Voici les histoires des quelques personnes qui m’ont fait de la peine, et pour lesquelles j’ai cédé à leurs demandes, volontairement et parfaitement conscient de ce que je faisais. Comme je l'ai promis sur un précédent post.
1 - KATIA est une femme très jolie pour son âge (72 ans), bien conservée, affable… Je me suis attachée à elle… Pourquoi ? Impossible de le dire ! J’allais lui rendre visite avec joie, à chaque fois, sans aucune appréhension. J’ai appris au fil du temps, à lui faire plaisir, à satisfaire ses demandes, même si cela n’avait rien à voir avec l’objet de ma visite. Je me rendais chez Katia en moyenne, une fois toutes les six semaines, pour faire avec elle, un bilan administratif : trier son courrier, répondre aux lettres, ranger, classer des documents. Et cela s’est toujours bien passé ! Katia est toujours courtoise, gentille, aux petits soins avec moi, m’offrant une boisson chaude l’hiver et froide l’été, quand ce n’est pas une glace, ou des gâteaux faits maison…
Katia fait partie des personnes auxquelles je me suis attaché. Je ne devrais pas, mais c’est comme ça. Je n’y peux rien. Evidemment, Christine ma chef, n’en n’a jamais rien su… mais encore une fois, l’humain a pris le dessus sur le professionnel.
Lors d’une de mes interventions chez elle, alors que j’étais encore sur le seuil de sa porte, en me recevant, Katia a fondu en larmes. Cela m’a profondément ému et je n’ai pas pu m’empêcher de la prendre et de l’étreindre dans mes bras. C’était la première fois, avec elle, du moins. Elle a continué à sangloter encore longtemps, sans trop savoir pourquoi. Puis, en se détachant de moi, elle s’est dirigée d’un pas lent, vers le canapé de son salon, où elle s’est laissée tomber de tout son poids (elle n’est pourtant pas bien grosse, cela m’étonnerait si elle dépasse les 75 kg). Je suis venu la rejoindre, mais je ne me suis pas assis à ses côtés : j’ai sorti de mes poches un paquet de mouchoirs en papier que je lui ai tendu pour qu’elle se sèche les yeux. Ce dont elle m’a remercié entre deux sanglots. Tout le paquet y est passé ! Et Katia a dû aller en chercher d’autres dans son placard.
Revenue sur le canapé, elle m’invita à y prendre place, se confondant encore en remerciements. Je lui dis que c’est tout naturel, et quand elle a retrouvé son calme, elle m’annonce que ce gros chagrin est une accumulation de soucis causés par tel ou tel enfant, par tel organisme… Elle n’en pouvait plus, elle se disait au bout du rouleau... Bref, elle en avait gros sur le cœur, et le fait que je sois venu l’a déjà soulagé, comme si j’étais pour elle l’homme providentiel.
Katia dit :
- Ah ces enfants ! Quelle ingratitude ! Après tout ce qu’une mère a fait pour eux ! Et les papiers, je n’en peux plus. Tous les jours, ils me demandent des papiers… (elle parlait d’un organisme social).
J’ose questionner Katia, en lui demandant ce qui se passe et elle m’explique en détail que ses deux garçons (elle a aussi 4 filles) veulent la placer en maison de retraite. Mais elle ne veut pas : ses deux filles ne savent rien du projet de leurs frères, et d’ailleurs, ces deux garçons sont les demi-frères des 4 autres sœurs, nées d’une première union de Katia. J’écoute l’histoire de Katia, j’en connais quelques tronçons, mais aujourd’hui, elle s’étale plus que d’habitude. Elle finit son monologue au bout d’une bonne demi-heure : s’ensuit un silence lourd de plusieurs minutes. Je ne dis rien, je n’ose pas ouvrir la bouche, je n’ai pas bougé du canapé, et elle non plus. Nous sommes assis côte à côte.
Katia reprend la parole et dit :
- Je peux vous demander quelque chose ? S’il vous plait, ne me le refusez pas !
_ Oui, ça dépend… De quoi s’agit-il ?
- Je voudrais… je veux… je ne sais pas comment vous le dire… je voudrais… vous toucher, voilà, j’l’ai dit ! J’étais tellement bien dans vos bras.
D’abord sous le choc, j’ai réfléchi, très vite : Katia m’a fait de la peine, m’a beaucoup ému de par son histoire, sa vie, ses soucis… J’étais tout retourné par cette requête et j’ai demandé à Katia :
- Ça vous ferait plaisir ?
