Un soir Laurent arrive de son travail, Cécile qui est déjà arrivée s'est préparée de la manière qu'il adore : elle a fait des couettes, mis un chemisier blanc à manche ballons, une jupette écossaise un peu aguicheuse sous laquelle elle porte une culotte de fillette, des socquettes blanches et ballerines. Une fois quitté sa veste et arrivant dans le salon, il voit Cécile habillé de la sorte, lui dis bonsoir et autres banalités d'usage, comme si de rien n'était.

Il s'assoit confortablement sur le canapé, Cécile viens se blottir contre son épaule.

"Alors ma chérie, raconte moi ta journée"

demanda Laurent.

"Oh rien de spécial, une bonne journée dans l'ensemble. Au boulot, j'ai pris quelques initiatives sur..."

"C'est pas ça a tu reçu un mot de ton professeur ou autre chose ?"

Coupât immédiatement Laurent

"Bien c'est à dire.."

"C'est à dire quoi, ne cherche pas à me cacher quelque chose, je le verrai de suite, alors je t'écoute."

"Et bien tu a reçu du courrier"

"Allez amène moi ça avant que je me fâche, je n'aime pas que tu ai des choses à me cacher"

Cécile avait écrit une lettre comme si celle-ci venait du CPE de son collège.

La lettre disait

Cher Monsieur Dupond,

Par la présente je vous informe du comportement de votre fille en classe. Cela fait plusieurs jours que Cécile bavarde pendant les cours, n'écoute plus ses professeurs et perturbe par la même occasion les cours.

Cela de manière répétées, malgré les différentes remarques de ses professeurs, Cécile continue.

Mais Mardi 23 septembre elle a dépassé l'entendement et avoua avoir volé un stylo à une camarade de classe.

Nous avons pris les mesures nécessaires, elle a reçu une fessée de 12 coups de badines dans le bureau du CPE.

Cordialement.

Amandine LEBLANC CPE Collègue Louis LEGRAND

"Et bien c'est du propre tu vole maintenant !!! tu a reçu une correction à l'école, très bien, mais c'est pas fini. Sais tu ce que tu mérite maintenant ?"

"Une fessée ?" répondit Cécile.

"Tu sais très bien ce que tu va recevoir, alors tu me dis ce qu'il va se passer maintenant."

"Monsieur j'ai mérité une fessée"

dit Cécile.

"Bon c'est mieux, mais c'est pas encore fini" dit Laurent d'un air interrogatif.

"Monsieur je me suis montré vilaine et j'ai mérité une bonne fessée. Je dois recevoir une bonne leçon."

"Tu va chercher la ceinture et tu va dans ta chambre."

"Non Laurent..."

"'Pardon ?!!! J'ai pas bien compris !"

Dit Laurent

"Excusez moi monsieur je ne le ferai plus."

répliqua Cécile en baissant les yeux.

"Bon je préfère".

Le jeu était de traiter Cécile comme une vilaine petite fille ayant besoin d'autorité.

"S'il vous plait monsieur, pas la ceinture, ça fait trop mal"

"Ah bon ?" "mais une fessée n'est pas sensée être douce".

Répondit Laurent,

Cécile mérite sa punition, elle l'aura. cherchant à éviter les cinglades à la ceinture, elle essaye tout de même d'échapper, mais supplier ne fera pas changer la situation.

"Et bien pour avoir répondu et ne pas accepter ta punition, tu passera prendre aussi la raquette de ping-pong dans le garage."

Cécile avait l'air toute penaude, regardant le sol et tournait son pied. Elle n'en attendait pas moins.

"J'attends que tu me dise ce qu'il va se passer maintenant"

demanda Laurent

"J'ai mérité une bonne leçon monsieur. Je vais recevoir une fessée pour m'être mal comportée. Je le ferais plus, je vous jure"

"La dernière fois aussi tu a juré aussi et la situation s'est aggravée. Bon va te préparer pour l'instant"

Sur ces mots Laurent reparti sur le canapé, il arrivera dans la chambre une dizaine de minutes plus tard.

Cécile de son côté connaissait le rituel : tout d'abord aller chercher les instruments. Elle commença par la ceinture. pour cela elle se dirigea vers l'armoire dans la chambre où se trouvait une ceinture de cuir marron. Celle ci était assez épaisse, large de 7 à 8 centimètres et longue d'un mètre. Ce qui faisait la différence c'était la qualité du cuir, épais et très souple ce qui rendait la morsure très profonde, large et cuisante. Cette ceinture ne servait que pour la fessée, elle n'a jamais tenu un pantalon, elle avait une marque de pliure à la moitié de sa longueur.

