pol42


Vues: 30608 Created: 2009.01.31 Mis à jour: 2009.01.31

De plaisantes vacances

Chapitre 1

Bonjour à vous, je vais vous raconter mes incroyables vacances.

Tout d'abord, laissez moi me présenter : Paul, 30 ans, 1m80, assez athlétique et plaisant généralement bien aux filles mais tout de même célibataire. Récemment après une longue première année de travail, je peux enfin prendre mes premières vacances, 15 jours que j'ai décidé de passés seul, au calme dans un gite. Je jette mon dévolu sur une chambre d'hôte dans une maison située au milieu de la forêt, le calme sera assuré. Comme prévu, j'arrive en début d'après midi dans le gite. Il est effectivement perdu dans le fin-fond d'une forêt du sud ouest de la France. En voiture, le voisin le plus proche est à 10 minutes, et la ville à 30 minutes. Moi qui cherchais du calme, j'allais être servi !

Je sonne, une femme entre 45 et 50 ans vient m'accueillir :

- Vous êtes Paul ? Bonjour, je m'appelle Christine et c'est moi qui gère la chambre d'hôte, venez, je vais vous montrer votre chambre.

Je lui emboite le pas pour me retrouver dans une chambre charmante avec une belle petite salle de bain attenante.

- C'est ici, je vous laisse vous installer, le repas est servi à 19 h 30.

Le lit est en fer forgé, il semble très agréable. Il y a tout ce qu'il faut pour passer de bonnes vacances.

Tout en déballant mes affaires, je repense à ma logeuse, une femme au cheveux noirs mi-long. Elle est restée mince mais possède une magnifique poitrine, cette femme à du être très belle quand elle était plus jeune.

Après un repas traditionnel du sud-ouest Christine me propose une tisane, que j'accepte puis une eau de vie. Je rentre me coucher vers 22 h et je tombe comme une masse dans le lit.

Le matin, je me réveille vers 8 h avec une drôle de sensation de froid … Après un rapide examen, je me rend a l'évidence : J'ai pissé dans mon lit. Ca ne m'étais plus arrivé depuis mes 6 ans, et encore, je ne m'en rappelle plus, c'est ma mère qui me l'a dit. Je me demande que faire ! Je décide de refaire rapidement le lit et de partir me promener sans rien dire à personne. En général, c'est le client qui fait son lit dans ces chambres.

Vers 17 h, je rentre à la chambre pour y retrouver le lit fait et un petit mot sur la table : " J'ai pour habitude de refaire le lit le matin, nous en reparlerons ce soir. Christine." Oh mon dieu, que va t' elle penser, que faire ?

Le soir vers 19 h 30, je me présente à la salle à manger, gêné. C'est pendant l'apéritif qu'elle aborde le sujet :

- Vous savez, j'ai été étonnée de trouver votre lit mouillé ce matin.

- D'habitude, je ne mouille jamais la nuit, je ne comprend pas !

- Je veux bien vous croire, mais c'est une risque pour la literie que je ne peux pas prendre, je viendrais vous voir après le repas.

- Bien, bien...

Le repas se passe sans soucis, convivial, je ne prend pas de tisane ce soir mais accepte volontiers l'eau de vie.

Le soir, vers 21 h, Christine frappe à ma porte :

- Comme je vous l'ai dis, je ne peux pas me permettre de prendre des risques pour la literie, aussi je vous ai mis une alèse en caoutchouc sous votre drap.

Elle relève la couette et me montre ce qu'elle viens de m'annoncer :

- Par contre, j'aimerais tant qu'a faire ne pas avoir à nettoyer les draps tous les matins...

- Mais je vous jure, je ne mouille jamais mon lit la nuit, ce devais être la fatigue de la route.

- Oui, peut être, mais dans le doute...

Elle va ouvrir un tiroir de la commode, puis reprend :

- Je préfère que vous portiez cette couche culotte.

- UNE COUCHE ?!? NON, je vous dis que c'était exceptionnel !

- Ecoutez, ce que je vous propose, c'est de mettre cette couche pour ce soir, si demain matin elle est sèche, ce sera oublié.

- Non, je ne pourrais pas dormir.

- Essayez au moins ce soir s'il vous plait.

- Bien, d'accord, dis-je en prenant la couche de ses mains, mais que pour ce soir.

- Oui, pour ce soir, bonne nuit.

- Bonne nuit. Comment passer une bonne nuit si je met ce truc...

