Le bock transparent.
C’était un bock en verre blanc absolument transparent dont ma maitresse (Anna) venait de faire l’acquisition qui était gradué jusqu’ quatre litres alors qu’elle en possède deux autres en tôle émaillée joliment fleuris, Lun gradué jusqu’à deux litres mais pouvant contenir un demi litre de plus si elle le remplit à ras bord.
L’autre, aussi joliment décoré est gradué jusqu’à trois litres.
Sa vue me fait peur malgré les jolies fleurs qui l’ornent. Quand il est seul sur la table de préparation je suis prise d’angoisse. Il évoque en moi les redoutés lavements de trois litres qu’elle m’inflige exceptionnellement quand elle me punit parfois sans raison apparente ou quand je n’ai pas assez participé lors d’un dernier lavement de volume ordinaire, deux litres par exemple.
L’exceptionnelle contenance de ce nouvel clystère transparent ne m’impressionnât pas outre mesure tant j’étais prise par sa nouveauté.
De haut, en bruit de fontaine, elle y versa deux litres et demi d’une préparation odorante et d’un teint de thé ordinaire.
Deux litres et demi, c’était plus que de raison mais je les supporte sans trop de peine si leur débit n’est pas trop fort. Je suis exercée à, jusque-là, tous les volumes dont elle me gratifie la dégustation sachant très bien qu’aucun lavement n’est indolore et que même les « petits » peuvent être rendus insupportables par le talent exercé d’Anna.
Elle ne ‘m’invite’ pas toujours à me mettre nue pour les lavements. Cela dépend de ses fantasmes du moment ou de son humeur. Ce jour-là elle me laissa ma fine nuisette qui libère mes seins nus et qui descend en dessous de mes fesses.
Récit de mon amie Rita…
C’était un bock en verre blanc absolument transparent dont ma maitresse (Anna) venait de faire l’acquisition qui était gradué jusqu’ quatre litres alors qu’elle en possède deux autres en tôle émaillée joliment fleuris, lun gradué jusqu’à deux litres mais pouvant contenir un demi litre de plus si elle le remplit à ras bord.
L’autre, aussi joliment décoré est gradué jusqu’à trois litres.
Je le déteste malgré les jolies fleurs qui l’ornent. Quand je le vois seul sur la table de préparation je suis prise d’angoisse. Il évoque en moi les redoutés lavements de trois litres qu’elle m’inflige exceptionnellement quand elle me punit parfois sans raison apparente ou quand je n’ai pas assez participé lors d’un dernier lavement de volume ordinaire, deux litres par exemple.
L’exceptionnelle contenance de ce nouvel clystère ne m’impressionnât pas outre mesure tant j’étais prise par sa nouveauté.
De haut, en bruit de fontaine, elle y versa deux et d’un teint de thé ordinaire.
Deux litres et demi, c’était plus que de raison mais je les supporte sans trop de peine si leur débit n’est pas trop fort. Je suis exercée à, jusque-là, tous les volumes dont elle me gratifie la dégustation sachant très bien qu’aucun lavement n’est indolore et que même les « petits » peuvent être rendus insupportables par le talent exercé d’Anna.
Elle ne ‘m’invite’ pas toujours à me mettre nue pour les lavements. Cela dépend de ses fantasmes du moment ou de son humeur.
Ce jour-là elle me laissa ma fine nuisette qui libère mes seins nus et qui descend en dessous de mes fesses.
D’un signe de tête elle m’intima l’ordre de quitter ma culotte.
Je le fais toujours malhabilement car je pers alors ce qu’il y a de plus intime en moi. Devant elle et pour elle et pour elle c’est un moindre mal, mais quand sont présents d’autres personnes, un sentiment de honte et d’humiliation me domine devant leurs yeux cupides. Bien plus encore si elles assistent à ma punition, ajoutant au spectacle l’audiovisuel de mes râles, de mes gémissements et de mes lamentations attisées par Anna pour leur plaisir et j’ose dire, le sien.
Je suis donc là « le cul nu » sous ma nuisette transparente et c’est pour moi pudiquement parlant, pire que si j’étais entièrement nue. Pourtant, même si ce petit vêtement ne me protège en rien, il figure un brin de mystère. Tandis qu’à poil, c’est du brut.
Elle m’installa de dos sur la couchette, un coussin relevant mes reins, mes jambes repliées et mes cuisses écartées de telle sorte que mon fessier repose à l’extrémité de la table et lui donne un accès commode à mes deux orifices intimes. A peine recouverts par le pan de ma nuisette. Puis elle installa le bock de façon qu’il me soit très visible.
Puis elle releva elle-même ma nuisette et éparpilla le tuyau du bock et sa canule sur mon ventre, ce qui comme d’habitude me fit frissonner par l(imminence irrémédiable du lavement.
Je remarquais qu’elle avait choisi comme canule une sonde rectale en caoutchoutée assez longue et raisonnablement épaisse avec un bout pénétrant en ogive percée de petits trous.
Je lui en sus gré car sa mise en place me procure toujours du plaisir et dépose le .lavement plus profondément, le rendant ainsi moins douloureux.
L’émotion agissait sur mon sexe, lequel produisait d’abondantes sécessions qui en s’écoulant venaient mouiller son proche voisin d’une naturelle lubrification.
Elle n’en prit aucune autre pour me percer par l’ogive de la sonde et en en entamer sa complète mise en place.
J’en jouissais d’un plaisir qu’elle fit durer frisant l’orgasme. Puis nous laissa, le bock et moi faire plus ample connaissance avant que ne commencent les épanchements.
Je le voyais, puissant de son avantage sur moi en contenant le bouillon qu’il allait me servir mécaniquement, si l’on peut dire.
Un moment je trouvais que ces instants manquaient de poésie par ce transvasement dont j’allais pouvoir suivre le déroulement et dont j’allais faire les frais. J’en vins à regretter les deux autres bocks non transparents par leur mystère Je ne vois pas ce qu’ils contiennent mais tente de le deviner. Le bruit de leur remplissage m’est familier, commençant aigu et se faisant plus grave à mesure que leur niveau monte. Je sais aussi évaluer ce qu’il me reste à prendre pendant le lavement, par le ressenti de ce que je contiens déjà de lui.
Il y a aussi ce petit combat entre Anne et moi sur ce même sujet qui refuse parfois de me le dire.et enfin le moment ou elle incline le bock et le relève encore, c’est signe de la fin avec parfois un bruit de siphon quand il me donne ses dernières giclées.
Anne finit par ouvrir le robinet qui émit un faible grincement.
C’était parti ! le lavement déboula en moi selon son droit des lieux. De par l’emplacement de l’ogive une partie envahit sa partie haute et l’autre se dirigea vers le bas cherchant déjà la sortie. Cela ne me faisait pas encore grand mal bien que j’en sentisse l’écoulement. Je voyais le niveau du bock descendre régulièrement comme en mesure de mes ressentis internes qui eux montaient par contre montaient en élancements. À un moment plus rien ne descendit mais mes douleurs se portèrent en un seul point. C’était un blocage interne dont des autres bocks je n’avais pas l’information. Mes mains se portèrent en ce point sensible et Anne vint retirer une partie de la sonde. Le bock montra la reprise et continua le, lavement avec autan l’information de reprise du débit et l’intensité de mes gémissements dont le bock prouvait la raison comme l’aurait fait un écran d’ordinateur sur lequel j’aurais eu mes yeux rivés sur lui.
Tant à Anna qu’à moi le feedback nous manquait et la vision du niveau du bock ne le remplaçait pas.
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