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Vues: 8408 Created: 2010.09.11 Mis à jour: 2010.09.11

Ma colocataire Sophia

Ma colocataire Sophia

Chers lecteurs et lectrices, je vous présente une nouvelle histoire : "ma colocataire Sophia". Je pense que cette fois-ci les épisodes seront plus courts, et ne se suivront peut-être pas tous dans un ordre chronologique, mais plutôt comme des extraits pris chacun indépendamment des autres (un peu comme un journal intime).

J'espère que cette histoire vous plaira.

à bientôt,

thermophil.

1er épisode

La semaine dernière, à cause d'une vilaine chute en roller, je me suis retrouvé avec un bras et une jambe dans le plâtre, incapable de bouger. Heureusement j'ai pu rentrer à mon appartement le deuxième jour, car Sophia, ma colocataire, a accepté de s'occuper de moi.

-Et bien, mon pauvre, tu es dans un sale état, m'a-t-elle dit en venant me voir dans ma chambre, allongé sur le lit. Mais ne t'inquiètes pas, je vais prendre soin de toi.

Sophia était ma colocataire depuis le début de l'année universitaire, une fille très sérieuse de deux ans de plus que moi, soit vingt-deux ans.

-L'hôpital m'a fourni une liste de choses à surveiller pour que ton état reste stable, expliqua-t-elle.

-Merci, c'est très gentil, Sophia. J'espère que ça ne t'embête pas au moins ?

-Non, non, fit-elle rapidement en secouant la tête. Tu ne me déranges pas du tout. Je dois m'occuper de toi le matin, le midi et le soir quand je rentre des cours. En plus, ça me fera une bonne expérience pour mon futur travail.

En fait, Sophia venait de changer de section pour débuter une formation de sage-femme. C'était notamment pour cette raison que les médecins avaient bien voulu me laisser rentrer pour qu'elle s'occupe de moi. En fin de compte j'avais beaucoup de chance qu'elle soit là, sinon je me serais retrouvé pas mal de temps dans une chambre d'hôpital.

Sophia me laissa me reposer comme on le lui avait indiqué et fila à la cuisine préparer le repas.

Après avoir passé ma première soirée à regarder la télé installée dans ma chambre, elle revint auprès de moi pour savoir si tout se passait bien.

-Oui ça va, répondis-je. Heureusement j'ai la télévision pour m'occuper.

-Ok. À partir de demain, je t'apporterai aussi tes cours pour que tu puisses continuer un peu à suivre.

-D'accord, merci.

Elle allait repartir quand elle s'arrêta, comme si elle avait oublié quelque chose, et revint vers moi.

-Ah oui, j'allais oublier de t'en parler. Si tu dois aller aux toilettes, il faut me le demander, tu ne peux pas encore te déplacer seul.

Je la regardai, surpris par cette nouvelle. Je n'avais pas du tout pensé au problème d'aller aux toilettes.

-Oui, je sais que ça peut paraître très gênant, enchaîna-t-elle. Mais n'hésites pas à m'appeler pour ça, c'est très important.

-Ok. Pour ce soir ça ira, j'ai été à l'hôpital avant de venir.

-D'accord. Ben moi je vais pas tarder à aller me coucher. Je laisse ta porte ouverte si tu as un problème cette nuit. Demain je te réveillerai vers 7h15 pour le petit-déjeuner avant que je parte en cours.

-Ok, bonne nuit !

2eme épisode

Le lendemain matin, c'est Sophia qui m'a réveillé en me secouant doucement. J'avais mis mon réveil mais je devais être tellement fatigué que je n'avais rien entendu.

-Ah, voilà, tu ouvres enfin les yeux, fit-elle d'une voix douce.

Elle avait toujours sa main sur mon épaule, et m'aida à me redresser en position assise sur mon lit, en plaçant un oreiller dans mon dos. Puis elle quitta ma chambre pour m'apporter un petit-déjeuner.

-Voilà, ton bol de chocolat chaud. Je t'ai aussi apporté des croissants, on m'a dit que tu devais manger beaucoup pour vite reprendre des forces.

-Merci, fis-je en portant le bol à mes lèvres.

Soudain je remarquai que j'avais en fait très envie d'aller aux toilettes. Comme si elle avait deviné, Sophia proposa de m'y emmener.

-Je ne serais pas de retour avant midi et demi, il vaut mieux que tu y ailles maintenant.

Je fis un signe de consentement de la tête, et elle passa son bras derrière mon dos pour me redresser. Une fois debout, elle m'appuya contre elle pour que je tienne en équilibre.

-Ça va ? Tu ne vas pas t'écrouler ? Demanda-t-elle en plaisantant.

