1 members like this


Vues: 9399 Created: 2009.11.28 Mis à jour: 2009.11.28

Fessée pour cause de chômage

Fessée pour cause de chômage

Extrait de : "fessée pour cause de chômage" (version ancienne 1960 environ)

La soubrette ne répondit point et gagna l'office.

Je sentis le regard de Gwladys se poser sur mes fesses,

- avant de lire mon courrier, je me propose de vous soumettre à un autre test que vous devez connaître, venez vous allonger sur mes genoux.

Je n'osais pas discuter et inquiète je me disposais comme elle me le recommandait ; je l'entendis ouvrir un tiroir et la crainte d'une nouvelle fessée me dissuada de tourner la tête. Un léger tintement de verre m'alerta, un thermomètre ! Gwladys se préparait à me prendre la température et ma position par elle-même me laissait deviner où.

- noooon madame, je vous en supplie, je ne suis plus une petite fille, je n'ai plus reçu le thermomètre là depuis mes douze ans !

- mais si Sandrine, vous venez bien de recevoir la fessée et je vous assure que votre petit orifice s'ouvrira à la pénétration du thermomètre ; c'est fréquent ici, alors tenez-vous tranquille.

Lorsque je sentis qu'elle écartait mes deux globes et que son doigt mouillé se posait sur mon cratère, je me mis à pleurer et à serrer mes fesses,

- ouvrez-vous ma fille sinon je vous ferais mal.

Le doigt se retira et le bout froid du thermomètre se posa sur mon anus, le tube de verre glissa dans mon conduit si profondément que je criais,

- nooon pas si loin, pas si loin, mamaaan !

- allons ne pleurez pas, je l'ai enfoncé à moitié, vous demanderez à Déborah jusqu'où je le lui introduis.

A ma grande honte, je me rendis compte que la présence du thermomètre dans mon derrière ne me déplaisait pas, mais le retour de Déborah après une dizaine de minutes me replongea dans la honte,

- Mademoiselle Sandrine à fait connaissance avec l'une des habitudes de la maison, mais il n'est pas trop enfoncé, ce thermomètre,

- chaque chose en son temps, cela viendra assez tôt rappelle-toi !

Elle ne me délivra de l'instrument médical qu'au moment de déjeuner.

-------------------------------------------

Pour les fêtes, un deuxième extrait de "Fessée pour cause de chômage"

Le lendemain à neuf heures, Nadège nous introduisit dans un luxueux boudoir et toute souriante nous dit :

- L'infirmière a déjà une cliente et vous prie de l'excuser de vous faire attendre. Toutefois, elle m'a demandé de vous conduire au petit salon attenant à son cabinet.

Nous la suivîmes.

- De là, ajouta-t-elle, vous pourrez tout entendre et, à travers ce miroir sans tain, tout voir sans être vus.

Toute nue, une jeune fille de dix-sept ou dix-huit ans était étendue sur un petit lit placé dans un angle de la pièce. Elle pleurait doucement tandis qu'une autre femme parlait avec l'infirmière.

- C'est sa mère, nous dit Nadège. C'est la seconde fois qu'elle amène sa fille ici.

Lors de leur première visite, Edwige avait laissé entendre à la dame que sa fille était plus ou moins constipée et qu'il serait bon qu'elle lui donne un lavement tout de suite pour la soulager.

La mère y consentit, mais la jeune fille, vous pensez bien, ne l'entendit pas de cette oreille.

Elle se mit à gémir et à supplier, jurant ses grands dieux qu'elle n'était plus souffrante et, quand elle me vit apporter le bock qu'Edwige avait sollicité et qu'elle se sentit ployée en travers de ses cuisses elle rugit comme un animal blessé et se débattit de toutes ses forces.

Vous pensez bien que ma patronne, habituée à cette sorte de manifestation, a acquis depuis longtemps une adresse sans pareille pour déjouer ce genre de manœuvre. En un tour de main, la jeune fille se retrouva dans la pose que vous devinez.

