Atina
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Vues: 36177 Created: 2010.01.30 Mis à jour: 2010.01.30

Mouillée

Chapitre 1

Bonjour, je m'appelle Marie, j'ai vingt-six ans. Brunette, cheveux longs, 1m63 pour 52 kilos. Voilà pour les présentations. Je viens de découvrir ce site et il correspond à ma propre expérience. Cela m'a donné envie de vous relater mon histoire, pas du tout AB, mais franchement DL.

Il se trouve que j'ai une petite vessie et donc peu d'autonomie. Comme pas mal de filles j'ai assez souvent besoin d'aller faire une "pause-pipi". Sauf que parfois, ces envies ne sont pas forcément compatibles avec la situation du moment, ce qui m'occasionne des accidents de temps en temps.

Encore assez récemment, en sortant du travail où j'avais pourtant pris la précaution d'aller aux toilettes avant de partir (question d'habitude) je me suis trouvée bloquée par les embouteillages. Je n'ai jamais su ce qui était arrivé, probablement un accident car la circulation était totalement à l'arrêt pendant une bonne heure. Au travail, comme il avait fait très chaud, j'avais bu une bonne quantité d'eau et je commençais à me tortiller sur le siège de ma voiture, sentant la pression monter dans mon bas-ventre. Craignant bien de ne pouvoir attendre beaucoup plus, j'ai décidé, dès que les voitures ont avancé un peu, de prendre la première sortie, puis de m'arrêter très vite n'importe où. C'était une erreur car la circulation était tout aussi coincée, et je me suis retrouvée à nouveau immobilisée sur le pont de la bretelle d'autoroute. Impossible donc de sortir de la voiture pour aller me soulager sur le bas côté. Je serrais et desserrais les cuisses compulsivement, les mains coincées dans mon entrejambe. Ce qui d'ailleurs génère une certaine excitation.

De plus en plus désespérée, j'ai commencé à réaliser ce qui allait probablement se passer et décidai de prendre quelques précautions. La veille, j'étais allée à la plage et ma serviette de bains était encore sur le siège arrière. Je l'attrapai, ainsi qu'un magazine. Je glissai le magazine sur le siège puis la serviette par dessus et me suis rassise. Au moins, le siège était un peu protégé. J'eus aussi une autre idée. Bien que n'étant pas en période de règles, j'avais malgré tout dans mon sac une serviette hygiénique, "au cas où". Aussi discrètement que possible afin de ne pas être vue par les automobilistes devant et derrière ma voiture, je la glissai dans ma culotte. Au bout de 10 minutes, la circulation n'avait pas bougé d'un pouce, et pour moi cela devenait de pire en pire, c'était même franchement douloureux. Encore 5 minutes plus tard, j'ai ressenti un fort élancement dans le ventre, et la sensation d'humidité qui se répandait entre mes cuisses. J'ai fermé les yeux, pleinement consciente que je ne pouvais rien y faire. Ma serviette hygiénique était bien entendu bien trop petite pour absorber, et je sentais la tâche s'élargir dans la serviette de plage sous mes fesses. Au bout d'une quinzaine de secondes, j'ai pu reprendre le contrôle et arrêter le flux, mais je m'étais quand même bien fait dessus. J'ai ouvert les vitres pour ventiler l'odeur et continué de patienter.

Une demi-heure plus tard, alors que mon envie était repartie à la hausse, le trafic se débloquait enfin. Les 20 minutes de trajet restantes me mirent à nouveau au désespoir, de telle sorte que quand j'arrivai chez moi, j'étais encore plus qu'à la limite de me mouiller. Coup classique, devant la porte de la maison, j'eus beau chercher dans mon sac à main, impossible de trouver mes clés. Comme l'envie recommençait à me plier en deux, et vu ce que j'avais fait tout à l'heure, je me suis contentée de me déplacer d'un pas derrière ma haie, et restant debout et toujours cherchant dans mon sac, je me suis soulagée, l'urine coulant le long de mes jambes jusqu'au sol. Je suis retournée à la voiture, ai récupéré ma serviette de plage et m'en suis servie pour m'essuyer les cuisses. Les clés de la maison étaient sur le siège sous la serviette. J'ai pu constater que mon stratagème avait été efficace pour cette fois. Mon magazine était foutu, mais le siège de la voiture intact. Allez hop, direction la douche. A tout hasard, j'ai remis dans la voiture une serviette de plage propre, ça peut servir.

A propos de plage, j'ai honte de ma paresse. L'autre jour j'étais à la plage lorsque l'envie de faire pipi m'a prise. Que fait la très grande majorité des gens qui ont ce besoin à la plage ? Simple, ils vont se soulager dans l'eau. Mais moi, j'étais si bien sur la plage, au chaud soleil, et dans une pose lascive, proche d'un demi-sommeil que l'idée d'aller me tremper dans l'eau froide ne me plaisait pas du tout. Comme la plage n'était pas bondée, personne n'était à proximité immédiate, en plus j'avais un maillot de bain noir, donc sur lequel les auréoles ne se voient pas. Je me suis simplement un peu déplacée à côté de ma serviette, et j'ai discrètement pissé dans mon maillot de bain. De retour sur ma serviette, du bout du pied j'ai envoyé un peu de sable dessus pour masquer l'emplacement humide et je me suis recouchée. La chaleur aidant, au bout de cinq minutes, mon maillot était sec et je me félicitai de ne pas avoir eu besoin d'aller me baigner.

