J'ai, moi aussi, peu eu à séjourner en hôpital; mais la fois où j'ai dû y rester près de 15 jours !...victime d'un accident, aux conséquences à surveiller sur la colonne vertébrale, ( fracture quand même ) a été très pénible pour ma libido, bien épanouie pour ma quarantaine à cette époque.
Et pour cause : je devais rester allongé sur le dos uniquement pendant tout ce temps, avec interdiction de me lever ou même de me placer sur le côté. Hormis mon traumatisme, non douloureux si je ne bougeais pas, tout allant bien, n'ayant aucune autre blessure. Mais j'étais loin de chez moi, et seul, ma femme ne pouvant venir...
Dés le deuxième jour, allongé sous mon drap dans ce vêtement très particulier qu'on vous fait porter à l'hôpital, me sentant mieux et plus à l'aise dans la chambre où j'étais seul, de fortes érections me sont vite venues...Je mouille facilement, et abondamment, et j'ai évité de me toucher trop. Mais dés le jour suivant, mon envie d'éjaculer est devenue très perturbante, favorisant mes érections et mes envies de masturbation; je sentais bien en moi tout ce sperme que j'avais, et qui ne demandait qu'à sortir.
Mais j'étais seul, et je n'avais aucun mouchoir dans ma table de chevet, aucun sopalin ou mouchoir en papier pour y vider mon sperme, rien ! et aucune possibilité de m'en procurer, ou d'avoir une serviette, et je savais que si j'avais une éjaculation, ça se verrait tout de suite à cause des taches très évidentes sur le drap, sur mon ventre, ou sur cette chemise que je portais, hors, chaque matin, une aide-soignante venant me faire ma toilette, et j'aurais été très gêné qu'elle se rende compte de ce qui s'était passé, que je m'étais masturbé, et que ça avait tout taché, mon drap, et laissé des traces sur mon ventre...même si elle n'aurait rien dit ni fait une remarque quelconque. Le pire, est que même si j'avais eu un mouchoir - tissu ou papier - à ma disposition, qu'en aurais-je fait une fois tout mouillé et replié plein de sperme ?...impossible de me lever pour aller le jeter dans une corbeille quelconque, ou dans les toilettes, et il n'y avait pas de tiroir sur la table de chevet ! j'aurais donc dû le laisser comme ça, là, odorant, sur la table, à la vue de tout de personnel médical qui passait régulièrement me voir.
Si ma femme avait pu venir, la connaissant, elle aurait peut-être, peut-être ! consenti à bien vouloir comprendre ma situation si je lui avais dit qu'il fallait que j'éjacule, mais n'aurait à aucun prix voulu prendre le risque de se faire surprendre en train de me masturber, dans son esprit, cela aurait été la honte pour elle; d'autrepart, elle n'était pas du genre à me comprendre au point de jouer de la situation pour m'exciter en me tentant un mouchoir pour une sorte de plaisir diffus à me voir me masturber sous ses yeux, surveillant la porte de la chambre, avant de me débarrasser du petit mouchoir bien rempli !
J'ai donc dû rester comme ça, avec cette envie lancinante en moi, avec la crainte même d'avoir une éjaculation nocturne, même si je savais qu'il y avait peu de risques qu'à l'âge que j'avais alors cela arrive. Je sentais que régulièrement, sous l'effet du désir, un abondant précum que je sentais sortir tout seul, sans que je me touche, m'excitait fortement, jusqu"à me décalotter entièrement; parfois, je sentais nettement une grosse goutte de sperme couler du méat de mon gland, que je venais vite étaler contre le drap avec ma main pour que cela ne se voit pas.
