Partie 1 : La consultation

Noémie était assise dans la salle d'attente avec son père, elle patientait depuis déjà une demi-heure en attendant que la doctoresse vienne la recevoir.

-Papa, demanda-t-elle, qu'est-ce qu'elle va faire la doctoresse ?

Le père n'était pas très à l'aise devant d'autres patients qui attendaient dans la même pièce.

-Elle va t'examiner, et puis elle te donnera un médicament pour te soigner je pense.

Justement la doctoresse, une grande blonde aux cheveux bouclés, assez mince, entra dans la salle d'attente. Le père se leva et invita sa fille à venir dans la salle de consultation. La femme les fit entrer tout les deux et leur demanda de s'asseoir à son bureau en face d'elle.

-C'est moi qui vous ai appelé tout à l'heure, lui indiqua le père.

-Ah oui ! C'est vous qui avez téléphoné pour votre fille c'est bien ça ?

-Oui, elle se plaint de maux de ventre ces temps-ci.

La doctoresse sortit une feuille de son tiroir pour prendre des notes.

-Vous lui avez donné des médicaments ?

-Oui, répondit-il, de l'aspirine mais ça n'a pas eu beaucoup d'effets.

-Et elle n'a rien mangé de spécial ces derniers jours ? Des aliments nouveaux ?

-Non, je ne crois pas.

Elle griffonna quelques notes sur sa feuille.

-D'accord, je vais regarder ce qu'elle a alors.

La doctoresse releva sa tête vers Noémie qui était assise à côté de son père.

-Tu viens avec moi je vais regarder ce que tu as ?

La petite suivi la femme derrière elle et se hissa sur la table qu'on lui désigna.

-Couches-toi sur le dos s'il te plaît.

Quand Noémie fut installée, la femme lui demanda de lui montrer l'endroit où elle avait mal et elle répondit en désignant le bas de son ventre. La doctoresse tira son t-shirt vers le haut, jusqu'au soutient gorge, pour voir son ventre. Elle palpa l'endroit que Noémie lui avait montré pour essayer d'y voir quelque chose d'anormal.

-Tu peux te retourner sur le côté Noémie ? Elle ajouta au père :

-Est-ce que vous lui mettez des suppositoires parfois ?

La question surprit le père et sa fille. Noémie rougit et son père expliqua qu'il ne mettait plus de suppositoire à sa fille depuis qu'elle avait atteint les dix ans.

-C'est un peu grand pour elle à quatorze ans, non ? Ajouta-t-il.

-Non, elle est encore petite rassurez-vous, je pense qu'elle peut encore en recevoir au moins pendant un an ou deux.

La doctoresse reposa son regard sur Noémie et glissa son doigt entre sa peau et sa culotte, pour tirer le tout vers ses genoux. La jeune adolescente se retrouva les fesses à l'air et s'inquiéta de la tournure que prenait cette consultation. « Qu'allait-on lui faire ? Lui mettre un suppo ? À son age ? » Noémie avait l'estomac qui se nouait.

La doctoresse reprit à son père :

-Je vous demande ça parce que la cause de ses maux de ventre est certainement intestinal. Bien sûr il existe plusieurs médicaments, comme des comprimés ou des sirops, mais ceux-ci sont plutôt réservés à l'adulte, donc je pense que vu son âge les suppositoires sont la meilleure solution.

Noémie attendait toujours les fesses à l'air, se demandant ce qui l'attendait sous peu. L'évocation de ce traitement par suppositoire la gênait beaucoup : ni son père ni sa mère n'avait vu ses parties intimes depuis des années, et elle se voyait mal à quatorze ans aller se pencher sur son lit et attendre sagement son suppo.

-Ok, je vais opter pour cette solution alors, dit-il au grand regret de sa fille.

Noémie ferma les yeux. « Quelle honte » se dit-elle. Les suppos n'avaient jamais été son truc, pas réellement à cause d'un problème de gêne physique, mais Noémie se sentait humiliée avec ses petites fesses à l'air et ses parents qui poussent le médicament dans son petit trou. Heureusement ces scènes d'humiliation s'étaient arrêtées après ses dix ans quand ses parents jugèrent qu'elle était assez grande, mais voilà que le cauchemar allait recommencer.

-Je pourrai me les mettre moi-même, osa Noémie.

-Non, il vaut mieux que tes parents s'en occupent, intervint la doctoresse. En général les enfants ne savent pas très bien comment s'y prendre pour le faire et le traitement ne fonctionne pas. Il ne faut pas être gênée à cause de ça, beaucoup d'enfants ont encore droit au suppositoire après leur quinze ans.

-Oui, je m'en occuperai, compléta le père. Il y a d'autres choses ?

La femme désigna Noémie du doigt.

-Je vais lui mettre son premier suppositoire maintenant avant que vous ne partiez, et puis je vous donnerai une ordonnance.

