste et aussi lourde,

dit-elle en s'essuyant la chatte.

Revenues dans ma chambre,

- cousinette, j'ai autre chose à te rendre : étend-toi sur le lit, tournée sur le coté.

Je me rendis dans la salle de bain pour chercher un thermomètre propre et revint en le secouant,

- après cette fessée, je suis bien obligée de te prendre ta température.

Je relevais sa robe et baissais sa culotte à mi-cuisse et après avoir sucé le tube de verre, je l'enfilait dans le petit trou de ma cousine aussi loin que possible ; elle ne protesta que lorsque les trois quarts du thermomètre eurent disparu dans la grosse lune,

- aieee pas si loin, j'ai pas l'habitude.

Je maintins le thermomètre dix minutes avant de le lui ôter,

- 37°9 héhé, tu es un peu chaude….

Après avoir nettoyé et rangés les instruments, nous parlâmes fessée en commentant les photos prêtées la semaine passée jusqu'à l'arrivée de mes parents. Vers dix heures et demie ma cousine nous quitta, ma mère désirant se coucher. Quant à moi j'avais autant envie de dormir que de me foutre à l'eau. J'éteignis la lumière, me déshabillai, enfilai mon pyjama et me postai derrière ma fenêtre espérant surprendre ma jeune voisine.

Je vous ai dit que je plongeai chez elle, en réalité elle habitait tout comme nous un pavillon mais il ne comportait qu'un étage au lieu de deux comme le nôtre et compte tenu de notre région accidentée se trouvait construit en contre-bas par rapport à nous. Ne voyant pas de lumière briller je repensais à notre après-midi, je me revoyais donner la fessée a ma cousine, mes doigts se rappelaient de la rondeur de son joufflu deviné sous la soie légère. J'en étais là de mes réflexions lorsque la lumière brilla dans la chambre de la gamine. Elle entra accompagnée de sa mère. Celle-ci, une femme d'une trentaine d'années, à la chevelure brune, portait un déshabillé vaporeux de nuance rose pâle.

La gosse semblait penaude. La voix de la maman m'arrivant par la croisée grande ouverte m'expliqua la raison de son attitude.

- Ainsi tu as encore attrapé un zéro en conduite et non contente de cet exploit tu voulais me le cacher. Sans l'obligeance de Madame Poux j'ignorais tout, jusqu'à la présentation de ton carnet. Tu peux les serrer, ma chère, tu vas en prendre une soignée.

- Non, maman, je t'en prie, je serai sage désormais et, s'il te plaît, ne crie pas si fort tout le monde entend tes reproches.

- Tu veux peut-être me dicter ma conduite ? Non mais ! Ce sont les rôles renversés. Qui peut nous entendre ? Nos voisins. Ils dorment ! Et même s'ils surprenaient nos propos tu n'aurais qu'à t'en prendre à toi-même. Assez de comédie, déshabille-toi et vite.

Subjuguée par ce ton ,autoritaire la môme obéit. Elle se dépouilla de ses effets et enfila son pyjama. La mère retira son déshabillé, dessous elle portait une chemise de nuit ne descendant pas plus bas que la moitié des cuisses et fort transparente ainsi que je m'en aperçus lorsqu'elle se plaça devant la lampe de chevet. Pour mieux détailler la fillette j'avais préparé mes jumelles, aussi les bra1uai-je sur la scène. Je découvris de cette façon sous le nylon diaphane le haut des jambes de la voisine et à l'endroit de son pubis une ombre foncée témoignant de la luxuriance de sa toison.

- Arrive ici,

ordonna-t-elle à sa fille.

L'autre s'approcha. La saisissant sous son bras, elle la plia contre sa hanche. Je vis le fessier gonfler le fond du pantalon. La belle jeune femme le contempla quelques instants puis souriant méchamment leva Son bras.

La main s'abattit durement sur le postérieur rebondi, puis une fois lancée, recommença l'opération durant vingt minutes. Décidément cette journée était placée sous le signe de la fessée.

Grâce à mes jumelles je ne perdis rien du spectacle ; je vis le verso de la môme se tortiller sous les gifles sonores, ses jambes s'agiter follement et la correctrice se démener. Ses violents mouvements avaient pour effet d'agiter sa courte chemise de nuit et j'espérais qu'un geste plus impétueux ne la relève, me découvrant son mystère.

Enfin la punition cessa, du moins je le crus, car à peine avait-elle administré le dernier soufflet que la fesseuse empoigna sa victime et la fourra entre ses jambes tournées vers moi. Pour avoir plus de liberté d'action elle roula son léger voile autour de sa taille démasquant la partie la plus intéressante de son anatomie : son ventre renflé à la base ornée d'une végétation envahissante d'un noir de jais où je distinguai l'amorce de sa fente sexuelle. Serrant sa fille dans l'étau de ses cuisses, elle la déculotta en déboutonnant le pantalon retenu aux hanches. Elle baissa ensuite le pan arrière dégageant le fessier lequel s'étalait sous ses yeux revêtu d'une somptueuse couche de rouge foncé.

Pour fesser elle se pencha, l'échancrure de sa chemise bâilla me révélant la naissance de sa gorge. De nouveau elle fessa, elle fessa longuement, elle fessa sévèrement, elle fessa durement la môme qui folle de rage et de douleur poussait d'horribles cris.

Emue par cette vision je me branlai sans retenue.

Une dernière fois je vis la main claquer la gosse callipyge aux fesses maintenant cramoisies. Sans remonter le pyjama, la maman déposa sa fille sur le ventre, ouvrit la table de nuit d'où elle sortit un étui contenant un thermomètre,

- comme tu n'est pas raisonnable, à partir de ce soir, je t'interdis de prendre toi-même ta température et, pour bien faire entrer ça dans ta petite tête, tu va recevoir le thermomètre sur le champ.

Les sanglots de la gamine redoublèrent, mais elle n'opposa aucune résistance à l'effraction de son orifice secret ; sa mère opéra avec douceur, mais fit pénétrer très profondément le tube de verre, provoquant un sursaut de la fillette;

- Là ! reste tranquille, il est bien enfoncé. Pendant une semaine au moins, je prendrais ta température matin et soir ; attends-moi avant de te lever demain.

Dix minutes plus tard elle ôta l'instrument médical, le consulta sans commentaire.

La maman remonta la culotte, coucha son enfant, la borda dans son lit, mais elle n'avait pas jugé utile de rabaisser sa chemise pour cela, aussi m'exposa-t-elle sa croupe affriolante d'un volume sensationnel. Ecrasée de chagrin la fillette s'endormit. La mère sans éteindre la lumière passa sur le balcon, elle huma l'air chaud de la nuit, s'étira et brusquement ôta sa chemise qu'elle posa sur la barre d'appui. Toute nue elle se caressa voluptueusement, surtout ses grosse fesses qu'elle tenta d'apercevoir par-dessus son épaule, grisée par leur rondeur ou par le souvenir de la fessée, elle ouvrit ses Jambes et fougueusement se masturba. Je me proposais d'assister au maximun de ces séances.