Son derrière s'étalait tout frémissant de honte en travers des cuisses de ma Maîtresse qui, cependant, ne pouvait la maintenir et lui administrer le clystère en même temps. C'est alors qu'elle dit

- Si ce n'est le respect que je dois à votre âge, Mademoiselle, croyez bien que je vous donnerai volontiers une bonne fessée.

La mère répondit du «tac au tac».

- Croyez-vous, Madame, qu'à cause de ses dix-huit ans, elle en soit exempte ? Assez souvent, elle m'oblige à en arriver là..... et ce n'est qu'après l'avoir bien troussée, déculottée et fessée, que j'arrive à la faire obéir. C'est peut-être regrettable de devoir punir une grande demoiselle comme une fillette de dix ans, mais c'est la seule punition qui lui soit désagréable et profitable. N'hésitez donc point à la fouetter sévèrement.

Ma patronne ne se le fit pas répéter. Jusqu'à ce que la jeune fille se soumette à recevoir la canule, elle reçut quatre magistrales fessées consécutives.

Edwige mettait les poses à profit pour se relaxer et prendre connaissance du derrière de sa patiente qui finit par se laisser écarter les fesses.

- lui prenez-vous sa température ?

- oui régulièrement, elle n'apprécie pas non plus ;

- c'est très bien, nous allons voir,

Ma patronne adore voir les mères ou autres personnes qui accompagnent le ou la patiente, participer au châtiment lorsqu'il y en a un.

Avec cette femme, elle fut servie car, lorsqu'il fallut lubrifier de vaseline l'ouverture intime de cette Demoiselle, cela ne se fit pas sans difficultés.

La mère alors intervint. Elle lui appliqua une de ces fessées à en faire frémir. La jolie fille hurlait tout ce qu'elle pouvait, mais le cabinet de Madame est insonorisé et capitonné. Seule la pièce où nous nous trouvons est aménagée pour voir et pour entendre.

Après cette fessée sublime, la maman maintint écartées les fesses de sa fille écrasée de chagrin et de honte.

Edwige présenta le thermomètre devant l'anneau serré peureusement

- ouvrez vous ou vous aurez mal,

l'orifice se détendit un peu et le tube de verre glissa presque sur toute sa longueur, accentuant les sanglots de honte de la jeune fille,

- nous allons le lui laisser dix minutes.

- je me rend compte que je n'enfonçais pas assez le thermomètre, j'en prends bonne note.

Elle retira enfin le thermomètre,

- 38°2, ce lavement lui fera du bien, nous vérifierons après.

La belle demoiselle restait affalée sur le ventre, les fesses en feu, bien exposées pour de nouveaux sévices tandis que ses longues jambes écartées pendaient sans réaction sur le tapis.

Sans difficulté, alors, Edwige prépara la victime, prit la canule que je lui tendais tandis que j'élevais le bock à bonne hauteur.

Elle se pencha au-dessus du derrière et dit :

- Restez tranquille, Mademoiselle. Et surtout ne vous serrez pas..... vous allez voir que ce n'est pas si terrible que ça, c'est à peine plus gros que le thermomètre.

La canule que j'avais enduite de vaseline au préalable fouilla le sphincter et s'enfonça dans le rectum.

Aujourd'hui, je ne sais pas ce qui se passera. Nous ferions mieux d'écouter. Surtout moi, car si Madame me sonne et que je n'entende pas, qu'est-ce que je vais prendre !

- Lui avez-vous donné les lavements selon ma prescription ?

- Oui Madame, mais pas sans peine..... à chaque séance, il m'a fallu le martinet pour la mettre en place et aussi la fesser. A sa décharge, je dois avouer que nicher une canule dans un derrière, n'est pas aussi simple qu'on le pense et le temps que je passais pour y parvenir décuplait sa honte.

- Ne vous tracassez pas pour l'intromission d'une canule. C'est un coup de main à prendre et avec un lavement tous les deux jours que je vais lui prescrire, vous l' acquerrez facilement ; prenez-lui aussi sa température tous les jours au réveil, également avant et après le lavement et notez-la. Si entre temps, elle vient à avoir ses règles, je vous conseille de consulter un gynécologue, ceci n'étant pas dans mes attributions. Toutefois, pour vous être agréable, pendant que j'y suis, j'examinerai ce petit côté aussi.

