Clairodon


Vues: 54744 Created: 2009.04.17 Mis à jour: 2009.04.17

Descente au ciel ou montée en enfer si vous préférez

Chapitre 1 : Le début

Tout a commencé quand je venais d'avoir 18 ans. J'avais commencé l'université avec presque un an d'avance. J'adorais mes études, mais je n'arrivais pas à m'intégrer avec les autres étudiants. Je ne me sentais jamais à l'aise avec les autres, j'avais toujours l'impression qu'ils me considéraient comme étant trop jeune. Ils étaient toujours très gentils, mais je ne faisais pas partie du groupe. Je passais toutes les soirées seule dans ma chambre, sauf le lundi soir où j'accompagnais un groupe d'étudiants au cinéma, suivi d'une pizzeria. Les week-ends, je rentrais chez ma mère, avec qui je vivais sur un pied tendu depuis mon adolescence.

Au mois de mai de ma première année, nous avions quelques conférences données par un ancien professeur de notre université. Il était jeune, beau, intelligent et drôle. Toutes les filles le trouvaient extrêmement sexy. Quelques années auparavant il avait lancé sa « spin off » et cela avait très bien marché. Il avait trente ans, il était riche, beau garçon et savourait sa popularité. Ses conférences étaient passionnantes puisqu'il était passionné. Lors de sa première conférence, j'avais posé quelques questions et pendant le break il était venu vers moi. Devant tous les autres, il m'avait félicitée de mes questions qui « démontraient une intelligence créative rare ». Évidemment il me draguait, mais néanmoins j'étais fière et, ne pas sachant comment répondre à ce compliment, j'avais rougi. Lors des conférences suivantes, il me cherchait des yeux et pendant les breaks il venait toujours vers moi. À la dernière conférence, il m'a invité au cinéma.

À partir de là, Guy, c'était son nom, et moi sortîmes ensemble régulièrement.

J'adorais être invitée à des restaurants à la mode, à des vernissages, de recevoir des nouveaux vêtements et d'autres petits cadeaux. Très vite j'avais compris que cela l'excitait quand je m'habillais « plus jeune ». Par exemple quand je mettais des jupes plissées mettant en évidence mes belles jambes. Je suis petite de taille, très mince, peu de poitrine. En m'habillant avec des vêtements de « lycéenne » je peux passer pour une jeune fille préadolescente. J'avais noté que cela faisait tourner la tête de certains hommes mûrs, et j'y trouvais un petit plaisir pervers.

Bientôt je prenais l'habitude quand on sortait ensemble de loger chez lui où il me faisait l'amour d'une manière douce, mais très passionnelle. Quelle différence avec la maladresse et l'égoïsme dont j'avais eu l'habitude avec Jérôme, le garçon avec qui j'étais sortie à l'école. Un jour, j'apportais une petite robe très enfantine. C'était une robe tablier consistant d'une petite jupe avec une taille élastique surmontée d'une bavette et des bretelles croisées dans le dos.

La jupe avait deux poches devant et boutonnait par-derrière. J'avais eu cette robe quand j'avais 11 ou 12 ans et pendant longtemps ça avait été ma robe d'été préférée. Je l'avais portée jusqu'à mes quinze ans, quand ma mère avait jugé qu'elle n'était plus de mon âge et l'avait jeté parmi les chiffons. Secrètement, je l'avais récupérée et gardée. Ce matin-là Guy préparait le petit déjeuner quand je rentrais à la cuisine en portant cette robe. Elle était évidemment beaucoup trop courte, couvrant à peine mon slip, ce qui accentuait le caractère petite fille. Ému, il m'avait pris dans ces bras pour me porter au salon où il m'avait fait l'amour de la manière à la fois la plus délicate que la plus passionnelle imaginable. Ce moment est gravé dans ma mémoire comme un des moments le plus heureux de ma vie, et à partir de ce jour j'étais prête à faire tout ce qu'il voulait, pour toujours.

