Anonymous


Vues: 4149 Created: 2007.08.31 Mis à jour: 2007.08.31

Sur la Route

Sur la Route

Je m’appelle Catherine, aujourd’hui j’ai trente ans, mais au moment des faits j’en avais dix-neuf et mon amie Florence, que je viens de croiser, dix-huit ; ça me rappelle la façon dont nous avons commencé nos petits jeux…

C’était le début des vacances scolaires, la chaleur de l’été avait déjà transformé le comportement des gens et un certain bien-être pouvait se lire sur les visages. Avec mon amie Florence nous avions décidé de partir en vacances à bicyclette. Pour ce premier périple à la force des mollets, nous avions choisi de parcourir la Belgique, un pays peu accidenté, qui se prête bien à ce genre d’exercice.

Nous roulions depuis une bonne semaine quand un événement peu commun vint pimenter notre voyage. Le soleil était au zénith et nous avions déjà parcouru un bon nombre de kilomètres. Affamées, nous décidâmes de nous arrêter pour nous restaurer. Je savais que nous allions devoir reprendre la route, alors je me contentais d’une salade. Florence prit des moules frites, plat typiquement belge, dont elle raffolait.

Chaque fois que nous nous apprêtions à reprendre la route, je m’arrangeais pour être derrière ma copine. J’adorais la voir monter sur son vélo. Sous son short moulant noir ses fesses étaient magnifiques. Certes, je les avais déjà vues nues à maintes reprises, mais cette vision moulée à ravir m’excitait irrésistiblement.

Une demi-heure après notre départ, Florence commença à se plaindre de douleurs d’estomac. Au bout d’une heure, elle avait tellement mal, qu’elle me proposa une halte au premier bosquet venu. La route que nous avions décidé d’emprunter ce jour là était passablement fréquentée et fort clairsemé était le bosquet qu’elle choisi pour se soulager. Je tenais les vélos à proximité d’elle quand elle baissa son short et qu’elle s’accroupit pour essayer de satisfaire aux besoins dont la nature l’affligeait. Après quelques infructueuses tentatives, le visage rougit par l’effort, elle remonta son mignonne parure et tout en se relevant me dit :

- Je n’y arrive pas, avec toutes ces voitures qui passent sans cesse à quelques mètres de nous… Non, il nous faut absolument trouver un coin plus tranquille.

Convaincue que ma copine soufrait plutôt d’une constipation qu’elle n’osait m’avouer, que d’une gêne passagère, je lui proposai de sonner à la maison que nous venions dépasser. Poussée par la douleur, d’emblée elle en accepta l’idée.

C’est une très belle femme, d’un âge indéfinissable, qui nous ouvrit la porte.

- Bonjour Madame, lui dis-je, mon amie est souffrante, et nous aurions voulu vous demander… si elle pourrait utiliser vos toilettes. Le camping est encore loin et…

- Mais bien sur, soyez les bien venues.

La charmante femme conduisit Florence aux WC, s’approcha de moi, et d’une voix douce me dit:

- Il me semble que votre amie souffre d’une sérieuse diarrhée, cela ne doit pas être commode quand on se déplace à bicyclette.

- A vrai dire, je crois que c’est une constipation qui provoque ses douleurs d’estomac.

- Et bien, allez voir comment elle va. Si elle n’arrive pas à se soulager, dites-lui que j’ai un remède qui peu l’aider.

Sans attendre, je frappai à la porte des toilettes.

- Oui ?

- C’est moi, ça va mieux ?

- Non, j’y arrive pas… pourquoi, la dame s’impatiente ?

- Pas du tout… au contraire, elle m’a dit de te dire, que si tu es constipée, elle a de quoi te soigner.

- Comment ça?

- J’en sais rien… elle m’a juste dit qu’elle possède un remède…

- OK… Dis-lui que j’arrive.

De retour dans le vestibule, j’informais notre hôtesse que Florence acceptait son aide. Elle me dit d’aller chercher mon amie et de la rejoindre dans la cuisine. Le teint de ma copine était pâle et la maîtresse de maison ne tarda pas à s’en rendre compte. Elle s’approcha de Florence, lui mit la main sur le front, et lui dit qu’elle n’avait pas l’air bien, qu’elle allait lui prendre sa température et qu’elle lui administrerait un lavement pour sa constipation. Florence, pétrifiée par les mots qu’elle venait d’entendre, lui dit en bégayant:

- Je ne suis pas vraiment constipée, en fait, je crois que j’ai dû tomber sur une moule pas fraîche tout à l’heure… c’est pour ça que j’ai mal.