Sur le lit, la jeune fille secouée de sanglots, pleurait à chaudes larmes et poussait des plaintes désespérantes.

- Mettez-vous à genoux et appuyez-vous sur vos coudes, fit Edwige allant passer un doigtier qu'elle plongea dans un pot de crème avant de revenir vers sa patiente.

Elle ajouta

- Et bien, Mademoiselle..... n'avez-vous pas compris ce que je vous ai demandé ?

La jeune fille redoubla de pleurs mais ne bougea pas pour autant.

- Allons ! allons ! cessez de vous montrer ridicule. Montrez-moi plutôt votre derrière que l'on en finisse et vous pourrez partir.

La malheureuse ne bougea toujours pas et l'infirmière renchérit.

- Rechercheriez-vous une fessée, Mademoiselle ? Y prendriez-vous goût en mon cabinet ?

- Je crois que c'est ça, Laissez-moi m'occuper d'elle. Je prévoyais un peu son insolence et j'ai pris ce qu'il faut pour la mâter.

fit la mère…

Progressivement, sa mère cessa de la fustiger et lui demanda :

- Mademoiselle a-t-elle été bien servie ?

- Oh ! oui maman…

- Mademoiselle sera-t-elle bien sage et se prêtera t'elle à ce que demande l'infirmière ?

- Oui maman… oui… Oh ! mon derrière…

- Et bien, tends-le, ton derrière. Et écarte bien tes cuisses que ton sexe apparaisse. C'est pour ton bien et ta santé que l'infirmière va t'examiner.

Pour examiner, elle examina et, en même temps, comme elle l'avait annoncé, lui reprit sa température, 37°5.

Elle sonda et inventoria même et, quand avec sa mère, la jeune fille sortit de l'officine, il ne lui était point permis de prétendre que, l'infirmière n'avait pas pris sa profession à cœur et même au-delà.

-------------------------------------------

-------------------------------------------

-------------------------------------------

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

-------------------------------------------

Un autre extrait de "Fessée pour cause de chômage"

Quand elle consentit à s'arrêter, au lieu de me lâcher tout de suite, elle me tourna sous son bras, juste devant la glace.

- Que Mademoiselle daigne se regarder,

fit-elle.

Elle me déposa sur le lit, où, couchée sur le côté, je pus enfin prendre à pleines mains mon derrière écarlate et le frotter avec précautions.

Que Mademoiselle reste dans cette position, c'est la meilleure pour un bon lavement ; mais tout d'abord je vous prends la température. Avant que j'ai eu le temps de faire le moindre mouvement, elle m'ouvrit les fesses et, d’un mouvement doux et ferme, le thermomètre remonta loin dans mon anus.

- vous l'avez aussi profond que la demoiselle d'hier, vous êtes très accueillante,

Quand je la vis détendre le tuyau de caoutchouc souple, prolongé de sa canule d'ébonite, je ne pus réprimer un mouvement de peur.

- Oh! Madame… jamais je ne pourrai…

- Oh Que si, Mademoiselle !… et si Mademoiselle n'est pas raisonnable, si elle résiste, je me verrai dans la triste nécessité d'employer le martinet.

L'argument avait sa valeur, car mes fesses me brûlaient sérieusement et je n'aurais pas été capable, je crois, de le supporter. Elle ôta le thermomètre…

Je me présentai donc comme il convenait.

- Là, Mademoiselle est raisonnable. J'en demande bien pardon à Mademoiselle, mais je suis obligée d'écarter sa raie…

Elle fit comme elle le disait et de telle manière que mon… intimité dût lui apparaître dans tout son épanouissement.

Du bout des doigts, elle écarta aussi les petits poils de mon derrière qui pouvaient gêner la pénétration, et l'intromission commença.

Quelle sensation ! Jamais encore je n'avais éprouvé tant de honte. La longue canule, malgré mes contractions, cheminait en moi, provoquant de longs frémissements de mes fesses, de mes reins et même de tout mon corps.

