Anonyme


Vues: 15638 Created: 2007.10.25 Mis à jour: 2007.10.25

Ma perverse infirmière

Ma perverse infirmière

« elle m'a examinée à fond »

Plusieurs lettres ont relaté dans vos derniers numéros des « expériences médicales » et m’ont, je dois me reconnaître assez émoustillée.

J'ai dix-huit ans et voici quelques mois, j'ai eu quelques problèmes de femmes. Je me suis confiée à ma mère qui en a parlé à madame D…, l'une de ses amies infirmière, qui lui a dit que je pouvais passer la voir un mercredi pour parler tout cela.

Quand je suis arrivée, elle faisait du repassage. Elle a cessé son travail et m'a reçue dans le séjour où nous avons causé. Elle semblait mettre le doigt sur tous ce qui n'allait pas bien :

les petites douleurs abdominales, mes problèmes de règles et de seins. Elle m'a dit,

- je peux si tu le veux, voir cela d'un peu plus près ; sans être médecin, mes trente années de pratique m'ont apporté pas mal de connaissances dans de nombreux domaines.

J'ai répondu un peu rougissante :

- oui si vous croyez pouvoir m'aider un peu.

Elle m'a souri et m'a entraîné a l’ étage ; elle m'a fait pénétrer dans une salle de bains, un peu sombre, où il y avait une table un peu comme chez le médecin.

- déshabille-toi, veux-tu ?

elle a enfilé une blouse amidonnée et a fixé deux étriers au bout de la table. Quand elle eut fini, j'étais en petite tenue.

- enlève ta culotte et ton soutien-gorge ; tu n'as pas peur ? nous sommes entre femmes et je suis ton amie…

Je me suis exécutée et me suis donc retrouvée toute nue devant cette dame qui avait l’âge de ma mère. Elle a ouvert une vitrine où reposait un tas d'ustensiles : des flacons, des poires en caoutchouc, des thermomètres, des petits tuyaux, des seringues, des trucs en métal. Elle en a pris un :

- tu vois, ceci est un spéculum ; c'est un appareil dont on se sert pour examiner une femme, on ne t’a jamais fait ça ,

- non.

- tu verras, ça me fait pas mal ; allonge-toi et mets tes pieds dans les étriers.

J'ai senti l'objet entrer dans mon vagin ; c'était un peu froid ; puis il s'est écarté en moi.

- tu vois c'est en place ; tu as une chatoune adorable et ton utérus est tout à fait bien. Tu sécrètes un peu, mais c'est normal.

Elle a retiré l'objet et mon vagin s’est refermé. Elle a pris ensuite un gant et à mis deux doigts au plus profond en insistant :

- voilà, tu as eu ton premier examen de femme ; je vais vois un peu tes seins et ton ventre. En me palpant le ventre, elle m'a trouvée ballonnée et m'a fait toucher rectal. Puis, malgré mes protestations, que maman ne me le faisait plus depuis mes 12 ans, elle m'a pris la température avec un thermomètre enfoncé profondément dans mon derrière, puis m'a fait un lavement à l’aide d'une poire ; elle s'y est reprise à deux fois et j'ai dû, après cinq minutes, évacuer en face d'elle, sur la table. J'étais morte de honte ; elle a terminé par une toilette locale minutieuse et elle m'a dit qu'elle voulait me revoir le mercredi suivant.

- Voici une lettre pour ta mère, tu suivra bien tout ce qu'elle t'indiquera.

Arrivée à la maison, maman à lu la lettre de son amie et me l'a tendue,

Chère Françoise,

je revois ta fille la semaine prochaine ; prends-lui sa température rectale trois fois par jour, le matin avant le lever, l'après-midi à 5 heures et 1 heure après le coucher, qu'elle garde le thermomètre dix minutes au moins ; si elle ne se rends pas à la selle une fois par jour, le soir au lit, après le thermomètre, un suppositoire de glycérine et le matin après le thermomètre si le suppo n'a pas fait effet, un petit lavement à la poire ; bien entendu, tu note la température ;

- mais maman, je suis assez grande pour le faire toute seule,

- ma petite chérie, je serais ravie de m'occuper de toi, d'ailleurs je me souviens que quand tu était petite tu aimais bien que je te soigne, je crois même que parfois tu simulais pour que je te prenne ta température.

Toute émue, je me suis jetée dans ses bras, émoustillée par la semaine qui se profilait.

Les prescriptions de Mme D commencèrent le lendemain matin ; à 7 heures ½ maman entre dans ma chambre, ouvre à moitié les rideaux,

- il est l'heure de la température, ma chérie, tournes-toi sur le coté ;

elle me découvre et baisse mon pyjama sous mes fesses ; de deux doigts elle sépare mes hémisphère et avec son doigt mouillé de salive elle lubrifie mon œillet, puis y présente le thermomètre qu'elle m'enfile doucement et assez profondément.

