Vues: 5177 Created: 2010.10.30 Mis à jour: 2010.10.30

La vie d'Emilie

La vie d'Emilie

Hello tout le monde, Me revoilà avec une nouvelle histoire, j'espère qu'elle vous plaira, même si c'est un début et qu'il ne se passe pas encore beaucoup de chose. Je m'excuse d'enchaîner d'autres récits comme ça sans avoir terminé l'histoire de la colocataire Sophia pour ceux qui l'attendaient, mais je vous rassure je ne l'ai pas oubliée je fais juste une pause en testant d'autres idées.

La petite Émilie, qui avait maintenant grandi et venait de toucher à sa vingt-deuxième année, se tenait allongée sur son lit, complètement nue. Sa longue chevelure rousse s'étalait sur la couverture, son visage souriait, témoignant de sa bonne humeur en ce début de soirée. Un peu plus bas, sa poitrine de jeune femme se soulevait régulièrement au rythme de sa respiration, puis se laissait retomber lentement. Ses jambes reposaient sur le reste du lit, légèrement écartées, ce qui laissait deviner son intimité sous son duvet roux qui ornait son entre-jambes.

Assis sur le bord du lit, la dominant de toute sa hauteur, Éric contemplait la jeune femme depuis un bon moment. Il n'avait plus revu Émilie depuis une bonne dizaine d'années. A cette époque, les deux jeunes adolescents étaient de bons amis, et passaient beaucoup de temps ensemble à s'amuser avec d'autres ados du quartier ou de l'école. Éric avait déménagé pour changer d'école, puis était maintenant revenu sur ses origines, après de longues années.

-Tu es tellement belle..., commenta-t-il à voix basse.

Elle accentua son sourire, sans ouvrir les yeux. Elle commençait à s'habituer à sentir sa présence à côté d'elle. Depuis qu'elle s'était présentée à lui ainsi, s'allongeant nue sur son lit, il n'avait osé la toucher. Il était juste resté là, à la regarder silencieusement.

-Ça fait longtemps, hein ? murmura-t-elle. Quand on était enfant on venait jouer ici, dans cette chambre, avec ma sœur.

Éric se souvenait, maintenant. Il comprenait de quoi elle parlait. Elle évoquait des souvenirs précis : ils venaient tout les trois ici pour pratiquer des jeux plus ou moins interdits, pendant leur début d'adolescence. C'était dans cette chambre qu'ils avaient laissé libre cours à leurs fantasmes d'enfants.

-Le jeu du docteur... Oui, je m'en souviens, fit-il.

Il marqua une pause, guettant une éventuelle réaction de sa part.

-C'est pour ça que tu t'es déshabillée, hein ? Tu as toujours ces fantasmes en tête ?

Elle ouvrit enfin les yeux et tourna sa tête vers la sienne, en hochant la tête.

-Je n'ai jamais osé en parler à quelqu'un d'autre, fit-elle. J'avais peur de parler de ça à d'autres garçons. Mais toi tu étais là avant, avec Manon et moi.

-Oui, répondit-il. On était jeune à ce moment-là. Et ta sœur, Manon, qu'est-ce qu'elle est devenue ?

Sur le coup, Émilie parut déçue qu'il s'intéresse à sa sœur.

-Elle est partie à Paris poursuivre ses études. Je ne pense pas qu'elle ait gardé un bon souvenir de ces jeux de docteur quand on était petit, contrairement à moi.

Il posa pour la première fois sa main sur elle, au niveau de son ventre. Elle sentit alors tout son corps frissonner sous cette main masculine qui l'avait autrefois parcourue. Sa respiration s'accéléra, tandis qu'elle essayait de ressentir chaque partie de son corps : sa tête, sa gorge, ses seins, son ventre, son sexe, ses fesses, ses cuisses, jusqu'à ses pieds.

-Tu voudrais que... commença-t-il.

-...Oui, enchaîna-t-elle. Je veux continuer. Examines-moi comme quand j'étais petite, s'il te plaît.

Éric ne s'attendait pas à une telle rapidité de sa part. La situation n'était plus tout à fait la même qu'avant : ils étaient deux, à présent, et comme lui, Émilie avait poussée. Maintenant elle avait tout d'une jeune femme séduisante. Cela lui donna une grosse érection sous son jeans.

[...]

