Anonyme
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Vues: 7518 Created: 2007.10.10 Mis à jour: 2007.10.10

Amatrice de thermometre et de lavement

Amatrice de thermometre et de lavement

Je me nomme Catherine, vingt trois ans, brune assez bien faite avec un fessier bien galbé.

Je suis une obsédée des fesses et des canules, lavements et thermomètres.

J’aime faire l’amour, mais tout ces instruments me procurent plus de plaisir dans mon petit trou serré qu’une queue dans mon sexe.

L’autre jour, en rentrant de courses plus tôt que prévu chez mes parents (absents) et en déposant mes affaires, j’entends comme des râles étouffés.

Voyant la porte de l’armoire à pharmacie ouverte, je m’avance tout doucement dans la salle à manger.

Devant moi sur le divan, Colette, la femme de ménage, une jolie fille d'à peine 19 ans retroussée jusqu’au reins et une belle lune offerte, dans laquelle je vois un thermomètre faire de rapides va-et-vient, sortant légèrement du cratère brun pour rentrer au trois quart.

Je suis trempée à la vue de ce spectacle excitant : « ça fait du bien Colette ? »

Quelle sursaut lorsqu’elle m’aperçoit, très gênée, rouge comme une pivoine ;

« excuse-moi Catherine ». Posant le thermomètre, Colette me dit éprouver beaucoup de bien coté anus et qu’elle éprouve de plus en plus de besoins étant en manque.

M’asseyant à coté de Colette et posant une main sur son fessier, je lui dis que moi aussi je me sert du thermomètre et de la poire à lavement, afin de donner du plaisir à mon trou serré mais gourmand.

Me saisissant du thermomètre, je passe ma main gauche sous le ventre de Colette et caresse sa vulve trempée.

Profitant des ondulations de sa belle lune, je pousse doucement, regardant notre « amant » disparaître lentement et presque complètement, dans cette lune bien chaude et imprimant des va-et-vient. Au bout de dix minutes de ce jeu là, Colette pousse de nombreuses plaintes, jouissant dans un orgasme violent.

Puis baissant ma jupe et mon slip, je prends sa place et mon orifice serré subit de Colette, avec ravissement, l'introduction du thermomètre jusqu'au plus profond ; elle ne s'arrête que lorsque son doigt repose entre mes deux fesses.

Une demi-heure plus tard, je plante la canule de la poire à lavement dans le cul de Colette qui jouit une fois de plus pendant l’injection.

L’instant d’après, je montre ma lune à Colette et lui demande de m’administrer deux poires.

Elle m’administre une belle paire de claques sonore sur les fesses et les deux lavements me font jouir, m’inondant copieusement les intestins.

Cinq minutes plus tard revenant des toilettes j’embrasse et pelote ma chère Colette (ma copine maintenant), la félicitant du bien qu’elle à procuré à mon cul.

Sentencieusement je déclare qu'il serait souhaitable qu'après le lavement je vérifie à nouveau sa température. Je l'invite à se courber sur mes genoux, retrousse sa robe, descend sa culotte en dentelle rouge juste sous ses fesses, saisissant le thermomètre resté sur la table, je le lui introduit bien au fond et le laisse avec mon doigt posé dessus pendant un quart d'heure, pendant lequel je lui raconte comment j'imagine notre avenir :

A partir de maintenant, tu me servira d'infirmière, je te demanderai régulièrement de prendre ma température, de m'administrer des lavements et de me mettre des suppositoires.

En ce qui te concerne, tu est une petite fille ; je contrôlerai ta température régulièrement plusieurs fois par semaines ; chaque fois que le thermomètre ressortira douteux, tu aura droit à un lavement ou à un suppositoire.

Je ne veux plus te voir qu'avec des jupes de fillette et des culottes petit bateau blanches ou roses, sinon tu sera fessée et tu recevra le thermomètre ; enfin je t'emmènerai chez mon esthéticienne qui fera disparaître la légère toison qui dépare ton petit abricot.

Je retire le thermomètre, constatant l'absence de fièvre ; Colette se relève et se jette dans mes bras,

- merci maman, comme je suis heureuse !

Deux jours après, j'emmène Colette à l'institut "Delphine" se faire "plumer" par mon amie Sandrine.

A notre arrivée, Sandrine nous conduit dans un petit cabinet ; lorsqu'elle nous fait entrer, un cri retenti,

- non madame, je veux pas qu'on me voie !

Une toute jeune fille est allongée sur une table de soins, sur le côté, entièrement nue, un thermomètre dépassant de son petit œillet de 2 centimètres ; à la surprise de Colette, j'explique,

- ce n'est pas la première fois que je contemple une petite apprentie se faire prendre la température par Sandrine, elle y passent toutes, sous prétexte de surveiller leur "période" et elle ne se fait pas faute de les exhiber à ses amies.

Colette est invitée à se dévêtir ; elle s'est conformée à mes instructions, petit chemisier blanc, jupe écossaise au dessus du genou, chaussettes blanches montantes ; une fois ses vêtements retirés elle n'a plus sur elle qu'une sage culotte rose que Sandrine lui enlève elle-même,

- Catherine voudrait-tu retirer le thermomètre à Nadège et m' annoncer sa température.

Je prends mon temps pour m'exécuter, je retire à moitié l'instrument, le renfonce, une fois, deux fois,

- non, je vous en supplie, arrêtez, j'ai trop honte

- tait-toi petite hypocrite, tu adore ça, il n'y a qu'a voir ta barquette de petite fille, je sais parfaitement qu'elle est toute mouillée.

Je vérifie l'affirmation de mon amie en aventurant ma main entre les cuisses de l a petite qu'elle finit par m'ouvrir et après avoir humidifié mes doigt à sa source, je lui passe sous le nez ; elle se met à pleurer doucement puis je me résous à la délivrer du thermomètre et j'annonce la température : 37°5.

