L'ecusson rouge
L'ecusson rouge
Extrait d'un livre paru dans les années 60
Chapitre 1
Se levant, elle rejoint son élève et s’assoit à ses côtés. Nicole, dont le chagrin s’apaise, éprouve une frayeur profonde lorsqu’elle sent le lit qui se creuse auprès d’elle sous le poids de sa gouvernante. Elle ratatine son derrière, s’attendant à recevoir un nouveau châtiment. Mais non ! La jeune femme détache sa robe, la rabaisse, l’attire sur ses genoux, la nichant contre sa poitrine. La gamine éprouve un plaisir qu’elle ne peut définir lorsque sa maîtresse la prend ainsi. Volontiers, elle lui pardonnerait sa sévérité pour ces instants, trop courts à son gré, où elle la berce comme un bébé. Sans savoir pourquoi, elle écarte les cuisses, permettant à sa correctrice d’en caresser l’intérieur, de remonter jusqu’à son ventre en frôlant au passage la naissance des deux replis collés l’un à l’autre et constituant ce qu’elle et ses copines appellent le conin. Laura le connaît bien, le colibri de Nicole ; c’est pour elle un véritable plaisir lorsqu’elle assiste à la toilette intime de son élève et la regarde. Une fois essuyé et avant de lui enfiler sa chemise de nuit, de retour dans la chambre, elle couche la môme sur ses genoux, lui écarte les cuisses et l’inspecte en décollant les lèvres renflées sous prétexte de s’assurer de sa parfaite propreté. Cependant, elle ne prolonge pas outre mesure ses palpations, craignant de procurer à la gamine des voluptés trop fortes pour son âge et qui lui feraient perdre l’ascendant qu’elle exerce sur elle. Elle préfère que Nicole découvre seule la masturbation, ou avec ses petites camarades, sachant par souvenir personnel qu’ayant goûté à au plaisir solitaire, la gamine ne pourra plus s’en passer. Et elle espère la surprendre un jour prochain dans la position scabreuse qui lui fournira un excellent prétexte pour la corriger. Elle rêve aussi de surprendre Nicole avec une petite amie … Pour l’instant, elle continue de la câliner.
- Tu me sembles fébrile,
dit-elle, pour couper court aux soupirs voluptueux de la gosse qui se trémousse sur ses genoux,
- je vais te prendre ta température.
La fillette y est habituée ; régulièrement Laura se sert de ce prétexte pour écourter les câlins…sans oublier le cas ou il est nécessaire de vérifier qu’elle n’a pas de fièvre.
Du tiroir de la table de nuit, elle sort un thermomètre dans son étui d’ou elle le retire. Elle le pose à côté d’elle, repousse Nicole en arrière, la trousse et la retient par la taille en lui ordonnant d’écarter les cuisses. Délicatement, elle introduit l’extrémité du thermomètre dans le petit oeillet plissé, puis poursuivant son geste, l’enfonce de plus en plus, jusqu’à la moitié. Ceci fait, au lieu de le laisser en place, elle lui imprime un léger mouvement d’avant en arrière, exécutant . une discrète sodomisation du rectum de son élève. Tout en remuant la main, elle reluque le tableau offert à son regard.
Laura utilise souvent cette position ; parfois en relevant les cuisses sur le torse de son élève, « à la bébé »
Bien ouverte, Nicole expose sa vulve proéminente, délicieusement fendue, lisse et polie comme un œuf, par-dessous son anus étroit d’où entre et sort la tige de verre.
Au fur et à mesure des mouvements, le tube de verre à pénétré plus loin dans le derrière offert.
Troublée, Nicole s’abandonne à l’étrange caresse, les babines de son chat se joignent, se dilatent, se séparent, laissant perler quelques gouttes d’humidité. Après environ cinq minutes, Laura retire le thermomètre et, profitant que la fillette ne peut la voir, elle le porte à ses narines, respire le verre échauffé par le séjour dans l’intestin et rendu odorant par la matière fécale qui en souille l’extrémité.
