Vues: 6221 Created: 2010.11.09 Mis à jour: 2010.11.09

La femme du juge

La femme du juge

Il ne s'agit pas d'une histoire dont je suis l'auteur, mais de la traduction que j'ai tentée d'une histoire américaine rédigée en anglais. Elle relève de la catégorie qui m'intéresse, celle des lavements érotiques. Le titre original était "the judge's wife" que j'ai traduit avec la subtilité littéraire qui me caractérise par "la femme du juge".

Il y a plusieurs années quand j'ai fait construire ma maison dans cette communauté boisée et privée, mes premiers visiteurs furent mes nouveaux voisins de la maison de derrière : Gil et Rebecca. Il s'avéra que lui était juge dans le comté et elle femme au foyer qui passait ses journées à regarder la télévision ou au téléphone et allait de temps en temps voir sa mère qui habitait non loin de là. Lui, partait pour le travail à 8:00 du matin et revenait à 3:00 de l'après-midi laissant Becky, (c’était le nom de sa femme), avec sept heures de temps libre devant elle. Je pensais qu’elle devait s’ennuyer jusqu'à ce je découvre à quoi Becky occupait vraiment ses journées. Au fil du temps, le juge et moi sommes devenus de bons amis, discutant de tout et de rien ou l'aidant à remplacer une ampoule de feu arrière sur sa voiture. Ca finissait d'habitude dans mon garage à boire une ou deux bières fraîches. Un jour, il m'a demandé si je pouvais l’aider en transportant à la décharge des vieux trucs qu'il avait rassemblés après avoir rangé son sous-sol. "Tout est dans le garage et sera facile à charger » a-t- dit. "Becky sera à la maison demain matin et pourra vous aider à le charger ". D’accord , mais vous me devrez un pack de bière ". Il a ri et a dit qu'il préviendrait Becky de ma venue. Le lendemain matin à 9 heures, j'ai reculé mon pick-up près de leur porte de garage. Au moment où je sortais, la porte de garage s’est ouverte. J’ai pensé que Becky m’attendait. La porte ouverte, j'ai vu une pile de pots de peinture, des morceaux de bois de charpente, des chutes de placoplâtre. Becky était debout à côté de la porte de derrière près de la commande d’ouverture de la porte du garage. Elle me dit “bonjour” en me gratifiant d’un sourire éclatatant. Elle portait un pantalon de jogging et un tee shirt blanc (sous lequel je devinais qu’elle ne portait pas de soutien-gorge). Elle s’avança vers moi jusqu’à ce qu’elle soit à une vingtaine de centimètres de mon visage. « Gil a débarrassé le sous-sol et a laissé un sacré bazar, comme vous pouvez voir» me dit-elle. Je dois prendre un moment pour vous décrire Becky. Aux environs d’un mètre 70 pour 60 kilos, et des mensurations que, d’expérience, j’évaluais à du 90, 70 90. De longs cheveux blonds sur les épaules, et ce sourire chaud qui lui plissait les yeux. « Je vais vous aider à charger tout ça et ce sera ensuite à votre tout de m’aider» me dit-elle. « Avec plaisir » répondis-je, pensant qu’il s’agissait de monter ou de déplacer un objet encombrant. Ce ne fut que plus tard que je découvris ce qu’elle avait en tête.