Je détaille un peu plus l'objet, elle est blanche avec deux bandes de points violets, écrit en petit Tena, Slip, Maxi, Medium. Je la déploie, mon dieu, elle est immense et elle fait un bruit de plastique horrible, jamais je ne mettrais cette chose, de toute façon, je ne sais pas la mettre. Je la jette dans la poubelle de la salle de bain avant d'aller me coucher non sans être passé aux toilettes avant : cette nuit tout ce passera bien. L'alèse donne des sensations étranges qui m'empêche de m'endormir dans un premier temps, mais je finis par tomber dans un sommeil lourd.

Je me réveille ce matin, encore cette sensation désagréable. Mais que m'arrive t'il, j'ai encore mouillé mon lit cette nuit. En plus, l'alèse ayant bien fait son office je baigne littéralement dans mon urine, mon pyjama est mouillé jusqu'en dessous de la poitrine, Que faire ?! Je décide de défaire le drap, nettoie l'alèse du mieux que je peux, j'espère qu'elle ne verra rien. Je pars tranquillement explorer la ville et ses alentours.

En rentrant, je vois Christine qui m'attend avec ma couche dépliée :

- Vous deviez porter une couche hier soir !

- Ecoutez, je ne sais pas ce qu'il s'est passé, mais il est hors de question que je mette ce truc !

- Pourtant, vous le devrez bien, je refuse de retrouver encore une foi un lit mouillé.

- C'est hors de question.

Sur ce, je rentre dans ma chambre et ferme a clef derrière moi, ce soir je décide de ne pas manger.

Je me couche et regarde le film dans mon lit avant de m'endormir.

En pleine nuit, je suis réveillé par de la lumière, Christine est là au dessus du lit, elle a relevé la couette pour constater que je ne portais pas de couche. Elle se met à hurler :

- MAIS C'est pas possible, vous devez porter une couche !

- Je refuse de porter ce truc !

- Mais vous croyez que vous avez le choix ?

- Demain je pars, comme ça vous n'aurez plus de problèmes, mais je ne mettrais pas de couche cette nuit !

- Déjà, vous ne partez pas demain, et je vous promet que vous allez passer la nuit en couche, Sinon...

- Sinon quoi ?

- Comme vous avez pu le remarquer j'ai la possibilité de rentrer dans votre chambre comme je le souhaite, ce matin je me suis permise de vous prendre en photo baignant dans votre urine.

- Et alors ?

- Vous vous souvenez que lors de la réservation vous m'avez donné votre adresse Facebook ?

- Oui, et alors ?

- Je suis sure que tous vos amis et amies seraient très intéressés par ces photos.

Je deviens alors très pâle :

- Vous n'oseriez pas faire ça quand même ?

- Si !

- Non, s'il vous plait !!!

- Il vous suffit d'accepter de porter cette couche.

- Bon, d'accord.

- Pardon ?

- J'accepte de porter la couche cette nuit, mais si elle est sèche demain, c'est fini.

- Bien, par contre pour être sure que vous remplissez votre part du contrat, c'est moi qui vais vous la mettre, sinon, Facebook.

- Bien bien...

- Allongez vous sur le lit.

Je m'exécute, honteux. Elle baisse mon pyjama et mon slip, Elle glisse la couche sous mes fesses, relève l'avant et ajuste les scotchs sur le coté. Je m'apprette à me relever quand elle me dit de rester en position, et que ce n'est pas fini. Je la vois alors arriver avec une culotte énorme en plastique « Pour m'éviter la tentation d'enlever la couche pendant la nuit ». Je comprend la signification de cette phrase quand j'entends le bruit de chainettes et d'un cadenas que l'on referme. Elle ajoute :

- Là, comme ça plus aucun risque, Bonne nuit.

Je me couche donc avec cette étrange sensation entre les jambes et un horrible bruit de plastique à chacun de mes mouvements. Je trouve difficilement le sommeil.

Au matin, je tâte le drap du lit : Sec. Je me rappelle que j'ai cette horrible couche, elle me semble encore plus présente qu'hier soir mais je me sent au sec, je n'ai pas du avoir d'accident cette nuit, je suis heureux, plus de couches à endurer, j'ai gagné. Une heure de somnolence plus tard j'entends la port s'ouvrir et la voix de ma logeuse :

- Alors la nuit c'est bien passée ?

- Oui, totalement sec.

- Ah Bon ?

- Oui, regardez, le lit est sec !

- En effet, comme quoi, les couches c'est efficace.

- Non ! regardez, elle est sèche aussi, je n'ai pas eu d'accident, c'en est finit des couches.

- Ah bon ? Pas d'accident ? C'est pas ce que je vois !