Les trois enfant venaient de rentrer dans la chambre d'Émilie, puis refermèrent la porte à clé. Les deux filles s'assirent sagement sur le bord du lit, attendant qu'Éric fasse part de sa découverte. N'aimant pas trop se montrer nu devant elles, celui-ci jouait plutôt le rôle du docteur et leur présentait régulièrement ses trouvailles de chez lui.

La première fois, les trois n'avait rien préparé et avaient découvert les corps des deux autres, touchant pour la première fois chacun à des zones interdites. Au début les filles avait gardée leur culotte, puis avaient finie par les enlever à la demande d'Éric qui avait déjà retiré tout ses vêtements.

La deuxième fois, il avait apporté un thermomètre de chez lui. Ils avaient joué avec un bon moment en restant sérieux, mais leur jeu avait vite tourné au fantasme et l'instrument avait finalement terminé dans les fesses d'Émilie, sous les regards moqueurs des deux autres.

Cette fois Éric rapportait autre chose de chez lui. Une fois les deux filles installées, il sortit de sa poche une boîte transparente qu'il rapprocha d'elles.

-Beurk, avait commenter Manon.

-Tu as apporté un suppositoire ? Avait fait Émilie, un peu plus réceptive à leur jeu.

-Oui, fit-il en le présentant fièrement à ses deux amies. Alors, laquelle de vous veux le recevoir ?

Les deux filles s'étaient regardée, puis Émilie avait pris la parole :

-La dernière fois, tu m'as mis le thermomètre, alors cette fois c'est Manon qui fait la patiente.

Celle-ci n'était pas en désaccord avec l'idée, mais elle trouvait ça pas très propre.

-Mais ça va me faire aller aux toilette, ce suppo, avait-elle répliqué d'un air dégoûté.

[...]

Éric ne savait pas vraiment quoi faire. Était-elle vraiment sérieuse ? Souhaitait-elle qu'il l'examine comme un docteur ? Sûrement puisqu'elle s'était déshabillée un peu avant devant lui. Comme pour répondre à sa question, Émilie lui indiqua une caisse située dans le coin de sa chambre.

-Tu trouveras tout ce dont tu as besoin là-dedans, fit-elle en restant allongée.

Il alla voir, et, en ouvrant le couvercle, découvrit de nombreux instruments médicaux.

-Il y a plein de choses, remarqua-t-il. C'est toi qui a accumulé tout ça ici ?

-Oui, répondit-elle. J'ai presque tout commandé sur le net. Alors, tu veux bien jouer avec moi ?

Il avait l'impression d'entendre Émilie quand elle était petite, mais quand Éric se retourna une fois de plus, il vit le profil d'une femme de vingt-deux ans : un joli visage, une belle chevelure rousse, de longues jambes ainsi qu'un fessier et une poitrine bien développés.

-Bien sûr, répondit-il simplement.

Ne sachant pas par où commencer, il revint en rapportant la caisse au pied du lit, seule une partie du contenu était visible : des instruments ordinaires comme un stéthoscope, des bâtonnets, des bandages, des thermomètres, etc...

Il avait hâte de découvrir ce qui se cachait dessous.

-Bon, je vais commencer par écouter ton cœur, fit-il.

Il attrapa le stéthoscope qu'il installa à ses oreilles, puis, après avoir hésité un court instant, porta la sonde directement sur la partie inférieure de son sein gauche.

Émilie eut un réflexe à ce moment-là.

-C'est froid, fit-elle.

-Désolé, j'ai pas pensé à te prévenir.

Il entendit alors les battements de cœur, assez rapides, de la jeune femme. Il décida ensuite de déplacer la sonde à d'autres endroits, la baladant sur son ventre et sa poitrine pour entrer progressivement dans son rôle.

-Redresses-toi, je vais écouter dans ton dos.

Elle s'aida de ses bras pour de mettre assise, ce qui fit basculer ses seins légèrement en avant. Éric posa la sonde dans son dos à plusieurs endroit, lui demandant comme le docteur de respirer bien fort pour entendre ses poumons.

Il enchaîna ensuite avec l'observation de sa bouche, de ses yeux, de ses oreilles, prenant son temps pour ne pas qu'Émilie refuse de passer à d'autres choses trop vite, même si visiblement elle semblait bien apprécier ça.

-Bon ok, mets-toi debout maintenant, je vais examiner rapidement le reste de ton corps.

Elle descendit du lit pour faire ce qu'il lui disait et remarqua qu'il passa rapidement ses mains sur ses jambes et son dos pour ensuite mieux se concentrer au niveau de la ceinture.

