Masturbation à l'hôpital ?

Les séjours à l’hôpital ne sont jamais agréables, mais on doit parfois aussi y aller pour des maladies ou accidents bénins et, si l’on y reste plusieurs jours, on peut quand même avoir des besoins sexuels.

Comment les satisfaire ? Se masturber ? Alors qu’on n’est pas seul dans la chambre ? Trouver du personnel médical compréhensif ?

Très bonne question. Pour ma part, je suis pas resté assez longtemps pour avoir ce genre de question. Mais je pense que je me serais masturbé dans les toilettes pour éviter de laisser des taches dans les draps.

Je ne suis heureusement allé qu'une seule fois à l'hôpital pour 3 nuits. J'étais anxieux le premier jour mais beaucoup plus calme la troisième nuit, et j'ai ressenti le besoin de me masturber (déformation professionnelle d'un futur modérateur de zity).

J'étais seul et on peut éviter les taches dans les draps avec un mouchoir. Seul souci, une infirmière aurait pu arriver à l'improviste avec un suppositoire...

Ce n'est pas lié directement au sujet, mais une fois j'ai dormi 5 nuits chez des amis ... où il était clair et net que je ne pouvais pas me masturber.Je vous garantis que les 2 dernières nuits ont été très douloureuses et dès que j'ai pu le faire ça était aussi libératoire que d'aller uriner.

Une autre anecdote hors-sujet : vous savez peut-être que le service militaire est toujours obligatoire en Suisse et qu’il faut retourner faire régulièrement des « cours de répétition ». À l’époque, c’étaient 3 semaines chaque année entre 20 et 30 ans, pas l’endroit idéal pour une vie sexuelle épanouie…

Un jour, j’étais seul toute la journée sur un chemin du Jura, pour arrêter les promeneurs avant la zone de tir. Je n’ai personne vu et la seule distraction était l’écoute de la police française qui avait la même fréquence radio. J’ai soudain eu l’envie de me masturber, après quelques jours d’abstinence, vous imaginez donc un militaire en treillis, le fusil d’assaut sur le ventre et la braguette ouverte…

Excellent, Jules !!!

Un poil qui fait le coup de feu , très bien tu n'as pas lâché ton engin ...

J'ai lu dans une gazette au début des vibromasseurs , une jeune femme qui utilisait son vibromasseur la nuit à l’hôpital , cet appareil faisait énormément de parasites et perturbait joyeusement les appareils médicaux de contrôles aux alentours de la chambre de la patiente .

Il y a 15 ans, hospitalisé après un accident qui a nécessité la pose de matériels dans la jambe et où j'y ai passé quelques semaines. Après les jours "fatidiques" (douloureux), quand on se retrouvait le soir avec ma femme (après les heures de visite), on se bécotait puis elle me masturbait ou me faisait une fellation; tout en sachant que l'infirmière pouvait entrer d'un moment à l'autre, ce qui mettait du piment!

Je lis que je ne suis pas le seul a avoir eu une ( à plusieurs reprises ) relation sexuelle dans une chambre d’hôpital avec ma compagne.

Je ne peux que participer à ce sujet pour avoir été des "deux côtés de la barrière" dans le milieu hospitalier. J'ai en effet travaillé pendant huit années en hôpital public et privé avant de changer d'orientation professionnelle.

Pour en venir à l'essentiel, j'ai fait la fâcheuse expérience de coliques néphrétiques à partir de l'âge de 20 ans... lors de ma deuxième hospitalisation, le calcul engagé ne voulant pas sortir tout seul, il a fallu que je passe au bloc opératoire pour qu'on m'enlève le vilain cailloux. Je précise que j'avais choisi une clinique privée dans laquelle je n'avais jamais trainé mes guêtres. A mon réveil, j'ai eu la surprise de découvrir un visage familier, celui de Christine, une infirmière anesthésiste avec qui j'ai travaillé dans une autre clinique. Encore un peu dans les vapes, je comprends que j'ai été son premier patient au bloc dans son nouveau lieu de travail !!! Ma stratégie d'évitement des collègues de boulot avait lamentablement foirée. Voyant que j'étais bien vaseux au réveil, elle m'assène "Tu as une sonde urinaire avec une poche... c'est moi qui te l'a posée" avec un sourrire en coin. Je ne sais pas si il y a un lien de cause à effet, mais dans les secondes qui ont suivi, ma seule réponse a été de vomir dans le haricot (c'est ainsi qu'on appelle le récipient prévu à cet effet) qu'elle a vite été cherché en voyant ma tête.

