Vues: 5423 Created: 2009.06.20 Mis à jour: 2009.06.20

Fessées toujours

Fessées toujours

CHAPITRE PREMIER

Un pâle soleil d'hiver filtre à travers les rideaux de ma chambre. Après mon petit déjeuner j'ai regagné mon lit, je ne l'ai guère quitté depuis cinq jours, souffrant d'une forte angine ; depuis hier je vais mieux, pourtant je ne désire pas me lever, paresse ou nonchalance résultant des antibiotiques pris à doses massives?

La chaleur de ma chambre m'engourdit, ma fine chemise de nuit colle à ma peau, je rêvasse … rien ne presse, des livres s'empilent dans la cavité de ma table de chevet, sur le plateau des boîtes, des fioles, un thermomètre dans son étui. ..non, pas tout de suite… ma chambre me berce de son silence … je me sens molle …

Un petit besoin me réveille, j'ai dormi vingt minutes au moins, que je suis bien dans la tiédeur des draps .. Mon envie se précise … je voudrais pouvoir me soulager en restant dans mon lit, mais je n'ai pas de bassin à portée de la main … Je ne peux faire pipi au lit !... allons du courage!

Je me dresse sur mon séant, repousse les draps, pivote, sors mes jambes. Me voici assise au bord du lit. Je m'aperçois dans la glace, ma courte chemise remonte au-dessus de mes . genoux, je la tire vers le haut, découvre mes cuisses bien galbées. Je m'amuse de mon image et poussée par je ne sais quelle perversité je m'ouvre largement, démasquant les poils frisés garnissant mon petit con. Oh 1 le vilain mot ! D'ordinaire je ne suis pas si crue … comment dis-je au fait ? Ma chatte, oui, je la désigne par ce terme, ma chatte, ma petite chatte velue, ma mignonne petite chatte fendue ! … Mais je sens l'envie me tenailler, mon besoin devient pressant, si je continue à flâner en reluquant mon minet, je risque d'arroser la moquette!

Vivement je gagne mes cabinets ou plutôt salle de bains où se tient la cuvette, je baisse le siège, le chevauche en troussant ma chemise de nuit et pisse copieusement. .. Ça soulage ! Impétueusement mon urine jaillit de ma fente, je perçois son bruissement caractéristique, son sifflement évocateur dont l'audition trahit la femme occupée a pisser … le jet se brise contre la porcelaine, diminue, se mue en un mince filet, en quelques gouttes qui tombent une à une, perpendiculairement.

J'ai fini. Je m'essuie. Mes doigts froissent la feuille de papier hygiénique contre mes poils pour sécher les dernières traces de ma miction. Je profite de ma venue dans la salle de bains pour me laver,

Récurée des pieds à la tête, coiffée, discrètement parfumée, je retourne dans ma chambre ; j'enfile une délicieuse chemise de nuit en nylon bleu ciel, suffisamment mince pour laisser distinguer mes appas ; ma lingerie descend à peine à mi-cuisse et je devrais la compléter par le bloomer assorti. Oui je le passe, Je suis tout de même plus décente pour attendre l'arrivée de l'infirmière. Tiens, on sonne! Prestement je m'enveloppe dans ma robe de chambre. Je vais ouvrir. Mademoiselle Sophie, l'infirmière, me complimente sur ma bonne mine. Je l'aime bien. Elle a vingt-trois ans et moi vingt-cinq, nous nous entendons à la perfection. Sophie est tout aussi blonde que moi, mais beaucoup plus en chair ; son manteau retiré, sa robe mince souligne, devant et derrière, ses appas.

Elle se dirige vers la cuisine; pendant ce temps je regagne ma chambre, ôte mon peignoir, m'allonge à plat ventre sur le lit, la tête dans mon oreiller.

Sophie se présente avec des instruments de torture.

- Vivement la fin de mon supplice! .

- Je vous fais mal?