Cela donnait déjà quelques sensations à Cécile lorsqu'elle se saisit de son instrument de torture, elle ressentait déjà des picotements entre ses cuisses à l'idée de recevoir le cuir sur ses fesses.

Vint ensuite le moment d'aller chercher la raquette de ping-pong, la paddle. Elle se rends dans le garage et saisi la raquette et remonte dans la chambre.

Une fois arrivée dans la chambre, elle pose les instruments sur le bord du lit, attrape les deux gros oreillers, place le premier bien à plat au centre du lit, saisit le second et le plie en deux et le pose sur le premier.

Les conditions sont réunies, Cécile attends patiemment l'arrivé de son chéri assise au bout du lit.

Elle caresse la ceinture. comment autant de douceur peuvent se transformer en de telles douleurs ? L'attente paraissait bien longue. Qu'allait t'il pouvoir me faire, Cécile avait des papillons dans l'estomac et ressentais des picotements dans sa culotte.

Au contact de la ceinture et de la raquette, elle pensait à ses fesses qui allaient être dénudées, s'offrant à la fessée.

La fessée ne se résume pas simplement des coups douloureux, c'est tout un environnement, une atmosphère qui se dégage.

Sa main libre vérifia l'humidité de son entre jambe. Les contacts simultanés de ses main entre instruments et sa vulve la faisait mouiller davantage encore, fermant les yeux et se voyant en train de supplier son chérie, les larmes aux yeux, toute son intimité exposée, gigotant ses bras et ses jambes. Demandant pardon pour les fautes commises aussi fictives soient elles.

Elle entendit les pas arriver, remit ses mains à côté d'elle.

"Bon je vois que tout est prêt"

Dit Laurent.

"Tu veux ajouter quelque chose pour te faire pardonner ?"

Elle était toute excitée, lui aussi sans aucun doute.

"Monsieur je suis prête pour recevoir ma correction. Je mérite une bonne fessée pour les fautes que j'ai commises ; je n'ai pas bien agit et mérite la leçon que vous allez me donner."

Elle aperçut dans sa main un étui qu’elle savait contenir un bon vieux thermomètre à mercure ; cela ne lui avait pas échappé, elle savait d'avance qu'elle aura droit, avant ou après la fessée à une prise de température, loin dans son anus pendant au moins 5 minutes. Elle devinait aussi la bosse devant dans son pantalon.

"Maintenant mets toi en position"

Dit Laurent, et Cécile s'exécuta, elle s'allongea le long du lit en travers des coussins, ce qui surélève bien ses fesses. Une fois couchée sur le ventre, elle relève bien haut sa jupette ce qui dévoile bien sa petite culotte blanche en coton portée avec beaucoup de candeur. Le point de vue de Laurent est imprenable. Il pose l’étui contenant le thermomètre juste dans le champ de vision de sa bien aimée, afin qu'elle devine facilement la suite.

"Bon une bonne fessée est donnée déculottée, cela t’aidera à te souvenir à ne pas faire de bêtises à l'avenir."

"Oui monsieur"

sur ces mots, il se pencha pour saisir l'élastique de la culotte, d'un mouvement de ses 2 mains assez lent mais ferme il descendit la culotte de la pauvre Cécile en bas des cuisses, celle ci l'aida en soulevant un peu le bassin pour faciliter le passage. Une fois baissée, Cécile se réajusta en écartant ses cuisses autant que la culotte pouvait le permettre laissant ainsi toute son intimité bien exposée.

Laurent commence par caresser ses fesses et remarque que sa vulve est bien luisante.

"Tu n'est qu'une chienne lubrique"

lui dis Laurent

"Nooon"

lui marmonne Cécile qui sent l'air lui passer sur les fesses.

Cette position est idéale pour le fesseur et très excitante pour la châtiée.

Laurent saisit la ceinture et annonce la sentence.

"Je vais un peu te chauffer les fesses puis tu recevra 60 coups de ceinture et 40 de paddle"

"Oui monsieur" répondit elle la tête dans les coussins. Il commença à donner quelques claques à la main. tout doucement alternant chaque fesses à chaque fois. Puis il augmenta le rythme et commença à claquer fermement ce postérieur et ainsi atteindre une teinte rosée.