En l'espace d'une seconde, j'avais perçu un étrange sentiment en étant appuyé contre elle, comme si je venais d'entrer dans son espace intime : j'avais ressenti tout son corps chaud contre le mien, ses seins s'écraser sous mon torse, et ses mains me soutenant dans mon dos.

-Vas-y, tiens-toi à moi et aides-toi de ta jambe pour avancer.

Je glissai mon bras derrière ses épaules et elle me guida en dehors de la chambre. En voyant la porte des toilettes se rapprocher, mon estomac se nouait de plus en plus. Ce bref sentiment d'attirance sexuelle que j'avais eu juste avant cédait petit à petit la place à la panique.

Sophia ne m'avait jamais vu tout nu, cela m'angoissait, mais elle semblait normale, continuant de me faire avancer.

-Attends une petite seconde, j'ouvre la porte. Voilà, tu peux entrer.

Elle me retourna face à elle, puis me demanda de me tenir à ses épaules, et se pencha pour baisser mon pantalon de pyjama, laissant mon sexe pendre dans le vide sans y prêter attention.

-Voilà, assieds-toi.

-On n'a pas de barre pour te tenir, alors je dois rester près de toi pour éviter que tu ne tombes, continua-t-elle.

Elle laissa ses mains sur moi et regarda vers le plafond. Cette situation humiliante me coupa presque l'envie de faire, heureusement que j'avais besoin et que je ne pus pas me retenir longtemps.

Finalement, ce moment pénible se termina rapidement. Sophia me rhabilla et me ramena dans mon lit.

-Voilà. Je vais y aller maintenant. Je reviens ce midi pour le repas. Si tu veux tu peux rester en pyjama aujourd'hui, tu te changeras ce soir.

3eme épisode

Le soir, après avoir passé un moment en cuisine, Sophia vint apporter deux assiettes dans la chambre. Elle avait décidé de faire les repas ici pour éviter de devoir me transporter à chaque fois dans la cuisine. Les repas étaient encore une des choses que je pouvais faire seul, en me débrouillant avec mon bras intact.

Quand j'eus fini, elle débarrassa les deux assiettes et revint rapidement.

-Il faut prendre une douche, fit-elle. Je vais te relever pour y aller.

Même chose que ce matin, elle m'aida à me déplacer pour aller dans la salle de bain. Elle retira d'abord mon haut avec quelques difficultés au niveau des bras, puis enleva rapidement mon pantalon pour me mettre entièrement nu.

Malgré la gêne que je ressentais, j'essayais de me dire que j'avais de la chance qu'une jolie fille comme elle s'occupe de moi ainsi.

-Vas-y, essayes d'enjamber la baignoire.

Elle régla l'eau tiède, en fit couler un peu sur sa main puis sur ma jambe sans plâtre pour voir si ça me convenait, puis me mouilla partout.

-Tiens-toi à moi maintenant, je vais te savonner.

Je l'agrippai au cou pour ne pas tomber et elle commença à me frotter le dos avec un gant de toilette. Elle se pencha petit à petit, si bien qu'un moment elle était si proche de moi que je pus sentir son parfum. Une fois le haut du corps fini, elle marqua une pause où elle ne fit rien, puis commença à frotter mon pénis doucement pour ne pas me faire mal. Elle continua ensuite avec mes fesses, mes jambes et mes pieds. À la fin, ses vêtements étaient à moitié trempés, et elle termina par un rapide rinçage.

Une fois sorti de la baignoire, je m'étais un peu habitué à la présence de Sophia. Elle saisit une serviette et me frotta avec de partout. Je ne pus m'empêcher de rougir quand elle passa sous la ceinture, mais ce fut rapidement fini.

-Voilà, je vais te chercher un nouveau pyjama, attends-moi ici.

Elle revint au bout d'une petite minute et commença à m'enfiler le haut, puis essaya de mettre le pantalon debout, mais finit par abandonner et me ramena dans mon lit pour le faire.

-Voilà, allonges-toi, je vais remettre ta couette sur toi. Moi je vais aller me doucher et dormir. Tu ne dois plus aller aux toilettes ?

-Non.

-Ok, bonne nuit alors.

-Bonne nuit.

4eme épisode

Voici maintenant quelques jours que j'étais revenu chez moi et que Sophia s'occupait gentiment de moi. Je ne m'étais toutefois pas encore bien habitué à sa présence indispensable pour aller aux toilettes et à la douche, mais je me disais que ça finirait par venir.

Aujourd'hui Sophia n'avait pas cours et pouvait rester toute la journée à l'appartement, ce qui me permit de me lever plus tard.

Comme tous les autres matins, elle m'aida à me redresser pour m'emmener vers les toilettes, puis à table pour le petit-déjeuner, durant lequel elle me fit une remarque assez gênante :

-J'ai vu qu'aux toilettes, tu n'avais pas encore fais caca. C'est important, on m'a dit de surveiller tes selles. Normalement tu aurais dû faire au moins une fois tous les deux jours, et là ça fait bientôt quatre alors ce serait bien que tu fasses aujourd'hui.

