Alors voilà,
Avec Michèle, un amour d’enfance contrarié, nous nous sommes mis en couple dans les années 1986.
à partir de là, notre vie sexuelle va connaître un épanouissement extraordinaire.
Déjà, quand après mon divorce en 1979, elle m’avait rejoint à Bordeaux, à peine descendue du train, je l’avais entrainée chez des amis candaulistes.
Claude le mari ne se lassait pas de me prendre en photo entrain de pénétrer sa femme.
J’avais vingt huit ans. J’ignorai qu’une dizaine d’années plus tard, c’est moi qui serai excité de reluquer Michèle se faisant prendre par d’autres hommes.
Fétichiste et accro à la photographie, j’ai toujours immortalisé mes compagnes dans des tenues suggestives.
Michèle n’a pas fait exception à la règle. Il faut dire qu’elle aimait ça, et que l’objectif le lui rendait bien.
Un jour où nous avions invité nos voisins a participer à un barbecue, est arrivée Séverine la cousine de Michèle accompagnée de deux homosexuels. L’ambiance était lourde de sous-entendus. Ils se rendaient à la Siesta une boite de nuit emblématique d’Antibes.
Michèle et sa cousine décidèrent d’improviser un défilé de sous-vêtements dans le jardin.
Ce week-end là, mon étudiant de fils était venu à la maison avec quelques amis. Comme par enchantement les appareils photographiques fleurirent sur le gazon. Jean-Pierre, mon voisin mitoyen s’absenta quelques seconde et revint avec une caméra VHS qu’il me passa en me disant. Tiens filme, la photographie c’est moins "parlant" ;-)
Le soir même dans notre chambre, la caméra posée sur un pied, j’enregistrait nos ébats intimes. Ce jour là nous commençâmes, Michèle et moi, à faire des films. Au début nous cherchions à les échanger avec d’autres couples par petites annonces dans des revues spécialisées Swing, Loisirs 2000, et bien d’autres dont j’ai oublié le nom. Michèle se chargeait des envois. Agacée par la piètre qualité des cassettes que nous recevions en échange, elle décida de les vendre. Le moment devait être favorable. En France le gouvernement, dans sa grande clairvoyance, tentait de d’imposer le Minitel (rose) … Internet ne se développera timidement que quelques années plus tard. Le succès de nos cassettes nous imposa de trouver des scénarios. Nous décidâmes de mettre en images nos propres fantasmes. Ce qui avait pour inconvénient majeur de les neutraliser en tant que fantasmes.
Puis un jour, nous avons été contacté par un dentiste d’Antibes qui avait vu notre annonce, et qui avait envie de baiser une de ses patientes dans son cabinet. Comme la déontologie le lui interdisait, il nous avait demandé si Michèle accepterai de jouer le rôle de la cliente.
Nous fûmes enchanté par cette proposition et le tournage eu lieu. J’y reviendrai plus tard si vous me le demandez.
Voir récit du dentiste à cette adresse : https://fr.zity.biz/index.php?mx=forum;ox=display;msg=873414
C’est cette séquence qui déclencha en moi l’attirance pour le milieu médical. À partir de ce jour, je ne rêvais plus que de gynécologue pervers qui ferait subir les derniers outrages à Michèle, les talons aiguilles calés dans les étriers de sa table d’examen.
Ce fantasme est devenu notre lei motif pendant l’acte … Mais comment et où trouver un gynécologue, voir même un généraliste.
Le challenge n’était pas simple. Les médecins contactés avaient bien trop peur du conseil de l’ordre pour accepter de prendre ce risque.
Jusqu’au jour ou un client venant chercher sa cassette à la maison, après nous avoir écoutés, nous avoua être médecin.
Notre sang ne fit qu’un tour. Nous lui proposâmes, sur le champ, d’improviser une visite médicale à domicile.
Ensemble nous avions convenu des grandes ligne de ce scénario appelé de nos vœux depuis si longtemps.
Nous lui avions passé notre spéculum car il n’en avait pas avec son matériel ce jour là … Il est vrai qu’il était venu acheter une cassette et non pas visiter une patiente.
Michèle comme a son habitude était habillée de façon très sexy. Certains emploieraient un autre terme. On pouvait apercevoir au travers des dentelles noires de son chemisier une guêpière en dentelle également. Une petite jupe noire aux volants froufroutants, des bas noirs coutures et comme il se doit en pareille circonstances, des escarpins noirs à talons aiguilles.
Silence on tourne !
la sonnette de l’appartement retenti. Michèle se précipite dans le vestibule pour accueillir son visiteur.
M - Bonjour Docteur
D - Bonjour, que vous arrive-t-il ma petite dame ?