"Maintenant tu est prête, tu va compter chaque coup"

Il saisit la ceinture, la lève à hauteur d'épaule et la fait retomber,

SLAP, "Un" la première morsure est cuisante, très douloureuse.

SLAP, "Deux", puis cela s'enchaîne.

SLAP, 'Trois', SLAP 'Quatre', SLAP...

Une bonne série s'enchaîne toutes les 5 à 6 secondes.

Les traces laissées sur les fesses sont typiques de la ceinture, les fesses sont rougies par bandes.

Cécile gigote beaucoup, grimace sous la cadence des coups de ceinture ; pendant de brefs temps d'arrêts il la sermonne.

"J'espère que tu retiendra ta leçon"

SLAP 'Vingt six... SLAP 'Trente'

Puis il marque une pause

"Tu mérite une bonne leçon,"

il passe sa main sur ses fesses rougissantes.

"Oui, je l'ai mérité"

répondit elle. Il continue de caresser ses fesses, remarque qu'elle ouvre bien ses cuisses et descends sa main petit à petit.

Ce répit l'excite beaucoup, elle sent ses fesses exposée, ressentant l'air frais et la main de son chéri passer délicatement ; la sensation est exquise.

La chatte est toute mouillée puis il descend dans le creux des fesses écarte la raie d'une main et débusque son petit trou, tout mignon, tout sensible ; de l'autre il descend d'une fesse dans la raie toute offerte et passe sur l'oeillet, le caresse un peu. Elle un peu haletante de se sentir autant aimée s'offre du mieux quelle peut avec sa culotte aux genoux. La main se balade, un doigt se hasarde dans l'anus, commence à le pénétrer

"Oh ouiii"

soupira t'elle.

Il n’insiste pas et descend et touche sa vulve, celle ci est toute humide et demandeuse d'autre chose. Il introduit un doigt sans mal dans le vagin

"Hummmmmm"

expira t'elle.

"Ta punition n'est pas finie mademoiselle"

Dit Laurent.

"Oui j'ai vraiment mérité ma fessée, punis moi"

dis elle en bougeant son bassin autour du doigt.

Il retire son doigt, nul besoin d'autre démonstration pour sentir l'excitation de Cécile, elle est prête à exploser d'extase.

"Il te reste encore 30 à venir, sans compter la paddle, ce ne sera pas nécessaire de compter"

SLAP, SLAP, les coups étaient un peu plus durs, la pause avait un peu refroidi ses fesses mais la ceinture s'occupait de lui rappeler ses fautes.

Elle tortillais son corps de plus en plus mais ne cherchait pas à éviter les coups. Après chaque claque, elle serrait un peu les fesses sentant pénétrer la chaleur des coups de ceinture.

SLAP, SLAP, cela ne semblait plus s'arrêter, mais la douleur n'etait plus vraiment de mise, ce sont les 10 premiers coup qui font le plus mal ; par la suite c'est le sentiment de chaleur qui l'envahi. Sa vulve est toujours aussi mouillée ; seul le bruit du cuir sur sa chair tendre résonne dans la pièce ponctué par des gémissements plus ou moins fort selon l'intensité des coups.

Tout les 10 coups environ, Laurent inspecte un peu le travail. Profite pour écarter la raie. Cécile se cambre toujours un peu plus dans ces moments là.

Cécile glisse une main sur son pubis et commence à caresser son clito, elle est en transe.

Les 60 coups de ceinturons sont finis, Laurent s'assoit à côté de Cécile, lui caresse les cheveux, descend sur les fesses, la main de Cécile est toujours à l'oeuvre. Il la retire et s'installe à sa place.

"Maintenant je vais prendre ta température, comme il sied pour une petite fille, écarte bien tes fesses."

Dit Laurent.

"Oui monsieur"

lui répondit elle ; elle s'exécuta. Elle saisit chaque fesse à la lisière des cuisses et les écarte doucement laissant le champ libre à la vue de son intimité. Elle est offerte, son anus en première ligne.

Il saisit l’étui, en extrait le thermomètre, lui donne un coup de salive et commence à l'enfoncer dans la pastille de Cécile qui n'attends que ça. Il l'enfonce tout en le tournant, puis le renflement du thermomètre butte sur l'anus. Elle écarte un peu plus ses fesses, pousse un peu comme pour faire caca, Laurent n'a aucun mal à l'enfoncer plus loin, le passage du thermomètre donne de très bonnes sensation à Cécile.

