Nudité à l’adolescence

J’ai été adolescent à une époque ou Internet n’existait pas je vivais chez mes grands-parents et tout ce qui avait rapport avec le sexe était tabou, j’etais totalement ignorant dans ce domaine. Ma puberté a été très tardive et vers 13 - 14 ans je me suis fait dispenser des cours de sport tellement j’avais honte de me déshabiller dans les douches où vestiaires mes camarades devenaient des hommes alors que moi qui était très grand j’étais toujours un enfant. J’étais très pudique et à la fois très voyeur j’espérais toujours voir quelqu’un qui me ressemblait mais les plus en avance s’exibaient les autres se cachaient c’était un enfer et je n’en parlait à personne. Quand ma puberté est enfin arrivée je suis resté pudique et chaque fois que j’ai été obligé de me montrer à poils (visite médicale, auberge de jeunesses, armée ... j’étais à la fois terrorisé avant et excité une fois nu. Pour ce qui concerne la masturbation c’est pareil j’ai pratiqué tardivement mais j’avais honte. Certains copains se branlaient ensembles j’avais envie de les accompagner mais j’étais beaucoup trop pudique pour franchir le pas. Aujourd’hui j’y pense très souvent et je le regrette... Suis-je une exception ou d’autres ont vécus les mêmes difficultés

Pour nous les filles, on avait des vestiaires communs. Pour la gym c'était short et t-shirt et pas de douche

Pour la piscine on s'arrangeait pour la plupart à déjà mettre notre maillot le matin à la maison si on avait cours le matin, et dans les toilettes le midi si on avait cours l'après-midi.

La douche avant et après c'était avec le maillot et pour l'enlever et remettre nos sous-vêtements , on plaçait un grand essuie éponge autour de nous et on se changeait. Faut toujours trouver des systèmes D mdr

Lorsque nous allions à la piscine, en 1967 ou avant, c'était deux par cabine, chanceux c'était toujours le matin, et le maillot on l'avait déjà sur nous, pas par pudeur, pour être plus vite dans l'eau, c'était la course au premier dans l'eau. Après c'était la douche commune en maillot et retour en cabine.

Dans les années 60 +/- 5 sur la plage aux Pays-Bas je me souviens avoir vu les femmes et les filles se changer enveloppées dans un grand essuie éponge, elles avaient une adresse et une dextérité incroyable, j'ai essayé quelques fois, j'ai eu du succès en essayant toutes mes gesticulations inutiles pour quand me retrouver à petit poil sur la plage, et comme il n'y avait pas de réactions, j'ai fait comme les pères on se change sans trainer, et regarde qui veut ou tourne la tête qui ne veut pas . . . Les Néerlandais ont toujours quelques longueurs d'avance pour pas mal de choses.

Perso cela ne m'a jamais posé de problème au contraire j'étais plutot exhib.

Malgre une puberté tardive.

Au college et au lycée on allait a la piscine durant 1 trimestre pour le cours d'EPS.

On se changeait dans des vestiaires communs...donc nudité pour tous de la 6eme jusqu'a la 1ere (pas de piscine pour les terminales)

C'etait donc l'occasion pour les garcons de comparer leur anatomie.

comme Lycée et college étaient regroupés selon les années les eleves de seconde ou de premiere pouvaient se changer en meme temps que des 5eme 6eme...et des fois dans les études comparatives il pouvait y avoir des surprises...un élève de 5eme aussi voir plus développe qu'un élève de seconde.

Perso j'ètais hors concours car non seulement j'étais en retard coté puberté mais en plus j'avais sauté une classe.

Aussi a 14 ans en seconde je n'était pas pubere...il y avait des 6eme qui commencaient a etre de vrais petits hommes

La nudité ne m'a jamais posé de problème non plus. Vestiaire collectif pour la natation; Seuls quelques uns se cachaient avec un essuie autour de la taille mais la majorité était nus. J'ai participé à des camps de jeunesse de 13 à 18 ans où les sanitaires étaient collectifs; on s'y déshabillait, s'habillait, se lavait ensemble!

Beaucoup de questions intéressantes. J’en ai souvent parlé mais je fais un résumé pour celles et ceux qui n’auraient pas lu mes oeuvres complètes (qui ne sont malheureusement pas encore disponibles dans la Pléiade).

J’étais adolescent dans les années 70 du siècle passé (ce qui ne me rajeunit pas). J’ai eu ma puberté à l’âge habituel. Douches collectives et obligatoires à l’école après la gymnastique dès 10 ans (en fait le professeur ne contrôlait pas mais presque tous en prenait une). Cela ne m’a pas posé de problèmes jusqu’à 16 ans, ensuite je devais avoir des complexes et j’ai arrêté de me doucher, sans que cela ne me dérange si c’était indispensable, comme parfois à l’armée.

J’étais très pudique à la maison et je ne me montrais plus nu devant mes parents et mon frère, à part quelques exceptions. Mon père me l’a reproché plusieurs fois.

Il n’y avait pas Internet, j’ai cependant trouvé beaucoup de renseignements dans les bibliothèques. Je me masturbais, ce plaisir est resté solitaire et je n’aurais jamais osé en parler à d’autres personnes. J’avais même été étonné qu’un auteur en parle dans un roman.

Quant au fétichisme médical c’est pour moi quelque chose qui n’a rien à voir avec la pudeur ou la nudité.

Ce post très intéressant pose la question du rapport à son propre corps et de la nudité.

Bien avant l'adolescence j'aimais déjà être nu dans la salle de bain avec mon frère et même en présence de mes parents qui avec une certaine pudeur ne se cachaient pas particulièrement au moment de prendre un bain par exemple ou passer dans le couloir pour se rendre aux toilettes ou dans la salle de bain.