M - Je suis prise …
D - Vous êtes prise ?
M - Oui je suis enrhumée, j’ai mal à la gorge. Les pollens sans doute ?
D - Nous allons voir ça ; Où puis-je vous examiner.
M - Que diriez-vous du séjour docteur ?
D - Il fera l’affaire Madame.
Michèle précède le médecin dans la salle de séjour. Elle s’assoie sur une chaise tulipe Knoll devant une table signée par le designer Eero Saarinen. Le docteur pose sa serviette de cuir sur une des six chaises libres. Il en sort une spatule en bois.
D - Tirez la langue et ouvrez grand la bouche.
Michèle s’exécute. Il pose la spatule sur la langue et redit sur un ton ferme :
D - Ouvrez grand la bouche, dite AaAaA !
Avec une petite lampe, ressemblant à s’y méprendre à un stylo, il explore attentivement la cavité buccale.
D - Effectivement vous êtes un peu encombrée. Rien de bien grave. Il ne faut pas dormir toute nue la nuit ma petite dame.
Michèle souri à cette allusion à peine voilée en passant sa langue sur ses lèvres.
M - Pardonnez moi docteur je suis très sensible aux bons maux. Je voulais aussi évoquer avec vous un problème de sècheresse vaginale.
D - Ha … Que se passe-t-il ? Qu’avez-vous constatée ?
M - Lors de mes rapports, je trouve que je ne lubrifie plus comme avant. C’est gênant et douloureux. Je suis obligée d’utiliser du gel. Ce subterfuge n’était pas nécessaire avant !
D - Voyons cela. Asseyez-vous sur le rebord de la table.
Michèle ne se contente pas de s’assoir mais se place carrément sur le dos, jambes repliées, cuisses largement écartées.
D - C’est parfait, dans un premier temps, nous allons examiner votre vulve. Vous me permettez de retirer votre petite culotte ?
M - Bien sûr faites Docteur !
Une fois la vulve de Michèle exposée sans pudeur sur le marbre de la table, le médecin saisi dans la poche de sa chemise un étui à cigare.
Dans un premier temps, il le promène délicatement le long de la fente cherchant à séparer avec soins les grandes lèvres.
Il ne faut pas plus de quelques minutes pour que les petite lèvres rosées sortent de leur cachette.
Le médecin satisfait esquisse un petit sourire.
D - Que diriez-vous Madame si je vous pénétrais légèrement avec cet étui ?
M - Hummm, je vous en pries Docteur, poursuivez, poursuivez …
D - Je poursuis, je poursuis, mais pour l’heure tout me semble fonctionner correctement. Je dirai même, si vous m’y autorisez, que vous semblez dotée d’une sacrée nature …
Puis s’adressant à la caméra : « Comment cela peut-il être possible de ne pas la faire mouiller avec un tempérament pareil ?! Monsieur a-t-il des problèmes ? » Ce faisant, la pénétration de l’objet se fait moins subtile, beaucoup plus insistante et rapide. Michèle prend appuis sur ses talons, se cambre en écartant largement ses cuisses …
M - Oh Docteur, continuez, je vous en prie … Continuez !
D - Il va me falloir maintenant procéder à l’examen de votre vagin … N’ayez pas peur le spéculum est maintenant à température ambiante.
Puis, s’adressant à la caméra : « Serait-il possible d’avoir un coussin pour le lui glisser sous les reins »
Je vérifie la stabilité de la caméra sur son pied, jette un dernier coup d’œil au cadrage et m’empresse de donner suite à sa demande. Je reviens de la chambre en tenant les deux oreillers de notre lit conjugal.
D - Parfait ! Madame pourriez-vous vous cambrer un petit peu que je glisse ses oreillers sous vos fesses.
M - Merci Docteur, je commençais à trouver cette position bien sympathique mais assez inconfortable.
Puis elle rajouta non sans un certain humour : « Nous aurions du faire cet examen dans notre chambre ; ce n’est certes pas mon mari qui s’y serait opposé » …
D - Bon l’examen ne va pas prendre longtemps, vous êtes au bout de vos peines.
Avec une précision chirurgicale, il introduit les valves du spéculum là où quelques minutes au paravant il enfonçait frénétiquement son étui à cigare. Les lèvres sont tellement humides qu’elles n’opposent aucune résistance. Le spéculum glisse dans la vulve sans la moindre anicroche.
D - Il est en place, je vais juste le faire pivoter pour le placer en position d’examen.
Michèle ne dit plus rien. Je la sens inquiète.
D - Voyons l’objet du délit …
Le faisceau puissant de sa petite lampe fouille l’intimité vaginale de Michèle. Attentif le Docteur scrute intensément la vulve écartelée de mon épouse. Je peux voir le méat urinaire qu’il ne manque pas de titiller avec son index …
D - Vous avez déjà été sondée ?
