J’ai vanté dans plusieurs lettres les plaisirs du thermomètre qui m’apporte toujours autant de jouissance.

Ma petite amie, Juliette, rencontrée l’été dernier est tombée à pic pour combler nos vides en commun.

Tout d’abord, petite, blonde, assez bien faite, elle à de belles rondeurs comme je les aime .

Elle ne peut pas prendre la pilule qui ne lui réussit pas, ni supporter un stérilet qui lui provoque des infections.

Pour ne pas se faire mettre enceinte, elle a donc recours à la méthode des températures, chose qu’elle pratique depuis l’age de dix-sept ans.

Elle m'a avoué que de toute façons, jusques là, sa mère lui prenait elle-même sa température régulièrement et quand elle était malade

Le thermomètre, elle l’adore surtout qu’elle est fragile et sensible de l’anus.

Moi qui raffole aussi de cet instrument, je ne vous dis pas ce que prennent nos deux rondelles pour leur plus grand plaisir.

Mon amie mouille dès que la pointe la pénètre, quant à moi, je me retrouve avec une sacrée barre de fer.

Chacun fait jouir l’autre.

J’aime l’entendre, étendue sur le ventre, me dire en creusant ses reins :

« vas-y plante-le moi dans le cul ! » sitôt après, elle râle de plaisir à mesure que l’appareil s’enfonce en elle, jusqu'à être introduit jusqu'à la moitié de la tige dans son cratère brun, ou il reste parfois pendant un bon quart d’heure.

Mais voilà que nous avons décidé de tenter une expérience et d’avoir un enfant.

Nous faisons une trêve et je lui prends sa température chaque matin.

Pas de baise jusqu'à l’ovulation ; au bout du douzième jour, en libérant sa rondelle, je lui dis que son ovulation est en cours.

Et les autres matins, sitôt enlevé le thermomètre, je m’allonge sur elle et enfonce les dix-huit centimètres de ma queue au plus profond de son ventre.

Elle m’enserre les jambes, me ceinture les reins et me dit : « vas-y, inonde-moi ! »

Cela a duré plusieurs jours ainsi et j’ai parfois éjaculé deux fois sans me retirer.

Maintenant mon amie est enceinte ; je surveille quotidiennement sa température à 5 heures environ ; je rentre le thermomètre de plus en plus profondément et je cherche maintenant à me procurer un thermomètre plus gros et plus long. Elle est heureuse et trouve que le thermomètre et la bite sont deux choses qui procurent vraiment de super plaisirs.

L'autre jour, j'étais en train de prendre sa température à Juliette lorsque la sonnette retentis ; je laisse mon amie le thermomètre entre les fesses pour aller ouvrir : c'est sa maman,

- entrez Christianne,

- Juliette n'est pas là

- mais si, elle est dans sa chambre, je suis en train de prendre sa température

- à la bonne heure, je constate qu'elle ne perdra pas ses bonnes habitudes ; vous savez, j'ai toujours veillé soigneusement sur sa santé et elle à régulièrement reçu le thermomètre depuis toute petite ; d'ailleurs je sais pertinemment qu'elle adore ça.

Elle se dirige vers la chambre pour embrasser sa fille et ne peut s'empêcher au passage de retirer un peu le thermomètre pour lire la température,

- Oh non maman…

- allons soit sage, tu es toujours ma petite fille.

Nous restons 20 minutes au coté de Juliette et c'est sa mère qui lui ôte le thermomètre qui présente quelques traces,

- quand ceci arrivait, je lui donnais un lavement,

je n'ai pas ce qu'il faut, mais j'y penserais, c'est une bonne idée.