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Vues: 8304 Created: 2010.01.29 Mis à jour: 2010.01.29

Martine fessee

Martine fessee

Cei est un extrait d'un livre des années 50 dont j'ai photocopié les passages qui m'interressaient (n'ayant pas les moyens de garder les livres longtemps)

je vais donc aborder maintenant mes études de médecine, entamées à l’age de seize ans et demi qui m'amenèrent à Toulouse l'autre métropole du sud-ouest. Pour y vivre au quotidien, la faculté de médecine envoyait les jeunes filles dans un foyer qui recevait les étudiantes en médecine et en école d'infirmières.

Nous étions quatre filles par chambre. Bien entendu j'avais amené avec moi un certain nombre de thermomètres et de poires à lavement en me demandant comment j'allais bien pouvoir prendre leur température à mes compagnes de chambre.

En attendant, deux ou trois soirs par semaine, à l'abri de mes draps, je m'octroyais un thermomètre vaginal moyennement gros pendant environ une demi-heure ; je le retirai, le renfonçai, le faisait tourner, tout en me tripotant le bouton, jusqu'à là jouissance silencieuse.

La première occasion se présenta au bout d'un mois.

Mais laissez-moi vous présenter les trois autres filles de ma chambrée :

Sylvie, étudiante en médecine comme moi, grande, blonde miel aux cheveux longs ondulés , 6 mois de plus que moi, petit derrière rond, toute petite poitrine, une grande fillette en somme, impression renforcée par un petit visage triangulaire d'une jolie petite fille.

Michèle, autre étudiante en médecine, jeune fille de 17 ans brune comme moi, cheveux courts, naturellement bouclée.

Bien que la plus petite des quatre, c'est celle qui paraît la plus adulte, avec son joli corps bien rebondi.

La quatrième, Françoise, poursuit ses études d'infirmières en deuxième année ; elle a les cheveux blond paille, raides. Malgré ses 18 ans, elle paraît plus jeune que Michèle.

Quand je rentre, vers 16 heures, je trouve Sylvie allongée sur son lit ; elle est assoupie et semble avoir une respiration sifflante. Je la laisse dormir et entreprends de repasser mes cours. Sylvie se réveille et m'apercevant, d'une voix traînante me dit qu'elle se sent fatiguée.

La voilà l'occasion ; je m'approche d'elle, je pose ma main sur son front,

- tu es toute chaude, tu dois avoir de la fièvre,

- je sais, mais il n'y avait personne à l'infirmerie et il n'y a pas de thermomètre ici.

- tu te trompes, j'ai ce qu'il faut, je vais m'occuper de toi, ne t'en fais pas.

Je me dirige vers mon armoire, pour en extraire un thermomètre ordinaire façon début de siècle.

Je reviens vers Sylvie,

- tournes toi sur le côté, je vais te prendre la température,

- oh non ! J'ai horreur de ça, maman nous fait toujours çà à mes soeurs et à moi et ça fait mal quand elle l’enfonce.

- voyons Sylvie, la température rectale est la normalité, ça se passe comme ça chez-moi et je t’assure que ça ne fait jamais mal ni à ma soeur, ni à moi, nous aimons plutôt ça quand le thermomètre glisse doucement dans notre petit derrière.

D'un air las elle se tourne comme je lui demande ; je relève sa robe bleue sur ses fesses, elle porte une jolie culotte blanche de petite fille, que je baisse jusqu'à ses genoux.

- non, j'ai honte !

- il ne faut pas, il est adorable ton petit derrière, et ne sommes-nous pas étudiante en médecine après tout ?

Je me suis assise sur le lit à côté d'elle, j'ai posé le thermomètre sur la table de nuit ; de la main gauche j'écarte ses jolies fesses, de l'index droit que j’ai longuement sucé, je fait des mouvements circulaires sur un adorable macaron beige clair, tout en appuyant, de façon à ce que le bout de mon doigt commence à ouvrir l'anus.

