Ah l'avion ! Voici une autre histoire de douane !
. . . . Je me suis fait prendre et je ne voulais pas l'être. Il y a quelques années, mon mari et moi sommes allés en Europe pour voyager et pour assister à Europerve. Nous avons pris trois valises et les avons toutes vérifiées. L'un avait mes vêtements, un autre celui de mon mari et l'autre mes vêtements de scène en caoutchouc, mon habit en cuir de mon mari, un sac en silicone de 4 litres, un cathéter rectal à double ballon, plusieurs attaches en cuir, un harnais en corde et des jouets sexuels, le tout soigneusement disposé en gros poids lourd sacs de congélation. Par chance, ils passaient aux rayons X les sacs qui étaient contrôlés, ainsi que les bagages à main. Mon mari a porté les deux sacs avec des vêtements ordinaires et j'ai porté le seul sac avec tous les goodies. Nous avons été séparés par un autre couple ou deux pendant que les sacs étaient enregistrés, et il a commencé à marcher jusqu'à la porte quand il a vu que j'étais arrêté à la radiographie et que mon sac était ouvert et examiné. TOUS les accessoires ont été examinés par les gardes de la Transportation Security Authority! Mon axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien était allumé à plein régime, tout était axé sur le maintien de son sang-froid - mon mari était très impressionné, disant que je personnifiais «l'élégance et la grâce sous pression», un avantage tiré de mon entraînement en salle d'opération et de quelques scènes particulières où mon mari a dominé l'enfer hors de moi. J'étais inquiet parce que je ne portais pas beaucoup de vêtements et que je ne voulais pas être pris pour quelque chose comme la prostitution alors que nous allions quitter le pays. Un par un, ils avaient lentement tout sorti de la valise et l'avaient mis sur une grande table en acier avec un écran en verre que je devais me tenir de l'autre côté. Au bout d'une dizaine de minutes, le garde en avait apparemment vu assez et tout ramené,
. . . . J'ai demandé à mon mari pourquoi il était resté à l'écart au lieu de venir à mon secours. Il n'est pas revenu vers moi parce qu'il avait peur d'être impliqué dans quelque chose, alors il s'est contenté de regarder et d'attendre de loin. Il a dit que si j'étais détenu, que je pourrais l'appeler à l'aide pour être libéré sous caution. Heureusement pour lui, il avait une bonne réponse! Je voulais le tuer pour m'avoir laissé vivre ça sans qu'il soit à mes côtés.
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