Bonjour,
Cette histoire se passe lors de mon stage (j’avais 20 ans environ) dans une usine de traitement de surface. L’entreprise disposait de grandes cuves remplies de liquides chimiques chauffées, appelées bain. On y déposait des pièces pendant des durées variables pour y appliquer une fine couche qui avait des propriétés protectrices et esthétiques. Les liquides étaient nocifs pour l’homme et l’environnement et cela nécessitait de respecter des règles d’hygiène et de sécurité.
Mon travail consistait à préparer diverses pièces métalliques (vis, charnière, petite tôle) pour les accrocher au-dessus des bains tout en les immergeant. Il arrivait que des pièces soient plus massives (tôles, table) et nécessitent alors l’effort de plusieurs personnes pour les porter.
Alors que j’aidais mon tuteur de stage (Sébastien, responsable des bains) à positionner une pièce lourde au-dessus d’un bain, la pièce tombe d’une trop grande hauteur avant d’être accrochée au-dessus du bain. Des gerbes de liquides m’aspergèrent moi et mon tuteur. Je portais une blouse et un pantalon de protection mais le volume projeté était tellement important qu’il passa à travers mes vêtements et coula sur ma peau. Le liquide était chaud et irritant pour la peau. Mon réflexe a été de courir en direction des douches qui se trouvaient dans les vestiaires. Sébastien me suivait de près.
Les douches se trouvaient dans une salle à part des vestiaires et on pouvait y accéder en passant par un couloir. Les douches possédaient 2 places séparées par une cloison mobile. Sans penser à fermer la porte, je suis allé vers l’emplacement de gauche et mon tuteur a pris celui de droite. Nous faisions couler l’eau et nous en profitions pour retirer nos vêtements contaminés, les jetant au loin. Les vêtements du haut furent aisément retirés mais il a fallu retirer les bottes. J’ai dû m’asseoir sur le carrelage pour les retirer. J’enlevais ensuite le pantalon et me retrouva en slip. J’ai hésité pendant un court instant à retirer par pudeur mais il me semblait que le liquide avait aussi coulé à ce niveau donc j’ai fini par le retirer.
Une fois nu, je commençais à me rincer vigoureusement tout le corps. Certaines parties de mon corps avaient rougies à cause de l’échauffement. Je finis par me rassurer en voyant que les tâches rouges n’étaient pas grosses et peu nombreuses. De plus, elles étaient situées au niveau de mon ventre et des bras. C’est à ce moment-là que je me suis aussi rendu compte que l’eau était très froide. Je n’eus pas le temps de plus frissonner que mon tuteur rabattit la cloison pour me voir. Il était aussi nu. Je voulu cacher mes parties génitales mais je devais continuer à passer mes mains sur mon corps me rincer. Mon tuteur me rassura concernant l’accident et insista pour que je me rince bien. Il en profite aussi pour me scruter de haut en bas pour voir les blessures. Il fut rassuré en voyant que ce n’était pas important, tandis que moi j’étais mal à l’aise d’être examiné nu. Je me concentrai ensuite sur mon lavage tout en ignorant le regard de mon supérieur.
Sébastien finit par détourner le regard au bout de quelques secondes. Voyant que mon tuteur avait la tête tournée vers le jet et fermait les yeux, j’en profitais alors pour l’observer dans sa tenue d’Adam. Pour informations, c’était un quadragénaire. Il avait une petite bedaine mais avait des bras musclé grâce à son métier. Il était plutôt poilu. Son pénis était circoncis et semblait petit comparé à son physique plutôt imposant. Il avait aussi des marques de bronzage qui dessinait un slip de bain.
N’ayant pas l’habitude de voir des hommes matures nus, la situation m’excita et mon pénis commença à grossir. J’avais une demi-mole. Je tournai alors le dos à mon tuteur pour éviter qu’il ne le voie. Au bout de quelques minutes, l’eau se réchauffa. J’ai considéré alors que c’était une justification du grossissement de mon pénis et je me suis mis face à mon tuteur pour discuter. Mon tuteur me prévint de calmer les gestes de rinçage. Nous nous faisions face à face, nous avons commencé à parler de l’accident et j’avais commencé à débander.
Quelques minutes plus tard, le directeur de l’usine est venu, pour prendre des nouvelles. Il entra sans frapper dans l’espace contenant les douches. Il resta à bonnes distance au niveau des vêtements mouillés. Il voulut avoir de nos nouvelles et nous examina de haut en bas. J’ai caché mon entrejambe mais je pense qu’il avait eu le temps de tout voir. M’être montré nu à mon tuteur passait encore parce que j’avais une certaine relation avec lui (de plus j’avais été un peu forcé) mais montrer mon intimité à mon patron était vraiment la pire des situations : c’était l’homme qui m’avait engagé et qui allait me payer. Je vécus ce moment comme une humiliation. Les choses ne s’arrangeaient pas car je recommençais à bander. J’ai préféré me retourner, montrant sans le vouloir mes fesses au directeur. Mon tuteur, lui, ne semblait pas être gêné et plaisantais même avec le directeur.
Nous sommes ensuite sortis des douches, nous couvrant avec les serviettes que nous avait fournies le directeur. Les autres collègues, inquiets, nous attendaient dans les vestiaires et nous posèrent des questions. Je voulus me rhabiller mais le directeur m’arrêta en me signalant qu’un médecin n’allait pas tarder à venir et que nous allions être examiné. Moi et mon tuteur sommes restés en serviettes. Je suis resté assis sur le banc ayant peur que certains de mes collègues, farceurs, ne tentent de baisser le bout de tissu qui me servait de vêtement. Les brûlures ont aussi commencé à me faire mal.
Le médecin du travail finit par arriver et mes collègues sortirent. Le médecin commença par ausculter Sébastien. Il vit tout de suite les taches rouges sur la partie haute de son corps. Il regarda aussi son dos et souleva ses bras, montrant des aisselles très poilues. Alors que le médecin s’apprêtait à dire quelque chose, mon tuteur fit tomber sa serviette. Le médecin fut surpris un instant avant d’observer en détails la partie basse de son corps. J’en profitais encore une fois pour mater un peu.
Ce fut ensuite mon tour. Le médecin fit les mêmes gestes sur moi et me demanda aussi de baisser ma serviette. J’ai encore une fois laissé ma pudeur de côté, pour une bonne raison cette fois. Pendant ce temps, Sébastien était occupé à s’habiller. Le médecin nous prescrit par la suite une crème pour soigner les blessures.
Cette expérience me marqua vraiment. Après avoir alterné les sensations chaudes et froide, je pus vivre une nouvelle expérience qui était d’être nu avec un collègue du travail (et j’ai essayé d’oublier le moment humiliant face à mon patron). J’ai trouvé ce moment plaisant et je suis même resté en bons termes avec Sébastien.