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Vues: 3691 Created: 2009.06.30 Mis à jour: 2009.06.30

Gert

Gert

Lettre annexée au roman de "Jean Claqueret" "Pantalons sans défenses"

Tantôt c'est moi la coupable d'une faute quelconque, tantôt c'est Wally, mais en tout cas nous avons trouvé un piment spécial à user d'un troussage bien indispensable à certains soins ou d'hygiène intime pour les faire précéder d'un chauffage bien appliqué de nos mappemondes respectives.

Et pour vous dire la vérité, nous avons constaté que ledit chauffage rend d'autant plus agréable le contrôle, au moyen d'un thermomètre, du degré de ce chauffage, ainsi que le rafraîchissement interne succédant, surtout s'il est soigné et méthodique.

Donc, à l'instar de la tante de Clotilde, nous tâchons d'éveiller en nous d'abord la chaleur criblante et même parfois douloureuse qui augmente notre disposition à recevoir en nous des visiteurs de taille de formes différentes, confectionnés soit de verre, de caoutchouc rouge, d'ébonite ou de caoutchouc durci.

Jamais de ma vie je n'aurais soupçonné qu'on puisse trouver là des sensations pareilles, car étant petite, je ne me faisais pas le moindre plaisir de l'un ou l'autre de ces attouchements.

Le changement se produisit par hasard. Nous avions chez nous pour quelques jours en visite une nièce de Wally, charmante jeune fille de seize ans, répondant au nom de Gertrude, où de Gert tout court. Or donc, la nièce en question tomba malade un jour. Oh, pas grand-chose, mais qui la força cependant à rester au lit. Wally immédiatement décida qu'il fallait lui prendre sa température. Évidemment la façon dont elle comptait procéder ne plut guère à la jeune malade.

On connaît aisément la répulsion de toute jeune fille contre tout dénudage de ses fesses, surtout pour y introduire un thermomètre, occasionnant la découverte d'un orifice intime. Bref, il y eut d'abord une dispute assez vive entre la nièce et la tante et, comme celle-ci ne comptait nullement renoncer à plonger le thermomètre dans l'endroit adéquat, elle finit par m'appeler à son aide. Mais voilà que ma présence entêta encore davantage la petite indisciplinée.

Les larmes aux yeux et la voix entrecoupée de sanglots, elle nous déclara nettement que jamais elle ne se laisserait prendre la température sous une forme si avilissante ; sous l'aisselle ou dans la bouche...

- Mais regarde-moi donc cette petite entêtée, n'a-t-on jamais vu une chose pareille ? Maintient-moi donc cette indisciplinée afin que je lui rougisse ses fesses avant d'y plonger le thermomètre !

Mais fallait-il une sommation péremptoire ? en un commun effort, nous nous saisîmes de la jeune fille pour la tirer hors de son lit malgré ses supplications et sa défense désespérée. En moins de dix secondes, je tenais le corps délicat entre mes bras, m'efforçant de le tourner dans la position nécessaire. Joignant sa force la mienne, Wally parvint enfin à faire se retourner Gert sur le ventre, et voilà qu’elle nous présenta, bon gré mal gré, sa mappemonde rebondie abritée seulement par la chemise de nuit.

Agitant désespérément ces petits pieds nus, elle essaya vainement de se défendre contre le retroussage de ce frêle vêtement. Peine inutile ! D'un mouvement brusque, Wally le remonta jusqu'au milieu du dos, dénudant ainsi le plus ravissant derrière d'adolescente que l'on puisse imaginer. Dans leur contraction craintives, les deux joues d'albâtre se creusaient de fossettes, tandis que la raie médiane se serra à ne pas faire passer un crayon.

- ah tu te moques de nous, petite oie, qui ne voulons que ton bien, eh bien tu vas voir !

Et clac ! clac ! clac ! La main nerveuse de mon amie tomba d'un mouvement rythmique sur la surface éblouissante, dont la teinte pâle se rougit de marques de cinq doigts bien appliqués.

Ah ! Ce fut une véritable fessée, une fessée soignée, telle que vous l'aimez, s'il faut en croire vos héroïnes. Une dizaine de coups, retentissant comme des coups de pistolet suffirent pour donner aux deux fesses de la donzelle la belle couleur de tomates mûres. Oh ! Comme elle criait, comme elle gigotait éperdument de ses jambes nues.

Enfin Wally arrêta le mouvement de son bras. La paume de sa main avait presque même couleur que le postérieur.

Et miracle, l'opération intentionnée se termina sans la moindre résistance : le thermomètre glissa sans heurt dans l'oeillet de bronze. Mon amie avait fait glisser doucement le tube de verre sur les trois quarts de sa longueur et le maintenait bien enfoncé entre les globes écarlates. Sans doute, à titre de punition supplémentaire, le laissa-t-elle plus de cinq minutes ; elle le retirait un peu de temps à autre, pour lire la température, puis le replongeait aussi profondément.

Au bout de sept à huit minutes seulement, Wally vérifia la température,

- 38°3 ! Attends une seconde, il nous faut administrer un bon lavement à cette petite drôlesse, cela ne remettra vite de son indisposition.