Elle fit le tour du tas de déchets et se mit à marcher avec son joli petit postérieur devant moi. Je la suivis, au bout de 2 marches, elle s’arrêta subitement et se pencha en avant. Je ne m’y attendais pas et me cognait mon sexe à déjà à demi érigé contre son fessier. Il faut dire, qu’en cet instant, son apparence m’excitait terriblement. “Désolée” dit-elle. “Ce n’est rien “répondis-je. Elle ajouta : “c’est, quand même, une sensation agréable, qu’en pensez-vous?”. Profitant de l’aubaine, je répondis “oui, ça me fait vraiment de l’effet, et pour vous?” « Oh oui ! j’aime ce que je sens derrière moi en ce moment. » Becky était encore penchée, j’agrippai ses hanches et pressai mon sexe maintenant complètement raide contre ses fesses rondes et je commençai à le frotter dans sa raie. « Moi, j’aime bien ce que je sens devant » dis-je. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Becky laissa échapper des « hummm ! ». « Qu’allons-nous faire maintenant ? » lui demandai-je. « Vous sortirez ces saletés plus tard, aidez-moi plutôt avant » répondit-elle et elle m’ordonna de la suivre. Je suivis son joli postérieur en haut dans la chambre principale. Elle disparut dans la salle de bain et en ressortit avec une très grosse poche à lavement rouge et un tuyau. « Voilà en quoi vous pouvez m’apporter votre aide » dit-elle. “Je ne savais pas que vous aimiez les lavements” m’étonnai-je. “En fait, je les adore, maman et moi nous nous en administrons très souvent”. “Mai si j’aime lui en administrer, je n’aime pas me les donner moi-même, si bien qu’on change de rôle et que c’est elle qui me les donne. Seulement, après, j’aime avoir un gros bouchon en moi et là maman ne peut rien pour moi, si vous voyez ce que je veux dire » en disant cela, elle lorgnait vers la bosse qui déformait mon pantalon. « Et Gil ? » demandai-je. “Oh, Gil est très conventionnel, on fait l’amour 2 ou 3 fois par semaine et je le suce environ une fois par mois, mais il ne participe pas à mes lavements plus de 2 fois par an et, moi, j’en ai besoin plus souvent que ça. « Il se trouve que j’ai un peu d’expérience en ce domaine et je serais ravi de vous aider” dis-je. « Vraiment, vous l’avez déjà fait ? » demanda-t-elle. “Très souvent avec 2 de mes petites amies, et je sais exactement à quelle température doit être l’eau et quelle quantité vous pouvez recevoir ». « Alors, ca va être délicieux » conclut-elle. « N’attendons pas plus, allons-y » dis-je. Becky me tendit, alors, la poche et nous entrâmes dans la salle de bain. Pendant que j’ajustai la température de l’eau , Becky frottait ma braguette avec ses mains. Quand l’eau fut à bonne température, je remplis la poche. En entendant le gargouillis, Becky recommença ses «huuuum ! » et dit : « j’adore ce bruit, pas vous ? ». « moi aussi, je le trouve si excitant » répondis-je. “Remplissez bien la poche, j’aime tout prendre dans le ventre” dit-elle ». “A votre service, je vous assure que vous serez bien remplie aujourd’hui » lui répondis-je.

L'intrigue se noue

Quand la poche fut bien pleine, j’attachai le tuyau et nous entrâmes dans la chambre.

-« Quelle et votre position favorite ? ».

- “A plat ventre sur le lit avec 2 coussins sous le ventre, comme ça je suis dans la position la plus adaptée pour recevoir le lavement et le bouchon, » répondit-elle, avec un clin d’œil.

- « Il y a un crochet au poteau dans ce coin » ajouta-t-elle.

Pendant que je suspendais la poche à lavement, Becky mit en place deux oreillers et commença à se déshabiller. La pose du tee shirt révéla ses superbes seins. J’étais très excité, j’avais l’impression d’avoir des pulsations dans mon sexe. Il s’avéra qu’elle ne portait pas de culotte non plus, si bien que lorsqu’elle se fut penchée pour ôter son pantalon de fitness, elle se retrouva toute nue. En un rien de temps, j’ôtai aussi mes habits et me retrouvai dans le même état. Becky grimpa sur le lit et s’étendit à plat ventre sur les oreillers son fessier joufflu pointant en l’air.

- « Puis-je espérer que vous voudrez de mon gros « bouchon » dans vos fesses après votre lavement ? ».lui dis-je.

- « Evidemment, c’est le grand moment du traitement » répondit-elle.

- « Alors, j’ai intérêt à rester bien raide pour le faire »dis-je.

Elle me rassura

- « Ne vous en faites pas, je m’occuperai de ça ».

Elle était vraiment très désirable avec son bassin surélevé et ses jambes écartées qui ne cachait rien de son sexe et laissait aussi entre ses fesses légèrements écartées voir la corolle brune de son œillet. Si bien que j’avais très envie d'y mettre tout de suite mon « bouchon » , mais je décidais finalement de laisser se dérouler la totalité de la séquence. Je savais une quelle sensation extraordinaire c’est de s’enfoncer dans un anus après le lavement, avec toute cette eau chaude que l’on sent à l’intérieur. Je montais derrière elle sur le lit, mon sexe tendu à l’extrême en pensant à la suite, je saisis la canule et l’enduisis de gel lubrifiant j’en enduisis aussi l’œillet de Becky en poussant un peu avec le doigt, ce qui provoqua un léger gémissement.