Katia n’a répondu qu’en faisant sortir un long souffle de sa bouche, comprenant par là que j’acquiesçais à sa demande. J’ai retiré ma veste pour être plus à l’aise mais aussi, pour donner le feu vert à Katia, qui aussitôt, a posé ses mains sur mes jambes au-dessus des genoux. Elle a atteint, assez vite, la face interne de la cuisse, et ses mains se sont positionnées sur mon entrejambe. J’ai écarté mes jambes, comme pour lui donner mon accord à ce qu’elle voulait entreprendre, je ne l’ai bloqué en nul point et n’ai stoppé aucun de ses gestes. Katia donnait libre cours à ses envies et j’ai même participé à son action en retirant mon pantalon et mes vêtements du haut. Je n’avais plus que mon slip, que j’ai voulu ôté aussi, mais Katia refusa, me disant qu’elle n’avait pas le droit d’aller plus loin (!). Et elle continua ses caresses langoureuses. Elle savait y faire ! Je me suis étendu sur le canapé et je l’ai laissé agir librement. Complètement. Ce fut comme une séance de massage bien-être, de face, de dos… Elle a à peine descendu mon slip par derrière pour découvrir le haut des fesses. Et, en me retournant quand elle a deviné que j’étais en érection, cela lui a fait énormément plaisir (faut dire que pour moi, il m’en faut peu pour être en érection). Elle m’a alors demandé la permission de voir, avec la promesse de ne pas toucher. Et j’ai accepté de baisser mon slip jusqu’à mi-cuisse. Katia a cessé ses caresses, elle était épuisée et, par jeu, je n’ai remonté mon slip que lorsque l’érection pris fin. Puis je finis de me rhabiller.
Cela ne s’est pas reproduit depuis, quoique je l’eusse bien voulu. Mais Katia a refusé une seconde séance. Ce fut l’aventure d’une seule fois.
2 - JOELLE : Autre histoire. Joëlle est une jeune retraitée de 63 ans, et qui vient juste de divorcer. Elle ne s’entendait plus avec son époux et les relations entre eux s’envenimaient de jour en jour.
Christine m’envoie chez Joëlle pour régler son dossier de divorce pour qu’elle puisse prétendre à des droits nouveaux dont je ne connais pas la teneur (ce n’est pas mon métier). Joëlle m’accueille pour la première fois, et je constate que c’est une femme exubérante, volubile… Le jour où elle me reçoit, elle me met tout de suite à l’aise, et c’est sa tenue vestimentaire qui me choque : bien qu’elle ait 63 ans, elle est habillée comme une jeune fille : short très court et sexy, top découvrant le ventre depuis le nombril, et surtout aux épaules nues. C’est vrai que lorsque je fais sa connaissance, on est en plein été, mais tout de même. Elle m’invite à prendre place face à elle, autour de sa table de salle à manger, tout en sirotant une boisson bien fraiche. Elle m’en offre également, avant d’entamer ce que je dois faire pour elle.
Comme bien d’autres, Joëlle me raconte son histoire et je l’écoute attentivement, comme je le fais pour les autres. Elle a vécu une drôle de vie, entre un mari qui la battait régulièrement, et des enfants prenant parti pour leur père. Le jugement d’ailleurs a joué en sa défaveur, et le juge, se fondant sur le témoignage de ses propres enfants, l’a débouté. Elle a donc perdu son procès. N’ayant pas les moyens financiers d’aller plus loin, elle n’a pas fait appel. Et tout compte fait, elle a préféré arrêter là cette histoire qui lui bouffait la vie, et qu’elle voulait oublier.
Tout en me parlant avec énormément de gestes, je me rends compte que Joëlle ne porte pas de soutien-gorge : ses seins ballottent au fur et à mesure des cercles qu’elle décrit quand elle s’exprime. Son top monte alors de quelques centimètres, faisant apparaitre le bas du sein, gauche ou droit.
Joëlle arrête son histoire brusquement, se lève de sa chaise et se dirigeant vers moi, me dit :
- Je voudrais vous demander, s’il vous plait. Prenez-moi dans vos bras, j’en ai tellement besoin.
Je n’ai pas le temps de penser à autre chose et je me suis vu me lever pour faire ce que Joëlle souhaitait. Je ne la serre pas trop fort contre moi, mais elle se blottit un peu plus contre moi, me montrant ainsi que je peux la serrer encore plus. Je le fais avec d’autres personnes, alors, pourquoi pas elle ? Et puis, elle est tellement touchante !
On ne s’étonnera donc pas de me voir céder à Joëlle et de la prendre dans mes bras.
Et je l’étreins davantage. Je sens alors que quelque chose me tire le bras. Ma main passe sous le top de Joëlle et effleure, touche, puis atteint le sein droit, puis le gauche.
Je laisse faire, je ne suis plus qu’une marionnette entre ses mains. Et je le veux bien.
Mon second bras, tout en laissant Joëlle plaquée contre moi, entre, guidé par la main de mon hôte, dans son short, par le haut et descend, descend, jusqu’à atteindre la lisière des poils. Je force Joëlle à s’arrêter, mais elle ne l’entend pas de cette oreille : je me laisse guider et je tâte, touche, effleure, je ne sais pas trop quoi.
