Tout l'art du plaisir est dans le détail.
Exemple :
- après s'être rendu compte, en faisant ce qui est inconvenant bien sûr, parfois malgré l'apparition - sournoise ?- de quelques "mouillures" (non avouées !) que des suppositoires sont nécessaires pour mettre un terme à certaines situations d'encombrement des plus intimes
- envoyer le sujet à l'endroit qui convient, dans le salon par exemple, devant le canapé en lui demandant de s'y déshabiller entièrement
- le faire se placer à genoux, joue sur un coussin, mains dans le dos, et pour que l'accès soit facilité, et bien montré, là est le fameux détail, exiger une bonne cambrure, et pour cela dire de garder les chevilles jointes, et d'écarter au maximum ! les genoux en les ramenant bien vers les épaules..
Essayez, la vision est captivante, les fesses sont présentées bien ouvertes, et la rosette prête pour le passage du doigt.
Petit raffinement : laisser le sujet en place pendant que l'on va se procurer ces espèces de bonbons couleur miel aux effets redoutables que sont les suppositoires de glycérine; en prendre plusieurs, les placer dans une petite coupelle que l'on placera sous le regard de la personne à laquelle on va les administrer.
Puis, calmement, on va s'assoir sur le canapé, et venir chercher, l'un après l'autre les "bonbons", au fur et à mesure de leur mise en place, tout aussi calmement et méthodiquement bien rentré où il le faut pour qu'ils agissent comme on l'attend...
Ensuite, selon les goûts, mise au coin, en surveillant la venue inconfortable et dérangeante des effets que provoque ce traitement intime.
Puis, mais toujours selon les goûts de chacun bien sûr, on peut disposer un pot hygiénique au centre du salon, que découvrira le sujet lorsqu'il aura l'autorisation de bouger pour se délivrer....
C'est quand même très coquin tout ça !