Elle se dirigea vers ses placard et apporta une boîte de suppos et un tube de vaseline. Le père de Noémie la regarda se mettre de la vaseline sur l'index et soulever la fesse de sa fille. Son anus rose apparu sous leurs regards, tout serré. Il n'avait plus vu sa fille comme cela depuis des années, il remarqua qu'elle avait commencé à avoir des poils au niveau du sexe et que ses lèvres vaginales, en partie dévoilées, s'étaient bien développées ces dernières années. Il vit ensuite le doigt de la doctoresse venir étaler la vaseline sur l'anus et autour, puis se retirer. Elle porta juste après le suppositoire au même endroit et son doigt s'enfonça dans le cul de Noémie avec le suppo, puis ressortit avec un petit bruit de succion.

-Voilà, tu peux te rhabiller Noémie, lui dit-elle.

Elle retourna ensuite à son bureau et imprima une feuille qu'elle tendit au père.

-J'ai prescrit des suppositoires à la glycérine et un tube de vaseline. Il faudra lui en mettre ce soir avant le coucher et cette nuit. Elle devrait peut-être aller mieux demain matin. Ce sont des laxatifs donc prévoyez d'aller aux toilettes peu après. Vous pourrez utilisez celle au fond du couloir pour celui-ci, mais laissez agir encore dix minutes. Ça devrait vous vider un peu pour éliminer le mal de ventre.

-Ok, merci.

Son père se leva et serra la main à la doctoresse, puis emmena sa fille en dehors de la salle.

Partie 2 : Le coucher

Noémie n'avait pas beaucoup manger le soir après être revenue de chez la doctoresse, son père l'avait laissée patienter aux wc pendant qu'il avait été chercher les suppositoires à la pharmacie. Elle redoutait le moment où, quand elle allait aller se coucher, son père viendrait lui donner son suppo. Elle redoutait ce moment mais elle avait remarquer chez la doctoresse une certaine excitation pendant qu'elle rentrait son doigt dans son derrière, petite mais certaine. Cela n'empêchait pas Noémie de ne pas avoir envie du traitement qu'on lui avait prescrit.

Elle quitta le salon tôt dans la soirée pour aller rejoindre sa chambre, sans prévenir personne. Elle se coucha dans son lit et éteignit la lumière en espérant que son père ne viendrait pas. Malheureusement peu après elle entendit toquer à la porte.

-Noémie, je viens te mettre le suppo si tu vas te coucher, je peux entrer ?

Elle était en pyjama sous ses couverture, mais quitta ce lit douillet pour aller ouvrir à son père. Il entra avec dans ses mains la boîte de suppo ainsi que la vaseline.

-Ok, tu te couches sur le lit, comme quand tu étais petite ?

-Euh papa, j'aimerais le faire toute seule, je pense que je suis assez grande pour ce genre de chose maintenant.

Il s'assit sur son lit.

-Tu as entendu la doctoresse tout à l'heure ? Il vaut mieux qu'un adulte le fasse pour toi, ce sera plus facile.

Noémie n'avait pas envie de négocier plus. Elle savait qu'elle serait encore plus honteuse si il lui mettait après un long débat sur le sujet.

-Bon d'accord, admit-elle au bout d'un moment en se couchant sur son lit.

Elle sentit son père qui baissait son pyjama et l'entendit enlever le bouchon du tube de vaseline. Il écarta ses fesses et commença à étaler le lubrifiant sur sa rondelle comme l'avait fait la doctoresse, elle ressentit encore une pointe d'excitation mais essaya immédiatement de penser à autre chose car il lui avait écarté les cuisse et pouvait voir son sexe. Elle garda sa tête enfoncée dans son oreiller et attendit que ça se passe.

-Je vais le mettre, tu pousse un peu pour m'aider ?

Elle poussa légèrement et sentit le doigt chaud de son père enfoncer le médicament dans son cul. Son vagin était parcouru de frisson mais il retira son doigt sans rien dire. Puis il remonta son pantalon de pyjama et demanda :

-Ça a été, tu n'as pas eu mal ?

Elle lui répondit que ça s'était bien passé sans se retourner en face de lui. Conscient de sa gêne, son père quitta la chambre sans plus de question et ajouta avant de fermer la porte :

-Je viendrai cette nuit pour le deuxième suppositoire, n'oublie pas d'aller aux toilettes avant de dormir.

Quand elle seule, elle passa sa main sous son sexe et sentit qu'il était un peu humide. Heureusement qu'il n'avait rien remarquer, elle se serait sentie vraiment humiliée si il avait vu son excitation pour un suppositoire.

Elle alla évacuer sur la cuvette plusieurs minutes plus tard et retourna se coucher, elle s'endormit très vite après pour aller rejoindre ses rêves.

Une main était posé sur son épaule. Elle ne vit pas tout de suite de quoi il s'agissait. On la secouait doucement. Elle ouvrit les yeux et découvrit une pièce sombre.

-Je suis venu te mettre ton suppo.

Son père était assis sur son lit et l'avait réveillée en la secouant. Elle ne réagit pas et il la fit pivoter sur le côté et baissa son pantalon. Elle avait eu chaud la nuit et la transpiration entre ses fesses avait lubrifier son anus, elle sentit à peine son père lui soulever sa fesse et pousser le médicament dedans, le doigt passa sans problème dans son muscle anal endormi, mais la réveilla un peu plus. Il retira son doigt et tapota sur son derrière.

-Il faut que tu ailles aux wc dans dix minutes, ne te rendors pas ok.

Il lui remit son pantalon et sa couverture pour la laisser seule de nouveau.