J'étais chez une amie. Elle m'avait invité chez elle pour déjeuner un dimanche. Déjeuner terminé, nous rentrons faire une petite sieste dans son lit. Je me réveille étouffée pour la voir à côté de moi toute rouge et chaude, je lui demande si elle veut bien que j'ouvre la fenêtre, elle me fait non avec sa tête, elle a froid. Je touche son front, je la trouve bouillonnante.
'Aie! Apparemment tu as de la fièvre!'
'Oui je pense... j'ai un peu mal à la tête et au ventre, je pense que j'ai trop mangé.'
'Tu veux bien essayer d'aller aux toilettes?'
'J'ai déjà essayé quand tu dormais, mais j'ai pas réussi. Ne t'inquiètes pas, tu peux redormir, je vais me calmer.'
'Je vais te chercher un verre d'eau, ça t'aidera'
Je reviens avec le verre d'eau, elle est dans le lit toute rouge, elle frissonne, elle ressemble à un petit enfant qui a mal et qui demande d'être soigné.
'Veux-tu bien prendre ta température? Je pense que tu as au moins 38 degré'
Elle ne répond pas mais je vois qu'elle n'est pas trop à l'aise par rapport à ma question. Elle m'avoue qu'elle ne sait pas prendre sa température et que c'est ma mère qui s'en occupe, mais c'est toujours très inconfortable car elle ne sait jamais relâcher son anus et donc elle a très mal au moment de l'insertion. Je lui explique qu'il y a d'autres façons de prendre sa température, et puisqu'elle a déjà 19 ans (moi 24 ans) elle peut ne pas la prendre par voie rectale.
'Tu sais ma mère est très autoritaire, elle refuse que je la prenne toute seule. Une fois j'ai acheté un thermomètre buccal pour moi, elle l'a découvert et elle me l'a jeté en me grondant car pour elle seul le thermomètre rectal est fiable.'
'Tu veux bien que j'appelle ta mère pour te la prendre, je suis vraiment inquiète pour ta santé.'
'Non, surtout pas ça, je ne veux pas qu'elle le sache... je serais bien je t'assure.'
'Ecoutes, si tu veux, je peux t'aider...'
Elle me regarde un peu surprise et avec beaucoup de peur.
'Ne t'en fais pas, je ferais ça doucement et tu n'auras pas mal, j'ai de la crème je m'en servirais pour que l'insertion soit plus douce.'
Elle refuse toujours, mais vue que j'étais vraiment inquiète je pris un ton plus sérieux.
'Allez arrêtes de faire le bébé, ça ne prendra que quelques minutes.'
Avec une voix qui tremble elle me répond 'ok, mais tu le feras doucement comme promis.'
Je vais prendre le thermomètre de son tiroir là où elle me l'a indiqué. Je cherche la vaseline de mon sac.
'Alors tu es prête? Enlèves ton pantalon et ta culotte et mets-toi dans la position que tu préfères. D'ailleurs comment ta maman te le fais?'
'Je suis d'habitude allongée sur mon ventre', me dit-elle en baissant avec beaucoup de timidité son pantalon et en gardant sa culotte.
'Allez hop, sur ton ventre! Tu veux bien baisser ta culotte? Je peux le faire moi-même si tu veux... .’ (Utilisant un ton un peu moqueur pour la détendre)
Elle me regarde en me faisant comprendre que ce n'était pas agréable pour elle et qu'il vaut mieux que le fasse doucement sinon elle me donnerait des coups de pieds. Je la rassure mais culotte toujours en place et elle sur son ventre.
J'emploie un ton plus doux et calme, je lui dis à voix basse, 'Allez ma chère je vais préparer le thermomètre. J'applique un peu de vaseline pour que ça rentre plus facilement, tu verras ça va bien se passer. Alors, moi je suis prête et toi?'
Elle me regarde comme un petit enfant doux, elle verse deux larmes chaudes. Je lui caresse les cheveux et je baisse doucement sa culotte, elle ne résiste pas. Je pose ma main sur ses fesses pour les écarter, elle sursaute.
'Calmes-toi je n'ai rien fait encore, je n'introduirais pas le thermomètre sans te le dire, c'est promis.'
Elle respire profondément. Je lui écarte les fesses avec mes deux mains, elle est bien tendue.
'Tu vas te relâcher autant que possible, je sais que ce n'est pas facile pour toi. J'ai mis un peu de vaseline sur mon doigt que je vais appliquer sur ton petit trou, n'aies pas peur c'est juste mon doigt que je fais passer, c'est pour te lubrifier l'anus.'
'Maman ne m'as jamais fait ça...'
'Oui, tu verras, l'insertion sera plus facile.' Je lui masse un peu l'anus qui se relâche progressivement. Je profite pour insérer le thermomètre. 'Allez je compte jusque trois et j'introduis le thermomètre. 1.. non ne refermes pas tes fesses (je l'aide en les ouvrant plus avec mes mains), allez 1..2..3', je place le bout du thermomètre et je commence à l'introduire, elle commence à bouger et à pleurer:
'Arrêtes, s'il te plait, je ne veux pas, enlèves-le!! Aie tu me fais mal.'
J'arrête de l'introduire, je lui dis qu'il déjà en place mais que j'ai besoin de l'enfoncer un tout petit peu plus, je lui demande de se relaxer et je l'enfonce.
'Allez on attend 3 minutes, je suis fière de toi chérie, tu verras ça passera vite.'
Elle pose sa tête dans le coussin comme si elle ne voulait plus me voir tellement elle avait honte et peur. Elle bouge ses fesses pour le faire sortir, je la tiens avec un peu de force. 'Eh, arrêtes, encore 2 minutes, si tu bouges je vais devoir tout recommencer.' Elle arrête de bouger, je lui fais des câlins sur ses fesses avec une main en tenant le thermomètre avec l'autre pour qu'il ne ressorte pas.
