Vues: 32462 Created: 2010.04.12 Mis à jour: 2010.04.12

Chez ma tante

Chez ma tante

A la fin des cours, j'ai pris comme prévu le chemin pour aller chez ma tante où je logeais pendant la semaine. Il y avait ma tante, ma cousine de douze ans et moi-même qui étions là.

Un soir alors que je comptais aller prendre ma douche, j'ai surpris en entrant dans la salle de bain une scène qui m'a beaucoup excité, mais que je n'ai pas pu voir jusqu'au bout.

Ma cousine venait surement de sortir de la douche car elle était nue et encore un peu mouillée dans le dos. Elle exposait son postérieur à ma tante qui tenait un suppositoire entre ses doigts.

M'ayant entendu rentré, ma cousine devint toute rouge et ma tante protégea sa fille de ma vue avec une serviette.

-Excuse-moi, me dit ma tante en souriant. J'aurais dû fermé à clé. Manon est constipée, il faut que je finisse de m'occuper d'elle, tu pourra prendre ta douche après.

Je me suis excusé aussi et j'ai quitté la salle de bain en fermant la porte. Mais par curiosité, je suis resté un moment sans faire de bruit dans la couloir pour entendre ce qui se passait :

« Allez Manon pousse un peu pour m'aider [...] voilà c'est bien, tu peux te rhabiller ».

Je suis alors reparti silencieusement dans ma chambre en imaginant ma tante qui mettait le suppo à ma cousine. J'ai eu envie du même traitement moi aussi.

J'avais seize ans et ça faisait des années que je n'avais pas eu de suppositoire, j'avais du mal à me souvenir de la sensation que ça produisait.

Ce n'est que trois jours plus tard que j'ai osé passé à l'action, en restant toutefois un peu anxieux.

En ressortant des toilettes après le repas, je suis aller voir ma tante pour lui dire le mensonge que je préparais depuis ces trois jours :

-Tati, je suis constipé, lui dis-je simplement.

La suite est venue toute seule : ma tante m'a demandé de la suivre dans la cuisine, elle a ouvert le frigo pour fouiller dans la portière et en a ressorti la boîte de suppositoires à la glycérine. Elle a sorti un des médicament de la boîte et me l'a tendu.

-Maintenant que tu es grand, je ne pense pas que tu veuilles que je touche à ton « endroit interdis », m'a-t-elle dit en m'indiquant les toilettes.

Je suis allé dans la petite pièce avec le suppo, déçu qu'elle n'ait pas décidé de me le mettre elle-même. N'étant pas vraiment constipé, j'ai attendu cinq minutes puis j'ai jeter le suppositoire dans la cuvette et j'ai tiré la chasse.

Quand je suis sorti, ma tante était toujours à côté dans la cuisine.

-Alors, ton bouchon est passé ?

-Non, ça n'a pas fonctionné, lui répondis-je.

Elle est alors venue dans les toilettes et vit à ma grande surprise dans la cuvette que le suppositoire flottait toujours à la surface de l'eau.

-Mais ! Il n'est pas fondu, remarqua-t-elle.

-Tu es sûr que tu l'a mis, ajouta-t-elle ?

Je devins subitement embarrassé, et baissa la tête de honte. Elle le récupéra dans l'eau et me dit :

-Puisque je ne peux pas te faire confiance, c'est moi qui vais te le mettre.

Je ne dis rien. En fait j'étais secrètement satisfait de sa décision, finalement. Elle rinça le médicament sous l'eau et revint vers moi.

-Allez, retournes-toi, fit-elle en brandissant le suppo.

Je lui tourna le dos et attendis le déroulement de l'opération. Elle baissa d'abord mon pantalon et mon slip jusqu'aux genoux, et je sentis ses doigt écarter mes fesses. Le bout froid est venu en contact avec mon anus, et elle m'a dit :

-Allez, maintenant on pousse bien fort.

J'ai à peine commencer à forcer que son doigt est rentré en moi, poussant le suppo aussi loin qu'elle pouvait.

-Et voilà, comme ça je suis sûr que ça agira.

Puis elle a posé son regard sur moi :

-Tu vois c'est pas si terrible.

Elle m'a alors laissé seul aux toilettes, et cinq bonnes minutes après j'ai senti que le suppositoire avait fait son travail, et j'ai dû évacuer.

Bonjour, et bien pour répondre à votre question cette histoire je ne l'ai pas vécue. C'est vrai qu'il m'est déjà arrivé de prétexter une fausse constipation à ma mère pour... vous savez la suite 😜

Mais je n'ai pas de tante ni de cousine, toutes les histoires que j'écris sont souvent inspirées d'autres histoires ou de discussions sur msn. J'essaie souvent de trouver un scénario original mais souvent ça a déjà été trouvé avant moi et je retombe souvent dans le classique scénario thermo suppo lavement, que ce soit en famille ou chez le docteur !