- 36°8, pas de fièvre, je m’alarmais à tort ! Néanmoins, je constate qu’un petit lavement ne te ferait pas de mal. Je vais le préparer sur-le-champ !
- Oh, non ! gémit la fillette.
- Cesse de faire la sotte ! Tu sais pertinemment que tu en passes toujours par mes volontés. Alors, exécution ! Se dégageant, elle gagne la salle de bains où un réchaud électrique permet de chauffer de l’eau. Quand l’eau bout, elle coupe l’électricité, puis va rejoindre Nicole.
- Comment, toujours debout ? .. Vilaine effrontée paresseuse ! Tu attends . sans doute que je te place moi-même en position ! …
- Pas de lavement, s’il vous plaît !
bredouille la gosse.
- Mais si, ma chérie. II me plaît au contraire de te le donner, de plonger la canule dans ton derrière … De t’irriguer les intestins …
Laura s’assoit sur le lit et attire Nicole entre ses cuisses.
- Maman ! … Maman !
gémit-elle entre deux hoquets. Nicole est nue, à l’exclusion de ses chaussettes noires et, le corps agité de soubresauts convulsifs, elle pleure à gros sanglots.
- Pipi… pi … pi … pipi,
gémit Nicole,
- Pitié ?
ricane Laura
- Non, pipi … J’ai envie de faire pipi !
- Ah ! bon …
Allongeant le bras, elle ouvre la table de nuit, en sort un pot de métal émaillé qu’elle place sur un tabouret. Se levant, elle passe derrière la fillette et se penche pour l’empoigner sous les cuisses ; alors elle la soulève et l’amène, jambes grandes ouvertes, au-dessus du pot.
– Allez, Nicole, faites votre grosse pissette ! Allez, petite pisseuse … Faites vite psitt… psitt … Psitt … Faites votre gros pipi … Psitt … psitt … psitt …
La môme n’a pas besoin de ces encouragements pour uriner ; aussitôt en position, elle fait pipi…
- Nous allons peut-être pouvoir achever notre besogne … Je vais d’abord te refesser puis je prendrai à nouveau ta température ; ensuite, je te donnerai le lavement promis et, tout de suite après, Une bonne fouettée au martinet. Elle bascule Nicole en travers de ses cuisses et elle reclaque vigoureusement l’arrière-train de la gamine.
Celle-ci, au bout de quelques minutes, cherche à soustraire son cul à la main cinglante qui le corrige sévèrement.
Laura cesse la fessée, reprends le thermomètre, écarte les petites fesses de Nicole pour dénicher le petit cratère qu’elle transperce avec le thermomètre. Cette fois elle l’enfonce encore plus profondément, toujours aussi doucement ; mais cette fois elle ne l’agite pas ; elle se contente de maintenir les collines écartés et l’instrument médical en place pendant dix minutes ; puis elle l’ôte.
- 37° bon c’est normal.
Elle pousse Nicole sur le lit et se relève, puis l’abandonne pour aller dans la salle de bain d’ou elle revient tenant religieusement le bock à lavement.
Elle le pose sur la table de nuit, s’assoit à côté de Nicole, se penche , maternellement sur sa croupe pour lui écarter à nouveau les fesses ; lentement, elle les sépare, dénichant la pastille étroite. Alors, les tenant toujours écartées de la main gauche, de la droite, elle saisit la longue canule d’ébonite, l’approche du trou mignon et l’introduit dans l’intestin où elle la plonge très lentement mais en entier. Un instant, elle contemple l’engin planté dans la grosse lune, puis manœuvre le petit robinet permettant à l’eau de s’écouler. Elle empoigne ensuite les deux fesses rougies et observe la pastille qui se crispe et palpite autour de la canule. Quand la paquerette de la fillette essaye de la rejeter, elle est obligée de l’enfoncer à nouveau, ce qu’elle accomplit avec beaucoup de plaisir. A plusieurs reprises, elle interrompt l’écoulement, agite un peu le tube d’ébonite puis rouvre le robinet Enfin, la dernière goutte du bouillon est avalée. Laura permet à Nicole de s’éclipser dans la salle de bains ; la môme s’y précipite pour se soulager … Penaude, les yeux baissés, Nicole revient dans la chambre.