"Il est bien en place, tu peux relâcher tes fesses"

"Combien te temps dois-je le garder Monsieur ?"

Demanda Cécile

"Cinq minutes feront l'affaire, regarde à 14 minutes sur le radio réveil"

Laurent se leva et revint muni d'un mini plug et de gel intime.

Cela donna le sourire à Cécile qui adorait avoir son cul occupé.

Laurent saisi le thermomètre et le maintiens en position le tournant un peu de temps en temps, l’enfonçant davantage ; cela procure des sensations.

Au bout de 5 bonnes minutes, il sort le thermomètre de l'intimité et vérifie la température,

"37,5"

Annonça-t-il.

"Tu est un peu chaude, un suppo d'aspirine fera l'affaire, pour le moment la paddle arrive"

Il lubrifia le plug, et lui introduit délicatement. Fit quelques aller retours pour bien l'ajuster.

"Et bien on va finir en beauté avec la raquette."

Dit Laurent.

"Ouiiii Monsieur"

Réponds Cécile.

Après quelques tapes, les choses sérieuses commencent.

Du haut des fesses au milieu des cuisses la raquette s'évertue à ne laisser aucune zone blanche.

"Pour les dix dernières tu va les compter, n'en oublie pas, ça ne ferait qu'en rajouter, n'oublie pas de me remercier"

"Oui monsieur",

répondit en commençant à sangloter.

La raquette est plus douloureuse qu'elle ne le pensait, ses fesses commençaient à être très rouge et des boursouflures apparaissaient. C'était dur de garder son calme.

PLACK,

"UUnn... Merci monsieur"

PLACK,

"Deeeux... Merci monsieur"

PLACK,

" Tttrois... Merci monsieur"

PLACK,

"Quaaaaatre... Merci monsieur"

PLACK,

"Ccccinq... Merci monsieur"

PLACK,

"SiIIIiix... Merci monsieur"

PLACK,

"Sept... Merci monsieur, prête pour la suivante"

PLACK,

"Huuuuit... Merci monsieur"

PLACK,

"Neuuuff... Merci monsieur"

PLACK,

"Diiiix... Merci monsieur"

Cria t'elle ; elle sanglotait à chaudes larmes, elle restait là sans plus bouger, ses mains sur son visage.

Laurent s'assit à côté d'elle, lui caresse les cheveux.

"J'ai mérité cette fessée, merci Monsieur, je serais plus sage à l'avenir, j'ai bien retenu la leçon"

disait-elle en sanglotant ; tout allait bien.

Laurent descend sa main et caresse ses fesses à présent, s'enfonce dans sa raie et maintient bien le plug en place.

"Ouiiii"

soupira elle entre 2 sanglots.

"Maintenant tu va aller dans le coin dans le salon"

Il la prit pas le bras, l'amena dans le salon, elle se dandinait comme elle pouvait avec sa culotte aux genoux.

Il remonta sa culotte, la mit au piquet à genoux. Il remonta bien la jupe, rabaissa sa culotte, elle écarta ses cuisses.

Petit à petit elle se calma.

Laurent reviens avec un suppositoire de paracétamol et le thermomètre.

Il l'appela et la fit placer sur ses genoux, comme pour une fessée, sauf que cette fois, il enleva le plug, remarqua une petite trace marron. Il introduit le suppositoire.

et repris à nouveau sa température, le thermomètre bien enfoncé à la moitié.

Elle relâcha ses mains pendant que lui tenait le thermomètre, le faisant tourner de temps en temps, puis l'introduisant plus profondément, le retirant et le repoussant.

"Je sens que la prise de température va durer,"

dit Laurent ; Cécile ne sanglotais plus mais sa vulve était encore toute mouillée, la prise de température aidant. Il profitait pour caresser sa chatte

"Il va falloir penser à s'occuper de ces poils ma chérie, une petite fille a un abricot lisse. Il y a aussi un nettoyage à faire dans tes fesses aussi."

"Oui, je me sent un peu ballonnée en ce moment, un lavement me fera du bien."

Il caressait ses fesses toutes chaudes, Cécile avait des sensations absolument fabuleuses.

Après vingt minutes, il ôta le thermomètre

"37°9, c’est beaucoup, file dans ta chambre te reposer"