Anonyme
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Vues: 7680 Created: 2007.10.16 Mis à jour: 2007.10.16

Bons Soins pour une Voisine

Bons Soins pour une Voisine

Je m’appelle Justine, j’ai 32 ans et j’habite une horrible tour de 30 étages. Mon appartement est perché au 25ème étage. Deux étages plus hauts, réside une famille dont le plus jeune membre est une jeune fille de 18 ans Béatrice. Je connais son âge parce qu’elle a récemment fêté son anniversaire. Elle a organisé une petite fête pour l’occasion, et elle a gentiment averti ses voisins les plus proches qu’il y aurait probablement du bruit le soir de l’évènement.

Il y a environ deux mois, je la croise dans l’ascenseur. Elle a le teint pâle, et elle semble angoissée. Je lui demande si tout va bien et elle me répond qu’elle est malade, et qu’elle est embêtée parce que ses parents sont partis en vacance. Je lui suggère alors d’aller chez le médecin ou, éventuellement, à la pharmacie, et d’exposer son problème. Elle me répond qu’elle y a pensé, mais qu’elle a trop honte. Tout en me parlant, elle tient sa main droite sur son ventre, j’en déduis qu’elle a des problèmes de règles.

Arrivée à mon étage, je lui propose de passer deux minutes chez moi pour en parler. Elle me répond par la négative et me dit que ça va passer. Persuadée qu’elle a des problèmes de femme, j’insiste en lui disant que nous sommes entre filles et qu’elle ne doit pas avoir honte de parler de ces problèmes de santé avec moi. Elle accepte, les joues rougies par la gêne.

Arrivées chez moi, nous passons à la cuisine, et après lui avoir offert un soda je lui demande: - Alors, tu as des problèmes de règles ?

- Ben… non, pas vraiment. En faite, je crois que je suis constipée… en tout cas, ça fait deux jours que je n’ai pas fais… enfin tu vois.

Surprise par sa réponse, je lui dis:

- Tu es constipée ? Mais ce n'est rien ça. J’ai ici tout le nécessaire pour te soigner. J’ai gardé le vieux bock à lavement qu’utilisaient mes parents pour ma sœur et moi, lorsque ceux-ci sont partis vivre à l’étranger. En plus, je crois qu’il me reste des suppositoires à la glycérine dans la pharmacie. Tu as déjà reçu un lavement ?

- Non, mais j’ai entendu dire que c’est douloureux.

- Mais non, tu verras, ça peu même être agréable. De toute façon, je vais d’abord te mettre un suppositoire. Et pendant qu’il fait son effet, je te prendrais la température, juste pour voir… Quand tu te seras soulagée, tu prendras un lavement de deux litres, comme ça, on sera vraiment sûres que tu n’as plus rien dans l’estomac. Enlèves ton pantalons et couche-toi sur le canapé pendant que je prépare le matériel.

Sans rechigner, elle enlève ses chaussures et baisse son pantalon. Elle porte une petite culotte blanche translucide qui laisse apparaître ses jolies fesses roses. Je la regarde faire avec plaisir. Alors qu’elle va se coucher, elle tourne la tête et me regarde. Presque confuse, je reprends mes esprits et part à la salle de bain où se trouvent les suppositoires et le thermomètre. Quand je reviens, elle est couchée sur le ventre. Elle a eu la bonne idée de garder sa culotte, je ne serai donc pas privée du plaisir de la lui baisser. Je ne suis pas vraiment lesbienne, mais la situation commence à m’exciter.

Tout en lui demandant si elle est bien installée, je lui descends sa culotte jusqu’aux genoux. D’une voix douce, elle me répond qu’elle est bien, alors je prends un suppositoire, et après avoir écarté ses jolies fesses, je l’introduis dans son anus. Puis, avec une infinie douceur, j’enduis son petit trou de vaseline, et comme elle gigote, je lui explique que c’est du lubrifiant pour aider le thermomètre à rentrer. Elle se calme, et sans prévenir, j’enfonce de moitié le thermomètre dans son intimité. Elle se cambre légèrement, puis se détend à nouveau, un soupir profond accompagne le mouvement. Je crois qu’elle a prit du plaisir à cette introduction, en tout cas, ses fesses, que je caresse de la main, sont brûlantes.

- Maintenant, on va attendre dix minutes, lui dis-je. Pendant ce temps, je vais préparer le lavement.

Je prépare deux litres d’eau que je mets à bouillir et rince le bock qui n’a pas servi depuis longtemps. A peine cinq minutes plus tard, elle m’appelle pour me dire qu’elle a vraiment envie de faire caca. Je vois qu’elle transpire, normal, après deux jours sans aller à selle, le suppositoire à dû lui faire l’effet d’une bombe. Mais, la voir haleter de douleur avec le thermomètre dans le cul, provoque sur moi une sensation nouvelle et excitante. Alors j’insiste «encore cinq minutes ma chérie, sinon la température sera faussée» et tout en lui caressant les cheveux, j’enfonce encore un peu plus le thermomètre, elle gémis… je jubile.

Les cinq minutes sont passées, et comme je commence à avoir une terrible envie de la remplir avec l’eau du lavement, je retire tout doucement le thermomètre de son derrière, je remonte sa culotte et lui donne une claque sur les fesses.

- Va aux toilettes ma belle, tu n’as pas de fièvre, c’est déjà ça.

Je sens que ma culotte est mouillée, j’attends qu’elle ait fini avec impatience. Quand elle revient, je voie qu’elle va mieux. Elle est si détendue que j’ai peur qu’elle trouve le lavement inutile et qu’elle le refuse. Mais pas du tout.