- Parfait ! Viens t’allonger à plat ventre à côté de moi, que je me rende compte si tu t’es bien essuyée !
écrie-t –elle en la voyant. Nicole obéit. Elle se couche en travers du lit, offrant la rondeur de son cul. Vanessa empoigne les deux fesses, les sépare, démasquant la vallée étroite. Longuement, elle l’examine et, la trouvant à sa convenance, elle se relève, empoigne la gamine par la taille, l’attire contre elle puis, se saisissant du martinet, commence la fessée…
Chapitre 2
Tout le monde s’approche. Grâce au miroir sans tain, on découvre un autre salon en tous points semblable à celui où nous avons mangé des pâtisseries, tout à l’heure. Une fillette prend son goûter avec sa maman. La mère repousse sa tasse de thé, allume une longue cigarette à bout doré.
- Alors, Denise, ce carnet, tu l’as ? .
- Oui maman,
répond la gosse en baissant le nez.
- Fais-le voir, puisque nous avons fini !
- Si tu veux.
- Tu manques d’empressement. .. Il doit encore être beau.
La môme se résigne à se lever, Elle doit avoir douze ou treize ans. C’est une gentille brunette, très potelée. Elle porte un tablier noir serré à la taille et de longues chaussettes blanches. Elle ouvre son cartable, en sort lentement un carnet à la couverture rose qu’elle tend à sa mère d’un geste hésitant. Sur le moment, la mère ne dit rien. Elle regarde sa fille d’un air sévère. Puis elle baisse les yeux sur le carnet, l’ouvre et commence à le parcourir.
- Je m’en doutais ! Encore un zéro en mathématiques !. .. Tu sais ce qui t’attend !
- Oh, non, maman ! Pas aujourd’hui. Hier soir, Miss Pénélope m’a fouettée et je le sens encore
- Et alors ? C’est que tu le méritais !
- Non … non … je t’en supplie ! .
- Écoute, j’ai peu de temps à te consacrer, alors cesse ta comédie !
En disant cela, elle recule sa chaise et pivote sur les fesses. Elle empoigne Denise et J’attire entre ses cuisses. La gosse se débat sauvagement. La mère déboutonne le bas du tablier. Dans l’ouverture ainsi pratiquée, se découpent deux croissants de lune, un peu à la façon d’une culotte fendue. Sa main gauche s’empare de la ceinture de la culotte. Le vêtement intime sculpte les deux rondeurs jumelles fortement rebondies. Elle plaque son autre main au centre de la mappemonde et la caresse, une longue et large main aux doigts fuselés à la peau ambrée. Malgré sa terreur, Denise desserre les cuisses. Nul doute que les caresses maternelles produisent sur sa chatte un effet troublant. Brusquement, la main frôleuse se lève et assène une claque retentissante. Denise pousse un long cri. Mais la fessée se poursuit. Durant quelques minutes, les claques pleuvent durement sur ses fesses. Elle cesse enfin. La mère caresse sa fille, la tourne, la retourne et la penche en arrière. Quelques minutes se passent ainsi, au cours desquelles la croupe apparaît peu à peu. Voici la culotte juste sous les fesses. On distingue le ventre grassouillet. De nouveau, la culotte descend, dévoilant le devant de la gamine. Entre les deux cuisses rondelettes, se profile la naissance de la barquette. Quand le chiffon blanc atteint les genoux, sa mère lui lève les jambes. Cette fois, on n’ignore plus rien de son anatomie. Son délicieux petit mont, lisse comme un œuf, proéminent, épais, renflé, fendu de deux lèvres parfaitement ourlées, s’étale sous les yeux lubriques qui le scrutent. Grâce à la position, on distingue également le petit trou du cul.
- Dis, ma poulette, tu n’oublies pas de faire ta toilette intime ?
interroge la maman,
- Non,
répond Denise d’une voix sourde.
- C’est bien vrai ?
- Je te le jure !
- Je préfère m’ en assurer.