Il avait passé son doigt sur son sexe, sans y entrer son doigt mais en remarquant que c'était humide. Puis il la fit se retourner pour voir ses fesses qu'il écarta doucement, guettant là aussi une éventuelle mauvaise réaction de sa part, mais elle n'en fit rien. Son petit anus rose et serré lui était parfaitement visible maintenant. Éric avait toujours été attiré par ce côté, et avait une soudaine envie d'y mettre un doigt, mais s'abstint en préférant trouver un moyen médical pour justifier le geste.

[...]

La petite Manon avait fini par céder à leur demande et se trouvait à présent à quatre pattes sur le lit, les fesses tendues en arrière. Éric venait de lui baisser sa culotte jusqu'aux genoux, observant avec Émilie son petit derrière.

-Tu es prête ? fit-il à Manon en posant le médicament sur son petit trou.

La jeune fille tourna la tête et vit les deux autres en train de contempler son derrière, elle sentait le suppositoire posé contre elle.

-Oui, vas-y, répondit-elle en tournant la tête de l'autre côté.

N'ayant jamais utilisé de suppositoire, Éric n'avait pas prévu de lubrifier le petit trou de Manon. Heureusement le médicament avait commencé à fondre pendant le trajet et glissa sans problème à l'intérieur.

Il y eut un petit bruit gras et Éric ressorti son doigt des fesses de son amie.

Émilie avait regardée la scène avec beaucoup de plaisir, et regretta presque aussitôt de ne pas s'être portée volontaire pour recevoir le médicament. Éric, lui, paraissait fier d'avoir réussi à le mettre.

-Voilà, c'est fait, fit-il en s'écartant de Manon.

Celle-ci se leva, remonta sa culotte et remit son pantalon.

-Je vais aux toilettes pousser pour le faire sortir, expliqua-t-elle. Avant qu'il ne fonde à l'intérieur.

Les deux autres comprirent et la laissèrent quitter la chambre sans rien dire de plus.

[...]

A la demande de son ami, Émilie s'était couchée sur le lit, sur le ventre, se doutant que c'était ses fesses qui l'intéressaient. En effet, celui-ci venait de sortir de la boîte un thermomètre en verre.

-Je vais vérifier ta température rectale, fit-il en s'asseyant sur le lit.

Une main forte se posa sur son postérieur, dévoilant son petit orifice rose.

Le cœur d'Émilie se mit à battre plus fort. Elle aussi était attirée par le côté anal, même si elle n'avait pratiqué que très peu d'expériences dans ce domaine.

Elle ne tarda d'ailleurs pas à sentir le doigt de son ami venir masser son petit trou avec de la vaseline. Ce geste lui était agréable mais elle ne put s'empêcher de serrer plusieurs fois les fesses en remarquant le doigt s'arrêter sur son anus. Éric termina finalement son petit massage en rentrant plusieurs fois son index dans le cul de son amie, pas trop profondément pour ne pas risquer de lui faire mal. Il maintint ensuite les fesses écartées le temps de prendre le thermomètre et lui glissa dans son petit trou. Émilie sembla apprécier car elle resta silencieuse durant toute l'opération, et son ami la taquina un peu en faisant tourner l'instrument entre ses doigts.

-Il t'avait manquer aussi, le petit thermomètre ? Fit-il.

-Oui, je n'en avais plus reçu depuis longtemps de cette manière, avoua-t-elle.

Éric lui répondit par un sourire et s'intéressa à nouveau au contenu de la boîte à pharmacie. Il en sortit un spéculum en métal bien propre.

Émilie, qui l'observait, l'interrogea :

-C'est pour mettre où ? Dans mon vagin ou dans mon derrière ?

Éric réfléchit, puis prit sa décision.

-On va commencer par le derrière, fit-il. Mais je vais d'abord te faire aller aux toilettes.

Il se pencha au-dessus d'elle, puis retira le thermomètre de ses fesses, lui annonçant que sa température était correcte.

Émilie se rassit mais Éric la pencha délicatement en arrière et remonta ses jambes vers le haut. Baissant de nouveau son regard vers ses fesses, il lui demanda :

-Alors, pour aller aux toilettes, tu préfères recevoir un lavement ? Ou un suppositoire ?

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clyso Il ya 13 ans  
thermophil Il ya 13 ans  
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medoc09 Il ya 13 ans  
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