- Cela ne change rien au traitement, répondit la dame, rien de mieux qu’un lavement dans ce genre d’indisposition. Vous savez, si c’est une moule qui a provoqué votre gêne intestinale, vous risquez de traîner ça pendant plusieurs jours. Il ne faut pas avoir honte, nous sommes entre femmes.

Florence me regarda d’un air stupéfait. Elle n’en croyait décidément pas ses oreilles. Je pus lire dans son regard qu’elle cherchait de l’aide auprès de moi, mais ma réaction ne fut pas celle qu’elle espérait. Je lui dis que ça ne pouvait pas lui faire de mal et qu’il valait mieux se débarrasser de ce problème tout de suite. Un malin plaisir m’envahissait à l’idée qu’elle allait prendre un lavement sous mes yeux. Voyant que je ne n’abondais pas dans son sens, elle se résigna docilement.

La gentille dame posa sur la table de la cuisine une bassine pleine d’eau savonneuse et une petite poire à lavements. Puis, elle prit une chaise, s’assit, et invita Florence à se coucher sur ses genoux. Rouge de honte, elle s’exécuta timidement. Sans se presser, la dame lui descendit le short jusqu’aux genoux. Ensuite, elle écarta ses jolies fesses et enduit son rectum de vaseline, à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur. Ce qui fit sursauter ma copine.

- Détendez-vous, lui dit la dame, c’est juste de la vaseline pour aider le thermomètre à rentrer. Je vous prends la température par voie rectale car c’est la technique la plus fiable. Ma mère me la prenait toujours ainsi et je continue.

Elle prit un thermomètre et l’introduisit profondément dans l’anus de mon amie, avec une infinie délicatesse. Seul un petit bout ressortait de son joli derrière. Cinq minutes après, elle le retira et lut le résultat.

- Vous avez un peu de température ma chérie. Après le lavement, je vous mettrai un suppositoire contre la fièvre.

La maîtresse de maison s’empara enfin, à mon plus grand bonheur, de la poire. Elle la remplit pas aspiration, et fit glisser dans l’anus lubrifié de Florence, la petite canule étroite. Sans prévenir, elle comprima la poire tout en demandant à ma copine si elle sentait le liquide rentrer. « Oui… oui » répondit Florence anxieusement. Elle répéta L’opération plusieurs fois. Alors que la dame vidait la cinquième poire, mon amie se mit à pleurnicher, et lui supplia d’arrêter. « Encore une et c’est fini » dit la dame sur un ton sec. La dernière poire vidée, Florence se remit sur pieds difficilement, et sans remonter sons short, elle courut aux toilettes tout en se serrant ses cuisses et ses fesses à l’aide de ses mains.

Je repris lentement mes esprits, J’essayais d’imaginer les sensations que Florence avait dû ressentir. Je crois que j’aurais voulu être à ça place…

A son retour dans la cuisine, ma copine avait reprit de bonnes couleurs. Indéniablement, le lavement l’avait vraiment soulagée. La dame lui demanda si elle allait mieux et après la réponse positive de Florence, elle la fit se pencher en avant pour prendre le suppositoire. Mon amie obéit. La dame lui baissa une nouvelle fois le short, et après lui avoir écarté les fesses, elle lui enfonça le suppositoire dans son petit trou devenu désormais très hospitalier. Elle accompagna profondément l’ogive avec son doit puis, lui remonta le short et lui administra quelques petites tapes amicales sur les fesses. J’aurais bien voulu savoir si la « foufoune » de ma copine était aussi mouillée que la mienne...

Après s’être lavée les mains, notre hôtesse nous accompagna jusqu’à la porte. Florence la remercia cordialement pour ses bons soins et quand ce fus mon tour de dire au revoir, en lui serrant la main je lui dis:

- Merci beaucoup Madame… Madame….

- Vous pouvez m’appeler Cindy...

Après les vacances, sans le dire à Florence, je fis l'acquisition de deux thermomètres médicaux, d'une poire à lavement et d'un bock avec un jeu complet de canules, sans oublier la vaseline.

Je plaçais mes achats dans la salle de bain, sauf les thermomètres qui prirent place dans les tiroirs de nos deux tables de chevet.