Les spectateurs, les yeux exorbités, suivent fiévreusement la progression du doigt dans la conque aux lèvres vermeilles, un peu luisantes d’humidité. La perverse appuie l’extrémité de sa phalange sur le bouton. Denise frémit de la tête aux pieds, ses cuisses se crispent. Délaissant la figue, le doigt s’attaque à petite rosace. Pour mieux l’examiner, la maman penche encore davantage la gosse en arrière. La pastille étroite se dévoile, terriblement appétissante, mais rigoureusement propre. Après en avoir suivi le tour, le doigt fureteur force doucement le sphincter. Il s’enfonce dans le rectum. La mère le retire, l’inspecte, le flaire. Elle le replonge dans le petit orifice. Cette fois, elle le tourne à l’intérieur, le fait entrer et sortir. La gosse se trémousse.
- Cesse de gigoter ainsi !
Devinant Son trouble, la mère retire son doigt. Sans un mot, elle retourne la gamine à plat ventre sur sa cuisse. Elle lui relève davantage les jupes
- tu me semble bien rouge ; comme tu es en bonne position, je vais en profiter pour te prendre ta température. Tu sais qu’il y a toujours un thermomètre pour toi dans mon sac.
- Non maman, je t’en supplie, j’ai horreur de ça !
Sans rien dire, elle sort l’étui et retire l’instrument, le secoue longuement, le suce soigneusement. De deux doigts elle écarte les deux globes fessiers, pose le bout argenté sur le minuscule cratère et enfonce doucement le tube de verre dans le derrière de Denise.
Le thermomètre glisse de plus en plus loin,
- maman arête ! tu l’enfonce trop !
- tu n’en a même pas la moitié ; j’ai bien vu hier matin comment miss Pénélope s’y prenait…
Quand le thermomètre eut disparu d’un peu plus de la moitié de sa longueur dans les profondeurs fessières, la maman de Denise laissa le tube de verre en place, mais de son autre main tint ouvertes les fesses de sa fille.
L’œillet rose,crispé et palpitant autour du thermomètre, était parfaitement visible ; peu à peu il repoussait son envahisseur.
Sylvie, la maman se faisait un plaisir de renfoncer le visiteur et chaque fois un peu plus loin. Au bout des dix minutes que dura la prise de température, le thermomètre était entré aux trois quarts. Elle le retira enfin le consulta,
- bon pas de fièvre.
Reprenons ou nous en étions.
Et, sur sa grosse lune rebondie, elle fesse superbement. La fessée donnée tout à l’heure sur le fond de la culotte de coton n’était qu’un aimable aperçu de ses talents. Après La mère corrige encore quelques minutes, puis s’arrête.
Chapitre 3
Elle revient peu après, tenant un bock, accompagnée d’une jeune assistante qui porte une cuvette et des serviettes éponges. La jeune femme qui sait que ces séances se terminent toujours par une toilette de ses parties intimes ne réagirait pas si elle ne voyait pour la première fois celle qui accompagne la servante. Elle lance Un regard interrogateur dans sa direction.
– Ne faites pas cette tête-là, Sylvie, Il s’agit de Cathy, une nouvelle, embauchée par Madame depuis hier seulement.
dit la soubrette.
Sylvie ne trouve rien à répondre, sinon qu’elle trouve Cathy bizarre. Elle n’a pas l’apparence d’une soubrette. De taille élancée, vêtue d’une robe en lainage gris, des cheveux blonds . contenus sur la nuque par une résille, elle a quelque chose d’indéfinissable qui suggère qu’elle a davantage l’habitude de commander que d’obéir.
Néanmoins, Sylvie se couche, le dos sur le siège et ouvre les cuisses pour le nettoyage de sa chatte. Cathy la chevauche et s’assied sur son ventre et, allongeant les bras, s’empare de ses genoux et les écarte au maximum. L’autre soubrette pose la cuvette à terre, empoigne une éponge et lave la chatte à grande eau. Puis elle l’essuie minutieusement. La servante ramasse le bock et lui tend la canule. Cathy saisit la tige de verre et la dirige vers la vulve de Sylvie ; de la main gauche, elle écarte les lèvres et introduit la canule dans le vagin. Sylvie ne raffole pas des injections vaginales, mais les spectateurs sont friands de cette scène, aussi se laisse-t-elle irriguer d’autant que son supplice s’achève. La soubrette lève le bock et ouvre le petit robinet entre les lèvres, l’eau coule dans le tuyau de caoutchouc, atteint la canule, inonde le vagin et ressort pour tomber dans la cuvette, donnant l’impression que la jeune femme fait pipi. Aussi lentement qu’elle l’a entrée, Cathy retire la canule.