Guy m'encourageait à porter des vêtements de plus en plus jeunes en public, au point qu'à l'université mes amis commençaient à faire des remarques. Mais j'adorais m'exhibitionner de cette manière. Au mois de juillet, il m'invitait en vacances. En vacances il commençait à me traiter comme une petite fille, m'achetant la Barbie que je n'avais jamais eue comme enfant, et même me donnant à manger avec une cuillère. J'avais adoré, mais en rentrant il voulait continuer et je ne savais pas trop si je voulais ça.

À l'époque j'avais posté un message sur un forum de conseils de jeunes en demandant ce que je devais faire. Bien que certains personnes me rassuraient en disant qu'il n'y avait rien de mal à demander à sa copine de s'habiller et d'acter plus jeune, et d'aimer ça tous les deux, d'autres insistaient que Guy était un pervers et que je devais rompre au plus vite. J'étais assez surpris de ces réactions. Jusqu'à ce moment, je n'avais pas songé, même pas une seconde, que nos jeux étaient « kinky ». Quand j'avais commencé à sortir avec Guy, je venais de terminer ma relation de 3 ans avec Jérôme, un garçon du collège. Un garçon charmant, gai, gentil, beau, sexy... mais très immature. Jérôme avait une année de plus que moi, mais pendant que moi j'étais dans ma première année à l'université lui il doublait sa dernière année d'Humanités. J'en avais marre de son comportement d'adolescent immature, marre de son irresponsabilité qui mettait en danger nos projets futurs, marre que ce soit toujours moi qui devait être la responsable dans notre relation. Le jour que j'avais rompu avec lui j'avais été fort triste puisque j'étais persuadée que je n'allais plus jamais rencontrer une personne aussi gentille et charmante. Et tout d'un coup je rencontrais cet homme, aussi sexy, beau, gentil, gai et charmant que Jérôme, mais en plus il était mature, intelligent, cultivé, clairement responsable et discipliné, puisqu'en quelques années il avait construit une magnifique entreprise. J'étais tellement content que dans cette nouvelle relation quelqu'un d'autre était l'adulte. Donc c'était moi qui avais commencé les jeux dans lequel je jouais la petite fille de papa. Je ne voyais vraiment pas pourquoi je devrais rompre. Au contraire le fait qu'il me prenait à charge était justement un des aspects que j'adorais. Les conseils négatifs me poussaient au contraire. Je décidais d'avoir confiance absolue en lui.

Nos jeux devenaient de plus en plus osés. Je reviendrai plus tard sur ces différents épisodes d'initiation. Mais faisons un petit saut en avant.

Petit à petit Guy et moi découvrions les ambiguïtés et les dangers potentiels de nos jeux de rôles. Nous étions de plus en plus intoxiqués. Mais je réalisais aussi que mon jeu était moins innocent qu'il ne paraissait. Il ne s'agissait pas simplement de me soumettre complètement à Guy. Il y avait eu un incident qui me faisait comprendre que mon jeu me donnait aussi une arme puissante pour imposer ma volonté. Mon jeu était une lame à double tranchant.

Guy m'avait emmené à une réception ou il me paradait devant tout le monde fier d'avoir une aussi belle copine. C'est vrai que j'étais en beauté. Je portais une très belle robe noire, un maquillage raffiné et quelques bijoux splendides. En bref je faisais tourner les têtes et il en était fier. J'adorais. Et puis il rencontrait une vieille amie d'une trentaine d'années qu'il n'avait plus vu depuis très longtemps. Il était clair qu'il y avait une complicité entre les deux – entre-temps je sais qu'ils avaient été des amants-. Il la draguait devant mon nez et comme si cela n'était pas suffisant elle faisait des remarques moqueuses concernant mon âge. Cela me m'avait rendu furieuse. Sans hésiter, j'avais commencé mon acte de jeune adolescente, me pendant à son cou, chuchotant dans son oreille que j'en avais mare, que je voulais partir, jusqu'au moment qu'il était tellement embarrassé qu'on était partie. La petite fille soumise avait su imposer sa (petite) volonté.

