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Vues: 12065 Created: 2007.08.08 Mis à jour: 2007.08.08

Les plaisirs d'une education severe

Les plaisirs d'une education severe

Trouvée dan "Lettre Magazine"

Lorsque j'étais petite fille, j'ai reçu comme presque tous les enfants, de rapides fessées pour toutes les bêtises commises.

Mes parents s'étant séparés en 1938, je fus confiée à ma tante. Veuve, elle vivait seule avec sa fille de quinze ans, ma cousine Agnès. Ma tante était très sévère et, pour la moindre faute c'était la fessée avec un grand F…

La première fois que je vis ma tante prendre ma cousine sous son bras, la courber et relever ses jupes, j'étais à la fois très gênée et très excitée. La fessée commença à la main, sur la culotte qui était à l'époque une classique Petit Bateau. Ma tante fessait dur ; tout à coup elle cessa et déculotta Agnès. J'avais déjà vu souvent les fesses de ma cousine, mais la j'étais très émue. Je vis apparaître ses deux belles fesses rouges et crispées ; c'était une sorte de révélation. La fessée recommença ; le derrière d'Agnès tressautait à chaque claque. Mais ses pleurs étaient maintenant transformés en gémissements. J'étais fascinée par ce spectacle et j'eus la brusque envie d'être à sa place. Elle reçut encore une vingtaine de claques, puis une dizaine de coups martinet.

Ma tante patina quelques instants les fesses de rubicondes, puis sortit de la poche de son tablier un étui, d'où elle retira, à ma stupéfaction, un thermomètre, qu'elle secoua, puis lubrifia.

Elle écarta les deux collines rouges, dévoilant le petit trou brun rose de ma cousine, dans lequel elle plongea doucement le thermomètre, jusqu'à ce qu'il n'en dépasse plus qu'un petit bout.

Je ne savais pas que Agnès était malade ; je trouvais en plus qu'elle enfonçait beaucoup trop le thermomètre. Une ou deux fois, elle retira à moitié le tube de verre pour suivre la montée de la température puis le renfonça aussi loin. Je me rendis alors compte que lorsque le thermomètre pénétrait, la jolie rosette de ma cousine palpitait ; visiblement Agnès semblait aimer ce traitement.

Au bout de cinq minutes, ma tante retira le thermomètre, le consulta,

- bien, pas de fièvre.

Elle tendit le thermomètre à sa fille,

- sois gentille, va le nettoyer et ramène le moi.

Agnès remonta sa culotte et s'éloigna vers la cuisine.

Elle se tourna vers moi,

- eh bien Jacqueline, tu m'a semblée très intéressée, alors pas de jalousie, tu mérite aussi une bonne fessée.

J'étais à la fois effrayée et très excitée ; je fus rapidement couché sur ses genoux, jupes relevées et la fessée commença. Au début je criais et je pleurais comme ma cousine et mes jambes battaient l'air, puis la fessée s'arrêta et je senti que ma tante me déculottait.

C'est à cet instant que commença une sorte de jouissance, jamais oubliée depuis ; j'avais un très beau derrière, bien rond et pommé et le fait de le montrer à ma tante dans cette position m'excitait terriblement.

Maintenant, les claques tombaient avec la régularité d'un métronome ; le bras gauche de ma tante, qui avait encerclé ma taille, soutenait mon bas-ventre. Je crois que ma jouissance vint de la conjugaison de ces deux mains, l'une frappant avec force mes fesses offertes et l'autre très douce, séjournant très près de mon sexe. Ayant aussi reçu quelques bons coups martinet,

- soit gentille, sinon gare à la fessée ; restes un moment tranquillement sur mes genoux, comme à Agnès, je vais prendre ta température.

La température, je connaissais ; maman me la prenait assez régulièrement, cela ne me dérangeait pas, mais je n'y trouvais aucun plaisir particulier.