Je suis resté quelques jours hospitalisé et elle est venue me rendre visite une fois par jour. Le dernier jour de mon hospitalisation, elle est très gentiment arrivée avec une boîte de chocolats (elle savait que c'était mon péché mignon). Sauf que très vite, elle est partie sur des questions qui apparemment étaient professionnelles mais qui se sont avérées être le témoin d'une petite idée derrière la tête.

Elle s'est donc inquiétée de savoir si j'avais bien supporté la sonde qu'elle m'avait posée avec soin. Je lui ai répondu que si je n'avais rien senti à la pose (et pour cause, j'étais encore sous l'effet de l'anesthésie générale), le retrait me laissait un souvenir "cuisant".

Christine avait toujours eu un certain pouvoir sur moi, avec ses yeux bleus qui me faisait redevenir un petit garçon sans défense. Elle le savait et elle en avait toujours joué pendant que nous travaillions ensemble. Lors de cette dernière visite, j'étais dans le même état et elle a tout fait pour que ce soit le cas. Sans que je ne puisse rien dire, elle était déjà en train de me tripoter le paquet et de dire : "visiblement, le repos imposé de ce côté-là t'a rendu bien sensible et vu ce que je sens sous mes doigts, ça ne ne te laisse pas indifférent". C'est vrai que Christine m'avait toujours excité, mais de là à franchir le pas avec elle il y avait un monde pour moi, surtout dans un contexte professionnel.

Sans que j'ai plus de temps pour réaliser pleinement ce qui était en train de se produire, elle m'attrapa la main et me dit "Il n'y a pas de raison que je sois la seule à te tripoter", et me fit glisser les doigts jusqu'à son entrejambe, sous sa jupe ou je comprends qu'elle n'a pas de culotte et découvre son sexe chaud, gonflé et bien humide.

Un moment de lucidité me fait penser qu'on peut être surpris à tout moment et cette idée me fait retomber immédiatement ma crampe. Je lui dis "Mais n'importe qui peut entrer à tout moment", aussi sec, elle me répond qu'elle a choisi de venir au moment d'une réunion de service qui va durer une bonne demi-heure. Rassuré et n'ayant pas vraiment le choix devant sa prise en main, l'agréable sensation de mes doigts explorant de plus en plus profond sa vulve me fit revenir plein d'ardeur. De toute manière, cela faisait quelques jours que je n'avais pas eu la moindre activité sexuelle, alors je savais que je ne tiendrai pas longtemps avant de jouir, d'autant qu'elle savait y faire !

C'est effectivement ce qui s'est passé. Me faire masturber par Christine en même temps qu'elle prenait du plaisir avec mes doigts m'a mené à l'éjaculation en quelques minutes. J'ai eu beau essayer de me retenir, Christine a bien senti que mon excitation atteignait son paroxysme. Je la soupçonne même après coup de l'avoir fait exprès pour générer une certaine frustration de mon côté. Sa dernière phrase avant de sortir de la chambre allait dans ce sens : "La prochaine fois, si il y en a une, je te laisserai peut-être venir en moi, mais ce n'est pas gagné." Je la regardais m'asséner ses derniers mots en se tripotant le sexe avec ses doigts recouverts de mon sperme. Puis elle a baissé sa jupe et elle est partie, me laissant seul dans ma chambre pour les quelques heures qu'il me restait avant d'être "libéré".

Je n'ai jamais plus revu Christine et je n'ai pas cherché à la revoir. Cet épisode restera tout même un sacré souvenir de mon passage en milieu hospitalier côté patient.

Un mot : magnifique ! C'est mon trip, bravo !

J'ai, moi aussi, peu eu à séjourner en hôpital; mais la fois où j'ai dû y rester près de 15 jours !...victime d'un accident, aux conséquences à surveiller sur la colonne vertébrale, ( fracture quand même ) a été très pénible pour ma libido, bien épanouie pour ma quarantaine à cette époque.

Et pour cause : je devais rester allongé sur le dos uniquement pendant tout ce temps, avec interdiction de me lever ou même de me placer sur le côté. Hormis mon traumatisme, non douloureux si je ne bougeais pas, tout allant bien, n'ayant aucune autre blessure. Mais j'étais loin de chez moi, et seul, ma femme ne pouvant venir...

Dés le deuxième jour, allongé sous mon drap dans ce vêtement très particulier qu'on vous fait porter à l'hôpital, me sentant mieux et plus à l'aise dans la chambre où j'étais seul, de fortes érections me sont vite venues...Je mouille facilement, et abondamment, et j'ai évité de me toucher trop. Mais dés le jour suivant, mon envie d'éjaculer est devenue très perturbante, favorisant mes érections et mes envies de masturbation; je sentais bien en moi tout ce sperme que j'avais, et qui ne demandait qu'à sortir.