Tout doucement une phalange s'enfonce dans le petit trou, arrachant un gémissement à Sylvie,

- oh ! Qu'est-ce que tu me fais ?

- je graisse ton petit trou pour que le thermomètre glisse bien,

- maman ne nous a jamais fait ça !

- et le thermomètre, elle le graisse pas non plus ?

- jamais

- pas étonnant qu'elle fasse mal, il serait bon que tu lui en parles, comme étudiante en médecine...

Elle tourne la tête dans le même temps que je prends le thermomètre est l’enduit soigneusement de salive ; je m'aperçois dans son regard qu'elle n’appréhende plus la suite des événements.

Je pointe l'embout du thermomètre sur son anus et lentement j'enfonce l'instrument jusqu'à la moitié sans que jamais Sylvie ne proteste.

Mon doigt posé sur le thermomètre, j'interroge Sylvie :

- tu as combien de sœur ?

- deux, de huit et onze ans

Nous avons bien bavardé vingt minutes pendant lesquelles Sylvie conserva le thermomètre dans son derrière.

Je n'en délivrai et lui annonçai

-trente-huit neuf, descend à l'infirmerie il y a quelqu'un maintenant.

- merci Martine, c'est épatant comme tu le fait, j’en parlerai à maman. Le lendemain matin, je me levais la première, m'approchais du lit de Sylvie, rejetais les couvertures ; elle était allongée sur le dos. J'avais pris avec moi le même thermomètre que la veille.

Je relevais la chemise de nuit de la jeune fille sur son ventre, écartais doucement ses jolies cuisses tout en les relevant un peu ; elle s'éveilla à ce moment, me regarda d'un air un peu étonné, puis me souris et comprenant mon intention, s'écarta encore plus, relevant davantage ses cuisses vers sa poitrine, offrant son petit anus à l'introduction du thermomètre. Je le suçai longuement pour bien l’enduire de salive ; ayant lubrifié avec mon doigt les petites fronces roses de ma camarade, je plantais longuement le thermomètre dans la lune qui s'offrait. L'instrument médical glissa sans heurts jusqu'à pénétrer aux trois-quarts

- oooh, tu l’as enfoncé plus loin qu'hier soir, j'adore ça.

C'est la réflexion de Sylvie qui attira l'attention de Michèle et de Françoise qui s'approchèrent et restèrent muettes de surprise a la vue du joli spectacle. Je dois avouer qu'hier soir, en bavardant avec Sylvie, je n'avais pas prêté attention à son petit sexe d'adolescente.

Maintenant je le contemplai avec ravissement : une longue fente rose finement ourlée, surmontée d'un minuscule clitoris, à peine ombrée d'un duvet blond clair qui laissait dégagé les lèvres entre les cuisses. Françoise la première, revenue de sa surprise s'exclama :

- qu'est-ce que tu lui fais ?

- tu vois bien, je lui prends la température ; hier soir elle était fatiguée, je lui ai proposé de m'occuper d'elle, elle a bien voulu se laisser mettre le thermomètre dans le derrière et ma foi, ça ne lui a pas déplu ; elle est allée à l'infirmerie, ils lui ont donné des médicaments et recommandé de prendre sa température matin, midi et soir. Comme elle avait apprécié mes soins, je me suis dit que j'allais continuer.

Puis Michèle s’enquit,

- où as-tu donc trouvé un thermomètre ?

- il vient de chez-moi, ça peut être utile, la preuve,

- tout de même, à notre âge, on ne met plus le thermomètre dans le derrière, c’est bon pour les petites filles, la dernière fois que je l’ai reçu, j'avais douze ans.

- et moi quatorze, mais peut-être que je regrette, car je trouvais cela plutôt agréable,

Françoise, en disant cela regardait fixement ma main qui tenait le thermomètre enfoncé entre les fesses de Sylvie qui confirma

- je te promets, Michèle, que la façon de faire de Martine est délicieuse.