Agnès, revenue de la cuisine, tendit le thermomètre à sa mère, qui le secoua ; une main écarta doucement mes deux fesses, un doigt mouillé se posa sur mon étroite rosace, puis le bout du thermomètre s'insinua dans mon petit trou et tout doucement le tube de verre s'enfonça dans mon orifice plus profondément que maman d'habitude mais, à mon grand soulagement, pas aussi loin que pour Agnès.

Je n'imaginais pas jusqu'alors qu'un simple thermomètre, dans certaines circonstances, aurait pu me procurer autant de plaisir. De la même façon que pour sa fille, une ou deux fois elle retira un peu le thermomètre et le renfonça provoquant des palpitations à mon anus comme j'avais pu remarquer sur ma cousine.

Elle retira le thermomètre au bout de cinq minutes,

- pas de fièvre non plus.

Elle me redressa et me reculotta elle-même en me recommandant d'être bien sage…

Le soir dans notre chambre, je suis dans la même chambre que ma cousine, je demande :

- elle te prend souvent la température ta mère ?

- systématiquement après chaque fessée et de toute façon au moins trois fois par semaine ; d'ailleurs tu t'en apercevra vite.

- Ça te fait pas mal, le thermomètre si profondément ?

- non pas du tout, j'ai l'habitude, depuis toute petite, peu à peu, elle l'a poussé de plus en plus loin, elle fera pareil avec toi.

De plus, si le thermomètre ressort sali, on a droit à un lavement.

- Ça j'aime pas du tout, ça fait des crampes partout dans le ventre,

- mais non, de la manière dont elle s'y prend, ça n'est pas désagréable ; mais j'aime mieux le thermomètre et toi ?

- quand je l'ai vue te prendre la température, je n'en croyais pas mes yeux, surtout quand je me suis aperçue que ça te plaisait bien.

Puis quand elle a pris la mienne, j'ai ressenti du plaisir à recevoir le thermomètre ; c'était la première fois, c'était peut-être la fessée...

- tu veux qu'on essaye pour voir ?

- tu oserais me prendre la température ?

- avec plaisir cousine chérie,

- mais il ne faudrait pas se faire prendre en allant chercher le thermomètre,

- pas besoin, il y en a un dans ma table de nuit et je suis presque sûre que maman en a placé un aussi dans la tienne.

J'ouvre le tiroir et, effectivement j'en sors un thermomètre que je tends à Agnès, puis sur ses indications, je m'étends sur le côté, jambes repliées. J'entends le léger tintement du thermomètre secoué, puis ma chemise de nuit et relevée sur mon dos, la main de ma cousine se pose sur mes fesses,

- mon Dieu Jacqueline, qu'il est joli ton petit derrière !

Sa main le caresse longuement avant qu'elle ne se décide à m'introduire le thermomètre. De deux doigts elle écarte mes fesses, un doigt léger se pose sur mon petit trou pour y déposer un peu de salive, puis le bout pointu du thermomètre pénètre mon oeillet striés et, tout doucement, le tube de verre glisse dans mon tunnel.

- voilà, je l'ai enfoncé à peu près comme maman, sur un tiers environ ; tu le veux plus loin ?

- d'accord, mais arrête si je te demande.

De nouveau je sens thermomètre progresser dans mon derrière avec le même plaisir que tout à l'heure.

- voilà, tu en a la moitié, ça suffira pour aujourd'hui ; alors ?

- oh mon Dieu Agnès, ça me fait du bien, tu peux pas savoir...

- mais si ma petite, je sais ; bon tu vas le garder dix minutes.

De temps à autre, ma cousine retire un peu le thermomètre, puis le replonge, m'arrachant à chaque fois un soupir de satisfaction.

Enfin elle le retire et après avoir nettoyé l'instrument elle me demande,

- tu voudrais pas...

Et j'ai pris sa température à ma cousine, avec beaucoup d'émotion et de plaisir.

Effectivement, ma tante vérifiait régulièrement nos températures, le plus souvent le matin avant notre lever ; nous devions nous allonger et glisser notre oreiller sous notre ventre, elle relevait nos chemises de nuit et nous introduisait le thermomètre que nous conservions un bon quart d'heure.