Mais j'étais seul, et je n'avais aucun mouchoir dans ma table de chevet, aucun sopalin ou mouchoir en papier pour y vider mon sperme, rien ! et aucune possibilité de m'en procurer, ou d'avoir une serviette, et je savais que si j'avais une éjaculation, ça se verrait tout de suite à cause des taches très évidentes sur le drap, sur mon ventre, ou sur cette chemise que je portais, hors, chaque matin, une aide-soignante venant me faire ma toilette, et j'aurais été très gêné qu'elle se rende compte de ce qui s'était passé, que je m'étais masturbé, et que ça avait tout taché, mon drap, et laissé des traces sur mon ventre...même si elle n'aurait rien dit ni fait une remarque quelconque. Le pire, est que même si j'avais eu un mouchoir - tissu ou papier - à ma disposition, qu'en aurais-je fait une fois tout mouillé et replié plein de sperme ?...impossible de me lever pour aller le jeter dans une corbeille quelconque, ou dans les toilettes, et il n'y avait pas de tiroir sur la table de chevet ! j'aurais donc dû le laisser comme ça, là, odorant, sur la table, à la vue de tout de personnel médical qui passait régulièrement me voir.

Si ma femme avait pu venir, la connaissant, elle aurait peut-être, peut-être ! consenti à bien vouloir comprendre ma situation si je lui avais dit qu'il fallait que j'éjacule, mais n'aurait à aucun prix voulu prendre le risque de se faire surprendre en train de me masturber, dans son esprit, cela aurait été la honte pour elle; d'autrepart, elle n'était pas du genre à me comprendre au point de jouer de la situation pour m'exciter en me tentant un mouchoir pour une sorte de plaisir diffus à me voir me masturber sous ses yeux, surveillant la porte de la chambre, avant de me débarrasser du petit mouchoir bien rempli !

J'ai donc dû rester comme ça, avec cette envie lancinante en moi, avec la crainte même d'avoir une éjaculation nocturne, même si je savais qu'il y avait peu de risques qu'à l'âge que j'avais alors cela arrive. Je sentais que régulièrement, sous l'effet du désir, un abondant précum que je sentais sortir tout seul, sans que je me touche, m'excitait fortement, jusqu"à me décalotter entièrement; parfois, je sentais nettement une grosse goutte de sperme couler du méat de mon gland, que je venais vite étaler contre le drap avec ma main pour que cela ne se voit pas.

Paradoxe des inconvénients d'être en bonne santé à l'hôpital en quelque sorte ! Comme j'avais envie de pouvoir me masturber tranquillement, longuement, savamment, pour le plaisir, avant de me faire jouir pour me vider et être bien après...jusqu'à la prochaine envie. Surtout que ma verge durcissait vilainement aux idées érotiques, voire pornographiques que la frustration où j'étais entretenait. Et c'était sans compter d'après quelques jours de ce sort, j'ai fini par me rendre compte qu'un certain blocage intime faisait que je n'avais pas envie d'aller aux toilettes...et bien vite, j'ai imaginé qu'on allait me donner un lavement ! Depuis mon adolescence j'avais l'habitude de me livrer à des jeux solitaires avec une poire à lavement en vue d'obtenir certaines sensations agréables et tout à fait particulières, que l'on dissimule en général à son entourage, et là, cette idée de ce qu'on risquait de me faire un jour, que je ne découvrirais en plus certainement qu'au dernier moment, quand on rentrerait dans la chambre poussant un chariot avec certains instruments destinés au lavement, cette idée n'a pas arrangé ma situation sexuelle, et mes érections sont restées encore plus régulières...

J'imaginais dans mon désir, qu'un jour, on prenne en compte pour les patients, hommes et femmes, les handicapé(e)s, de telles situations d'inconfort, et j'inventais deux moyens possibles.

Un premier.