- Pour le lavement, je me mets où ? Me demande t-elle.

- Là, sur la table de la cuisine, j’y ai mis des linges de bain pour que tu sois bien.

Elle se couche sur le ventre, mais comme j’ai très envie de voir si son petit sexe mouille pendant l’opération, je lui demande de se mettre sur le dos. Je baisse, une nouvelle fois, sa petite culotte, mais cette foi, je la lui enlève complètement. Je découvre alors une jolie chatte sans le moindre poil, entièrement rasée. Voyant que je regarde sa foufoune avec un certain étonnement, elle m’explique qu’elle se rase parce qu’elle va souvent à la piscine, et qu’avec cette technique, elle n’a pas le problème des poils qui dépassent. Je lui réponds que je comprends et que ça n’a pas d’importance. Je prends alors ses jambes, et les recourbes sur son ventre. La vue est imprenable, ses deux trous s’offrent à moi, et son minou est déjà humide. Je fais mine de ne rien voir, de façon à ne pas la gêner. Imperturbable, je prends la canule qui est reliée au bock à lavement par un long tuyau dont j’ai déjà chassé l’air. J’ai déjà vaseliné la canule, je n’ai plus qu’à la faire rentrer dans son derrière, je lui demande si elle est prête, elle me répond oui par un signe de la tête et, avec un soupir, elle ferme les yeux.

Je me pince la lèvre inférieure avec les dents au moment j’introduis la longue canule dans son anus fiévreux. J’ouvre le petit robinet qui se trouve à la base de celui-ci, et je sais que l’eau rentre en elle parce qu’elle penche la tête en arrière. Son sexe est trempé, le mien aussi. Je sens qu’elle commence à avoir mal, mais je suis sûr qu’elle aime ça. Après le premier litre, sa respiration s’accélère et les premiers râles s’échappent de sa bouche. Elle me demande d’arrêter.

- Allons, courage, plus qu’un litre sur deux. Lui dis-je, tout en lui caressant le ventre de ma main gauche.

Comme je ne tiens plus ses jambes, elles s’écartent involontairement, à tel point que sa posture en devient franchement indécente, d’autant plus qu’elle mouille abondement. J’ai très envie de caresser son clitoris. Mais elle s’empare de ma seule main de libre (je tiens la canule de ma main droite) et, de ses deux mains, la serre fort contre sa poitrine.

La totalité du liquide est maintenant en elle. Je sens qu’elle ne va pas réussir retenir le liquide jusqu’aux toilettes. Alors je prends la bassine que j’ai rapprochée tout en tenant la canule, et je lui demande de ce placer dessus. C’est dans cette position accroupie que je lui retire la canule, un peu comme on enlève un bouchon. Un torrent d’eau tiède jaillit de son petit trou boursouflé. Au moment ou plus rien ne sort, je la laisse dans cette position, le temps d’aller à la salle de bain. Je reviens avec un gant de bain humide et lui fais une toilette intime. Elle se laisse faire, soumise et totalement vidée de son énergie. Je constate, au moment ou je la rhabille, que ses jambes tremblent encore un peu.

Encore dans les vapes, elle me fait la bise tout en me remerciant, et s’en va.

La semaine dernière, elle est venue sonner à ma porte.

On aurait dit une petite fille, une écolière, chemisette blanche, kilt à mi-cuisses et petites couettes ; avec son petit minou glabre…

Elle m’a dit qu’elle avait mal au ventre, et je l’ai invitée à rentrer…

J'ai commencé par la température en la faisant s'allonger sur mes genoux ; sous sa mini-jupe elle portait une culotte blanche de gamine "Petit Bateau"côtelée que j'ai descendue juste sous ses fesses ; je lui ai enfoncé progressivement le thermomètre presqu'en entier sans qu'elle proteste.

Pendant le quart d'heure qu'a duré la prise de température, tout en maintenant le thermomètre bien au fond, j'ai exploré la fente glabre qui s'humidifiait de plus en plus. De temps à autre, je retirais de moitié le tube de verre pour le consulter et le replongeais aussi loin, arrachant un long gémissement à Béatrice qui prends un réel plaisir à mon traitement.

- Dis-donc, jeune-fille, tu me semble aimer le thermomètre,

- depuis que je suis toute petite j'adore la sensation de pénétration de mon derrière ; comme maman a toujours été très attentive à notre santé à mes trois sœurs et à moi et nous prenait régulièrement la température, j'ai très souvent reçu le thermomètre, surtout que très vite mes sœurs m'on pris la température par jeu.

D'ailleurs c'est encore elles, quand elles sont à la maison et maman qui me "soignent" ; en échange depuis que j'ai douze ans, mes frangines se son laissées introduire le thermomètre par moi, ça aussi j'aime bien.

Je suis tellement excitée par ce qu'elle me raconte que je fais aller et venir le thermomètre dans le petit orifice qui palpite.

Bien sur, pas trace de fièvre 36°6 ; alors je déclare qu'elle est une méchante gamine et qu'elle va recevoir une fessée ; je claque doucement ce joli derrière qui remue en cadence et commence à rosir. Au bout de dix minutes, je cesse de frapper et avant qu'elle ne réagisse je glisse à nouveau le thermomètre dans l'orifice anal qui l'accueille en venant à sa rencontre.

Au bout de dix minutes, je consulte le thermomètre : 37°2 ; la fessée a fait monter la température…

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lepierrotlunaire Il ya 4 ans  
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