Je terminai la discussion en retirant doucement le thermomètre de l'orifice rectal de Sylvie et j'annonçai :

- trente-sept neuf, reste au lit ce matin, je repasserai vers midi pour reprendre ta température.

En attendant, j’attrapais sur la table de nuit une boîte, d’ou j’extrayais un suppositoire que j’enfilais dans le petit trou de la jeune-fille en l'accompagnant de mon index qui disparut en entier dans l'orifice sous le regard ébahi des autres filles ; Sylvie ponctua la nouvelle effraction de son intimité d'un oooh ! mi-réprobateur, mi-satisfait.

En partant, Françoise se pencha sur Sylvie, et lui chuchota quelque chose à l'oreille. Michèle partit la première et Françoise en même temps que moi me demanda :

- Sylvie accepte, si tu es d'accord, que je lui prenne sa température à midi ?

- aucun problème, après tout tu es élève infirmière, tu es sensée savoir le faire ; je me trompe ?

-non, vers huit-dix ans je jouais au docteur avec mes petites cousines et on se prenait réciproquement la température avec le vrai thermomètre ou autre chose en tenant lieu et j'aimais autant les deux rôles, docteur ou malade.

À midi, j'emboîtais discrètement le pas à Françoise, à qui je laissait dix minutes d'avance avant de rentrer discrètement toujours, dans la chambrée ; la scène était délicieuse : Sylvie se présentait allongée sur son lit, sur le ventre, soulevée par deux oreillers, les jambes largement ouvertes, entre lesquelles Françoise était assise et tenait le petit bout de verre qui dépassait du joli derrière ; de temps à autre elle écartait les jolis globes, retirait la moitié du thermomètre, contrôlait la température, repoussait aussi profondément le tube de verre,

- encore quelques minutes, ma petite Sylvie, tu as déjà trente-huit six.

Je m'avançai vers elles, en demandant à la malade si son infirmière était est aussi habile que moi ?

- oh oui, même qu'elle me caresse la fente en même temps,

- je ne sais pas si c'est la fièvre, mais je trouve que sa vulve est anormalement humide,

- tu ne sais pas que quand une fille éprouve du plaisir, sa monniche suinte.

Je m'assied à côté de Françoise, soulève sa jupe sans qu'elle s'y oppose et, séparant ses cuisses, je lui fais remarquer la tâche d'humidité qui orne sa petite culotte bleue ; elle rougit comme une tomate, retire le thermomètre du fondement qui l’abritait et annonce trente-huit huit ; elle pose l'engin sur le lit et comme moi ce matin enfile un suppositoire à notre petite malade…

Je la prends par la main, l'entraîne près de son lit ou je l'allonge, relève sa jupe, lui ôte sa petite culotte, en cherche une propre pour elle et pour moi aussi ; je la reculotte et, sans me gêner, me retroussant, j'ôte ma propre culotte pour la remplacer par une propre, montrant à une Françoise médusée, que moi aussi je mouille.

Tout cela sous le regard amusé de Sylvie.

Après avoir nettoyé et rangé thermomètre, nous allons déjeuner, croisant le repas apporté à Sylvie.

Le soir, nous rentrons les trois ensemble ; à cinq heures, je déclare :

- il est temps de prendre sa température à Sylvie !

Françoise s'adressant à Michèle,

- à midi, c'est moi qui ai enfilé thermomètre à Sylvie ; pour bien faire, il serait nécessaire que Michèle s'en charge ce soir.

Je trouve l'idée excellente, car cela entre dans le cadre de mes projets, au sujet des relations intimes entre nous quatre.

En rougissant un peu, Michèle s'exécute ; elle prend le thermomètre sur la table de nuit, le secoue pour faire descendre le mercure, l'enduit soigneusement de salive, puis demande à Sylvie qui, sans se gêner avait ôté sa petite culotte et attendait la suite des événements, de se tourner sur le côté.