'S'il te plaît enlèves-le, je ne peux plus supporter', elle me regarde avec des yeux suppliant.
Je l'embrasse sur le front. '30 secondes ma grande.'
J'ouvre ses fesses de nouveau et je fais ressortir doucement le thermomètre, elle bouge dans tous les sens pour me montrer son inconfort. Je place le thermomètre vers la lumière pour le lire, il affiche 39.5 degrés.
'Oh! Mais ta température est très élevée! Il faut que tu prennes un médicament.' J'essuie le thermomètre avec de l'alcool, il est bien sale. 'Mais, est-ce que tu es constipée?'
Toute rouge elle m'explique qu'elle n'est pas passée aux toilettes depuis trois jours, et aujourd’hui elle a trop mangé et se sent vraiment pleine. Elle commence à remettre sa culotte, je l'interromps 'Hé, on n’a pas terminé, il faut qu'on s'occupe de cette constipation.'
'Qu’est-ce que tu veux dire par ça?'
'Il faut que tu prennes un suppositoire à la constipation. Vous en avez à la maison?'
'Oh non! Surtout pas ça!' Elle commence à pleurer de nouveau.
'Nous le ferons même si tu pleures, la fièvre c'est sérieux! Tu ne veux pas que j'appelle ta mère?!'
'Non! Bon... d'accord.'
Je vais dans la cuisine, toute la famille fait la sieste, tout est calme. Je prends deux suppositoires à la glycérine et je retourne dans la chambre. Elle avait bien remis sa culotte et s'est recouverte avec les draps.
'Mais pourquoi deux? Tu ne veux pas me mettre deux n'est-ce pas?'
'Si tu auras deux parce que ton ventre est trop plein.' J'enlève la couverture et lui touche le ventre pour lui montrer qu'il est bien dur. 'Allez, tu enlèves ta culotte et tu te couches sur le dos et tu relèves tes genoux sur ta poitrine.'
'Mais je ne suis pas un bébé.'
'Pas de négociation, tu feras comme je le demande.'
Elle le fais avec beaucoup de réticences, elle est grincheuse et parles du n'importe quoi à voix basse. Couchée sur son dos, la culotte baissé, je me rapproche d'elle et je lui enlève sa culotte entièrement et je la dépose sur le lit. Je lui remontes ses genoux, elle commence à pleurer et elle cache son anus avec sa main pour m'interdire de lui introduire les suppositoires. Je ne lui prête pas attention, j'ouvre les deux suppositoires, j'applique de la vaseline sur mon doigt et je me redirige vers son petit trou. Je lui enlève sa main en lui expliquant doucement ce que je vais faire pour la calmer et pour ne pas la surprendre.
'Voilà alors je vais appliquer de la vaseline sur ton petit trou, Cette fois, je vais en mettre de dehors et de dedans, c'est à dire je vais introduire un petit peu mon doigt dans ton anus... .’ Son cri m'interrompt. Je lui fais 'Shuuuttt!' avec un ton très ferme. Elle essaie de me tenir la main pour enlever mon doigt, je l'enlève pour lui administrer les suppos. Je prends le premier je pose son bout pointu sur son anus et je commence à l'introduire, elle fait couler des larmes et elle renferme son anus m'empêchant de pousser le suppo. Je pousse ses genoux d'avantage sur sa poitrine ce qui fait ouvrir son trou et j'enfonce rapidement le suppo, elle boude et bouge dans tous les sens. Elle essaie de se relever pour fuir le second, je la retiens avec force, elle est déjà assise et elle veut se lever. Je lui permet de se lever en lui disant que je vais lui introduire le suppo dans une autre position qui sera peut-être plus confortable pour elle. Je la place debout devant moi, je la tourne et je lui demande de s'allonger sur mes genoux.
'Pas question!, Ma mère me met dans cette position et je déteste ça.'
'Allez! Arrête! Encore un suppo et c'est fini, tout ça c'est pour ton bien je t'assure...' Je la prends par la main et je la place sur mes genoux, elle ne résiste pas, mais elle n'est pas trop satisfaite. J'ouvre bien ses fesses, et sans l'avertit je fais rentrer le suppo très profondément avec mon doigt. Elle bouge et veut fuir, je la retiens plus fort et je lui dis que je la laisserais partir dans deux minutes pour être sure qu'elle ne va pas repousser le suppo. Je lui caresse ses cheveux, puis son dos, pour finir avec une petite caresse sur les fesses et je retire mon doigt.
'Bravo ma grande. Allez remets ta culotte, tu vas essayer de retenir les suppos. Pas de toilettes avant 30 minutes!' Je l'aide à enfiler son pyjama, et à se remettre au lit, je la couvre et l'embrasse sur le front. Elle me regarde avec un petit sourire comme pour me remercier.
Au bout de 15 minutes elle se précipite pour aller aux toilettes, je lui demande d'attendre, elle me supplie de la laisser aller. Je la retiens pour 5 minutes de plus, elle ne peut plus je la laisse faire. Elle court vers les toilettes où elle passa 15 minutes à expulser. Je tape à la porte des toilettes pour voir si elle va bien, elle me dit que oui. Je l'attends, elle termine et sort. Elle a l'air vraiment soulagé.
'Tu vas mieux?'
'Oui beaucoup mieux... je n'ai jamais fait autant de cacas.' Elle me sourit et me remercie.
Je lui demande de dormir de nouveau en lui promettant une nouvelle prise de température après quatre heures. Elle sourit en me disant 'Après ce n'était pas très déplaisant... tu es meilleure que ma mère.'