Anonyme


Vues: 7346 Created: 2007.08.28 Mis à jour: 2007.08.28

Les delices du thermometre

Les delices du thermometre

Je suis âgée de vingt-trois ans, aide soignante.

Depuis toujours, j’adore ce qui est médical. Quand je masturbe mon clitoris, j’imagine souvent qu’un bel infirmier me fait une piqûre dans les fesses, tout en pratiquant des attouchements sournois sur différentes parties sexuelles.

Après il m’écarte les cuisses bien largement par derrière et fourre sa queue dans mon vagin.

J’aime bien la bonne baise, mais mon plus grand fantasme médical, celui dont je raffole, c’est l’introduction du thermomètre dans le derrière d'une fille.

Je ne saurais dire combien d’anus j’ai transpercé avec ce gentil instrument, ni combien de fois le mien s’en est pris.

Dans mon adolescence, je mouillais beaucoup en regardant dans un miroir, la petite queue de verre se planter entre mes fesses.

Dès qu’une occasion se présente, j’essaie d’en tirer parti.

A Pâques, j’ai rendu visite à ma cousine Carine, une jolie brunette aux belles rondeurs, qui avait des maux de gorge et m’avait demandé s’il me restait des médicaments.

En y allant je lui ai avoué que j’avais moi aussi mal à la gorge.

Nous sommes très proches l’une de l’autre ; je n’ai donc eu aucune honte à lui demander si elle faisait de la température et à lui dire qu’il serait bien de vérifier cela ; ce n'était d'ailleurs pas la première fois.

Arrivées dans sa chambre, je prends donc le thermomètre, le secoue et vérifie que c’est OK.

Retroussant sa jupe et descendant son mignon string de coton noir, elle me présente un cul large, superbe, d’un blanc satiné et bien galbé.

Déjà, nous étions bien mouillées toutes les deux ; mon excitation était à son comble.

En promenant la petite pointe de verre dans sa raie, je la maintenais en appuyant vicieusement une main sur le bas de ses jolies fesses.

La pointe s’immobilisa enfin sur son beau trou plissé, cerclé de beige, orné d’un fin duvet brun et sin tendrement offert.

J’appuyais sur le thermomètre ; celui-ci rentra de moitié dans son joli popotin, lui arrachant de mots excitant comme : « oh, je le sens bien, continue à le remuer, c’est bon ! ».

Au bout de dix minutes, un orgasme la foudroyait.

Quelques instant plus tard, c’est dans mon petit trou de balle que s’enfonçait le thermomètre.

Ca fait du bien, c’est agréable d’être pénétrée par cet instrument merveilleux.

Voilà trois semaines environ, alors que je nettoyais des thermomètres dans la salle de soins de l’hôpital où je travaille, je vis entrer un infirmier, un grand brun plutôt bel homme.

Nous nous sommes donc retrouvés seuls tous les deux, la porte fermée derrière lui.

Cela faisait un certain temps que nous échangions des regards entendus à la moindre occasion.

Je devinais en lui un sacré vicieux et pour lui c’était certainement la même chose.

Je lui ai demandé s’il voudrait bien prendre ma température, car soi-disant, je ne me sentais pas très bien et j’étais même trop faible pour le faire moi-même…

Il ne s’est pas fait prier deux fois ; m’allongeant à plat ventre sur une table d’examen, je lui ai présenté mon beau cul, les cuisses relevées et la raie bien en évidence.

En deux poussées, la petite queue de verre se ficha en entier dans mon fondement, m’arrachant des gémissements de bonheur.

Me mettant alors sur le dos, mon charmant infirmier sortit alors un autre thermomètre, il m’écarta les cuisses le plus possible et vin s’allonger sur moi.

Après une série de baisers passionnés, sur la bouche et sur mes seins érigés, je sentis sa queue qui se frayait un passage dans ma raie, à la recherche de l’anus.

