1 members like this


Vues: 2330 Created: 2009.11.12 Mis à jour: 2009.11.12

Une cure de modestie

Une cure de modestie

Exfrait d'un fascicule de la collection "Simples Murmures" (1993)

À cette époque, je disposai d’une ravissante bonbonnière tendue d’étoffes précieuses, au sommet d’un immeuble de luxe de dix étages. La baie de la salle de séjour s’ouvrait sur une petite terrasse croulant de plantes et de fleurs et qui surplombait le sommet des arbres du bois de Boulogne.

Dans l’attente fébrile de recevoir cette tendre Christine qui m’excitait prodigieusement, je mis une dernière main aux préparatifs. Seulement parée d’une robe d’intérieur en velours grenat, je disposai verres et gâteaux, mais aussi martinet, cravache, thermomètre médical et un bock à lavements dont la canule en ivoire, adaptée au long tuyau de caoutchouc, eût bien étonné un médecin par son calibre impressionnant ! …

Ie m’effaçai pour la laisser entrer. La savoureuse comédie pouvait commencer.

Jouant négligemment avec un martinet dont je me tapotai les bottes, j’ouvris les hostilités.

-Tourne-toi que je juge de la propreté de tes dessous ! Pose les mains sur la tête ! Et maintenant, va au coin ! , vilaine écervelée !

Quelques minutes plus tard,

- arrive ici, que je te déculotte,

Je fis glisser le long de ses cuisses la culotte côtelée jusqu’au genoux. Je la renversai sur le canapé,

- eh bien, maintenant,nous allons purifier ce petit trou de balle qui a été souillé par les doigts tachés d’encre de tes petites amies ! Que dirais-tu d’un bon lavement avec une grosse canule bien plus impressionnante que l’index que je t’enfonce pour bien reconnaître les lieux !

lui annonçai-je ensuite d’un ton intransigeant,

Doucement et avec précaution, pour ne pas blesser la rosette fragile de mon ongle taillé en flèche acérée, j’introduisis mon doigt dans son anus et exerçai quelques délicieux mouvements qui firent aussitôt se pâmer la libertine, accoutumée sans doute et déjà sensibilisée à ce genre de pénétration.

- Tout d’abord je pense nécessaire de prendre ta température,

- ooh non je déteste ça,

- menteuse ! ta maman m’a raconté l’autre jour qu’elle t’avait surprise jouant avec ta camarade Yvette…

Tenant d’une main les belles fesses écartées, je m’emparait du thermomètre et, malgré quelques soubresauts, je glissais doucement l’instrument dans la jolie rosace, jusqu’à ce que seul un petit bout de verre en dépasse.

- aiee tu l’enfonce trop.

Ordonnant a ma proie de ne pas bouger, je descendis du canapé et me rendis à la cuisine d’où je revins quelques minutes plus tard porteuse d’un pot de lait chaud dont je vidai le contenu dans le bock à lavements. Je repris ma place, assise auprès d’elle, attrapai le thermomètre, que je consultait et auquel j’imprimai quelques va et vient avant de le renfoncer,

- encore quelques minutes, ce n’est pas encore assez.

Je me redressai et contemplai le spectacle de cette grande jeune fille habillée comme une écolière, d’une jupe bleu marine ultra courte, d’un corsage blanc, de chaussettes blanches montant au dessous des genoux, culotte baissée pour se faire prendre la température.

Finalement je me résous à délivrer ma patiente du tube de verre, mais je prends mon temps…

- 37°2 c’est parfait.

Puis je la fis se disposer docilement en travers de mes cuisses. Jetant un coup d’œil par-dessus son épaule, elle s’effraya du calibre inusité de la canule.

- Vous.. vous allez m’enfoncer cette grosse chose dans le tout petit trou de mon derrière ? Mais c’est de la folie vous allez m’estropier !

- Tais-toi, fillette ! Ou je te fesse d’importance !

Pour donner plus de poids à cette menace, j’assénai quelques gifles sèches aux rebondissements déjà écarlates.

- Aïe !... Ouille !

cria Christine

- Tais-toi donc !. Je suis persuadée que, lorsque tu auras goûté de cette belle canule, tu n’en voudras plus aucune autre !

j‘enfonçai d’abord mon pouce qui força sa couronne en l’écartant inexorablement, obligeant le sphincter à se décontracter, l’évasant au point que l’extrémité de la canule n’aurait ensuite aucun mal à violer cet étroit sanctuaire. Apeurée. Tremblante, angoissée, Christine se statufia, n’osant se révolter contre mon intrusion, bien qu’elle en eût envie, craignant jusqu’à l’effroi cette perforation postérieure. Stoïque, cependant, elle ne broncha pas tout le temps que l’énorme artifice s’enfonça en elle et emplit son rectum. Sans encore éprouver du plaisir, elle s’étonna de ne pas souffrir. Je la sentais un peu craintive de ce qu’elle allait ressentir et, cependant rassurée à chaque seconde qu’elle constatait l’absence de douleur. Lorsque toute la longueur de la canule fut enchâssée dans le rectum goulu, je tournai le robinet du bock pour que le lait chaud puisse s’écouler avec une pression sensible dans les entrailles de Christine. Alors, d’une main j’animai la canule d’un va-et-vient lent et prudent, pendant que de l’autre je m’activai délicatement sur le clitoris tout raide de la belle enfant. Cette conjugaison de plusieurs éléments excitants firent rapidement délirer ma jolie partenaire dont tout le bas du corps, alors amplement haussé, se mit à osciller lascivement. Roucoulant comme une petite vicieuse que l’on chatouille, elle endura joyeusement l’écoulement du lait inoculé dans son ventre en émoi. Derrière empli, les intestins se gonflant comme une outre du liquide qui lui chauffait les entrailles, les . muqueuses sensibles de son anus échauffées, elle défaillit de bonheur, gloussa, cria de plaisir et enfin perdit presque conscience lorsqu’une grandiose jouissance lui prodigua ses généreux bienfaits.

Une fois le bock vidé, je laissai la canule enfoncé dans le fondement, malgré les supplications de Christine…

Comments

clyso Il ya 14 ans