Comme vous êtes de passage, j'en profite pour répondre à votre demande de Souvenirs...
Devant la Fenêtre…des Voisins...
Quand nous avons finis par vivre ensemble Mondoite et moi, après plus d'un an de zizi-pan-pan sauvages et variés, de coïts aventureux itinérants, n'ayant la nuit pour alcôves à nos saillies de débauchés, que le cimetière, les parcs et jardins de la capitale, les caves et garages d'immeubles et les logements vacants de nos connaissances parties en week-end ou en vacances, nous avons trouvés un petit deux pièces au deuxième étage dans un vieil immeuble d'une vieille rue animée du quatorzième…
Deux fenêtres donnaient sur une cour de cinq mètres sur cinq, bordée de façades sur trois côtés, le quatrième étant le pignon d'un immeuble en béton, chose typiquement parisienne, la cour était fermée par le toit d'un peep-show qui ce l'était approprié et les animations musicales ventant les spectacles en cabines empêchaient les locataires de dormir jusqu'à vingt trois heures, on s'en foutait un peu à l'époque, ce n'était pas notre créneau de sommeil, ce qui nous amenait souvent à fumer une clope à la fenêtre, surtout en période de chaleurs, matant ce qui ce passait chez les voisins…
Et c'est justement à un de ces moments de fumette, que mon regard est tombé sur un spectacle fort intéressant, une fenêtre, lumière allumée au premier étage, un couple nu de jeunes de notre âge sur un matelas, l'homme était allongé sur le dos, son amie à genou à son côté lui parlait en caressant son sexe déjà en érection, elle alternait la variété des attouchements sans le décalotter, massage doux de la hampe et du gland, caresses des bourses et pincement du prépuce, j'étais nu également, la chaleur de juillet, j'en ai bandé de suite, c'est tellement rare d'assister à un tel spectacle sans l'avoir recherché…
Mondoite, qui sortait des wc, a vue de suite mon état, effarée que je puisse rester à la fenêtre avec la bite en l'air, elle m'a demandée, sur le ton du reproche, si ça n'allait pas mieux dans ma tête, je lui ai dis de venir voir, elle était nue aussi et hésitait à se montrer, j'ai insisté en lui disant que notre lumière était éteinte et qu'elle ne regretterait pas le spectacle, elle a cédée, se plaçant dans le coin de l'encadrement, à ce moment là, la jeune femme se penchait pour prendre la verge de son ami en bouche, Mondoite à eu un pas de recul, comme prise en faute, prude qu'elle était encore à l'époque dans certaines situations, autant elle aimait le sexe imaginatif, qu'autant elle refusait les choses qui impliquaient d'autres personnes…
Elle n'en revenait pas que l'on puisse s'exhiber ainsi pendant l'acte, nu, en pleine lumière et devant la fenêtre, mais elle refaisait un pas en avant pour regarder encore, la femme avait décalottée son amant avec la bouche et le suçait en lui caressant l'entre-jambe, Mondoite ne reculait plus, elle semblait hypnotisée par le spectacle, c'est là que j'ai passé une main entre ses cuisses pour toucher sa vulve, elle mouillait déjà et ne refusa pas mes caresses, elle prit même ma verge en main, mon cœur battait, c'était la première fois que je faisais cela et elle aussi, elle n'aimait pas regarder les pornos mais n'était pas insensible à la situation en réel, un peu honteuse, elle découvrait une face cachée de sa libido…
La vision suivante dépassa en tous points ce à quoi l'on pouvait s'attendre, le jeune homme venait de se retourner à quatre pattes et lui tendait ses fesses, sans aucune hésitation, elle se mit à lui caresser l'entre-fesses de ses doigts puis de la langue, Mondoite me regarda les yeux écarquillés en disant, - Ho la vache…!!! Tu as vus…?!, bien sur que je voyais, j'en durcissais encore plus, quand on est jeune, on peut croire que l'on est les seuls à pratiquer secrètement ce genre de chose très intimes et Mondoite découvrait que non, elle voyait une jeune femme comme elle, lécher l'anus d'un jeune mec, comme elle me le faisait, mais eux avaient la lumière allumée, nous laissant admirer la suave et érotique feuille de rose d'un couple que nous ne connaissions pas…
Comme par mimétisme, Mondoite passa ses doigts humides de salive sur mon petit trou tout en continuant à me masturber, les miens sur sa vulve récoltaient de sa mouille pour lui en lubrifier l'œillet, nous en étions aux caresses anales préliminaires quand la jeune femme a fait pénétrer son index dans l'anus de son ami, Mondoite en a fait de même avec le mien et mon pouce à légèrement forcé l'entrée du sien pour y trouver sa place, nous étions dans un état second d'excitation palpitante, nous ne nous rendions même plus compte que nous étions nus devant la fenêtre ouverte à nous masturber devant et derrière, tels des voyeurs lubriques et cochons…
La jeune femme masturbait d'une main le sexe bandé de son homme, tout en le sodomisant de son doigt, puis elle a accélérée le va et viens digital en laissant couler de sa bouche un filet de salive sur l'orifice, c'était pour y ajouter son majeur, nous aurions aimés entendre les gémissements de son ami sous cette nouvelle présence, mais leur fenêtre était fermée, Mondoite commençait à gémir fortement, moi je sentais que je venais, le summum a été de la voir éjaculer de longs traits de sperme quand il a jouit, nous avons pris notre pied presque en même temps, Mondoite inondant le sol et moi arrosant le bord de la fenêtre…
Ensuite, nos jeunes voisins ont éteins la lumière, nous en étions frustrés, la jeune femme n'ayant pas été honorée, peut-être allaient-ils le faire dans le noir, par la suite, c'est devenus une habitude en rentrant, de ne pas allumer et de jeter un regard vers chez eux, nous avons eu le droit plusieurs fois à leurs déshabillages mais rien de plus, ils éteignaient, longtemps, nous nous sommes demandés s'ils nous avaient vus et s'étaient laissés regarder pour un soir, par délire exhibitionniste ou attendant que nous venions frapper à leur porte pour faire plus amples connaissances de nos corps respectifs, Mondoite était une jeunette à l'époque, pas du tout prête pour ça, moi non plus d'ailleurs, cela reste un petit regret mais un souvenir fort…