Je regarde ma couche pour la première foi à travers la culotte transparente, elle à gonflée et les bandes jaunes ont disparues. J'ai encore fait dans mon lit, mais la couche à tout absorbé.

- Vous voyez que vous avez besoin de couches toutes les nuits.

- Oui, apparemment, dis-je la tête baissée.

- Allongez vous que je vous retire tout ça, après vous irez prendre votre douche. Au passage, je me suis permise de prendre quelques photos de vous dans vos couches mouillées, je voulais que vous le sachiez.

Après une douche, je pars louer un vélo pour me balader toute la journée dans les bois environnants. Mais que m'arrive t il ? Je mouille toutes les nuits depuis que je suis arrivé, c'est incroyable.

Le soir en rentrant, je ne suis pas étonné de trouver cinq couches bien en vue sur mon lit. Un mot sur la table me dit que je peux me passer de culotte et me langer seul, ce que je fais avant de me coucher.

Le matin, je me réveille, lit sec et couche sèche aussi, ENFIN c'est fini !!! Je pars me balader la journée, visitant les caves du coin. Le soir j'annonce fièrement à Christine que le matin était totalement sec, elle me dit de quand même mettre une couche ce soir, une nuit sans mouiller ne veux rien dire après quatre nuits humides.

Je me couche sans écouter ses conseils.

Je suis réveillé par une lumière vive et la voix de Christine :

- Alors comme ça on ne m'écoute pas et en plus on mouille son lit !!!

- Mais, je ne comprend pas !

- Alors écoute mon petit, à partir de maintenant, c'est moi qui t'habille, tu devra m'obéir pour tout, tu ne te changera jamais seul Compris ?

- Oui...

- Sinon, je commencerais par une photo gentille à un amis que tu choisira puis de plus en plus suggestive à tous. Compris ?

- Oui...

- Donc ce matin, tu va mettre la couche que tu aurais du avoir cette nuit !

- Mais ….

- SILENCE, tu fera ce que je dis.

- Bien...

Sur ces mots, elle m'allonge par terre pour me mettre une couche blanche et bleue. « Je suis gentille, elle est moins grosse que les Maxi, tu pourra porter ton pantalon par dessus. » Malgré la relative discrétion je n'ose pas sortir et passe la journée dans ma chambre, de toute façon, il pleut.

Vers 12 h, une envie pressante se fait sentir, je vais voir Christine pour lui demander de m'enlever la couche. « Tu a une couche, tu sais à quoi ça sert, je te changerais quand elle sera mouillée ». Mouiller la nuit quand on ne s'en aperçoit pas n'est pas difficile mais de jour, c'est une autre affaire. Au bout de 2 heures, n'y tenant plus, j'arrive à pisser debout dans ma couche, je vais de suite demander à ce qu'elle soit changée. « Profite que je te l'enlève pour aller faire la grosse, je ne veux pas avoir à te nettoyer les fesses ». Après le passage sur les toilettes, elle me remet une couche fine...

Le soir après mangé elle arrive dans ma chambre, j'avais mouillé ma couche une foi de plus, plus facilement que la première foi. Christine arrive avec une couche épaisse et autre chose dans les mains :

- Cette nuit, je te remet une couche, mais vu que ton pyjama est encore mouillé, je te prête aussi un de ceux de ma seconde fille, elle est assez grande, tu devrais rentrer dedans.

Je distingue enfin ce qu'elle tient dans la main, c'est un body... Rose !

- Tu verra, tu sera très bien là dedans, ça maintiendra bien ta couche.

- Mais c'est pour une fille !

- N'oublie pas... dit-elle en agitant son appareil photo.

- Bien bien...

Elle me met la couche puis le body, effectivement à ma taille.

Je me réveille avec une couche épaisse entre les jambes, j'ai encore mouillé cette nuit. Christine entre dans la chambre avec une couche fine pour la journée « On va changer notre pisseuse ». Je m'allonge sur le lit, elle enlève ma couche sale avant de m'envoyer prendre ma douche et passer sur les toilettes. De retour dans la chambre, je m'allonge pour qu'elle me mette ma couche de jour. J'enfile mon pantalon, un T shirt, elle me tend alors un papier :

- Tiens c'est l'adresse d'un magasin de matériel médical, tu vas aller acheter tes couches, la liste de ce qu'il te faut est dans l'enveloppe, tu la donnera au vendeur, je ne veux pas que tu fasse d'erreurs.

- Mais...

- Tu pensais que j'allais tout te fournir peut être ?

- Non, mais...

- Alors va chercher tes couches, soit rentré pour midi.