Je retrouve mes émotions de petite fille et je me rends compte tout à coup que l'instrument que j'ai entre les fesses est en verre, alors que celui de la maison est électronique ;

- maman, c'est quoi ce thermomètre ?

- c'est le mien, je n'ai pas pu m'habituer aux autres alors Mme D m'en a procuré un très ancien ; je le trouve bien plus agréable à recevoir ; tu vois, moi aussi j'aime bien prendre ma température dans le derrière ou mieux, me la faire prendre par ton père.

Au bout de 5 minutes, le thermomètre se retire et maman me le montre : il est vert clair et un peu plus gros que ceux de mon enfance.

- 36°5 c'est parfait.

Le soir à 5 heures, alors que je suis dans la salle de séjour, à regarder la télévision maman arrive, thermomètre à la main,

- c'est l'heure de la température !

Malgré mes protestations du risque d'être vue, elle me fait allonger sur le canapé, relève ma courte robe, baisse ma culotte à mi-cuisses et glisse doucement le tube de verre dans ma rosace encore plus loin que le matin, sans me faire mal ; elle me laisse dans cette position pour aller faire autre chose, puis reviens dix minutes plus tard pour retirer le thermomètre ; comme je ne suis pas allée au wc de la journée, j'ai droit au suppositoire, que son doigt pousse tout au fond…

Bien entendu, ce qui devait arriver… Un soir alors que je me trouvais allongée sur le canapé, thermomètre entre les fesses, mon amie Véronique, qui a 17 ans est entrée comme d'habitude et s'est figée en contemplant le spectacle ; je m'en suis rendu compte quand elle m'a parlé

- Tu prends encore ta température dans le derrière ?

- c'est pas moi, c'est maman, sur la demande de la doctoresse…

- elle l'a drôlement enfoncé

Elle s'assied à mon côté, dégage un peu le thermomètre, annonce 37°6 et le remet en place

- tu sais, la mienne n'a jamais cessé ; c'est toujours elle qui me prends ma température, par contre, elle utilise un thermomètre électronique.

Maman reviens dans la pièce,

- bonjour Véronique, tu peux constater que ton amie reçoit toujours le thermomètre dans son petit derrière, et toi

- moi aussi, mais c'est un électronique, je me souviens plus la dernière fois qu'elle à utilisé un thermomètre en verre.

- tu voudrais essayer ?

- vous voudrez bien me prendre ma température ?

- je me souviens te l'avoir déjà prise il y a plusieurs années, nous t'avions emmenée en vacances avec nous.

- c'est vrai je m'en souviens, vous l'aviez prise à Sylvie en même temps.

Maman me retire le thermomètre, il indique 37°2 et m'envoie le nettoyer ; quand je reviens, Véronique est à plat-ventre sur les genoux de maman,jupe relevée, culotte baissée à mi-cuisse et maman lui mouille son petit trou, ce qui la fait se tortiller.

Elle me fait signe d'opérer sur mon amie, en ouvrant à deux main les deux collines ; je pousse doucement le tube de verre entre les fesses offertes et je ne stoppe que quand Véronique sursaute puis se rends compte que c'est moi qui tiens le thermomètre ;

- vous savez, ce n'est pas la première fois que Sylvie me prends ma température et réciproquement ; depuis les vacances dont vous avez parlé, nous avons joué à ce petit jeu de temps en temps jusque vers 13-14 ans.

- je m'en était rendu compte, petites coquines, mais mois aussi j'ai joué à ça !

J'y suis retournée plusieurs semaine de suite : elle me donnait des soins vaginaux et souvent un lavement. Chaque fois elle me prenait la température ; les positions étaient moins sages que la première fois : j'ai dû me pencher sur une table, me mettre à quatre pattes. Elle me douchait parfois l'entrejambe avec la pomme de douche. Une fois, elle m'a sondée. La troisième semaine, elle m’a fait l'amour et une fois, elle a invité une autre de ses amies infirmière : je fus un véritable objet livré à toutes leurs expériences vicieuses : lavement, température, spéculum, anuscope, me faisant pisser, chier et…. Jouir.

Cela a duré ces trois derniers mois et j'ai décidé de moi-même de n’y plus retourner. J'ai eu peur que cet engrenage ne puisse plus finir, surtout que maman se charge régulièrement de vérifier ma température, m'administre des lavements si nécessaire et que nous avons Véronique et moi renoué avec le jeu du "docteur" de notre enfance... Par contre, j'ai envie de faire des études infirmière.

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n/a Il ya 13 ans