Écartant de deux doigts la raie profonde, elle passe et repasse le thermomètre sur la pastille brune bien mouillée ; puis posant le bout argenté sur l'orifice, elle commence à introduire le tube de verre dans le petit trou qui s'ouvre sans difficulté sous la pénétration ; lorsque le premier tiers du thermomètre a disparu dans le derrière, Michèle retire un peu le tube, puis reprend l'insertion jusqu'à la moitié, recule encore un peu, enfin elle termine l'intromission lorsque l'appareil ne dépasse plus que d'un quart de sa longueur.

Elle a étalé sa main sur les jolies fesses de Sylvie et son index reste posé sur le thermomètre.

Pendant la prise de température, le je me livre à des commentaires :

- la façon dont Michèle vient de s'y prendre pour mettre le thermomètre à Sylvie est excellente, c'est toujours comme ça que je prends la température aux petites filles et à toutes celles qui n'y sont pas habituées ou qui détestent ça pour diverses raisons.

Je leur propose alors, pour nous exercer dans notre spécialité, de nous livrer périodiquement, les unes sur les autres, à des visites médicales complètes.

Michèle a ôté le thermomètre de la lune de Sylvie, elle a trente-huit deux, ça commence à baisser, puis de la même façon que Françoise et moi, elle l’a gratifiée d'un suppositoire profondément enfoncé dans son rectum.

Après que Michèle aie nettoyé et rangé le thermomètre, Françoise approuve mon idée des visites médicales, rejointe rapidement par Sylvie et par Michèle.

Je propose donc que nous commencions la semaine suivante, quand Sylvie sera guérie, ce sera d'ailleurs elle qui nous examinera ; elle devra se servir du stéthoscope, du tensiomètre, du thermomètre.


Bonjour,

le terme "monniche" je l'ai rencontré dans nombre de bouquins érotique, mais je n'en connais pas l'origine ? ...

en attendant, un autre extrait de "Martine fessée"

Samedi matin, à mon tour de prendre sa température à Sylvie, pendant que je lui maintiens le thermomètre profondément enfoncé entre ses fesses,

- Martine, ça fait deux jours que je ne suis pas allée faire caca et je commence à avoir mal au ventre.

- bon, ne t'en fais pas, j'ai le nécessaire pour te soigner.

En premier lieu, je profite du thermomètre pour appliquer une première thérapie : tout doucement, je fais aller et venir l'instrument afin de stimuler le rectum de mon amie, qui comprenant mon intention,

- tu crois que cela va me donner envie ?

- Ça peut y contribuer ; c'est pas désagréable au moins ?

- oh non, tu peux continuer, ça me fait des frissons partout.

En effet je m'aperçois qu'une humidité tapisse la toison clairsemée que je devine entre ses cuisses. Au bout d'un quart d'heure, j’arrête la prise de température elle a 37°8, ça commence à aller mieux ;

- alors ?

- c'était très agréable, mais cela ne m'a pas donné envie.

Bon tant pis, nous allons passer au lavement ; comme tu prends déjà des suppositoires, c'est préférable. Elle fait une grimace, mais admet mon point de vue.

Je lui retire complètement son pantalon de pyjama et lui demande de se prosterner sur son lit, sont joli derrière surélevé bien exposé.

J'appelle Michelle et Françoise,

- Sylvie et constipée et nous allons lui administrer un lavement, une petite poire chacune ; Françoise vas préparer la première.

Revenue dans la chambre, elle se pose derrière Sylvie, écarte davantage les deux globes pour bien dégager la cible et, d'une poussée rectiligne elle plante la canule, un peu plus grosse qu’un thermomètre, en totalité ; puis elle presse la poire, inondant le rectum de notre amie d’un flot d’eau tiède. En trois pression (et trois introductions) elle vide la poire et la passe à Michelle qui la remplit à nouveau et revient la vider dans le fondement de Sylvie qui commence à geindre,

- stop arrêtez, il faut que j’ailles me vider, je vous en supplies !