Joëlle se retourne, et bloque son dos contre ma poitrine. Elle ne dit rien, mais elle tourne sa tête vers moi, prend mes deux bras. Ils viennent bientôt enserrer ses deux seins, que je me mets à caresser dans tous les sens. Joëlle penche sa tête en arrière, vers moi, me faisant comprendre qu’elle est bien, qu’elle se sent bien… Elle se laisse choir dans mes bras. Et moi, de mon côté, je continue à la palper, à la caresser, ce qui provoque une érection. Comme je l’avais remarqué, Joëlle n’avait pas de soutien-gorge.
Elle me fait face à nouveau, et mes mains se retrouvent posées sur mon dos. Elle retire son top et descend son short, ne gardant plus que sa culotte, super jolie, d’ailleurs, pour une femme de son âge : dentelle rose bien ajustée à sa morphologie. Elle a baissé sa culotte par derrière, mettant 90 % de ses fesses, bien fermes, de surcroit à l’air.
Puis, dans un petit cri plaintif, elle s’est détachée de moi de quelques pas. Elle a remarqué mon érection et m’a dit qu’il ne fallait pas aller plus loin.
Elle s’est rhabillée. Je lui ai dit qu’elle pouvait faire avec moi ce que j’avais fait avec elle, mais elle a refusé catégoriquement. Elle avait besoin d’amour, de soutien, de présence, pas nécessairement de toucher ou autres.
J’ai complété son dossier, et l’aie rapporté au service.
Pour terminer ce travail, j’ai dû me rendre chez Joëlle trois ou quatre fois encore. Il ne s’est rien passé, ces fois-là, mais j’avoue avoir eu du mal à me concentrer, l’imaginant en petite culotte, voire toute nue… Elle a su, toutes ces autres fois, restée courtoise, discrète et décente.
3 – ANDRE, troisième histoire où l’humain a cédé le pas au professionnel.
André est un monsieur, veuf récemment. Ses enfants ne s’occupent plus de lui, chacun d’eux vacant à ses affaires, ses occupations et sa vie de famille. Tel est le lot de nombreuses personnes âgées, que je côtoie tous les jours, malheureusement.
J’ai connu André il y a 6 ou 7 ans, juste après le décès de sa femme qu’il choyait, qu’il dorlotait. Je n’ai pas eu la chance de la connaitre, mais André m’en a tellement parlé que c’est comme si je la connaissais.
Et je me suis attaché à ce monsieur. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Si, peut-être. Il m’a avoué une fois avoir habité dans le même immeuble que mes parents, où j’habitais aussi quand j’étais petit. Et il se peut qu’il ait pu côtoyer, à un moment ou à un autre, mes parents. Grand moment d’émotion le jour où il me fait part de ce côté de sa vie. Je l’ai quitté avec des larmes plein les yeux… J’étais trop petit pour m’en souvenir et je n’ai plus de témoin vivant pour confirmer les dires d’André.
J’ai dû faire ensuite un effort surhumain pour le retrouver dans d’autres activités que j’ai pu exécuter pour lui, pour des démarches administratives… Je ne pouvais pas ne pas penser à ce qu’il m’a confié.
Je me rendais chez André en toute confiance, l’esprit clair, sans aucune appréhension. Le fait qu’il a peut-être connu une partie de ma famille, voire mes parents, me rendait heureux de lui rendre service, de lui venir en aide… J’étais même prêt à faire plus que ce que pour quoi je venais chez lui. Mais cela restait un secret entre lui et moi. Je lui rendais service, dépassant le cadre strict de ma mission… Cela aussi, Christine ne le sait pas et ne le saura jamais.
André est un homme enjoué, respirant la joie de vivre. Il éprouve quelques difficultés liées à la vieillesse : il marche lentement, prend du temps pour composer une phrase. Il ne voit plus très bien, n’entend pas parfaitement non plus… A part ça, il se débrouille plutôt bien. Lui aussi a environ 75/80 ans, je ne l’ai jamais su exactement.
Lors de l’un de mes rendez-vous chez lui, je trouve André effondré sur son fauteuil, immobile… J’ai eu peur, j’ai été pris de panique… André faisait une crise d’angoisse. Il a laissé sa porte ouverte parce qu’il savait que je venais le voir, mais j’ai eu très peur, encore une fois. Je tente de le raviver, de lui parler… Je lui prends la main, je la serre très fort… André commence à réagir, doucement. Des larmes perlent à ses yeux et viennent couler sur ses joues. Mais André n’émet pas un son, il sanglote, pousse des soupirs très profonds… Je m’approche de lui, le serre fortement contre moi. André ne sanglote plus, mais il est comme secoué par des spasmes. Je pose mes deux mains de part et d’autre de ses épaules, et lui prodigue une sorte de massage revigorant.