Au bout de trois mois environ, je recevais le thermomètre aussi profondément que ma cousine sans que jamais ma tante ne m'aie fait mal.

C'est un de ces matins que je reçu mon premier lavement depuis longtemps.

Lorsque ma tante m'eu retiré le thermomètre,

- Jacqueline, reste dans ton lit, le thermomètre est sale, je vais t'administrer un lavement, Agnès tu vas le préparer.

- Tatie, je t'en supplie je veux pas, je te promets que je vais aller faire caca,

elle pose sa main contre mon dos et se met à me fesser à tour de bras, jusqu'à ce que je la supplie de me faire ce lavement.

Agnès étant revenue avec une grosse poire rouge surmontée d'une grosse canule avec une olive, ma tante se mit à m'introduire l'objet dans mon fondement qui l'accepta avec facilité, à mon grand soulagement ; je suppose que les fréquentes pénétrations du thermomètre avaient assoupli mon petit cratère et l'introduction de la canule ne me causa que du plaisir. Tout doucement la canule pénétra en totalité et avec surprise, la sensation du jet tiède ne me causa aucun désagrément bien au contraire. À quatre reprises, ma tante retira puis réintroduit la canule quatre fois pour bien vider la poire.

Elle m'obligea à rester étendue dix minutes avant de me laisser me précipiter aux toilettes.

LES PLAISIRS D'UNE EDUCATION SEVERE 2

Je demeurais une année chez ma tante et puis ma mère revint me chercher à la fin de l'année scolaire. Cependant, ma tante la convainquît que rien ne pressait, qu'il serait très bien pour nous de rester avec elle au moins pour les vacances.

Maman s'est laissé convaincre et pour encore plusieurs mois nous avons pris pension chez cette sœur.

Bien sûr il était hors de question que tante Joséphine puisse changer ses méthodes d'éducation ; au bout d'à peine deux jours, Agnès et moi avons encouru les foudres de nos maman et nous nous sommes retrouvées couchées sur leurs genoux ; maman se cala sur sa sœur et nous reçûmes une fessée magistrale ; lorsque sa sœur sortit le martinet, maman sembla déconcerté, mais quant Joséphine le lui tendis, convaincue elle ne se fit pas faute de me flageller.

Agnès était demeurée sur les genoux de sa maman et quand la mienne l'interrogea, elle se contenta de sortir de son tablier deux thermomètres ; elle en tendis un à maman,

- après chaque fessée, je prends la température.

- mon dieu, pourquoi pas…

Après une seconde de flottement, elle saisit le thermomètre, le secoua et, comme elle le vit faire à sa sœur, l'humidifia de salive et me l'introduisit doucement comme elle en avait l'habitude ; elle écarquille les yeux en remarquant que Agnès recevait son thermomètre presqu'entièrement :

- tu l'enfonce pas trop loin, ce thermomètre ?

- penses-tu, elle y est habituée depuis longtemps, ta fille aussi d'ailleurs…

- c'est vrai ma chérie ?

- oui maman et ça fait jamais mal.

Je sentis le thermomètre glisser tout au fond de moi avec le plaisir accru que c'était ma maman…

Maman calqua son attitude sur sa soeur ; chaque fois que ma tante consultait le thermomètre en le retirant un peu, je sentais l'occupant de mon derrière reculer. Ainsi deux ou trois fois durant la prise température, le thermomètre fit quelques aller-retour dans mon tunnel sombre.

Trois jours plus tard, nos mamans sont venues nous réveiller, pour une prise de température matinale ; ma tante se chargea de moi et c'est avec un plaisir non dissimulé, que maman glissa le thermomètre dans le cratère de sa nièce.

C'est environ deux mois après, à la suite d'une prise température après la sieste, que maman ayant constaté des traces sur le thermomètre, m'administra un lavement, sur le conseil de sa soeur, avec la poire munie de la canule à grosse olive,

- tu ne crois pas que cette canule est trop grosse pour son petit œillet ?