- calmes-toi, tu y aura droit à tes trois poires ; tu es une grande fille, tu doit te retenir.

Je termine le lavement en laissant la canule enchâssée dans le pertuis et je retiens la poire pendant dix minutes, malgré les supplication de Sylvie qui, lorsque je la délivre de son pal se précipite au toilettes.

Pour finir, je laisse le soin à Françoise de lui placer son suppositoire du matin.

Le mardi suivant, ne commençant qu'à dix heures, Sylvie nous recommande de rester dans nos lits : elle viendra nous visiter avant notre lever.

Puis elle vient vers moi pour me demander si j'ai d'autres thermomètres ; je la mène à mon armoire et lui montre les quatre instruments en plus du thermomètre bleu sorti pour elle : il y a le même en jaune, et deux un peu plus gros, un vert clair et un beige. Je lui suggère d'en prendre un des plus gros pour moi et l'autre normal ; ainsi fut fait.

Je me réveille la première et attend tranquillement le réveil des trois autres ; Sylvie se réveille juste après moi, se lève et enfile par-dessus son pyjama sa blouse blanche. En attendant le réveil de Michèle Françoise elle pose sur chaque table de nuit le thermomètre qui nous est destiné.

Tout le monde réveillé, elle annonce :

- Mesdemoiselles, je vous prie de rejeter vos couvertures, de vous retourner sur le côté, je vais commencer par la prise de température.

Nous obéissons docilement à notre « docteur » ; elle s'approche de moi, s’assied sur mon lit, baisse mon pantalon de pyjama à mi-cuisses, de deux doigts écarte mes globes jumeaux, pose son index mouillé de salive sur mon petit trou qui l'absorbe aussitôt ; l’ayant retiré, elle se saisit du thermomètre, le suce soigneusement et me l' introduit lentement jusqu'à la moitié. Encore une fois je suis arrivée à mes fins, me faire prendre température par quelqu'un de mon entourage immédiat.

Puis elle passe à Michèle, dont elle relève la chemise de nuit jusqu'à la taille ; comme pour moi elle écarte les joues fessières de la jeune fille, la lubrifie avec le doigt, puis insère le thermomètre très doucement jusqu'à la moitié, le retirant et le renfonçant à plusieurs reprises ; Michèle a ponctué l'opération de petits gémissements étouffés.

- je t’ais fais mal, ma petite chérie ?

- non, pas du tout, mais j'ai perdu l'habitude de recevoir des visiteurs dans cet endroit-là ; tout compte fait ça n'est pas désagréable du tout.

Puis c'est à Françoise de recevoir l'instrument médical dans sa grosse lune ; visiblement elle adore se faire perforer la rondelle par le tube de verre.

Pendant un quart d'heure, Sylvie passe de l'une à l'autre pour regarder notre température et chaque fois, renfoncer le thermomètre qui a tendance à ressortir, ce qu'elle fait avec beaucoup de plaisir.

Puis en commençant par moi, elle nous retire les instruments et note nos températures sur un cahier d'écolier. Elle revient à moi, me prend la tension, m'ausculte au stéthoscope. Enfin elle me fait allonger sur le dos, m'écarte largement les cuisses pour examiner mon sexe : s'étant munie de gants, elle écarte de deux doigts mes grandes lèvres et insère doucement son index dans mon conduit intime ; constatant la facilité de la pénétration, elle y joint le majeur, m'arrachant un gémissement de plaisir.

Puis elle passe aux deux autres filles, pour lesquelles un seul doigt arrive difficilement à pénétrer le vagin ; constatant la virginité évidente de Michèle et de Françoise, je leur raconte comment j'ai perdu mon pucelage et avant que nous lui posions la question, Sylvie avoue qu'elle aussi est encore vierge.

La semaine suivante, c'est moi qui examine mes amies. Dans cette optique, j'avais ramené de la maison trois thermomètres plus gros et plus longs.