Le long de ma raie, je sentais le souffle chaud de l'infirmière penchée sur ma croupe et enregistrant, sans nul doute, les involontaires contractions des fines striures enserrant la canule qui violentait mon domicile très particulier.

Deux doigts d'Edwige vinrent buter le centre de ma fente.

Doucement, entre mes fesses, elle ouvrit le robinet, maintint d'une main la canule en place, de l'autre éleva la douche au-dessus de sa tête, et le tiède breuvage m'envahit profondément.

Quand le broc fit entendre les borborygmes annonçant que les dernières gouttes dévalaient le tuyau, l'opération inverse s'effectua, me causant, tant elle fut lente, d'étranges sensations perverses et voluptueuses mêlées de honte.

Edwige imprimait à la canule de petits mouvements de rotation, de droite à gauche puis de gauche à droite, ce qui me faisait frissonner de la tête aux pieds.

Quand je revins des toilettes, je trouvai l'infirmière assise au bord du lit, l'eau chaude à sa portée sur la desserte et une douce petite éponge à la main. Ce fut le couronnement.

Je dus étendre mon dos sur ses cuisses et, jambes relevées, me laisser faire par elle une toilette intime et détaillée qu'elle prolongea avec une satisfaction non dissimulée. Quand ce fut terminé, elle écarta de nouveau mes globes et je sentis à nouveau le thermomètre glisser dans ma rosette,

- ooh non ! pas encore …

- mais si ma petite, il faut t’y habituer ; ici c’est fréquent et j’adore prendre la température aux filles comme toi alors fais-toi une raison.

D’ailleurs, la semaine prochaine, j’ai prévu d’établir pour Luc et toi un courbe de température ; ce sera matin par moi avant le lever, midi par Deborah et soir après le coucher par Nadège.


Bonjour à tous,

Dernier extrait de "Fessée pour cause de chômage"

L'après-midi fut pour nous d'un calme tout relatif. Nous le dûmes à l'arrivée intempestive d'une femme, visiblement en colère, accompagnant une grande jeune fille d'au moins dix-huit ans.

- C'est ma nièce Christelle, Madame. J'en ai pour quelques semaines la responsabilité et elle vient de m'apprendre que depuis trois jours elle ne va pas à la selle. Je lui ai proposé de prendre sa température, de lui donner un suppositoire ou un clystère, mais cette sotte se refuse à tout remède. La chance a voulu que je parle de cela à ma voisine qui, récemment, vous a amené sa fille et m'a vanté votre méthode et vos mérites. Elle m'a donné votre adresse, me voici.

Edwige fit entrer la femme et la jeune fille dans son cabinet, tandis que Nadège, Luc et moi nous nous empressâmes d'aller derrière le miroir sans tain.

Edwige tenta gentiment de convaincre la jeune fille de se laisser enfiler un thermomètre puis de recevoir un lavement. Celle-ci hurlait et pleurait tout ce qu'elle savait.

- Non ! ma tante ! je ne veux pas ! je ne veux pas, Madame !

- Et la fessée ? la voulez-vous ?

fit Edwige.

- La fessée, Mademoiselle comme en a reçu votre petite voisine hier. Cela semble peut-être ridicule, mais c'est un argument qui a sa valeur

- Oh ! Pourquoi n'ai-je pas pensé à cela plus tôt ? c'est vrai ce que vous dites,

observa la tante.

Elle se rua sur sa nièce qu'elle maintint solidement, tandis qu'Edwige, sans attendre qu'on lui demande, fourragea sous la jupe de la jeune fille et en extirpa une adorable culotte blanche de broderie anglaise.

- Elle ne pouvait mieux choisir sa jupe, Elle est de circonstance.

De l'ourlet inférieur à la taille il n'y' avait que des boutons à défaire. Habilement, elle les déboutonna un à un. Les pans de la jupe tombèrent de part et d'autre des cuisses et la jeune fille poussa un cri d'affolement.