– « vous êtes prête ? »

- « oui, allez-y » répondit-elle.

Pendant que j’enfonçais doucement la grosse canule dans son œillet, Becky recommença à gémir avec des « huuuum ».

– « Ca va ? » m’enquéris-je.

– « oui, c’est bon, continuez, je veux tout prendre en moi » répondit-elle entre deux gémissements.

Ca vous allez tout prendre, pensais-je intérieurement, et peut-être même un peu plus.

Vide poche....

On put entendre distinctement le « click » que fit la pince quand je la dégrafai du tuyau pour libérer l’eau. Je sentis la tuyau gargouiller au moment où le petit reste d’air fut poussée par le flot d’eau chaude qui s’écoulait vivement dans le tuyau poussé par la différence de pression.

– « oh ! oui, oui ! » furent les premiers mots de Becky au moment où l’eau commençait à faire son chemin dans ses entrailles.

–« L’eau est-elle à la bonne température ? » demandai-je.

-« C’est parfait, je vois bien que vous maîtriser la pratique du lavement »

-« Je sais aussi parfaitement quelle quantité vous pouvez recevoir Becky, et je pense que cette poche est certainement au dessous de votre limite » ajoutai-je.

– « Je n’ai jamais pris plus d’une poche, vous pensez vraiment que je peux être plus remplie »

- « J’en suis certain, je vais vraiment vous faire gonfler le ventre »

- « Dans ces conditions, je vous fais confiance, remplissez-moi ».

Je décidais, alors, qu’il était temps de fournir une occupation à sa bouche. Je quittai ma position entre ses cuisses écartées pour me placer face à son visage. Elle avait les yeux fermés et sa bouche était entr’ouverte comme pour une invitation. Je plaçai doucement mon sexe en contact de ses lèvres. Becky garda les yeux fermés, mais baissa la tête pour emboucher mon pénis et le sucer avec ardeur. Au bout de peu de temps de ce traitement, je bandais si fort que j’avais l’impression que ma queue était aussi dure que de la pierre. Je levai les yeux vers la poche et constatai qu’elle était presque vide. Sa position en hauteur sur le poteau avait contribué à ce qu’elle se vidât très rapidement dans le ventre de Becky.

–« comment vous sentez-vous ? » lui demandai-je ? »

-« C’est divin, vite finissez de vider cette poche »

- « Elle est vide, vous avez tout pris »

- « Déjà ! vous êtes sûr ? »

- « Sûr et certain, et mon petit doigt me dit que vous en voulez plus, hein ? »

-« Je n’ai pas la sensation d’avoir reçu la totalité d’une poche » ajouta-t-elle.

– « eh bien alors, pourquoi ne pas rester étendue ici et penser « au bouchon » qui vous attend, pendant que je vous en prépare une autre ? ».

Sur ce, je sortis mon sexe de sa bouche, contournai le lit, décrochai la poche du poteau, remis la pince sur le tuyau et je me rapprochai pour extraire la canule hors de son œillet en la faisant un peu aller et venir, ce qui déclencha quelques nouveaux gémissements. Après avoir de nouveau rempli la grosse poche rouge avec de l’eau beaucoup plus chaude que la première fois, je regagnai la chambre. Becky m’attendait toujours dans la même position tout à la fois obscène et excitante.

La deuxième poche

Je suspendis la poche, passai derrière elle afin d’enfiler à nouveau lentement la canule dans son œillet, puis je revins me placer en face d’elle.

-« S’il vous plait commencez » supplia-t-elle.

– « Un instant, je vous veux en position quand je vais lâchez l’eau dans votre ventre ». Becky se pencha, repris ma queue dans sa bouche et recommença à ma sucer du gland aux couilles. Je me penchai et déclipsai la pince du tuyau. Quand le liquide très chaud s’écoula dans le tuyau et envahit dans son ventre elle eut une exclamation de stupeur :

-« Seigneur ! c’est chaud ! ».