D'abord cela l'avait rendu de mauvaise humeur, mais après il trouvait l'incident amusant et il me félicitait pour mes talents d'actrice. C'est vrai que cela devenait de plus en plus naturel. Je jouais différents rôles tous avec la même facilité, glissant automatiquement d'un rôle à autre, parfois même sans le réaliser. Je jouais toujours une jeune fille, mais l'âge changeait entre celui d'une petite fille de 5, 6 ans aux adolescentes de 14,15.

Quelques jours plus tard, Guy et moi étions invités par la même copine. Comme on pouvait s'y attendre, à un certain moment la conversation portait sur l'incident à la réception. Racontant nos petits jeux Guy et moi ne pouvions pas ne pas faire transparaître notre enthousiasme. Cela avait l'air d'exciter sa copine – elle s'appelle Lucie - et quand je disais que je cherchais une petite copine pour jouer avec moi elle répondait immédiatement que cela lui semblait une idée merveilleuse. Et donc le week-end après on arrangeait pour qu'elle passe samedi soir et une partie du dimanche avec nous. Mais cela se passait fort différent de ce que j'avais imaginé. Tout d'abord Guy et Lucie s'étaient mis d'accord qu'elle ne serait pas ma petite copine, mais une sorte de babysitteuse. Cela ne me dérangeait pas. Elle était habillée et actait en jeune fille adolescente d'une manière très convaincante. Pendant qu'elle me donnait à manger, elle flirtait avec Guy comme moi j'adorais faire avec des adultes quand j'étais adolescente.

Il lui posait plein de questions auxquels elle répondait par des sous-entendus avec une petite voix moqueuse. Guy avait l'air d'adorer. Après le dîner elle me mettait au bain. Être déshabillée et lavée par elle m'excitait. Je n'avais jamais été touchée aussi intimement par une femme. Pendant qu'elle me déshabillait, elle me donnait des compliments et ces doigts touchaient les endroits sensibles. Après elle me disait de me mettre debout dans le bain ou elle procédait à enlever les poils autour de mon sexe. C'était une expérience extrêmement érotique. Ensuite elle me savonnait de haut en bas. Et puis tout doucement elle enlevait le savon en me caressant doucement et de nouveau elle s'attardait longuement aux endroits sensibles. Mes genoux devenaient tout mous et je gémissais de plaisir. Après m'avoir lavée, elle m'emmenait à la chambre à coucher ou elle sortait des couches de son sac et m'ordonnait de m'allonger sur le lit. Guy avait suggéré des couches à une ou deux reprises auparavant, mais j'avais toujours refusé. Je trouvais que les couches, tétines et biberons étaient idiots et humiliants. Mais après ce bain extraordinaire et bien dans mon rôle je me laissais faire. Quand elle serrait les couches autour des mes jambes j'avais le sentiment que j'avais attendu ce moment depuis toujours. Elle m'aidait à me mettre debout, enfilait une tunique courte par au-dessus de ma tête et nous rejoignîmes Guy au living, à qui elle annonçait que le petit bébé était tout propre et prêt pour la nuit. Guy paraissait un peu surpris, mais il me donnait son sourire merveilleux, me disait que j'étais adorable me tirait faire lui sur le canapé ou il m'embrassait en me caressant en dessous de ma tunique.

Après quelques minutes je sentais que Lucie s'était jointe à nous. Elle m'embrassait également et avec sa main elle pressait mes couches entre mes jambes avec des petits mouvements lents. Pendant un certain temps, j'étais ainsi le centre d'attentions de tous les deux. Mais petit à petit je sentais que Guy s'occupait de plus en plus de Lucie et me négligeait. Je protestais et Lucie, remettant sa main sur mes couches, se penchait vers moi pour m'embrasser. Mais ce n'était pas elle que je voulais. Je me détournais et avec une voix de petite fille pleurnicheuse disait que je ne l'aimais pas, que je voulais Guy. Irrité il me répondait que j'étais une fille gâtée et que je n'étais pas gentille envers Lucie. Je protestais plus fort, mais ça n'était pas une bonne idée. C'était ce que Lucie avait attendu. Elle se levait et me prenant par la main elle disait que ce n'était pas grave, mais que c'était temps pour les petits bébés pour aller dormir. Calmement, mais fermement elle me tirait du canapé. Je protestais, mais elle ne me laissait pas parler. Elle m'ordonnait de donner une bise à Guy qui me prenait dans ces bras et me disait qu'il m'aimait le plus au monde. Puis il me tournait vers la porte et, me donnant une petite tape sur mes couches, me souhaitait bonne nuit. J'arrêtais mes protestations et suivait Lucie qui me couchait dans la chambre d'invités avec quelques nounours. Avant de me laisser seule elle introduisait ma main dans ma couche, pressait ma main contre mon clitoris, m'aidait à me masturber sans ôter les couches, et puis me donnait une bise sur ma bouche en me demandant d'être une fille sage maintenant.