C’est ainsi que je fus bel et bien enculée par devant ; il me l’a rentrée jusqu’au couilles.

J’ai fermé les yeux pour goûter la délicieuse sensation de la pine dans mon fondement ; c’était très bon ; il la sortait presque en en entier puis me la rentrait jusqu’aux poils.

Je savourais chaque mouvement de sa belle queue, lui ceinturant les reins avec mes bras et mes jambes qui tremblaient convulsivement…

Quand je revins de mon nuage, j’aperçus une aide soignante intérimaire mignonette qui nous observait depuis la porte entrouverte.

Elle tenta de s'éclipser quand elle vit que je l’avais vue… J’avais peur qu’elle nous dénonce, Je la rattrape et ferme la porte.

- alors ça t'a plu ce que tu a vu ?

- Je vous en supplie, j'ai rien vu, laissez moi partir !

Je renvoyais l'infirmier à ses occupations et pris la jeune stagiaire contre moi pour la rassurer,

- allons, calme-toi, je ne te veux aucun mal, mais dis moi ce que tu a vu,

- j'ai vu l'infirmier vous prendre la température, je ne savais pas que des grandes personnes pouvaient se faire mettre le thermomètre dans le derrière, c'est bon pour les petites filles.

- Tu te trompe ma jolie, on me prends toujours la température entre les fesses et j'adore ça ; j'adore aussi la prendre à des jolies filles comme toi, quel âge as-tu ?

- 18 ans et demi madame,

- appelle-moi Laura et toi ?

- Audrey

- ma petite Audrey, pour te montrer que c'est très agréable de recevoir un thermomètre dans son petit trou, je me propose de te prendre ta température ; allonge-toi sur cette table et tourne-toi sur le coté ; ça fait combien de temps qu'on ne t'a pas mis un thermomètre dans ton joli petit derrière ?

- j'avais dix ans et j'ai horreur de ça.

Pourtant elle se dispose comme je le lui demande ; je nettoie le thermomètre et le prends longuement en bouche pour le lubrifier.

Je relève la blouse rose sous laquelle elle porte une sage culotte blanche de fillette que je baisse à mi-cuisses ; je suce mon doigt pour l'enduire de salive, de deux doigts j'incite les deux hémisphères de la belle lune à se séparer, dévoilant un petit anus brun-rose, je pose mon doigt sur le cratère striée,

- ho non c'est sale arrêtez !

- mais non ma chérie, il joli ton petit trou et il est tout propre, je le mouille pour que le thermomètre glisse facilement et que ce ne soit pas désagréable pour toi.

Je saisis le thermomètre, pose le bout sur la rondelle fripée et fais pénétrer lentement l'instrument médical que l'orifice complètement détendu absorbe sur environ la moitié de sa longueur,

- hoooo noooon !

Mais la protestation manque de conviction ; encore une qui va se convertir au thermomètre anal.

Je maintien le tube de verre environ 2 minutes puis le retire à moitié, le renfonce amorçant une masturbation du petit trou,

- nooon je vous en supplie arrêtez !

Je glisse un doigt indiscret entre les deux cuisses qui se laissent séparer,

- allons ma petite chérie, ton petit abricot est tout humide, tu est en train de prendre goût au thermomètre.

Elle se met à pleurer doucement tandis que je continue à lui pistonner le fondement pendant 5 longues minutes après quoi je retire le thermomètre qui s'est enfoncé au trois quart : pas de fièvre.

Je relève la jeune fille, la reculotte et la câline.

- Alors tu a aimé ?

- Oui Laura, je ne pourrai plus m'en passer

- Il te reste combien de temps ici

- 15 jours

- je veux te voir ici tous les deux jours au moins, quand tu a un peu de temps, je te prendrais ta température ; dis-moi, tu a déjà pris la température de quelqu'un ?

- non jamais, je ne fais pas encore ce genre de soins.

Je n'ai pas l'intention de me laisser mettre le thermomètre par elle, je veux garder mon ascendant.

