Auscultation, stéthoscope, pression artérielle

Bonjour , qqun qui partage aussi ce fetichisme ?

Bonjour, je partage ça aussi. J'ai toujours aimé la sensation lorsque ma tension est mesurée manuellement. Ce brassard un peu froid placé sur le bras, qui opprime. Sentir sont pouls taper sur le brassard quand la pression baisse. J'ai ma petite collection de stethoscope et tensiomètres d'ailleurs.

J'oublie un moment les thermomètres médicaux pour vous demander si vous avez pensé un jour à mesurer votre tension artérielle (Systole et diastole) avant et après une séance de masturbation très inspirée, ou bien sûr avant et après un rapport sexuel ( fem ou hom) . Je suis curieux de savoir, sachant que - comme assez nombreux ici - je suis hypocondriaque au point d'aggraver mon syndrome de la blouse blanche..

Ça peut être une bonne entrée en matière d examen médical et qui a aussi son importance dans la santé avant d engager une prise de température ou l introduction d un suppositoire…

Si mon fétichisme essentiel concerne la température rectale, la tension artérielle et ses relations avec les activités sexuelles m'intéresse également vivement.

Au cours des dix ans que ma copine Déborah a partagé ma vie et mon intérêt pour la température rectale, nous avons, assez souvent en fait, mesuré nos tensions artérielles respectives avant, pendant et après l'amour, avec pour la mesure au moment de l'orgasme quelques fou-rires que je vous laisse imaginer.

Selon nos observations relevées dans les feuilles que D'en m'a jetées à la figure le soir où elle m'a plaqué, la tension des amoureux, partant d'un niveau de l'ordre de 12/7 s'élève au moment de l'orgasme à environ 20/10, pour retomber à disons11,5/6,5 une heure après la baise. Ce qui confirme, selon moi, la caractère apaisant des relations sexuelles sur l'organisme.

Pour info, les notes de Déborah la dernière fois où nous avons mesuré nos tensions artérielles respectives.

Paris, 25-04-2021, Coit vaginal, position du missionnaire,

Avant: Deb 11,9/ 6,9, Moi12,7/7,3

Au moment de l'orgasme : Deb 18,4/10,9, Moi 21,8/11,9

Une heure après : Deb 11,4/6,3, Moi 12,2/6,9

Il y a eu des pics hypertensifs.

Comme indiqué par ailleurs, mon principal fétichisme concerne la température rectale, mais le fait de me faire ausculter ou prendre la tension par une jeune femme médecin peut également m'apporter un certain trouble. Et j'ai été fasciné quand ma copine medfet des années 70 m'a pour la première fois fait écouter mon coeur.

Et il est plus facile, et même normal, de se faire ausculter ou prendre la tension que de se faire prendre la température rectale chez un médecin. LOL.

Super rapport de précision, merci Svensson. En effet, dans ce cas Monsieur crève le plafond des 20 ! Vous avez eu la présence d'esprit de noter le tensiomètre au moment de l'orgasme , je suis admiratif. Ou bien aviez vous un enregistreur type holster ? Il ne me reste plus qu'à essayer de conjuguer thermomètre et tensiomètre, puis tensiomètre et masturbation seul hélas puisque ce n'est pas partagé… .

Ou bien aviez vous un enregistreur type holster ?

Les enregistreurs ne mesurent la tension que toutes les 10 minutes, ce serait vraiment un hasard si c’était au moment de l’orgasme, ou alors il faudrait regarder sa montre pour jouir au bon moment.

À ma connaissance, la mesure de la tension en permanence peut se faire au moyen de deux mesures simultanées : le rythme cardiaque avec un ECG et un oyxmètre au doigt pour mesurer à quelle vitesse le sang oxygéné atteint les extrémités, ce qui se fait par exemple pour évaluer la gravité des apnées du sommeil. Il ne me semble pas que la température était aussi mesurée, je n'avais en tout cas pas de sonde dans l'anus…

Ce serait assez gênant d’indiquer à quel moment on a eu un orgasme au médecin pour lui demander si cela a eu des conséquences. Dans le cas des ECG de longue durée, il faut mentionner quelles activités on a faites qui pourraient augmenter la fréquence du pouls. Je ne sais pas si certaines personnes osent mentionner le sexe, en solitaire ou à plusieurs.

@chevreuil , @woyzeck ,

Nous utilisions des tentiométres qui exigeaient une pression sur un bouton pour déclencher une mesure, ce qui explique les fou-rires que j'évoquais : ‘’ appuie, je te dis que je jouis,…non attends….''

Il m'est arrivé trois fois d'attraper une forte migraine au moment de la jouissance , mais quelle jouissance , de celle que l'on ne connaît que trois fois dans une vie sexuelle aussi longue qu'active . Ouf les petits vaisseaux sanguins du cerveau ont résisté à la folie sexuelle .

J'aime bien ausculter les femmes avec le stéthoscope en sous vêtements et pied nu

J'ai un stéthoscope