Anonyme


Vues: 5872 Created: 2007.08.26 Mis à jour: 2007.08.26

Mon Initiation

Mon Initiation

J’avais pris de plus en plus l’habitude, dans les mois qui suivirent, de revêtir la parure de lingerie, composée d’un coordonné culotte, soutien-gorge et porte jarretelles, auquel j’accrochais des bas de voile et dentelle. Je me sentais complètement différente dans cette tenue, les sens en émoi et à fleur de peau ; et je me surprenais à m’admirer ainsi parée, dans un miroir, lorsque je m’habillais dans l’intimité de ma chambre.

Comme j’avais acquis une totale confiance dans le savoir faire et l’intérêt que me portait Solange lors de mes visites régulières, c’est tout naturellement vêtue de cette tenue, que je me rendis chez elle pour les examens qui suivirent. Elle parut enchantée de me voir ainsi , et le manifesta, par ses paroles et en me faisant tournoyer devant elle, pendant un long moment, où je me sentis comme une poupée entre ses mains.

Le rituel pour les visites hebdomadaires était bien établi désormais, mais à l’occasion des séances successives, de nouveaux petits faits vinrent s’ajouter à ses méthodes que j’acceptais docilement sans me poser de question. Après sa succession de questions, elle me faisait étendre sur la table d’examen, ne me faisant garder que mes dessous et mes bas qu’elle ne m’ôtait jamais. Puis elle dégrafait mon soutien-gorge, et me palpait les seins pendant une éternité , tour à tour les pressant, les serrant , les malaxant, pour finir par en pincer délicatement les bouts, avec deux doigts experts. Ce premier examen , immuable, me laissait absolument troublée et abandonnée, prête à subir tous les examens qu’elle désirait pratiquer sur moi. Elle palpait ensuite longuement avec une douceur teintée de précision, tout mon ventre et mes côtés, provoquant malgré moi, des contorsions de mon bassin.

Puis ses deux mains faisaient glisser ma culotte, sur mes jambes, provoquant au contact de mes cuisses gainées de nylon, un crissement qui générait instantanément des frissons de plaisir sur tout mon corps. Elle installait comme d’habitude mes pieds dans les étriers ; faisait glisser l’envers de son index sur toute la hauteur de mes lèvres intimes , accélérant ainsi l’humidification de ma vulve, déjà bien entamée par ses examens préliminaires. A partir de cet instant, tous mes organes sexuels étaient en émoi, et je ressentais des pulsations irrépressibles et terriblement agréables s’exercer, sans la moindre volonté de ma part.

Puis un jour, ma délicieuse infirmière décida qu’elle allait pratiquer le prélèvement d’urine auquel je devais me conformer, à cet instant là de l’examen, alors que j’étais déjà installée les cuisses écartées sur la table d’examen. Elle se munit donc d’une bassine destinée à recueillir mon urine, et m’écartant encore davantage les lèvres, elle positionna ce récipient de telle sorte que je n’avais plus qu’à m’exécuter sous ses yeux. La première fois où elle me demanda ceci, je fus bloquée par l’ambiguïté outrancière de sa requête. Mais à force de me rassurer sur la légitimité de celle-ci, ajoutée à de multiples caresses et pressions qu’elle exerçait sur mon bas-ventre, je finis par m’abandonner à sa volonté et je laissai couler, non sans plaisir, le liquide chaud dans la cuvette qu’elle me tendait. Je ne saurais décrire les sensations exactes que je ressentais lors de ces instants ; mais je pense qu’il s’agissait d’un mélange de régression enfantine bienfaisante, et d’une découverte extraordinaire et aiguë d’un aspect de ma sensualité , que je ne renie en aucune manière. Je laissais longuement parfois gicler, parfois couler le jet chaud , qui faisait un bruit caractéristique lorsqu’il touchait le récipient métallique. Dans un état second, je gémissais de plaisir et de honte mélangée, tout au long de ce déversement, que mon infirmière scrutait du regard, et parfois même accompagnait en laissant ses doigts se faire inonder sous la cascade chaude de ma liqueur intime.

Une fois, totalement vidée de mes sécrétions, Solange entreprenait sur moi, un massage vulvaire , qu’elle avait décrété indispensable , quand aux effets médicamenteux que je pouvais subir. Je m’abandonnais volontiers à ses doigts experts, car elle avait une habileté et un savoir faire prodigieux, qui me transportaient dans un monde idéal et uniquement sensitif. Parfois, mes muscles intimes se contractaient tout autour de ses doigts, et je sentais un liquide intime davantage venir mouiller ses mains, sans que je discerne s’il s’agissait d’un flot d’urine encore retenu ou de mes liqueurs intimes , provoquées par son action bienfaisante. Lorsqu’elle me sentait totalement apaisée, Solange élargissait ses pressions manuelles sur mes cuisses , qu’elle pétrissait semble t il avec un plaisir non dissimulé.

Puis un jour, après avoir ainsi procédé, elle déclara qu’elle avait négligé de vérifier ma température, alors que c’était un élément indispensable, d’une surveillance sérieuse , pour le mal dont je souffrais. Elle m’ordonna alors que j’étais ainsi relâchée, de ne pas bouger, ni m’agiter. Je l’entendais s’affairer et manipuler, des objets. Je la vis se saisir d’un thermomètre rectal, en enduire le bout de glycérine liquide, et venir le présenter sur la rosette de mon anus , bien exposée à sa vue, du fait de ma position écartelée. Puis se ravisant, elle reprit la bouteille de glycérine, s’en versa une rasade sur le bout des doigts et m’enduisit toute la corolle anale et son pourtour en me massant avec le liquide gras. Une fois qu’elle parut satisfaite de son œuvre, elle représenta le thermomètre et sans aucun effort le fit glisser de quelques bons centimètres à l’intérieur de mon anus, qui recevait pour la première fois depuis longtemps cette intrusion . Une fois en place, elle le vrilla légèrement à plusieurs reprises, pour s’assurer qu’il était bien en contact avec mon fondement. Comme je m’agitais énormément à chacun de ses mouvements, elle posa sa main libre sur ma vulve et me caressa directement le clitoris, afin que je reporte mon attention sur celui-ci et lui laisse la paix pour prendre ma température. « Et voilà, ma douce, me dit-elle c’est parti pour quelques minutes ; calme toi et tout ira bien ; cela ne sera pas long. » Son pouce et son index me frottaient le bouton tout rouge que je possédais et l’action conjuguée du thermomètre et de ses doigts , me procuraient une sensation de chaleur impensable, qui se propageait de mon ventre à mes fesses.

Au fil des visites, je m’aperçus que ce procédé de prise de température devenait inévitable ; très vite il débuta la visite et le temps qu’il durait s’allongeait de plus en plus et que le thermomètre entrait de plus en plus loin. En fait, Solange ne cessait de me toucher le clitoris et ne me retirait le thermomètre que lorsque sous l’effet de son traitement, mes cuisses et mes fesses se contractaient simultanément , dans un spasme si fort et si soudain, qu’elle me disait à chaque fois : « Hé doucement, ma petite , tu vas finir par casser le thermomètre ! » Puis elle me faisait remarquer que je trempais de mes écoulements le drap de la table d’examen, en me qualifiant de petite cochonne perverse…. Très vite aussi elle varia les position, sur le coté, sur le ventre, prosternée sur la table, debout penchée sur la table…

Je dois avouer, que les sentiments mêlés de honte et de plaisir que j’ai ressentis si souvent durant ces longues séances, restent encore aujourd’hui , un des meilleurs moments de sensualité torride que j’ai pu vivre jusqu’à aujourd’hui