M - Sondée ?
D - Vous a-ton déjà posé une sonde urinaire ?
M - Non pas autant que je m’en souvienne.
D - Je ne vois rien d’anormal, a quand remonte votre dernier rapport ?
M - Pourquoi cette question Docteur ?
D - Je vois juste quelques traces de gel sur vos parois vaginale.
M - En fait c’est normal nous avons fait une sieste crapuleuse juste avant votre arrivée … Mon mari était très excitée d’assister à votre examen … Depuis le temps qu’il en rêve !
D - C’est vrai Monsieur ? Voulez-vous que j’examine son col de l’utérus ?
Moi ne sachant plus où me mettre : « Euh Oui oui Docteur, je dois vous avouer que je suis très excité. Ça ne vous dérange pas que je vous regarde ? »
D - Non bien au contraire, si cela excite Madame également, vous pouvez même vous approcher. J’en ai presque fini avec elle … Madame comment vous sentez-vous ? Êtes-vous suffisamment bien installée pour que je procède à l’examen de votre col utérin ?
M - Oui docteur, et si en plus ça excite mon petit mari de vous regarder faire … Le médecin regarde longuement par l’orifice du spéculum, puis il introduit une spatule de prélèvement pour faire le frottis. Michèle esquisse une grimace.
D - Je vous ai fait mal ? J’espère que votre sieste crapuleuse et l’utilisation du gel ne fausseront pas trop le prélèvement …
Je dirai au laboratoire d’en tenir compte. Ce n’est pas comme si je ne le savais pas …
M - Non Docteur, vous m’avez surprise. Je crois que mon mari aimerai vous voir à l’œuvre d’avantage …
D - Ha bon ? Et vous qu’en pensez-vous ?
M - Notre couple pratique le candaulisme, Gilles est très excité quand il voit d’autres hommes me faire jouir …
D - Alors s’il n’y a que ça pour vous faire plaisir à tous les deux, je veux bien poursuivre cet examen au delà du protocole.
Disant cela, il retire le spéculum aussi lentement qu’il l’avais mis en place. mais introduit à la place deux doigts dans le vagin de Michèle avant que sa vulve ne se referme … En précisant que c’est là le dernier geste médical qu’il fera sur sa patiente et qu’ensuite ils allaient passer tous les deux aux choses sérieuses. Sur ce, Gilles commence à se masturber.
G - Ca ne vous dérange pas docteur au moins ?
D - Pensez-vous, Faites ; Mettez y de l’ardeur même, n’ayez pas peur de vous faire reluire !
Michèle à du mal à contenir son excitation quand le docteur commence à lui sucer la vulve.
D - Et votre clitoris … rien à me dire à son sujet ?
M - Oh si Docteur, continuez à le sucer comme vous faites … J’adore aussi quand on me le mordille tendrement.
Gilles abandonne son poste d’observation pour présenter son sexe à Michèle pour qu’elle le suce.
L’excitation des trois partenaires monte d’un cran. Le langage se relâche ; le docteur ne vouvoie plus sa patiente.
D - Alors Salope, comme ça on aime la bite. Tu te fais tirer devant ton cocu de mari qui se branle en te regardant ; Vous n'avez pas honte !
Je vous porterai le formulaire pour que vous fassiez de moi votre médecin référent. Comme ça en plus vous serez remboursés intégralement à chacune de mes visites. Michèle se tortille dans tous les sens. La bouche pleine elle ne dit plus rien.
Gilles est fébrile comme jamais. Le Docteur se redresse et empale Michèle en la faisant glisser sur le plateau de la table.
S’adressant à Gilles : « Regardes SALAUD comme je baise bien ta pute … Au fait je cherche une secrétaire médicale, ce poste semble lui convenir parfaitement … Je pourrai te la remplir tous les soirs avant qu’elle ne vienne te retrouver… Je suis sûr que tu aimeras lui faire sa toilette intime. Arrêtes moi si je me trompe.»
(à suivre ?)
Quel dommage que je ne puisse étayer ce récit avec les images et les vidéos qui ont été faites à l’époque. Remarquez, j'ai une petite idée ... Les liens semblent passer sur cet éditeur ... Alors voilà notre très vieux site que je maintiens toujours en ligne, quand bien même je ne vis plus avec Michèle, et quand bien même les k7 ont disparues depuis bon nombres d'années ... Remarquez, sur ce principe, et a votre demande, je pourrai constituer des albums que je mettrais à votre disposition pour consultation dans la salle d'attente ... Qu'en pensez-vous ?
http://franqueville.net/K7/