Tenapants


Vues: 4179 Created: 2015.02.04 Mis à jour: 2015.02.04

L'autostoppeuse

L'autostoppeuse

Me voici en repos. Pas faché. Pour me remettre de ce début d'année plutôt chargée, j'ai décidé de quitter la grande ville pour me retirer dans la campagne charollaise.

Pour s'y rendre, point de secret, une voiture, direction porte d'Orléans, autoroute A6 et sortie à Chalon.Mais avant d'entreprendre ce grand périple, une couche s'avère indispensable. Trois paquets dans le coffre pour pouvoir varier les plaisirs une fois sur place et le tour est joué.

En arrivant sur la porte d'Orléans, je repère une demoiselle faisant de l'auto-stop et seule. Je m'arrête pour lui proposer de l'avancer jusqu'à Chalon. Elle accepte. Je m'attendais à voir surgir son petit ami ou un mec qui se planquait pour avoir plus de chance d'être chargé, mais ce n'est pas le cas.

La valise promptement jetée sur la banquette arrière de la voiture (trois portes je precise) et nous voilà en route. Comme de bien entendu la sortie de Paris s'annonce embouteillé à souhait et nous commençons à papoter et à échanger les banalités d'usage. Le chauffage ronronne et petit à petit la demoiselle retrouve des couleurs. Elle se met à l'aise en enlevant son manteau. Elle porte un jeans et un gros chandail à col roulé. Les embouteillages commencent à se fluidifier, mais quand la voiture est à l'arrêt je sens qu'elle se balance. Trois minutes d'investigation m'amènent à constater que la demoiselle trépigne plutôt. Je la regarde un peu surpris. Se mordant les lêvres, elle m'explique que le froid lui a donné une horrible envie d'uriner. Voilà à peine trente minutes de route et déjà il faut s'arrêter. Et soudain, ne sachant pas trop ce qu'il me prend, je lui dis :

- Ecoute, vu comme c'est parti on n'est pas arrivé. J'ai un truc à te proposer. Les filles qui font du planeur d'endurance l'utilise... Il s'agit de mettre une couche pour être sur de ne pas avoir à s'arrêter. Perso je fais du vol moteur mais j'ai ce qu'il faut dans le coffre. D'ailleurs j'en ai enfilé une pour le trajet afin d'éviter les arrêts superflu.

Un peu surprise, elle me lance un regard curieux et semble plonger dans une profonde reflexion. Je la laisse ainsi reflechir pendant que la file se remets en route doucement. Au moment ou je me dit qu'elle va vouloir debarquer de la voiture en hurlant au malade, j'entend un "d'accord".

Surpris, je fais semblant d'être absorbé deux minutes supplémentaire, histoire de me laisser le temps de reflechir. Au moment où elle ouvre la bouche sans doute pour me hurler des insultes et revenir sur sa décision, j'attaque. Ma stratégie se dessine toute seule mais sûrement. Objectif : ne pas brusquer les choses et gagner sa confiance... peut-être pourra-t-on jouer tous les deux ?

- Ecoute, il n'y a pas moyen de s'arrêter sur le bord de la route. Les couches sont dans le coffre. Passe derrière, tu pourras te préparer à l'aise et attraper les couches en passant la main par la trappe à skis.

Me plongeant dans ma conduite, je la laisse se dehancher pour passer aux places arrières et attraper une couche. Je lui conseille par la même occasion :

- Comme c'est la première fois que tu te langes, mets de la crème pour le change afin d'eviter les irritations qui risquent d'arriver.

Elle acquiese. En jettant un coup d'oeil dans le rétro, je l'aperçois contemplant le matériel. Un tube de creme Prim'age et une Molicare Super Plus violette. Je retire les yeux du rétro, tout en regardant la route je lui demande si elle va savoir comment faire ou si elle a besoin de conseil. Elle me demande comment faire car, dit-elle, elle n'a jamais fait de baby-sitting. Je lui indique alors comment déplier la couche, comment mettre en place la garniture en la lissant avec le poing. Après le bruissement de la couche, le silence se fait deux minute puis il est remplacé par les grognements d'une personne se contorsionnant pour defaire son jean et descendre sa culotte. Malgré la tentation je ne regarde pas. Je l'entend glisser la couche sous elle puis une petite voie ennuyé me demande :

- Eh euh... pour la crème... je fais comment ?

- Ah la crème, oui... Bah là y a pas de secret, va falloir encore faire l'accrobate et t'enduire manuellement.

J'en profite pour lui tendre des lingettes pampers afin qu'elle puisse s'essuyer les mains.

- Mets en surtout dans les plis, car c'est là que ça attaque".

Ainsi pendant une bonne dizaine de minute je l'entend hannaner et haleter pour s'étaler la crême. Je reste concentré sur ma conduite en me demandant ce que les autres conducteurs doivent se dire.