J'ai commencé par Michèle, qui a sursauté, puis protesté en sentant le gros thermomètre lui dilater la rondelle et s'enfoncer profondément dans son derrière,

- ton petit trou en verra d'autres, plus gros et plus long, tu pourras expérimenter sur moi tout ce qui peut entrer entre les fesses d'une fille pour son plus grand plaisir.

Je la laisse avec le thermomètre planté aux trois quarts dans sa lune, pour passer aux deux autres qui me tendent leurs fesses avec impatience, pour goûter aux nouveaux instruments.

Je n'ai pas oublié non plus de leur administrer quelques lavements, prétextant un thermomètre sale, utilisant rapidement les canules vaginales.

Mes trois camarades avaient complètement intégré « nos jeux » et en dehors des examens hebdomadaires, n'hésitaient pas à réclamer de l'une ou de l'autre, qu'elle veuille bien lui enfiler le thermomètre, ou déclarant à l'une ou l'autre qu’il serait sage de lui prendre sa température.

Mais là où elle me rattrapèrent, Sylvie en premier, fut le jour où en rentrant, je la trouvai avec une fille d'une autre chambre allongée sur son lit à plat ventre sur un oreiller, a qui elle était en train d'enfoncer un thermomètre et qui la suppliait de ne pas aller trop loin, qu'elle avait pas l'habitude ; elle s'arrêta quand le thermomètre eut disparu de moitié dans le joli derrière.

En m'approchant, je reconnus Chantal de la chambre voisine, que je rassurais en lui affirmant que nous ne le recevions toutes en entier et que cela lui arriverait rapidement si elle revenait nous voir. Au bout de 10 minutes, Sylvie délivre Chantal du tube de verre et lui annonce 38 °6 et sans coup férir lui introduit un suppositoire qu'elle accompagne de la totalité de son index, arrachant un non suppliant à la jeune fille.

Ainsi peu à peu, au fil de fatigues réelles ou simulées, une dizaine de camarades ont pris l'habitude de venir trouver l'une ou l'autre d'entre nous, pour se faire prendre la température. Par contre, le thermomètre hebdomadaire est resté entre nous.


Bonjour à tous,

un autre extrait de "Martine fessée". Il est antérieur au deux autres.

le livre est en deux époques : Madeleine la mère, puis Martine la fille.

La première femme à succomber à mes manœuvres est ma belle-sœur Lucie, jeune femme de mon frère cadet Marcel.

Fatiguée, elle est venue passer quelques jours cet été pour se reposer avec sa fille Catherine dite «Cathie» ; elle a du mal à récupérer ; je profite immédiatement de l'aubaine.

Lucie est une jolie jeune femme de trente ans, blonde, longiligne, dont la rondeur des seins et surtout la prééminence de son derrière rendent ultra féminine.

Au bout de quelques jours, le matin, j'entre dans sa chambre, ouvre les volets, m'assieds au bord du lit ; elle se réveille, me sourit mais je la trouve bien pâle ; je pose une main sur son front :

- je crois qu'il est nécessaire de prendre ta température, qu'en penses-tu ?

- tu as sans doute raison, donne-moi le thermomètre,

je passe dans la salle de bain d'où je reviens avec l'instrument utilisé sur moi ; je lui tends et elle le glisse sous son bras,

- non Lucie, si le docteur Castet doit t'examiner, il exigera ta température rectale ;

- mais je n'ai pas fait cela de puis mes quatorze ans et que maman m'enfonçait ce sale truc dans le trou de balle.

- Tu sais Lucie, Bernard me le met, je le lui mets, nous le mettons aux filles et tout le monde s'en trouve très bien ; tu devrais te laisser faire et tu t'apercevrais que ce n'est pas désagréable du tout, bien au contraire ;

elle me regarde d'un air effaré, puis devant mon air détendu, elle me tend le thermomètre en disant :

- je veux bien essayer, mais ce thermomètre est trop gros et trop long pour mon petit trou ;

- c'est celui dont Bernard se sert pour moi et puis tu sais, tu fais des crottes bien plus grosses ;

je relève les couvertures, puis la chemise de nuit, révélant une figue longue très fendue avec une toison d'adolescente ; il faudra que j'ajoute d'autres jeux plus sexuels à mes jeux médicaux...