-Oui, je sais, répondis-je timidement. Je n'ai pas encore dû m'habituer à ta présence, et ça doit me couper l'envie.

-Oui, désolée, tu ne peux pas encore y aller tout seul. Essayes de te forcer au moins un peu d'ici midi, sinon on essayera d'y remédier d'une autre façon.

Elle termina rapidement son petit-déjeuner et partit prendre sa douche, me laissant réfléchir sur cette dernière phrase. Que voulait-elle dire par y remédier d'une autre façon ? Me donner un laxatif à boire, comme quand j'étais ado ? J'espérais que non car je détestais ça. Peut-être simplement aménager les toilettes pour que je puisse me tenir tout seul.

Après le repas de midi, elle m'emmena sur la cuvette et attendit dix bonnes minutes et me demandant de pousser, mais rien de venait, je n'y arrivais pas, pas avec elle.

-Bon, je crois qu'on a attendu assez longtemps, fit-elle avant de me relever. Je vais te ramener dans ta chambre, et je vais aller faire un tour à la pharmacie acheter quelque chose pour ça.

5eme épisode

Sophia m'avait laissé assis sur mon lit, le temps de s'absenter à la pharmacie. Quand j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, je ne tardai pas à la voir entrer dans ma chambre, un sac à la main.

-Voilà, ça ne va pas être très agréable pour toi, mais j'ai trouvé ce qu'il te faut, fit-elle.

Elle sortit alors le contenu de son sac que je n'eus pas trop de mal à identifier. Mon cœur se mit à battre très vite à cause du stress car je n'avais pas du tout envie qu'elle me soigne de cette façon.

Sophia venait de poser sur mon lit un nécessaire à lavement : une poche plastique terminée par un long tube. Elle avait également prit soin d'acheter de la vaseline.

-On va faire ça ici, ce sera le plus simple, continua-t-elle. Je vais remplir la poche et on y va, comme ça c'est fait, ok ?

-Euh... c'est vraiment obligé. Je n'en ai pas reçu depuis mon enfance. J'aurais préféré un sirop ou un comprimé...

Elle revint et me fixa d'un regard de compassion, elle aussi n'aurait sûrement pas aimé être à ma place.

-Je suis désolée, me fit-elle. Tu es malade, ça doit être fait. Il faut que tu fasses un petit effort.

Elle quitta la chambre avec le nécessaire à lavement en direction de la salle de bain, puis j'entendis l'eau couler. Ce moment me parut interminable, puis elle revint en m'annonçant que tout était prêt.

Elle m'installa sur le côté après avoir enlevé mon pantalon et mon caleçon complètement et replia mes jambes vers l'avant.

Elle a ouvert la vaseline pendant que j'attendais sans rien dire.

-Allez, tu n'as pas à avoir peur. Je vais faire attention.

J'ai senti qu'elle écartait mes fesses, puis son doigt est venu se poser sur mon anus, avant de rentrer dans mon intimité.

C'était très gênant : je sentais le doigt de Sophia remuer en moi sans se retirer. J'ai eu l'impression que ça faisait plusieurs minutes qu'elle faisait ça.

Au bout d'un moment elle a posé son autre main sur moi et a continué à pousser son doigt plus loin dans mon cul. J'ai eu une drôle de sensation et commencé à ressentir du plaisir. En quelques secondes, mon sexe se durcit sous ses yeux et Sophia retira son doigt en s'excusant d'en avoir un peu trop fait.

Je n'ai rien dit et je l'ai laissé continuer, en essayant d'arrêter de penser à ce qu'il se passait. Sophia écarta à nouveau mes fesses et sans attendre plus elle y enfonça le canule profondément et je sentis l'eau commencé à entrer en moi.

Je n'arrivai plus à détourner mon attention d'elle, mon pénis restait tout dur sans que je ne puisse arrêter cette sensation de plaisir. J'espérais que ça s'arrêterait bientôt pour que je puisse me retrouver seul.

Après que presque la totalité d'eau fut injectée dans mon rectum, je commençais à avoir sérieusement besoin de pousser, je ne savais pas si j'allais pouvoir me retenir jusqu'aux toilettes.

Heureusement Sophia avait prévu ça et disposa une bassine sous mes fesses à côté de moi avant de sortir le canule. Aussitôt je commençai à expulser tout sans pouvoir me contenir plus longtemps. Elle attendit suffisamment de temps, puis m'essuya et me rhabilla pour quitter la chambre avec la bassine, me laissant cette fois seul pour ne pas m'embarrasser plus que ça.

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stefanie Il ya 12 ans  
clyso Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 14 ans  
clyso Il ya 14 ans  
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