J'aurais beaucoup aimé le fantasme de ma femme prenant son téléphone pour s'inquièter de soucis de ce genre, dans ma solitude, ayant alors le choix de me dire qu'elle allait " M'envoyer quelqu'un pour " ça " ". Elle aurait alors téléphoné à une société de la région de l'hôpital où j'étais, une société un peu particulière, mais reconnue et autorisée légalement, pour y acheter un service qu'elle aurait dû définir assez précisément. Et le lendemain, ou l'après-midi même, une femme serait venue dans ma chambre. Cette visite, codifiée par l'usage, lui permettrait de fermer au verrou la porte de la chambre pour rester isolée avec moi. Ma femme lui aurait dit que j'avais besoin d'éjaculer, et que j'avais besoin d'une aide pour ça, qu'elle voulait que je le fasse par masturbation uniquement. " Bon, on va voir ça " aurait-elle dit en repliant de sa propre autorité le drap, puis en ramenant ma chemise vers le haut pour dégager mon ventre...lente masturbation, "pour voir ", palpation des bourses..." Bien : on va vider tout ça ! vous en avez besoin c'est vrai, c'est bien ce que disait votre femme "...Je suis masturbé doucement..." Vous savez vous retenir un peu ? ça sera mieux, je serais sûre de bien vous vider, comme ça, vous pourrez attendre trois à quatre jours avant que j'aie à repasser vous voir ". Assise sur une chaise tout à côté de mon lit, elle me préparerait alors aux conséquences de l'éjaculation qu'elle allait me faire avoir en étalant sur moi, pour ne pas tacher, une sorte de serviette en papier fabriquée aux bonnes mesures, mais contrairement à l'habituelle couleur blanche utilisée pour les soins dans le milieu médical, le papier serait de couleur café foncé. " J'aime bien me rendre compte de ce qu'il y avait à faire sortir quand je dois venir , dirait-elle, là, ça se voit bien "...La séance commencerait alors, par une masturbation lente, appliquant plusieurs techniques pour savoir celle qui me conviendrait le mieux, à en juger par mes réactions intimes, et les réponses aux questions qu'elle me poserait à ce sujet. En tournant la tête, je réaliserais avoir une vue imprénable sur les cuisses écartées et nues de l'aide, assise au bord de sa chaise pour assurer sa masturbation. " Vous pouvez regarder ! au contraire même, c'est mieux pour vous. On m'a dit que c'est cette couleur-là qui vous plaît pour la culotte d'une femme...". La culotte était minuscule, mais de la couleur qui me fait tant d'effet, et l'aide veillait à rester les cuisses bien ouvertes. Elle ajouta : " Si vous savez vous retenir un peu, dans quelques minutes, vous pourrez toujours regarder, mais je retirerai ma culotte; je suis rasée, je resterai les jambes bien ouvertes, et vous verrez parfaitement entre mes cuisses..."

Le second moyen.

Une infirmière viendrait discuter un peu avec vous : " Tout va bien ?..vous n'avez pas de problèmes particuliers, de gênes ?...vous vous masturbez ? vous avez des érections qui vous gênent ?..."..."...ah oui ! je vois...vous sentez que vous avez vraiment besoin d'éjaculer ? ". Dans l'affirmative, il y aurait deux solutions pour apaiser un homme, ou une femme...

...mais la description de telles dispositions attire-t-elle certaines et certains d'entre nous ?...

Comme ont dit quand ont est à l'hôpital ou en clinique privé ont ne sais comment va y coucher soit seul ou à deux dans deux lits différents, donc c'est très difficile à le faire il n'y a que les toilettes ou quand le voisin n'est pas là ou sous la douche, moi j'y suis resté 10 jour pour une phlébite et là impossible d'y mettre le pied par terre car le caillot peut remonté jusqu'au cœur et ensuite par les poumons et là vous êtes mort, quand le matin je devais faire ma toilette au lit ainsi que de me raser, là j'en profitais pour me masturbé en y faisant attention en cas que quelqu'un entre et me vois en mauvais posture, pour l'éjaculation je l'avalais sans souci. Et ceci pas tous les jours car pas grand chose à récupérer. le plus gênant pour moi a été un des lavements que j'ai reçu dans le même hôpital là j'ai eu droit à l'érection car reçu par une jolie infirmière très gentille mais sans soucis pour l'infirmière, elles ont l'habitude de voir cette état de fait.

Un petit texte sur le sujet...

http://www.zity.biz/index.php?mx=blog;ox=showpage;pg=2877

Suite a une hernie discale S4 - S5 je suis resté sans aucune activité sexuelle pendant plusieurs mois. Comme je ne prenais aucun anti-douleur pour protéger mon estomac, à chaque mouvement mal calculé la douleur me rappelait à l'ordre. Sans souvenir d'une gâterie de Madame durant cette période, pas le souvenir non plus d'avoir été en manque de sexualité. La première fois que j'ai conduit la voiture après cette longue immobilisation forcée la gendarmerie nationale m'a offert un PV pour excès de vitesse, pas terrible pour 15 km/h en excès.

Parallax... Et maintenant...? Où en es tu...?

Il n'a plus de permis !

😁

(Désolé... Je sors -> )

Digit... S'il lui reste son frein à main... 😄