A ma surprise je me trouvais donc seule en train de me caresser moi même.

J'hésitais de sortir et de faire une scène. Mais je n'osais pas. J'essayais d'écouter les autres, mais je n'entendais rien. Je me sentais triste, mais en même temps les couches me donnaient un sentiment de sécurité et de bien-être. J'étais triste et heureuse à la fois.

Tout de suite après je réalisais que je devais faire pipi. De nouveau j'hésitais de sortir, d'enlever les couches et d'aller à la toilette, mais après quelques minutes je décidais d‘employer mes couches. C'était plus difficile que je n'avais pensé. Je devais vraiment me concentrer pour ouvrir les portes, - maintenant j'ai du mal à imaginer comment c'était possible-, mais après les premières goûtes tout d'un coup un petit flot s'échappait. Je sentais la chaleur se répandre autour de mes fesses. C'était un sentiment merveilleux. Je recommençais à deux ou trois reprises. Je sentais avec ma main la lourdeur se former entre mes jambes et c'est ainsi que je me endormais

Le lendemain matin je me réveillais de bonne heure. La première chose que je réalisais était le sentiment agréable des couches lourdes entre mes jambes.

Mais une seconde après je me rappelais ce qui était arrivé et j'étais prise de panique. Je me sentais honteuse et je ne voulais absolument pas que Lucie et Guy voient que j'avais mouillé mes couches. Ce qui était arrivé le jour avant était suffisamment humiliant. Je me dépêchais à la salle de bain pour me changer. Le sentiment de la couche lourde qui pendait entre mes jambes m'excitait encore plus quand je marchais. Arrivé à la salle de bain je n'avais pas envie de l'enlever. Je décidais de me brosser les dents d'abord. Pendant que je me brossais les dents je sentais le besoin de faire pipi et je laissais aller. Le flot était plus grand que la veille. Finissant de brosser mes dents je soulevais avec ma main la couche entre mes jambes -maintenant elle était vraiment lourde- en faisant quelques pas. J'étais tellement absorbé que je n'entendais pas entrer Lucie jusqu'au moment qu'elle m'adressait la parole :

- Ah ah, le petit bébé aime ça n'est ce pas ?

Me sentant devenir tout rouge je me tournais vers elle et ne pas sachant quoi répondre je balbutiais quelque chose. Elle ignorait ce que je disais, mais me prenais par les épaules et me tournant vers elle me disait qu'il était temps de me changer si je voulais éviter d'irriter mes petites cuisses. Avant que je n'aie le temps de réagir elle avait défait les strips collants et laissait tomber la couche par terre.

- Le petit bébé a fait un grand pipi. Bravo.

Honteux je n'osais pas réagir et je regardais par terre. Elle prenait un gant de toilette et me lavait lentement les cuisses et l'entrejambes avec de l'eau tiède et beaucoup de savon. La honte disparaissait immédiatement pour donner la place à un sentiment d'immense plaisir. Comme le jour précédent mes genoux tremblaient. Elle me séchait très doucement et puis me prenant par la main m'entraînait vers la chambre ou elle me mettait des couches propres. Quand elle refermait la couche autour de mes jambes je me rendais compte qu'elle avait mis une grosse serviette complémentaire dans la couche ce qui augmentait le sentiment de bien-être. Ensuite elle m'habillait avec seulement un T-shirt sur des collants bleu clair qui mettaient en évidence l'épaisseur de la couche. En descendant j'avais l'impression de marcher un peu comme un canard et j'aimais ça.