Au bout des dix minutes j'entends les adhesifs de la Moli s'exprimer. Trois minutes plus tard, la demoiselle rouge d'exercice rejoint le siege avant. Je n'ose faire de commentaire sur l'appetissante forme que son bassin à pris. Nous continuons à rouler ainsi pendant 30 minutes sans dire un mots. Puis je constate que la demoiselle se dandine bizarement. Elle se mord les levres pendant 30 secondes puis pousse un petit soupir de soulagement. J'en conclus que l'affaire est faite... Deux minutes plus tard, elle embraye la conversation sur les filles pilotes de planeur qui use de cet artifice durant les vols d'endurance...

Le voyage s'annonce charmant. Quelle joie d'avoir une demoiselle aussi ouverte assise à mes cotés ainsi garni.

La route défile son ruban. La demoiselle semble se détendre. J'essaye de détourner son attention en discutant de choses et d'autre. Le contact est pluôt facile et par moment le rire s'invite. Sentant ma propre couche s'humidifier, je me dis qu'il est temps de passer à la phase suivante. Avisant une aire de repos dans les dix prochains kilométres, je lui propose une pause (de toute façon, toutes les deux heures, la pause s'impose). Je lui explique donc que je suis également langé et que ça devient humide. N'ayant pas mis de créme, je crain de me retrouver avec des rougeurs.

Elle me dit alors qu'elle se doutait bien que je devais aussi en porter. Elle

accepte d'autant que l'aire d'autouroute sera moins fréquentée qu'une station.

Alors que la voiture ralenti sur la voie de dégagement, elle me dit tout de go :

- Au point où on en est, je vais te changer et toi tu vas me changer !

J'ai du rougir violement mais je n'ai pu vérifier dans le rétro car je ne voulais pas finir dans le talus. J'ai du balbutié un oui d'accord mais a vrai dire je ne m'en souviens plus.

Nous voici donc arreté sur cette aire deserte. Je me sens un peu con et on se regarde en chien de faïence puis finalement elle dit :

- Si on reste comme ça on va moisir.

Je ne lui ai pas parlé du monde AB/DL. Je crains une énorme érection au moment ou elle me changera.. et plutôt que d'attaquer tout de suite un versant sexuel de l'histoire, j'aimerai bien m'amuser un peu. Je lui propose de m'occuper d'elle en premier. Elle accepte. Un paquet de couche, de quoi rafraichir l'entre-jambes et nous nous dirigeont silencieusement vers le local bébé. Après tout, il n'y a pas meilleur endroit pour changer des couches.

C'est dans un lourd silence que devant moi elle baisse son jean et se découvre en couche devant moi. Prenant appui sur la tablette, elle se juche dessus.Je lui demande alors de tenir son pull remonté sur son nombril et de s'allonger dessus. Je n'ai qu'une crainte, que la tablette céde sous le poids. Heureusement que j'ai l'habitude du baby-sitting. Je me dépèche. J'ouvre la couche qui semble bien pleine. Je découvrir alors un pubis totalement épilé. Me concentrant je nettoye avec de nombreuses lingettes son intimité ainsi qu'entre la raie des fesses. Pour se faire je dois lui faire lever les jambes. Je constate à ce moment qu'elle a les yeux fermés. Elle semble bien détendu. Une fois la couche sale en boule, je passe un nouveau change sur la tablette. Pour ce faire elle doit se relever. Mon rythme cardiaque s'affole. La voir nue... Une fois le lange sur la table, je la réinstalle dessus. Je m'applique à étaler la creme bien comme il fau avec de nombreuse couche. Son mont de vénus et ses fesses ressemble à une piste de ski. Je referme la couche. Voilà un moment qu'elle m'observe calmement, un petit sourire en coin. "Merci me dit-elle, c'est rapide et agréable; A mon tour". Jbalbutie un ok et enlève mon pantalon. Me voici en couche devant une inconnue sur une aire d'autoroute.

Je me hisse sur la planche et m'allonge. Je ferme les yeux et me met à penser trés fort à des images non sexuelles pour ne pas bander. J'entends les attaches de la couche et ressens la diminution de la pression autour de mes hanches. Puis c'est au tour d'une lingette copieusement arrosé de lait pour le change qui touche ma peau. Je plane totalement. Finalement, elle me remet une couche apres m'avoir copieusement tartiné de creme. Une petite tape sur la couche de sa part et me revoici debout... Je la remercie.

On retourne vers la voiture. A peine installé, je lui fais remarquer que finalement c'est une situation qui est loin d'être désagréable et que si je pouvais passer mes vacances ainsi... Cela la fait sourire, puis à brûle pourpoint me dit :

- Pourquoi pas?... J'annule ma venue chez mes amis et toi tu m'héberge à

la campagne.

Mon coeur a failli s'arrêter. Je la regarde surpris et pour m'achever elle ajoute :

- On passera la semaine en couche uniquement. Et on se langera mutuellement !

Je peux vous assurer que la fin du parcours fut expédié.

À suivre...

Comments

TINflux12 Il ya 6 ans  
titibebe300 Il ya 8 ans  
n/a Il ya 9 ans