- Suis-moi, il y a ici un adolescente qui adore ça ; elle est toujours à se plaindre qu'elle se sent mal, qu'elle est fatiguée, je ne me lasse pas de lui prendre sa température ; elle a d'ailleurs un adorable petit derrière, tu va en profiter.

Sylvie, une adolescente de 19 ans est hospitalisée pour une fracture de l'humérus avec complications. La première fois que je lui ai pris la température, j'ai offert le choix, elle s'est exclamée,

- dans le derrière évidemment !

La température, c'est deux fois par jour, mais bien vite je suis venue 3, 4 fois lui transpercer sa petite rondelle, elle le voulait toujours plus loin, plus longtemps…

- Bonjours Sylvie, je te présente Audrey une stagiaire, c'est elle que je charge désormais de te prendre la température.

Sylvie s'est tournée sur le coté pour nous offrir son derrière ; Audrey a relevé la chemise de nuit, écarté de deux doigts les jolies globes jumeaux pour dénicher un œillet rose et palpitant ; le thermomètre bien lubrifié s'est enfoncé doucement sur la moitié de sa longueur.

Au bout d'une minute, je conseille à la stagiaire,

- tu sais, elle à l'habitude de le prendre plus loin.

Le tube de verre glisse, poussé par un doigt, jusqu'à ce que Sylvie sursaute ; il ne dépasse plus qu'un centimètre de l'instrument médical ; je ne lui ai jamais enfoncé si profondément…

Lorsque nous sortons de la chambre, je sens Audrey profondément bouleversée par ce qu'il vient de se passer.

- sans abuser, tu peux revenir 4 ou 5 fois par jour Sylvie n'attends que ça, peut-être que vous deviendrez amies…

En fait la jeune fille est venue presque tout les jours se faire perforer la rondelle par mon thermomètre que j'ai fini par rentrer presque en entier dans sa pâquerette.

Trois jours après que j'ai présenté Audrey à Sylvie, je me rends dans la chambre ou je les trouve toutes les deux, mais c'est Audrey qui est sur le lit, ouvrant ses fesses à deux mains et Sylvie lui prends sa température avec sa main valide,

J'ai également emmené l'adolescente chez ma cousine pour un week-end ; Carine à tout de suite flashé sur elle et le soir, elle l'a trouvée fatiguée, l'a envoyée se coucher, puis l'a rejointe dans la chambre un peu plus tard en m'entraînant derrière elle,

- je pense qu'il est nécessaire de nous assurer que tu n'a pas de fièvre tourne-toi sur le côté ;

Audrey rougit un peu mais se dispose comme on lui demande.

Du tiroir de la table de nuit elle sort un thermomètre qu'elle lubrifie avec sa bouche, repousse les couvertures, descend la culotte de pyjama de la jeune-fille qui soulève un peu ses jolies fesses.

Avec son doigt, Carine mouille l'anneau culier, puis y présente le bout du thermomètre qu'elle fait pénétrer doucement, puis poursuivant son geste elle enfonce doucement la tige de verre jusqu'à une crispation de l'anus : elle laisse le thermomètre planté au ¾ et se recule pour contempler la scène,

- tu le garde 10 minutes ;

le thermomètre ayant tendance à ressortir, 3 ou 4 fois, ma cousine se rapproche du lit, le retire un peu pour lire la température et le replante aussi profondément.

Au bout des dix minutes, Carine extrait le thermomètre d'entre les jolis globes très lentement ;

- 38°1, dors bien et demain matin ne te lèves pas avant que nous soyons venues contrôler ta température.

Je m'attarde un peu auprès d'Audrey, lui remontes son pyjama en passant ma main entres ses cuisses pour vérifier l'état de sa minette qui est toute humide.

- Alors ça t'a plu ?

- ho oui c'était très doux

- demain matin, on y passera toutes les trois

- rhooo !......