Guy nous attendait pour le petit déjeuner en lisant son journal. En me voyant avec ma tétine en bouche, ma poupée à chiffons en main et mes grosses couches il avait l'air surpris et contrarié. Avant qu'il ne puisse réagir Lucie lui demandait s'il ne trouvait pas que le petit bébé était tout croquant et, me poussant vers lui, elle me disait de lui donner un gros câlin. Mais Guy n'avait pas l'air d'apprécier la situation. Quand je tendais mes bras vers lui il m'arrêtait en disant que j'avais l'air ridicule. Je me sentais déçu et horriblement honteuse. Je voulais dire que je le comprenais et que j'allais me changer, mais Lucie m'arrêtait. Sur son ton moqueur elle expliquait que c'était la suite logique de notre jeu, qu'il ne devait donc pas être hypocrite et jouer l'innocent, et qu'il ferait mieux de s'y habituer parce que j'adorais ça. Il nous regardait et puis sans un mot il quittait la chambre. Je voulais le suivre mais Lucie m'arrêtait. Elle me prenait dans ces bras, me disait que je ne devais pas avoir peur, que Guy aimait très fort petit bébé Claire et qu'il allait s'habituer à mes couches. Et elle mettait ma main entre mes jambes en pressant légèrement sur ma couche. Mi pleurant, mi gémissant de plaisir je la suivais à la cuisine où elle avait préparé un biberon. J'étais de nouveau horrifié et je protestais que cela suffisait, que j'arrêtais le jeu. Mais Lucie me répondait qu'après un grand biberon comme ça le petit bébé allait faire un gros pipi dans sa couche. L'idée était trop irrésistible et donc, tout honteuse, je me taisait en attendant que le biberon chauffait. J'étais étonné de constater que j'adorais sucer le biberon et que ça me calmait. Quand j'avais terminé de boire, ce qui prenait plus de temps que je pensais, Lucie me disait qu'on allait « se faire toute belle tous les deux ». Elle m'emmenait de nouveau en haut ou elle inspectait mon armoire et sans hésiter sortait la petite robe à bavette avec laquelle j'avais ému Guy tout au début de nos jeux. Elle m'enfilait la robe qui se serrait autour de mes couches. Elle me mettait une épingle à cheveux en forme de papillon de couleur assorti à mes collants, introduisait la tétine dans ma bouche et me mettait devant un miroir en me disant que j'étais « à manger ». Et en effet je me trouvais trop mignonne. La robe était trop courte en ne couvrait pas vraiment le gros paquet entre mes jambes, et cela, ensemble avec la tétine et la poupée que j'avais encore en main, me donnait un aspect petit bébé très convainquant. Elle me demandait d'attendre pendant qu'elle se préparait. Elle sortait de mon armoire une minijupe en jeans, des collants rayés multi couleurs, et un T-shirt tout court qui laissait voir son nombril ou elle portait un piercing. C'étaient les vêtements que j'avais portés quand Guy et moi avions été invités chez elle. Guy adorait ce genre d'attisage d'adolescente. Pendant qu'elle se maquillait je faisais pipi dans les couches et de nouveau le sentiment de la chaleur qui se rependait autour de mes cuisses était fantastiquement érotique. Me prenant par la main elle annonçait qu'on allait chercher Guy. Il était dans son bureau et quand il nous voyait il nous souriait.

Lucie me poussait en avant :

- Montre comme t'es jolie.

J'avançais et Guy m'attirait vers lui et me donnait une bise sur le front. Mais en même temps il s'adressait à Lucie

- Mais toi aussi t'es bien jolie.

Elle remerciait en souriant. Et mettant son ventre en avant elle demandait s'il aimait son piercing. Tout en me tenant contre lui il prenait sa main et l'attirait vers lui et touchait le piercing du doigt

- Montre... Oui très jolie, parfait pour un ventre parfait.

Elle se penchait devant lui en regardant l'écran de son ordinateur :

- Qu'est ce que tu fais ?

- Un peu de travail - Youp ?!?! ça à l'air compliqué - Pas tellement. Tu veux que je t'explique ?