Depuis, à quelques reprises, j'ai encore eu des soucis. Pas systématiquement des accidents, mais vraiment limite, genre en arrivant aux toilettes, ma culotte commençait à être mouillée. A tel point qu'une fois je n'ai même pas pris la peine de la baisser. J'ai simplement levé ma jupe et me suis assise pour me soulager.

Mais bon, comme ces petits soucis commençaient à devenir un peu fréquents, j'ai décidé de prendre des mesures et suis allée à l'hypermarché m'acheter des couches pour adultes. Pas pour porter tout le temps, mais pour en avoir au cas où. J'en laissai une dans la voiture, une dans mon vestiaire au travail, et j'en portais une lorsque je n'étais pas certaine de pouvoir trouver des toilettes facilement, comme pour un long trajet en voiture ou un après-midi de courses en ville. Je mettais la couche, une grande culotte par dessus pour étouffer le bruit, une jupe large et un ample chemisier qui descend bas, de telle sorte que mon soudain embonpoint fessier était totalement masqué, personne ne pouvant se douter de ce que je portais dessous.

C'est assez paradoxal. Le fait de porter une couche m'a totalement tranquillisée. Je me rendis alors compte de l'angoisse permanente que représentait la peur d'avoir envie de faire pipi. Et du coup, comme j'étais tranquillisée par le port de la couche, mes envies étaient bien moins pressantes, et il s'est passé longtemps sans que je mouille cette couche.

Malgré tout, j'ai voulu tester les facultés réelles d'absorption du truc. Un jour de congés, j'ai mis une des couches et décidé que je n'irais pas aux toilettes. Pour bien la tenir en place, j'ai mis une paire de collants par dessus et un t-shirt. Sexy pour qui aime le genre. Pour encourager l'envie, j'ai bu du thé et de l'eau, tout en vaquant à mes occupations domestiques, ménage et repassage, et je suis parvenue à ne plus trop y penser. Au bout d'un moment, l'envie s'est éveillée, et je me suis surprise en train d'aller machinalement aux toilettes. Je me suis arrêtée et je suis retournée dans le salon regarder la télé. J'ai essayé plusieurs fois de forcer pour mouiller ma couche, sans succès. Trop d'années d'habitude à essayer de se retenir pour pouvoir se lâcher volontairement comme ça. Têtue, j'ai décidé d'attendre et je me suis concentrée sur le programme télé. Au bout d'un moment, relaxée, j'ai senti que je pourrais y arriver. Je me suis détendue et j'ai laissé couler doucement. La chaleur s'est peu à peu répandue, tandis que la bande de couleur se teintait progressivement. C'était très excitant et je n'ai pu m'empêcher de glisser la main dans ma couche et me caresser jusqu'à la jouissance, qui est d'ailleurs arrivée très rapidement. En tout cas, le système était efficace, pas une goutte n'avait fuit. Je pouvais envisager de m'en servir dans d'autres circonstances, sans crainte.

La première fois en public, c'était au cinéma. Plutôt que de devoir sortir au milieu de la séance pour me rendre aux toilettes, j'ai utilisé ma couche, comme je l'avais fait l'autre jour chez moi. Tout s'est très bien passé, c'était excitant, personne ne s'en est douté. C'était chaud et doux. Ce qui m'a surpris par contre, c'est après la séance, la difficulté pour marcher. Ma couche avait enflé entre mes cuisses et elle me gênait un peu pour marcher, en plus j'avais l'impression qu'elle pesait trois kilos. Je suis allée aux toilettes pour la changer et en remettre une autre.

Je me rends compte que j'en mets de plus en plus souvent. Y compris la nuit.

Il m'est arrivé une fois ou deux dans le passé de mouiller mon lit, après des soirées trop arrosées. Perdue dans mon sommeil éthylique, l'envie ne me réveillait pas et ce n'est qu'au matin que je constatais les dégâts.

Maintenant, plus de problème, sauf que je mets des couches la nuit même quand je n'ai pas de soirée. L'autre jour, un peu comme à la plage, la paresse a eu raison de moi. L'envie de faire pipi m'a réveillée, j'ai eu la flemme de me lever et me rappelant que j'avais une couche, j'ai fait sous moi et me suis rendormie. Le lendemain matin, pas de soucis. La couche avait tenu le coup. J'ai aéré la chambre qui en avait besoin et suis allée me débarrasser de mon pesant entrejambe et prendre une douche.

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n/a Il ya 10 ans