- tournes-toi sur le côté et plies les jambes

ses deux joues fessières sont superbes ; je les écarte de deux doigts, pose une goutte de salive que j'étale en tournant sur l'anus en insérant doucement une phalange, je suce le thermomètre dont j'introduis la pointe dans le fondement ; je le fais tourner plusieurs fois avant de l'enfiler dans le rectum de Lucie. L'instrument glisse facilement dans l'étui humain jusqu'à pénétrer à moitié

- je t'en supplie arrête, tu l'enfonce trop, tu va me faire mal !

- mais non, rassure-toi, je le reçois en entier moi ;

comme elle ne proteste plus, je le rentre sur deux-tiers ; je lui conserve dix minutes en le tenant par le bout ; je retire le thermomètre et le consulte :

- 38°1, c'est trop, je te prends rendez-vous chez Castet.

Elle acquiesce, mais je la sens très troublée ; elle me regarde longuement, puis avec hésitation :

- j'étais stupide, c'est pas désagréable du tout de se faire mettre le thermomètre dans le trou du derrière ;

elle se lève, puis au bout d'un moment,

- j'aimerai me rendre compte, tu veux bien te laisser prendre la température par moi ?

- bien sur ma Lucie, comment veux-tu que je me dispose ?

- comme moi,

je m'étends sur le coté ;

- attends-moi, je vais nettoyer le thermomètre,

elle revient, relève ma chemise de nuit, pose sa main sur mes rondeurs jumelles et me caresse jusqu'à la raie qu'elle écarte ; elle mouille mon petit trou, et me glisse l'engin dans le fondement.

Quelle sensation ! une personne que j'aime bien me prend la température ; rien que d'y penser, je joui en contractant ma rondelle sur la tige de verre qui continue à progresser dans mon rectum ; aux deux tiers Lucie s'interrompt, puis,

- je peux te l'enfiler en entier ?

- oui, mais pour ça change l'axe vers mon dos,

le reste du tube rentre en douceur dans mon derrière il touche quelque chose au fond, me provoquant un nouveau spasme qui resserre mon trou de balle ; je suis certaine que Lucie l'a remarqué.

Elle m'ôte le thermomètre, le pose sur la table de nuit, s'étend à coté de moi,

- tu as joui avec le thermo dans le trou de balle ?

- oui espèce de coquine !

- Je vais prendre rendez-vous pour toi chez Castet ;

il me le donne pour le vendredi suivant en me recommandant de contrôler la température de Lucie matin et soir jusqu'à la consultation ; je ne l'oublierai pour rien au monde.

Le soir je l’accompagne dans sa chambre, l’aide à se déshabiller et lorsqu’elle est couchée, je prends le thermomètre sur son chevet,

- allez, tends-moi ton derrière que je vérifie ta température !

Docilement elle se tourne sur le côté et me laisse la transpercer avec l’instrument médical que je lui plante presque jusqu’au bout, lui arrachant un petit couinement que je suppose de satisfaction.

Au bout d’un quart d’heure,

- c’est pas suffisant ?

J’ôte le thermomètre

- voyons la température ; 38°3 c'est vraiment trop !

Lucie se couche, je l'embrasse.

Le lendemain, je la réveille en lui introduisant le thermomètre…

Après déjeuner, nous laissons les fillettes jouer dans la piscine, et Lucie retourne s'étendre ; je la rejoins au bout d'une heure. Elle a mal à la tête, je pose ma main sur son front, je la trouve chaude, sors un thermomètre,

- encore ! mais tu me déjà prise ce matin !