André prend une de mes mains dans sa sienne, l’embrasse, l’enserre. Je le laisse faire, je me doute qu’il est en manque d’affectif, de visite, de contact. Il fait de même avec ma deuxième main, et il me les fait mettre sur sa poitrine. Je continue à cet endroit, mes massages et très vite, André se sent mieux et reprend vie.
Quand il se calme, il me dit :
- Je ne savais pas que vous aviez un tel talent de masseur. Vous m’avez fait du bien !
Je remercie André de sa remarque et retire mes mains. André les arrête et dit :
- Non, s’il vous plait. Continuez. Je me sens si bien. Et vous faites ça divinement bien !
Les encouragements d’André m’ont poussé à continuer mes massages !
Cinq minutes plus tard, André m’interpelle :
- Je peux vous demander une faveur, un service ? Vous ne m’avez jamais rien refusé. Je vous en prie… C’est une faveur particulière que je vous demande, spéciale…
J’étais prêt à écouter la requête d’André :
- Vous… vous… pouvez me… masser les c… ? Je vous en prie, ne me le refusez pas. Cela restera un secret entre vous et moi !
La situation d’André m’a tellement chagriné que je n’ai pas réfléchi, et je lui ai dit oui, après un quart de millième de seconde d’hésitation.
Alors, André, sans montrer la moindre émotion, quitte son fauteuil et prend place dans son lit médicalisé. Il se déshabille complètement, enlève tout ce qu’il a sur lui, écarte les jambes et me fait signe d’approcher de lui, et dit :
- Faites-moi un massage, un bon massage, partout, partout. Devant, derrière…S’il vous plait.
André ferme les yeux, je m’approche de lui et commence à le masser en haut, d’abord. Je descends ensuite sur la poitrine, le ventre. André prend une de mes mains et la positionne sur son sexe. Et je palpe, tripote, caresse André à cet endroit, sans remords, avec attention et parfaitement conscient de ce que je fais. Je pose ensuite mes mains sur ses jambes, mais André me dit que ça lui fait du bien les massages autour du pubis. Je laisse mes mains à cet endroit, un long moment. André ne réagit pas, c’est à peine s’il a une petite érection. La peau du scrotum se durcit, par contre. Je sens qu’André est bien, ce qui me permets de prolonger cette séance de bien-être bien au-delà du temps prévu initialement pour ce que j’avais à faire chez lui.
André se retourne : il veut la même chose de dos. Et je m’exécute avec plaisir. Je vais lentement, je fais de mon mieux, je prends mon temps pour le masser, le réconforter aussi. C’est de ce cela qu’il a le plus besoin, comme tant d’autres… J’entends André pousser des petits cris de plaisir. A sa demande, je m’attarde sur ses fesses, bien faites encore malgré son âge, bien rebondies et charnues…
Quand il se retourne, c’est pour me dire d’arrêter. Il me remercie de lui avoir apporté ces quelques minutes de bonheur, de bien-être intense, qu’il n’oubliera jamais.
- Vous n’avez plus de kiné, ai-je demandé à André ?
- Si, bien sûr. Mais elle ne m’a jamais massé comme vous le faites. Vraiment, vous êtes un champion. Allez, rentrez maintenant, c’est trop tard pour vous, pour ce que vous aviez à faire. On verra une autre fois.
- Merci M. André, vous êtes adorable. Rhabillez-vous, maintenant.
- Oh non, récria André. Je vais rester comme ça. Je me sens bien. J’ai l’impression d’avoir encore vos mains sur moi… allez, rentrez chez vous, et mille fois merci.
Je me suis lavé les mains et j’ai pris congé d’André. Je n’ai pas cessé de penser, sur le trajet du retour à ce que j’avais fait. Je ne m’en croyais pas capable, mais là encore, je n’ai pu résister au côté humain.
Lors des autres interventions, André n’a pas manqué de me rappeler ce moment. Mais il ne m’a jamais demandé de récidiver. Et quoique je me sois préparé à ce qu’il le fasse, l’occasion ne s’est jamais plus reproduite. Il avait besoin d’affection, de tendresse, à un moment précis, à un instant T…
Et c’est peut-être mieux ainsi, parce qu’avec le recul, je me demande si j’ai bien fait ou pas d’agir comme je l’ai fait. Tout comme pour Joëlle, je ne pouvais chasser de mon esprit, la vision de nu intégral dans laquelle s’est mis André ce jour-là lorsque je suis de nouveau intervenu chez lui quelques mois plus tard. Et tout comme pour Joëlle, j’avais du mal à me concentrer, pensant qu’il allait me demander de lui redonner un massage. Je me suis bien mis dans la tête que cette fois, je refuserai.