Paradoxe des inconvénients d'être en bonne santé à l'hôpital en quelque sorte ! Comme j'avais envie de pouvoir me masturber tranquillement, longuement, savamment, pour le plaisir, avant de me faire jouir pour me vider et être bien après...jusqu'à la prochaine envie. Surtout que ma verge durcissait vilainement aux idées érotiques, voire pornographiques que la frustration où j'étais entretenait. Et c'était sans compter d'après quelques jours de ce sort, j'ai fini par me rendre compte qu'un certain blocage intime faisait que je n'avais pas envie d'aller aux toilettes...et bien vite, j'ai imaginé qu'on allait me donner un lavement ! Depuis mon adolescence j'avais l'habitude de me livrer à des jeux solitaires avec une poire à lavement en vue d'obtenir certaines sensations agréables et tout à fait particulières, que l'on dissimule en général à son entourage, et là, cette idée de ce qu'on risquait de me faire un jour, que je ne découvrirais en plus certainement qu'au dernier moment, quand on rentrerait dans la chambre poussant un chariot avec certains instruments destinés au lavement, cette idée n'a pas arrangé ma situation sexuelle, et mes érections sont restées encore plus régulières...
J'imaginais dans mon désir, qu'un jour, on prenne en compte pour les patients, hommes et femmes, les handicapé(e)s, de telles situations d'inconfort, et j'inventais deux moyens possibles.
Un premier.
J'aurais beaucoup aimé le fantasme de ma femme prenant son téléphone pour s'inquièter de soucis de ce genre, dans ma solitude, ayant alors le choix de me dire qu'elle allait " M'envoyer quelqu'un pour " ça " ". Elle aurait alors téléphoné à une société de la région de l'hôpital où j'étais, une société un peu particulière, mais reconnue et autorisée légalement, pour y acheter un service qu'elle aurait dû définir assez précisément. Et le lendemain, ou l'après-midi même, une femme serait venue dans ma chambre. Cette visite, codifiée par l'usage, lui permettrait de fermer au verrou la porte de la chambre pour rester isolée avec moi. Ma femme lui aurait dit que j'avais besoin d'éjaculer, et que j'avais besoin d'une aide pour ça, qu'elle voulait que je le fasse par masturbation uniquement. " Bon, on va voir ça " aurait-elle dit en repliant de sa propre autorité le drap, puis en ramenant ma chemise vers le haut pour dégager mon ventre...lente masturbation, "pour voir ", palpation des bourses..." Bien : on va vider tout ça ! vous en avez besoin c'est vrai, c'est bien ce que disait votre femme "...Je suis masturbé doucement..." Vous savez vous retenir un peu ? ça sera mieux, je serais sûre de bien vous vider, comme ça, vous pourrez attendre trois à quatre jours avant que j'aie à repasser vous voir ". Assise sur une chaise tout à côté de mon lit, elle me préparerait alors aux conséquences de l'éjaculation qu'elle allait me faire avoir en étalant sur moi, pour ne pas tacher, une sorte de serviette en papier fabriquée aux bonnes mesures, mais contrairement à l'habituelle couleur blanche utilisée pour les soins dans le milieu médical, le papier serait de couleur café foncé. " J'aime bien me rendre compte de ce qu'il y avait à faire sortir quand je dois venir , dirait-elle, là, ça se voit bien "...La séance commencerait alors, par une masturbation lente, appliquant plusieurs techniques pour savoir celle qui me conviendrait le mieux, à en juger par mes réactions intimes, et les réponses aux questions qu'elle me poserait à ce sujet. En tournant la tête, je réaliserais avoir une vue imprénable sur les cuisses écartées et nues de l'aide, assise au bord de sa chaise pour assurer sa masturbation. " Vous pouvez regarder ! au contraire même, c'est mieux pour vous. On m'a dit que c'est cette couleur-là qui vous plaît pour la culotte d'une femme...". La culotte était minuscule, mais de la couleur qui me fait tant d'effet, et l'aide veillait à rester les cuisses bien ouvertes. Elle ajouta : " Si vous savez vous retenir un peu, dans quelques minutes, vous pourrez toujours regarder, mais je retirerai ma culotte; je suis rasée, je resterai les jambes bien ouvertes, et vous verrez parfaitement entre mes cuisses..."
Le second moyen.
Une infirmière viendrait discuter un peu avec vous : " Tout va bien ?..vous n'avez pas de problèmes particuliers, de gênes ?...vous vous masturbez ? vous avez des érections qui vous gênent ?..."..."...ah oui ! je vois...vous sentez que vous avez vraiment besoin d'éjaculer ? ". Dans l'affirmative, il y aurait deux solutions pour apaiser un homme, ou une femme...
...mais la description de telles dispositions attire-t-elle certaines et certains d'entre nous ?...