- Non, vous piquez à ravir, mais après ça me brûle

- J'ai le temps aujourd'hui, je vous y mettrai des compresses.

Elle s'avance, saisit le bas de ma chemise, la j relève.

- Vous auriez pu baisser votre bloomer! !

- N'avez-vous pas le temps?

- Certes, mais je ne suis pas une camériste 1

Néanmoins elle empoigne l'élastique.

- Oh! vous me chatouillez!

- Bon! Voilà autre chose à présent je la chatouille!

- Mais oui!

- Cessez de vous tortiller ainsi, vous n'êtes plus une enfant!

Elle parvient à me déculotter,

- Ah! Tout de même, le voilà à l'air !

Son regard glisse sur le thermomètre posé sur le chevet,

- avez-vous pris votre température ce matin ?

- heu ! Non

- vous n'êtes pas raisonnable, vous vous conduisez comme une gamine ; je vais vous la prendre moi !

Je n'ai pas bougé ; elle a sorti le thermomètre de son étui, l'a secoué. Deux doigts ont écarté mes fesses pour découvrir mon œillet que je contracte instinctivement.

- Détendez-vous, sinon je vous ferais mal,

le bout argenté du thermomètre s'est posé sur ma rondelle, et doucement le tube de verre bien lubrifié à pénétré mon fondement ; je le sens glisser de plus en plus loin, dépassant la profondeur à laquelle je l'enfonce moi-même et je proteste,

- pas si loin, je vous en supplie, j'ai pas l'habitude.

- une grande jeune femme comme vous doit recevoir au moins les trois-quarts de la longueur d'un thermomètre normal ; d'ailleurs cela ne doit pas vous faire mal, n'est-ce pas ?

- non, mais je ne savais pas qu'il fallait enfoncer aussi profondément un thermomètre ;

- maintenant vous êtes au courant ; nous allons attendre dix minutes ;

- tant que ça ?

- c'est préférable.

Finalement je trouve particulièrement agréable cette prise de température ; d'autant plus que Sophie retire de temps à autre le tube de verre pour suivre la montée de la température et le replonge aussi loin.

Au bout du temps prescrit, Sophie me délivre doucement de mon visiteur,

- 37° 8, c'est un peu trop pour le matin...

A propos, vous allez convenablement à la selle, le médecin vous a dit de surveiller votre intestin?

- C'est-à-dire …

- Dans ce cas vous prendrez un lavement.

- Comment m'y prendrai-je?

- Voulez-vous que je vous l'administre?

- Oh !.la la ! J'aurais trop honte!

- Honte! Comme si cela n'entrait pas dans mes attributions, vous me montrez votre derrière à chacune de mes visites, je viens juste de retirer le thermomètre de votre anus vous et vous ne voudriez pas que je vous donne un lavement Vous ne serez pas la première ; seulement parmi mes clientes je n'ai pas toujours le plaisir d'utiliser un aussi beau postérieur ,

- Certes je vous expose mes fesses … mais … pas si longuement !

- Trêve de bavardage! Je le prépare!

- Je suis morte d'humiliation.

De nouveau elle disparaît, d'abord dans la salle de bains afin de se munir des ustensiles nécessaires et ensuite dans ma cuisine. Au bout d'un moment elle revient portant son matériel comme un trophée; quand je vois le bock fumant, le tuyau de caoutchouc, la canule, Je refuse ses soins.

- Ah! Non! A présent vous allez l'avaler!

Elle approche un tabouret de mon lit, pose le bock dessus, saisit la canule, enduite de vaseline la tenant de la main droite, empoigne mes fesses de la gauche pour les séparer. Je me cabre ; elle recommence à plusieurs reprises. Une confusion extrême m'envahit, je sens le rouge colorer mon visage et la chair de poule couvrir mes rondeurs. Si le clystère me déplaît et suscite ces réactions, le contact de la main de Sophie palpant ma lune, cherchant à ouvrir ma raie pour débusquer mon .petit trou me trouble étrangement et ajoute à ma honte, bien plus que pour le thermomètre et me détermine dans mon refus.