Elle s'éclipsa par la porte, me laissant seule avec Gert que je sentis frissonner dans mes bras. Quelques minutes se suffirent à Wally pour terminer ses préparatifs. La grande seringue d'étain, remplie d'eau chaude savonnée, entre les mains elle vint nous retrouver et, cette fois ce fut la canule d'ivoire qui vint remplacer le thermomètre. Gert, c'est vrai tressaillit un peu et poussa une plainte lorsque le mince bec d'ivoire vint pénétrer doucement sa rosette, mais elles ne risqua plus la moindre révolte. Wally poussa lentement le piston et le bouillon inonda la malade qui pleurnicha tout le temps dura le clystère. Rapidement la canule se retira et après cinq minutes, je relâchais la jeune fille se précipita à la salle de bains. Puis nous la recouchâmes et je la bordais soigneusement et me retirait.

Je n'apprit les suites de cette aventure que le soir même, couchée en travers des cuisses de mon amie, un thermomètre bien enfoncé entre mes fesses, le visage tourné vers la table de nuit ou trônait la grosse poire à lavement qui m’était destinée après la température.

Gert lui avait avoué qu'elle ne détestait en vérité nullement le traitement en question, qu'elle avait déjà subi à maintes reprises, soit à la maison, soit au pensionnat qu'elle venait de quitter. Sa révolte n'était que feinte afin corser les sensations par une magistrale fessée, dont la jeune fille n'était pas moins friande que de la prise de température et du bain interne. Mon grand étonnement amena Wally, après m’avoir retiré le thermomètre et administré mon lavement, à faire venir Gert qui confirma, visiblement embarrassée, le récit de sa tante.

À peine la nièce nous eut-elle quitter, que me basculant sur ses genoux elle ne fessa d'importance, pour ne l'avoir par crue. Je ressentis d'abord des douleurs assez vives, qui me firent même crier à haute voix. Ensuite elle crut bon de reprendre a température ; je dois reconnaître que la sensation du thermomètre après la fessée fut incomparable...

Et depuis, imaginez les choses charmantes que je vis à l'occasion de mes interventions auprès de Gert...


Voici un deuxième extrait de ce roman de Jean Claqueret

Pantalons sans défense

Elle cria, vociféra, mais elle reçut jusqu’au bout la fessée que je lui destinais.

Ma tante, depuis quelques moments, avait disparu dans son cabinet de toilette. Lorsque je cessai enfin de fouetter Antoinette, alors que celle-ci allait se redresser, je me rendis compte de son absence,

- ne bougez pas !

Du tiroir de la table de nuit je sortis un étui en carton d’ou je retirai un thermomètre, que je secouais fermement, ce qui fit tourner sa tête à Antoinette qui fit une grimace mais ne se débattit pas.

- Ooh mademoiselle, je vous en supplie, ne me faite pas mal !

- Allons donc, ce n’est pas un petit tube de verre qui écorchera votre étroite marguerite !

- Votre tante m’a fait mal avant-hier matin.

- Tiens donc, ma chère tante s’occupe de vous prendre la température, je ne suis donc pas la seule à recevoir le thermomètre !

- Trop souvent à mon goût.

Je coupais court à la discussion et après avoir bien enduit le thermomètre de salive, j’enfonçais le petit indiscret dans l’étui naturel bien profondément, faisant sursauter ma patiente. Tout en maintenant fermement l’instrument,

- je vous fais mal ?

- non, mais vous le poussez bien trop loin.

- alors tenez-vous tranquille.

Tante revint au bout de dix minutes, munie d’un irrigateur tout préparé.

- Oh ! oui ! oui ! oui ! la bonne idée,

fis-je en éclatant de rire et en délivrant la bonne du thermomètre.

- C’était une bonne idée aussi, pas de fièvre ?

- Non ma tante.

- Alors tout va bien ; n’hésite jamais à lui prendre sa température si tu le juge nécessaire.

Mais Antoinette, elle, ne riait pas. Recevoir une fessée méritée, cela passait encore ; la température, elle en avait l’habitude à ce qu’il semblait, mais un lavement, ah ! non, c’était là une humiliation qu’elle ne pouvait pas supporter. Elle m’échappa des mains et se sauva, essayant vainement, tout en courant, de remonter sa culotte qui entravait ses cuisses.

Alors ce fut une course échevelée ! Elle fuyant, moi la serrant de près, et tante nous poursuivant son instrument à la main, c’était vraiment un spectacle du plus haut comique ! Antoinette dévala l’escalier, traversa le corridor d’entrée et s’enfuit dans le jardin, essayant toujours, mais sans plus de succès, de remonter son pantalon dont là ceinture étroite se refusait pendant la course à franchir ses proéminentes rotondités. Nous la poursuivions dans le jardin dont elle nous fit faire deux ou trois fois le tour jusqu’au ‘moment où accrochant son pied dans l’arceau d’une bordure de plate-bande, elle s’affala de tout son long dans l’herbe, jupe encore troussée et fesses toujours à l’air

Je lui tombai littéralement dessus ; elle était essoufflée, à bout de forces et je n’eus que peu de mal à la maintenir. Tante nous avait rejointes ; et c’est là, au milieu du jardin, par une douce nuit parfumée et dans une charmante pénombre que, penchée sur son derrière tout chaud encore, je lui ouvris sa fente des deux mains, tandis que ma tante, après l’avoir en tâtonnant trouvé, d’un doigt subtil fit subir au petit œillet palpitant de sa bonne la longue pénétration d’une intrépide et conséquente lancette d’ivoire qui s’y trouva bientôt comme chez elle et consentit bien volontiers à se faire le transmetteur d’une longue et bienfaisante inondation. Pendant toute l’opération je tins moi-même serrés les deux globes qui commençaient à tiédir et ne les écartai que lorsque ma tante désempala sa pauvre bonne qui, cette fois, put s’échapper sans que nous jugions à propos de la poursuivre.

Comments

clyso Il ya 15 ans