- Ça ne fait rien, c’est tout de même joli, un con … Je ne trouve rien de plus excitant que cette entaille entre les cuisses des femmes, surtout quand elles possèdent de grosses lèvres comme celles de Sylvie j’aimerais bien la voir en chaleur !
Discrètement, la soubrette à fouillé dans le sac à main de Sylvie d’ou elle a retiré le thermomètre.
- En parlant de chaleur, nous allons lui prendre sa température.
Elle a extrait le tube de verre de son étui et le tends à Cathy,
- ayez soin de bien l’enfoncer,
Sylvie proteste,
- mais ce n’est pas prévu et je ne suis plus une petite fille pour que l’on me plante un thermomètre dans le derrière !
- Taisez-vous péronnelle, vous ne vous êtes pas gênée tout à l’heure pour prendre sa température à votre fille ; cela a tellement plu aux spectateurs que Madame a décidé de renouveler la scène ; après la fille la mère. Alors sois sage ; je reviens dans un moment.
Sylvie se résigne à l’effraction de sa petite rondelle fripée.
Sylvie sent que Cathy lui écarte les fesses et un doigt mouillé de salive pénètre son réduit, puis se retire remplacé aussitôt par le thermomètre que Sylvie lui enfonce doucement mais fermement.
Le tube de verre glisse de plus en plus profondément jusqu’à ce que les doigts de la jeune femme reposent entre les fesses.
Cathy à lâché le thermomètre et confusément, Sylvie à l’impression que ses entrailles repoussent l’intrus. En effet de temps à autre le doigt de Cathy repousse l’instrument médical chaque fois qu’il ressort trop.
La soubrette revient peu après, tenant toujours le bock, avec sa grosse canule en verre, qu’elle pose sur la table basse. S’approchant de Sylvie, elle retire à moitié le thermomètre pour lire la température,
- encore cinq minutes,
puis elle repousse la tige de verre entre les fesses.
Au bout de ce qu’il sembla une éternité à Sylvie, Cathy retira le thermomètre et annonça,
- 37°9, ça me paraît beaucoup !
La soubrette s’approcha avec le bock à la main,
- mais ma toilette est déjà effectuée !
- mais oui ma chère, mais comme vous avez une petite fièvre, nous allons vous administrer un petit lavement,
- non ! je ne veux plus, arrêtez ! votre canule est bien trop grosse pour mon petit œillet.
Cathy qui a saisi la canule et s’apprête à l’introduire s’interromps,
- allons, vous ne nous ferez jamais croire que votre rosette n’a pas été visitée par autre chose que par des thermomètre ou des petites canules à lavements !
Dans le même temps, son doigt le plus long enduit de salive pénétra complètement l’orifice anal, remplacé aussitôt par la grosse canule en verre que le pertuis accepta sans se faire prier.
La soubrette a soulevé un peu le récipient cependant que Cathy a ouvert le robinet entre les deux hémisphères.
L’eau s’écoule doucement et de temps à autre, Cathy agite le gros pal dans son étui humain,
- nooon je vous en supplie, pas ça
- allons calmez-vous, cela vous évitera les crampes et je peux me rendre compte que ça ne vous déplaît pas...
Enfin, le lavement se termine et, après cinq minutes d’attente, Sylvie est autorisée à se vider dans un grand pot de chambre, à sa grande honte.
Pour finir, elle doit s’allonger à plat-ventre en travers des cuisses de la soubrette qui l’ essuie soigneusement et, à son grand désarroi, lui reprends la température – pour voir si le lavement à été efficace -
Histoire très excitante...