- rassure-toi, ce ne sera pas la première fois pour elle ; toutes les fois où le thermomètre a été sali, Jacqueline a reçu un lavement avec cette canule.

Doucement mais fermement, la grosse canule força mon passage et me pénétra complètement ; maman pressa la poire, toujours doucement et le flot tiède m'envahit lentement tandis que la canule se retirait à moitié, puis rentrait à nouveau.

Quand l'eau cessa de couler, maman retira la poire, la laissa se regonfler, puis de nouveau me l'enfonça dans le derrière tout en la pressant ; deux fois encore la canule me quitta et me pénétra avant que la poire ne fut vide.

Comme pour le thermomètre, mon plaisir de recevoir le lavement des mains de maman fut encore plus grand.

- félicitations, Thérèse, tu administre des lavements à la perfection.

Deux mois passèrent et en septembre il fut décidé que nous resterions encore au moins une année chez ma tante et je fus inscrite à l'école du bourg.

À quinze jours de la rentrée, avec ma cousine nous nous sommes allées à la librairie pour acheter des fournitures.

Revenues plus tôt que prévu, arrivées à la maison, nous avons entendu des éclats de voix à l'intérieur. Nous approchâmes en silence pour écouter ;

- Thérèse si tu continue, tu n'y coupera pas d'une bonne fessée,

- mais tu es folle, je ne suis plus une petite-fille et je suis ta soeur.

- nous allons voir ça !

Agnès m'entraîna derrière la maison où nous vous avons pu entrer discrètement et nous glisser dans la cuisine afin d'observer ce qui se passait dans la salle à manger.

Lorsque nous avons réussi à regarder, maman était basculée sur les genoux de sa soeur,

- nooooon je t'en supplie, j'ai passé l'âge !

Mais ma tante la tenait bien et relevant sa jupe sur son dos, lui asséna une dizaine de claques sur son gros derrière enveloppé d'une culotte saumon ; d'un coup sec, elle abaissa la culotte à mi-cuisses et malgré les soubresauts de maman, reprit la fessée de plus belle jusqu'à ce que le popotin vire au cerise et que maman soit en pleurs.

- tu crois qu'elle va lui prendre sa température ?

- Ça m'étonnerait pas plus que ça.

Après avoir apprécié avec la main l'état des demi-lunes elle commenta,

- te voilà avec les fesse cerises ; comme c'est la première fois, je t'épargne le martinet, mais je vais tout de même te prendre ta température, il n'y a aucune raison pour que tu y échappe !

Maman protesta avec véhémence, tenta de ruer et de se dégager mais quelques nouvelles claques la rendirent coopérative ; elle se laissa écarter les fesses, puis introduire le thermomètre que sa sœur lui enfonça complètement.

D'ou nous étions, nous pouvions apercevoir entre les fesses maintenues écartées, le doigt posé sur la rondelle sur un bout de verre brillant.

Maman était secouée de sanglots, mais ne se dérobait plus ; de temps à autre, ma tante relâchait le thermomètre qui était expulsé lentement ; elle le saisissait et le sortait à moitié pour le consulter et lui faisait reprendre sa place.

Au bout de dix minutes, elle délivra sa sœur de son pal,

- pas de fièvre ; tu es idiote Thérèse, de vouloir refuser de te faire prendre la température par moi. Pour autant que je me souvienne, quand tu était petite, tu aimais ça ; tu inventait n'importe quoi pour que maman où même papa t'introduise le thermomètre ; souviens-toi même que nous avons joué à ce jeu toute les deux…

d'ailleurs si j'en juge par l'état de ton oursin, ça n'a pas changé…

Pour ta gouverne, sache que je suis décidée à t'administrer des lavements en cas de thermomètre sale…

Comme la séance se terminait, nous nous repliâmes en silence. Nous sommes rentrées quelques minutes plus tard par devant la maison.