Le matin, je traînais au lit, florence me secouant, je me plaignit de mal de tête et de fatigue ;

"c'est embêtant, il faudrait prendre ta température et nous n'avons pas de thermomètre"

"mais si, regarde dans le tiroir du chevet"

Elle sort l'engin, le retire de son étui, le secoue,

"il y a de la vaseline à la salle de bain"

"c'est pas nécessaire, maman met toujours de la salive"

"oui, tu a raison, la mienne procède ainsi"

"ta maman te prend toujours ta température"

"oui quand je suis à la maison et j'aime bien ça"

"la mienne aussi, c'est pour ça que l'autre jour ça ne m'a pas gênée de me faire mettre le thermomètre puis la canule par Cindy, d'ailleurs, j'ai bien vu que tu avait bien apprécié le spectacle"

"j'ai bien failli faire la malade, mais on avait pas trop le temps"

"bon, dans quelle position tu te dispose d'habitude ?"

"Le plus souvent tournée sur le côté, jambe du dessus repliée"

"alors allons y".

Je me place comme je l'ai dit, Florence me découvre et s'assied à mon coté ; je suis toute nue, mais Florence et moi avons l'habitude de nous contempler dans le plus simple appareil depuis notre enfance, sans avoir jamais eu de contacts intimes comme ce qui allait se produire.

Je sens le doigt enduit de salive de mon amie se poser sur ma petite rosace et forcer en douceur mon anneau rectal, pour s'enfoncer en entier dans mon pertuis et le lubrifier, "oooh Flo noon !"

"reste tranquille cathy, c'est pour ne pas te faire mal avec le thermomètre, en fait, je procède comme maman ou Cindy ; d'ailleurs j'ai l'intention de te l'enfoncer aussi profondément que je l'ai reçu la semaine dernière, alors détends-toi bien".

Le doigt se retire, deux autres doigts écartent mes joues fessières et le thermomètre se pose sur mon anus ; je sens le tube de verre froid remonter doucement dans mon derrière et je ne peux pas m'empêcher d'émettre une longue plainte quand le bout arrive au fond de mes fesses "noon plus !"

Je reçois une petite tape sur les fesses,

"sage ! tu l'a presqu'en entier, tu le garde dix minutes"

Je suis bien comme ça ; je me remémore mes émois de petite fille quand maman me disait "Cathy ma chérie, tu me semble fébrile, va dans ta chambre, je vais te prendre la température".

Elle m'ôtait complètement ma culotte et jusque vers mes dix ans me couchais sur le dos, jambes repliées sur la poitrine et m'enfonçais le thermomètre sur un tiers environ ; elle me le faisait garder jusqu'à un quart d'heure et tendrement caressait mon petit derrière

"qu'il es joli ma fille ton petit pépette"

parfois elle examinait ma barquette en l'entrouvrant entre deux doigts "prends bien soin de ta petite souris ma mie, c'est important", et je me régalais.

Je me rends compte tout à coup que j'ai "rêvé" à haute voix ;

"rassure-toi Cathy, c'est pareil pour moi et certaines fois, maman me réservait un petit traitement particulier" ; je sentis le thermomètre se retirer, puis revenir, à plusieurs reprises, toujours aussi loin et du plus profond de mon être jailli un gémissement "nooooooooon aaaaaaaaaaah".

Je venais de ressentir le même plaisir que quand je caressais mon petit bouton (nous sommes encore pucelles Flo et moi).

"Tu vois, la prise de température n'a pas de secret pour moi ; 36°5, tu n'a pas de fièvre"

"non, mais j'avais hâte que nous étrennions notre petit matériel…

Plus tard dans la matinée je l'entends dans sa chambre, elle me demande de venir la rejoindre ; elle est allongée sur son lit, aussi nue que je l'étais tout à l'heure, cuisses écartées et relevée sur sa poitrine, son thermomètre posé à coté d'elle.

"moi non plus, je ne me sens pas très bien…"

Je m'exécute avec plaisir ; tout en lui prenant sa température, j'examine digitalement son abricot duveteux, lui arrachant quelques protestations timides.

Nous avons cohabité pendant trois ans et régulièrement nos petits anus ont été visités par nos thermomètre et nos canules.

Parfois nous avons piégé quelques camarades qui avaient eu l'imprudence de se plaindre de quelques maux…

"Il est absolument indispensable de prendre ta température…"

Nous nous voyons encore de temps à autre et nous nous en profitons pour nous "examiner" si nous en avons la possibilité…