Sophie s’impatiente, énervée elle pose la ‘t canule.

- A la fin, allez-vous cesser ces simagrées ! Vous n’avez plus dix ans ;

- Justement l,

- Je le déplore d’ailleurs, car lorsque j’ai affaire à une gosse entêtée, je demande à sa mère de la tenir et croyez-moi Je lui plante la canule… Seulement avant de l’introduire dans son anus savez-ous ce que je fais ?

- Non !

dis-je intriguée.

- Ceci !

Avant que je réalise, Sophie se penche ; sa main gauche pèse sur mes reins, les force à se creuser en me tenant fermement et sa droite s’abat sur ma croupe. Une claque sonore retentit. L’écho n’en disparaît pas qu’une seconde succède à la première, et une troisième, une quatrième. Une grêle de claques vigoureuses tombe sur mon joufflu. Les claques crépitent sur mon postérieur, sans répit.

Je suis fessée comme une gamine !

- Alors, chère Madame, vous allez devenir raisonnable ? .. Avouez que vous n’avez pas volé la fessée ! … Quelle sottise de vouloir me dissimuler votre petit trou alors que je viens juste de le perforer avec le thermomètre.

- oui, oui, donnez-le, je le préfère encore à la fessée.

L’une et l'autre parlons d'une voix hachée, elle du fait de ses efforts et moi parce que je ne cesse en lui répondant de subir le châtiment.

Sophie s'arrête. À pleines mains elle palpe mes globes brûlants pour s'assurer de leur degrés de cuisson, je me retiens pour ne pas crier tant ses attouchements achèvent de me griser. Alors elle passe à l'exécution de son plan.

Sa main gauche sépare mes rondeurs, débusque mon petit cratère dans lequel sa droite introduit doucement la canule. Bien lubrifiée, la tige d'ébonite s'enfonce dans ma cavité anale, pénètre mes entrailles. Me voici proprement empalée ! Aussitôt elle saisit le bock, l'élève un peu et l'eau s'écoule lentement.

Sophie a lâché mes fesses, celles-ci emprisonnement la canule. Je pense au spectacle offert à mon infirmière.

Je n'imagine la chemise retroussée, la culotte descendue, mes fesses rondes toutes rouges s'arrondissant entre les deux, saillant à la perfection et, planté dedans, la canule noire.

Quel piquant contraste.

Sous l'envahissement de l'eau, je me trémousse, je tortille mon popotin malgré mes efforts pour le rendre immobile. En plus, Sophie retire un peu la canule et interrompt le flot, à plusieurs reprises.

Heureusement mon supplice prend fin. Doucement Sophie écarte mes globes et retire lentement le tube d'ébonite et meurt la liberté. Je bondis et me précipite vers la salle de bains où je m'enferme

peu après je revienne dans ma chambre, reculottée. Je me couche sur le ventre ; Sophie remonte ma chemise, baisse ma culotte pour la piqûre. Je sens qu'elle m’écarte les fesses et m'apprête à protester, mais une petite tape m'incite à me laisser faire.

- après la fessée et le lavement, je préfère vous reprendre la température.

Effectivement je sens le thermomètre, bien lubrifié, entrer dans mon derrière encore plus profondément que tout à l'heure, mais je ne proteste pas, car finalement j'adore cette sensation.

Lâchant le thermomètre, elle frictionna l'alcool le sommet de ma fesse droite et me pique. Ensuite elle applique sur cette région des compresses.

Au bout d'un moment, je ne ressens plus rien, ni de la piqûre, ni de la fessée, seulement le tube de verre qu’elle finit par me retirer .

- Bon, c'est parfait, 37°2.

Sophie me reculotte et je me lève pour la reconduire.

Comments

Charly75 Il ya 7 mois  
bruno67640 Il ya 2 ans  
n/a Il ya 10 ans