Cependant, elle se tourne sur le côté pour me laisser agir ; je retrousse sa robe et me rend compte qu'elle n'a pas de culotte

- tu te promènes cul nu ?

- quand il fait chaud c'est pas désagréable, tu sais ;

je suce mon doigt et n'hésite pas à le lui enfoncer entièrement dans le trou de balle ; elle ne bronche pas. Je remplace mon doigt par le thermomètre que je loge en entier dans l'intestin elle accueille l'intrus par un ooooh timide ; je laisse l'engin planté dans sa lune :

- je vais faire comme toi,

je soulève mes jupes et ôtes ma culotte ; elle me regarde et me sourit, puis se débarrassant elle même du thermomètre elle me le tend ; il présente de nombreuses trace de caca ;

- 38°6, dis-moi il y a longtemps que tu n'a pas fait caca ?

Elle rougit et m'avoue :

- je suis un peu constipée depuis deux jours

- tourne-toi sur le dos,

je palpe son ventre, il est tout dur ;

- bouges pas, je vais m'occuper de toi.

Je me rends dans la salle un grand lavement à ma belle-soeur ; dans le grand bock, je mets deux litres d'eau pas trop chaude et trois cuillères à soupe de glycérine ; au long tuyau j'adapte la grosse canule avec trois olives, prends une serviette.

Je reviens dans la chambre ou Lucie s'est assoupie comme je l'avais laissée ; je pose le bock sur la table de nuit, glisses la serviette sous ses fesses, la réveillant :

- oooh non ! Tu crois que ça me fera du bien ?

- j'en suis persuadée, écarte tes cuisses et relève-les un peu ;

je pose un peu de salive sur la rondelle, suce la canule et commence à l'introduire dans le fondement de Lucie qui ponctue le passage de chaque olive par un aaah ! que je suppose de plaisir.

Quand la longue tige a entièrement disparue dans l'intestin, j'ouvre le petit robinet entre les fesses ;

- reste tranquille, il y en à pour vingt minutes environ pour que tu absorbes tout, je reviens tout de suite.

Je nettoie le thermomètre et le repose sur la table de nuit, puis je retire à moitié la canule pendant une minute et la repousse au fond,

- ça évite les crampes.

Deux ou trois fois je renouvelle l’opération et quand le bock est vide avant que toute l’eau ne soit sortie du tuyau, je ferme le petit robinet entre les jolies fesses de lucie

- attention, je vais te délivrer de ton pal, retiens-toi bien pour te rendre au wc ;

quand elle revient, je la sens nettement mieux,

- merci, Madeleine ton lavement m'a fait du bien.

J'entraîne Lucie sur le lit, m'assied dessus et la fait basculer à plat-ventre sur mes genoux ; je relève sa robe sur son dos :

- te voilà en bonne position, comme une petite fille qui va recevoir la fessée

- tu oserai ?

je distribue quelques tapes sur les jolis globes,

- tu la fesse quelquefois Cathie

- c'est très rare, elle est sage et travaille bien ;

- les miennes c'est pareil,

- de toute façon on a d'autres occasions de contempler leur gros derrière, pas vrai ?

- oui, pour le thermomètre, la canule, les suppositoires ; tien au fait, j'ai quelque chose qui va te faire du bien.

J'attrape un gros suppositoire calmant dans la table de nuit, écarte les rondeurs jumelles de Lucie,

- tu va pas me prendre encore la température quand même ?

- ça te déplairait tant que ça ?

- hooo non, tu peux y aller,

j'enfonce le suppositoire en l'accompagnant avec mon plus long doigt qui rentre complètement ;

- je te mets un suppositoire pour te calmer et te remettre en forme, repose-toi jusqu'à midi ;

- c'est bon ton doigt dans mon derrière, laisse-le un peu,

je sens son anus palpiter autour de mon majeur, que j'agite doucement, provoquant la houle de ses reins. Elle se donne dans un long gémissement ; je retire mon doigt et je la bascule sur le lit où je la laisse se reposer.

Comments

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