–« Ca va vous détendre, relacher votre joli petit trou et me permettra d’y glisser ce bouchon que vous me gardez au chaud dans votre bouche » répondis-je.

Becky me pompait avec ardeur pendant que le sac se vidait et que le flot d’eau chaude passait dans son ventre. Il était à moité vide, quand Becky dit qu’elle en avait assez pris dans le ventre et qu’elle se sentait pleine.

–« Baliverne ! vous allez tout prendre, comme convenu ».

Elle reprit sa fellation sur ma queue toujours aussi raide, pendant que je regardais la poche se vider au fur et à mesure que le flot de liquide passait en elle et gonflait son ventre. Quand il fut vide, je dis à Becky que le moment était venu de lui enfiler le bouchon tant désiré et qu’elle avait si bien préparé. Je sortis mon sexe gluant de salive de sa bouche, passai derrière elle, remis la pince en place sur le tuyau et sortis très lentement la canule de son petit trou.

"le bouchon"

-« Vous êtes prêtes ? » lui demandais-je.

–« ouiiii ! S’il vous plait, mettez le moi vite ! ».

Je me penchai sur elle et dirigeai mon gland vers son anus. Avec ses hanches surélevées par les oreillers et ses fesses pointant en arrière comme une invitation, il me fut facile de poser l’extrémité de ma queue sur sa rosette, une légère poussée la fit glisser à l’intérieur de son cul.

–« Ooooh ! C’est bon ! mettez la moi toute ! » gémit-elle.

Je poussai et je sentis que ma queue baignait dans l’eau chaude quand je l’eus enfoncé complètement pressant mes bourses contre ses fesses. C’était une sensation extraordinaire. Becky laissa échapper un petit gémissement en me sentant en elle et me dit :

–« Maintenant que vous me l’avez mise à fond, passez vite à la suite ».

–« Avec plaisir ma chère, je vais ramoner ce joli derrière ».

Après un certain temps, de va et vient dans son petit trou, je sentis venir l’orgasme. Becky s’en rendit compte et s’exclama utilisant soudain des mots crus :

-« Jouissez mon chéri, jutez dans mon cul, videz-vous en moi, lâchez vos grosses giclées chaudes au fond de mon ventre »

A ces mots, je m’enfonçai à fond, tandis qu’en de multiples spasmes mon sperme giclait. Quand je me fus complètement vidé dans le plus joli cul que je n’ai jamais pénétré, je me retirai doucement et me tint derrière le lit. Becky se tourna et se leva à son tour.

–« Maintenant, allez vous nettoyer » me dit-elle.

J’allai dans la salle de bain et nettoyai soigneusement mon sexe pas encore complètement dégonflé. Quand j’eus fini, Becky entra et me dit :

-« Vous savez, mon chère, je crois bien que ma mère aimerait ce genre de traitement ». Ce propos titilla mon imagination et ouvrit la porte aux fantasmes

Suite et fin

Où l'on envisage d'agrandir le cercle de famille.

Becky s’assit sur le siège des toilettes et me demanda de rester près d’elle. Je lui demandai de garder encore un peu le lavement jusqu’à ce que les crampes lui tordent le ventre. Elle reprit mon sexe dans sa bouche et recommença à l’y faire coulisser tout en me massant les bourses. Ce traitement eut vite fait de faire redurcir mon sexe qui gonfla dans sa bouche. Sa fellation et le spectacle de cette femme nue assise devant moi avec son ventre gonflé par les deux poches qu’elle avait reçues me conduisirent vite à l’orgasme. J’éjaculais dans sa bouche en même temps qu’elle expulsait le lavement et se vidait à grands jets dans la cuvette. Elle avala mon sperme et alors même qu’elle n’avait pas fini de se vider, elle me déclarait qu’il ne fallait pas s’arrêter à une seule expérience et que nous remettrions ça d’autres fois. Pour ma part, je fantasmais sur un développement de la situation dans lequel j’appliquerais ce même traitement à la fille et à la mère. Sa mère Janet était une femme mûre encore très désirable et d’imaginer les deux femmes avec deux poches à lavement, deux canules et mon sexe m’entraînait dans un tourbillon d’idées salaces. Je me demandais si c’était sa mère qui avait enseigné à Becky l’art de la fellation et si la mère et la fille n'allaient pas plus loin que la seule administration de lavements.

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