A l'occasion de ce post, voici une autre histoires (fictive elle aussi 😉) :

Ce souvenir remonte à mon adolescence. C'était durant l'hiver et comme tout les ans à cette époque de l'année, ma mère faisait venir le médecin pour faire un bilan de santé à toute la famille.

Nous étions donc tous réunis dans le salon chauffé en attendant sa visite.

-Le médecin n'est pas en service cette semaine, expliqua ma mère en raccrochant le téléphone. Il va être remplacé par quelqu'un d'autre.

Mon père, ma sœur et moi patientons tranquillement sur les divans en regardant la neige tomber par la fenêtre ou en feuilletant un magazine.

Une bonne dizaine de minutes plus tard nous avons entendu un moteur dans l'allée : un 4x4 s'engageait vers notre maison et se gara devant l'entrée. Une femme en veste rouge sortit du véhicule, il devait s'agir de la remplaçante du médecin.

Mes parents l'accueillirent dans l'entrée et la firent entrer dans le salon avec nous. La jeune doctoresse se débarrassa de sa veste et son pull et nous salua, ma sœur et moi.

-C'est moi qui remplace votre médecin traitant, je m'appelle Claire.

Ma mère lui réexpliqua qu'il s'agissait d'un bilan complet pour toute la famille, et Claire s'installa sur un des sofa pour ouvrir sa grande trousse médicale.

-Vous pouvez enlever vos tee-shirt, je vais commencer par écouter votre cœur et vos poumons.

Mon père et moi nous mîmes torse nu tandis que ma sœur et ma mère gardèrent leur soutient-gorge : Ma sœur Zoé venait d'avoir seize ans comme moi et devenait plus pudique depuis qu'elle était au lycée.

-Voilà, vous pouvez venir chacun votre tour, indiqua la doctoresse.

Mon père passa en premier, puis ce fut mon tour. Claire passa le stéthoscope froid dans mon dos et me donna des frissons. Ensuite vint ma sœur et ma mère. La doctoresse les laissa garder leur sous-vêtements, se contentant de passer l'instrument dessous.

-Voilà, c'est très bien de ce côté, pas de problème, annonça-t-elle. Maintenant je vais vérifier votre température.

Ce fut un moment de stress pour Zoé et surtout pour moi, car on savait que notre mère avait une préférence pour la prise de température dans les fesses, et ça me gênais vis-à-vis de Claire, beaucoup plus jeune que notre médecin traitant. Zoé me jeta le même regard inquiet.

La doctoresse s'occupa d'abord de nos parents, leur mettant simplement un thermomètre sous le bras quelques minutes chacun.

-Pour les enfants je préfère vous vous preniez la température rectale, expliqua ma mère à la doctoresse quand elle eut fini.

Claire nous regarda en paraissant étonnée de faire ça à notre âge.

-Ah ?! Bon ben d'accord alors.

Elle fouilla sa trousse de soin et sortit un autre thermomètre et un tube de vaseline, puis elle se tourna vers nous.

-Vous pouvez venir. Par qui je commence ?

Petit moment de blanc dans le salon.

-Allez Zoé vas-y, interrompit ma mère.

Ma sœur rougit en se dirigeant sur le canapé et en dévoilant ses fesses à tout le monde. Claire l'installa sur le dos en face d'elle, avec les jambes relevées et écartées légèrement. Dans cette position, tout le monde pouvait voir son sexe et même son anus. J'avais un peu peur car dans quelques minutes ça allait être à mon tour d'être couché à sa place.

Claire passa son index enduit de vaseline dans son petit trou de manière très brève, sans trop s'enfoncer, puis le thermomètre suivit, Claire l'enfonça assez pour qu'il tienne tout seul.

Je porta ma main sur mon pantalon sous la ceinture et une autre peur me saisit : j'avais un début d'érection, qui s'intensifiait devant la vue de Zoé couchée, avec le bout du thermomètre qui dépassait de son orifice.

La doctoresse retira doucement le thermomètre et indiqua que Zoé pouvait se rhabiller, puis elle tourna sa tête vers moi.

-Allez, il ne reste plus que toi mon grand.

Je m'approcha timidement, ça faisait bizarre de se faire appeler « mon grand » pour le traitement que j'allais recevoir. Zoé qui s'était rhabillée précipitamment prit ma place sur le fauteuil.

-Tu t'installes comme ta sœur, expliqua-t-elle pendant qu'elle essuyait le thermomètre avec un mouchoir.

Je baissa mon pantalon et mon caleçon en même temps et fut content de constater que le stress avait fait stopper mon érection, puis je m'installa dans la même position humiliante que Zoé. Les trois membres de la famille fixaient mes parties intimes, et je compris pourquoi ma sœur avait voulu garder les yeux fermés. Claire écarta mon entre-fesse d'une main et enfonça aussi un index froid pour me lubrifier, puis je sentis le bout du thermomètre qui s'enfonçait de plusieurs centimètres.