- Allons bon, mademoiselle est en chaleur ! va t'installer sur le fauteuil gynécologique

- non madame, je vous en supplie, pas maintenant, pas devant elles

- bon ça suffit, tu sait que tu en passe toujours par tout ce que je décide sinon… Catherine, pendant que je rend à ta petite amie sa fentine de fillette, veux – tu administrer à Nadège un lavement avec la petite poire rouge sur l'étagère à côté de la table, puis une douche vaginale avec la grosse poire marron ; la canule n'et pas très grosse, car la gamine est pucelle ; elle n'a été visitée que par cette canule et parfois par le thermomètre ; d'abord le lavement, 4 poires puis la douche 2 poires ; eau froide.

L'air résigné, la jeune fille va s'installer pour que je puisse m'occuper d'elle ; Sandrine conduit Colette par la main ver la table de soins,

- allonge-toi et écarte tes jolie cuisses ; ça sera vite fait, ta fourrure est légère.

Quand elle est installée, Sandrine lui ouvre les fesses,

- en plus ton anus n'a pas besoin d'épilation.

La tondeuse bourdonne et coupe tous ce qu'elle peut, puis Sandrine enduit le clitoris de Colette d'un gel gras pour que la cire ne colle pas sur le petit pistil sensible.

Toute la surface du sexe est enduite de cire, cinq minutes de séchage ; d'un coup sec, Sandrine arrache la pellicule de cire,

- aiiieee

- voilà, c'est terminé

Sandrine passe un baume calmant sur la surface épilée, puis recouvre la jeune fille d'un drap blanc et viens me regarder.

Pendant ce temps, j'ai administré son lavement à Nadège qui n'a plus protesté ; j'adore administrer des lavement avec une petite poire, car il est nécessaire pour la vider de la retirer et la réintroduire 3 ou 4 fois.

C'est quinze fois que je perfore la pastille anale de la stagiaire, je prends tout mon temps, aussi bien en enfonçant, en pressant et en retirant la poire pour faire profiter au maximum ma patiente de mes soins.

Après avoir retiré une dernière fois la canule du derrière, je précise,

- serre bien les fesses, tu garde le lavement pendant que je rafraîchis ton petit abricot.

Quatre fois j'insère la canule dans le petit vagin tout en serrant la poire afin que l'eau s'écoule.

Lorsque c'est terminé, j'autorise Nadège à soulager ses intestins, puis je l'essuie soigneusement.

Retournant vers Colette, Sandrine la trouve frissonnante, pose sa main sur son front, prends son pouls,

- Catherine, me permets-tu de prendre sa température à Colette, je la trouve agitée,

- bien sur, il ne faudrait pas qu'elle tombe malade.

Elle me demande de choisir un thermomètre dans une vitrine et de lui apporter ; je me décide pour un instrument d'une taille légèrement supérieure à la normale.

Je dois à la vérité que mon amie l'esthéticienne est une fervente du thermomètre ; outre les différentes apprenties, nombres de ses clientes se laissent convaincre de la nécessité de se laisser prendre la température après les soins.

Ainsi donc au fil du temps, elle s'est confectionné toute une collection d'instruments achetés dans des ventes, des brocantes, des boutiques… Certains sont du siècle dernier et du début du siècle.

Elle secoue le thermomètre, puis se ravisant,

- Nadège, tu a été bien sage, c'est toi qui te charge de prendre sa température à Colette, tu sera amenée à l'avenir à opérer aussi sur les clientes.

- Merci madame, mais je l'ai jamais fait,

elle tend le thermomètre à son apprentie, puis découvre complètement sa patiente, lui demande d'écarter largement ses cuisses, nous permettant de contempler son petit abricot tout lisse, dégageant aussi sa rosace ;

- mouille bien le thermomètre avec de la salive, pose l'extrémité sur l'orifice, fait pénétrer le bout argenté, tourne le un peu, rentre le sur 2 centimètres, recule un peu, enfonce plus loin, deux ou trois fois ; tu constate que le thermomètre à presque disparu dans le derrière de Colette.

Bien, maintenant tout en maintenant le thermomètre, penche-toi sur la table, je veux que Catherine vérifie à nouveau ta température après le lavement.

Nadège ne proteste pas, Sandrine se dirige vers l'armoire et me tends un thermomètre plus volumineux que celui qui pénètre Colette.

Je prends l'instrument longuement en bouche, le secoue, écarte les fesses de l'apprentie, puis doucement je glisse le thermomètre dans l'étroit pertuis qui palpite sous l'effraction ; la jeune fille frémit puis pousse un long soupir,

- ooooh c'est gros doucement,

pourtant elle ne proteste pas, elle semble apprécier maintenant les introductions dans son intimité postérieure ; je m'arrête à la moitié.

- bien attendons 5 minutes,

- Sandrine, tu voudrais pas…

- mais oui ma chérie, c'est vrai que tu raffole de ces petits jeux ;

ma jupe est relevée, ma culotte baissée sur mes cheville et un thermomètre se glisse dans mon fondement, ouch ! il est encore plus gros que celui qui est dans le derrière de Sandrine.

- Doucement, tu me défonces !

Audrey adore que l'on se plaigne…

Chaque fois que Sandrine a une nouvelle apprentie, elle vient nous la présenter et trouve toujours un prétexte pour lui prendre sa température devant nous.

Et je profite de l'occasion pour vérifier si par hasard Colette n'a pas de fièvre.

J'ai quelques nouveaux thermomètres anciens que m'a procuré ma vicieuse amie, certains assez gros, qui font nos délices à Colette et à moi.

Comments

mondoi Il ya 9 ans