- Oui !

Guy tenait toujours son bras autour de moi, mais il m'avait oublié. Il m'explique souvent son travail et il apprécie mes commentaires. Donc je penchais également en avant pour voir l'écran. Mais Lucie intervenait.

- C'est trop compliqué pour les petits bébés. Tout de suite c'est à toi, mais maintenant joue un peu avec ta poupée.

De nouveau je n'osais pas protester et je me laissais glisser par terre à coté de la chaise. Lucie se faufilait à coté de Guy dans la chaise de bureau et deux minutes plus tard je voyais comment elle prenait la main de Guy et la mettait sur son genou. Guy arrêtait son explication au milieu de sa phrase. Constatant l'effet voulu Julie enlevait la main et sautait par terre

- Oh je crois qu'il est temps que je parte

Guy avait l'air très contrarié.

- T'es attendu quelque part ?

- Non, non, mais c'est le temps que les baby-sitters rentrent.

Guy l'attirait de nouveau vers elle et la retenant par la main il insistait qu'elle reste. Mais elle se dégageait immédiatement.

- C'est gentil, mais il est temps que je parte, il y a un petit bébé qui attend un peu d'attention.

Et puis avec son grand sourire moqueur elle ajoutait :

- Je suis sûre qu'elle a mouillé ces couches. Finalement tu pourras la changer. Je suis sûre que tu attends ce moment depuis longtemps.

Elle faisait une petite pirouette, s'agenouillait à coté de moi et me donnait un gros bisou.

- T'es un bébé super sage et gentille. Je t'adore.

En quittant la pièce elle disait adieu à Guy par dessus son épaule :

- Je vous laisse, encore une bonne journée.

Et avec un grand sourire elle ajoutait :

- Ah oui, tu pourras me donner mon argent de baby-sitter quand je rapporterai les vêtements.

Quand Lucie était partie je n'osais pas bouger. Guy me regardait un peu dubitative, mais puis il me tirait vers lui et me faisait m'asseoir sur ces genoux. Il tâtait doucement mes couches et me faisait un de ces sourires enchanteurs.

- C'est vrai que t'es toute mignonne.

Je disais rien, mais toute heureuse je mettais ma tête contre sa poitrine. Il sentait un peu plus fort mes couches.

- C'est vrai que tes couches sont mouillées ?

- Je hochais un peu timidement ma tête.

- Tu voudrais que je te change ?

Je trouvais cela très touchant et j'hésitais une seconde, mais puis décidait que c'était trop tôt. En mettant mes bras autour de son cou je lui donnais un gros câlin.

- C'est gentille mais pas maintenant. Une autre fois si tu voudras bien.

Je me dégageais et partait me changer moi-même. Cet après-midi Guy et moi avons visité une exposition comme on le faisait souvent. En adultes.

Les jours après j'avais des difficultés à comprendre ce qui m'était arrivé. Il était clair que j'avais été horriblement humilié, d'abord quand Lucie m'avait ordonné de rester au lit pendant qu'elle faisait l'amour avec Guy, et puis en me traitant en petit bébé au déplaisir de Guy et contre mes protestations. J'étais honteuse de ne pas avoir arrêté le jeu et fâché sur Lucie. Mais en même temps j'avais adoré et j'avais hâte de recommencer. Quand je racontais tout ça sur le forum ma copine en ligne m'expliquait que la complexité de mes sentiments venait du fait que j'avais été complètement dans mon rôle. Tout en jouissant des émotions réelles d'une petite fillette j'étais une personne adulte qui probablement était jalouse de Lucie. Evidemment je devais admettre que j'étais jalouse de Lucie. Mais pas seulement jalouse de Lucie, mais également de Guy, Lucie allait être MA petite copine, pas la maîtresse de Guy. Ma copine répliquait que ça avait été mon choix d'inviter une troisième personne dans nos jeux, et que maintenant je n'avais qu'à vivre avec les conséquences. Les jours suivant mon désir de redevenir un petit bébé devenait de plus en plus pressant.

Comments

Daniella Il ya 8 ans  
bbtyty Il ya 10 ans