Les rires de ma sœur me firent rouvrir les yeux : mon sexe se dressait à nouveau, et me fit rougir comme une tomate.

Ma mère la fit taire et Claire me fit un signe de tête pour m'indiquer que ce n'était pas important.

-Ne t'inquiètes pas, c'est bientôt terminé, ajouta-t-elle.

Elle tira un peu sur le thermomètre pour lire la température et le retira complètement après un deuxième essai.

-Voilà, rhabilles-toi, c'est bon.

J'obéis rapidement et regagna une place dans le salon.

Pour la suite, Claire se déplaça parmi nous pour observer nos oreilles, notre bouche, nos yeux et palper notre ventre nu pour détecter d'éventuelles douleurs.

N'ayant découvert aucun mauvais signe jusqu'à présent, Claire nous fit enlever nos chaussure afin de nous mesurer et nous peser sur la balance que ma mère avait descendu de la salle de bain.

Puis pour terminer ce fut le tour de l'examen des selles : chacun notre tour on dû aller aux toilettes et appeler ensuite la doctoresse pour qu'elle jette un coup d'œil après notre passage. À l'occasion de cet examen ma mère nous avait dit à tous de se retenir toute la matinée pour avoir besoin le moment venu.

Zoé passa cette fois en dernier et quand on l'appela elle se plaignit de n'avoir toujours pas besoin.

-Allez, essayes de forcer un peu quand même, ma chérie, insista ma mère.

Elle accepta d'y aller quand même mais revint dans le salon avec le même souci. Ma mère lui laissa encore une chance et la renvoya pour aller pousser.

Pendant ce temps dans le salon la doctoresse expliqua à ma mère qu'elle n'avait pas emmené de suppositoires, au cas où. Elle montra alors son sac à ma mère et celle-ci approuva d'un signe de tête. Alors Claire sortit sur la table basse un bock, un tube terminé par une canule et un pince qu'elle fixa sur le tube. Ma mère partit à la cuisine faire couler de l'eau.

Je comprit alors ce qu'il se préparait alors si Zoé revenait encore bredouille, et mon cœur battit plus fort.

Mon père me regarda puis demanda à ma mère :

-Tu veux qu'on s'en aille pour vous laisser entre femmes, si vous lui faîtes ?

-Non, pas la peine, ce sera vite fini, et ils n'ont que seize ans, ils s'en fichent.

Elle avait tort, mais maintenant je savais que j'assisterais à son lavement si Zoé devait en avoir un.

Justement elle déverrouilla la porte des toilettes et réapparu, sa tête était rouge tellement elle avait dû forcer.

-Je n'y arrive pas, dit-elle à Claire.

Ma mère la regarda :

-Ce n'est pas grave, la doctoresse va te déconstiper. Viens sur le divan.

-Mais je ne suis pas constipée, je n'ai pas besoin c'est tout, se défendit-elle.

Je fut intérieurement soulagé d'avoir pu faire sans problème, je n'aurait pas aimé non plus de subir un lavement.

-Elle va au moins t'aider à y arriver, dit ma mère pour terminer la discussion en désignant le canapé.

Claire installa cette fois ma sœur sur le ventre, les fesses à l'air. Ma curiosité me fit me lever pour aller me mettre à côté du divan afin d'observer l'opération.

La doctoresse ne lubrifia pas l'anus de Zoé mais s'affaira plutôt sur la canule, puis elle raccorda le tube au bock. Ma mère apporta une serviette qu'elle glissa sous l'entre-jambe de Zoé et donna un pot d'eau tiède à Claire qui vida le tout dans le bock.

-Voilà, je commence, Zoé, prévint la doctoresse.

Elle écarta alors son derrière pour distinguer son anus et enfoui délicatement la canule dedans. J'eus l'impression que ça passait sans difficulté, pourtant Zoé remuait comme si elle avait mal.

Ma mère souleva alors le bock et Claire enleva la pince pour laisser s'écouler l'eau. Quand elle entendait des gargouillis elle glissait sa main sous son ventre pour le masser afin de répartir l'eau. Ma sœur remuait de plus en plus en signalant qu'elle avait besoin de faire caca. Claire jugea que ça suffisait pour la faire aller à la selle et stoppa le lavement, retirant la canule de son postérieur.

-Vas-y maintenant, fit-elle. Et n'oublie pas de m'appeler quand tu auras fini.

Elle se précipita et laissa un moment partir un petit filet d'eau qui aspergea le sol du salon.

Après cela ce fut la fin de cette visite. Claire nous annonça qu'on était tous en bonne santé, et prescrit quand même en prévention des suppositoires pour Zoé. Puis elle repartit de la maison avec ses affaires.

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omega44 Il ya 14 ans  
clyso Il ya 14 ans  
clyso Il ya 14 ans  
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