J'ai vu plusieurs fois ma mère dans la salle de bain de dos se laver sur le bidet mais à l'époque je ne comprenais pas que c'était sans doute lié à l'hygiène intime liées à la sexualité de mes parents. Je l'ai compris plus tard.

Adolescent, j'étais assez pudique en groupe et je n'ai pas beaucoup fréquenté des colonies ou des camps d'adolescents et les quelques fois ou il fallait le faire (piscine scolaire dans les vestiaires) je n'ai pas particulièrement eu honte de me mettre à poil. Je me souviens regarder discrètement la forme des prépuces des autres gars quand on se déshabillait ensemble. A cette époque, je fantasmais sur le sexe féminin de jeunes filles et de jeunes femmes que je matais dans des revues érotiques style Lui ou Playboys échangés entre copains. Je me masturbais déjà en lisant des romans pornos (de bonne facture) empruntés discrètement dans la bibliothèque interdite cachée dans la chambre parentale! J'avais un miroir dans ma chambre et j'ai toujours aimé regarder comment je bandais ou la forme de mon trou de balle. J'aurais aimé à cette âge me branler à deux ou trois mais l'occasion ne s'est pas présentée jusqu'à un premier voyage scolaire ou je devais avoir 15 ans. Cette expérience a été déterminante d'ailleurs dans le fait de ne plus avoir honte d'afficher son envie sexuelle avec un partenaire choisi. Il ne faut pas avoir honte de nos pulsions et de nos envies. Je rêvais puceau que j'étais nu le sexe dressé et fier devant une fille que je désirais nue elle aussi...C'était naif et beau...J'ai de la tendresse pour ces souvenirs là.

C'est vrai qu'internet n'existait pas et aujourd'hui les choses sont bien différentes avec nos adolescents. Je pense qu'il faut apprendre à regarder son corps (à tout âge) et depuis, j'ai installé un miroir dans la chambre de chacun de mes enfants. Il sauront l'utiliser par eux même! La découverte passe bien souvent par l'exploration personnelle qui permet de vaincre certains complexes et permet de nous sentir mieux avec nous même!

La découverte passe bien souvent par l'exploration personnelle qui permet de vaincre certains complexes et permet de nous sentir mieux avec nous même !

Tout a fait d'accord.

Personnellement ni ehib ni utlra-pudique je n'ai pas de souvenir marquant comme celui de mon premier lavement..

Nous avions des vestiaires collectifs pour la piscine. On ne restait pas longtemps avec le zizi à l'air... Certains avaient des penchants exhibitionnistes en petit comité, d'autres subissaient involontairement la "mise à l'air".

J'ai eu deux épisodes familiaux de nudité embarrassante.

Vers 12 ans, je suis tombé dans la boue en jouant à un endroit où j'étais censé ne pas jouer justement en raison de la boue. Ma grand mère m'a fait me déshabiller totalement et m'a essuyé avant de rentrer dans la maison, fesses et sexe compris. Ostensiblement c'était pour éviter que je ne salisse la maison mais je pense qu'elle voulait me donner une leçon. Ma petite sœur a épié la scène.

Vers 14/15 ans j'ai été pris à voler un disque dans un magasin. Ma mère a arrangé les choses. Elle était furax quand nous sommes rentrés, m'a immédiatement amené à ma chambre et m'a demandé de me déshabiller pour une fessée. Cela faisait des années qu'elle ne m'en avait pas donné et qu'elle ne m'avait pas vu nu, j'ai tenté de me cacher le sexe, cela m'a rendu maladroit alors que je devais plier mon pantalon sur la chaise alors elle m'a dit d'arrêter mes simagrées, que je n'avais rien qu'elle n'ait déjà vu et j'ai donc dû revenir vers elle le sexe bien visible. Là encore, nudité pour donner une leçon...

Durant 9 ans j'ai vécu en internat du faite de retard scolaire et le faite d'être nu était systématiquement visionné par les autres en se jaugeant chacun sur le sexe de l'autre hors douche et le soir au moment du coucher. Le plus dure étant l'adolescence avec les érections matinales du pour moi souvent une envie forte d'uriné, j'en ai parlé aux moniteurs et à force de brimade d'un de mes camarades, il l'ont pris à part et lui a demandé de ne plus se moquer de moi, ensuite pollutions nocturnes (carte de France) visible sur les draps.

Après l'opération des hémorroïdes et ses dérivés que j'ai eu et ma découverte de la masturbation grâce à un bain de siège au bidet, c'était assez dure de le faire le soir au lit, puis ensuite arriva malgré tout les concours de celui qui éjaculerais le plus vite, mes passages au bidet donc érection sans masturbation bien sur car les moniteurs nous surveillais de temps en temps, comme j'était obligé pour finir la cicatrisation et pour l'hygiène pas de remarque des moniteurs car obligatoire.

Seul vraiment passage en érection c'est durant le lundi entre 13H et 14H durant la douche collective ou l'a ont devait chaque groupe passé par la case douche sans exceptions pour évité poux et gâle qui traînait et qui arrivait malgré tout, ou alors avant la visite médicale en slip devant le médecin ou l'infirmière à la recherche de gâle et autres, inspection de la verge avec manipulation donc parfois érection .

Ensuite ce fut à l'armé ou à la suite de nombreuse cystites récidivante j'ai du montré mon pénis devant des médecin à la recherche d'un souci à l'hôpital militaire de Colmar (qui n'existe plus aujourd'hui) avec manipulation jusqu'à l'érection sans rien trouvé.