Son derrière jaillissait dans l'encadrement de son vêtement écarté, provocant et impudique dans sa splendide nudité.

Edwige lui appliqua une retentissante fessée. et, par l'interphone, me dit de la rejoindre.

Si j'en avais reçu, jamais il ne m'était arrivé de voir donner un clystère de près et moins encore de participer à l'opération.

- Maintenez-la en place et écartez-lui les fesses,

me demanda l'infirmière.

Contre ma taille, j'enserrais la jeune fille sous mon bras droit et glissais ma main gauche sous son ventre. Je la remontais entre ses cuisses jusqu'à son derrière et, dans l'interstice de sa fente, j'insérais deux doigts légers. Effrontément, j'écartais les fesses profondes. Pudique, la fraîche rosette de chair découverte apparut.

- Ouvrez-vous, Vous êtes fermée,

gronda Edwige.

- J'ai honte,

gémit la jeune fille, la tête enfouie dans l'oreiller.

- Tendez vos fesses, vous dis-je, sinon je vous fesse à nouveau,

reprit l'infirmière.

La patiente s'exécuta. Le thermomètre la pénétra jusqu'a ce qu'il ne reste q'un petit bout de verre juste suffisant pour le maintenir. L’infirmière ne laissa pas le tube de verre en place, mais ne cessa pas de consulter la température tout au long de l’opération, retirant et renfonçant l’instrument au grand dam de la patiente.

Au bout de dix minutes l'infirmière ôta la tige de verre et annonça 38°4, puis Edwige s'empara du tuyau et la pauvrette annonça la mise en place de la canule par un cri strident. La tante s'empara alors du bock et l'éleva.

- Puisque Madame nous prête son concours, maintiens les fesses de cette demoiselle écartées, Sandrine..... je maintiendrai moi-même la canule.

A la base de l'ouverture intime elle ouvrit le robinet et l'irrigateur à faible pression vida lentement son contenu. A plusieurs reprises, lorsque la jeune fille s’agitait sous les crampes qui commençaient à la tarauder, Edwige dégageait presque entièrement la canule pou la remettre en place en suite tout doucement pour que la demoiselle ressente bien la pénétration.

Lorsque la dernière goutte fut instillée, Edwige dégagea le bec d'ébonite du derrière de la jeune fille, puis l'aida à se mettre debout.

La porte des toilettes était grande ouverte. La pauvrette s'y enfuit sautillant grotesquement d'un pied sur l'autre et s'installa sur les W.C sans même avoir le temps de tirer la porte derrière elle.

Sa jolie poitrine houlait harmonieusement sous l'emprise de ses sanglots et son visage angélique couvert de larmes révélait combien était grande son humiliation, celle-ci fut encore augmentée par une nouvelle prise de sa température, couchée sur le dos, jambes relevées, suivie de l'insertion d'un suppositoire.

Cette scène, du plus haut érotisme, agrémentée des cris et des pleurs de la jeune fille, me plaisait intensément et je me promettais, dès que l'occasion s'en présenterait, de réprimer Anne-Marie par un lavement punitif.

Puis Edwige fit des recommandations à la tante, en dehors de la présence de sa nièce.

- je vous conseille dès maintenant de lui prendre sa température trois fois par jour, pendant une semaine avant son lever, après la sieste obligatoire et le soir une fois couchée pour bien l'assouplir. La semaine suivante, le matin ; ensuite trois fois au moins par semaine. Si par hasard le thermomètre est sali, un lavement avec une petite poire ; cela entraîne plus d'introductions… De plus au moindre prétexte, rougeur, pâleur, etc… sautez sur le thermomètre.

Je vous conseille aussi de lui faire porter des culotte de petite fille, blanche ou rose et de ne pas vous gêner devant ses amies ou les vôtres bien au contraire.

Entendez-vous donc avec votre voisine et tachez de trouver ensemble les occasions de traiter votre nièce et sa fille en même temps, je sui persuadée que vous ne le regretterez pas.

Comments

arthur Il ya 14 ans  
n/a Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans  
arthur Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans  
chevreuil Il ya 14 ans