La feuille de Rose ou Anulingus, qui le fait, qui aime ça?

Lesquels d'entre fait l'ont fait et/ou ce le sont fait faire, et quel effet ça vous à fait?

De vous faire lécher le trou de balle?

Sentir la langue de ma partenaire me lécher l'anus me chatouille , je trouve cela coquin , rien de plus .

Par contre cela m'excite beaucoup de donner des baisers , de lécher , de sucer ses fesses , sa raie , son anus , d'écarter ses fesses de telle sorte à légèrement entr'ouvrir son petit trou et d'y pousser ma langue .

C'est très agréable de se faire lécher l'anus. J'adore! Il va de soi (d'un avis perso partagé par mon épouse) que ça doit être très propre et que la lécheuse (le lécheur) ait une grande confiance dans votre hygiène anale.

Cela fait partie des jeux sexuels pouvant servir de préliminaires à la sodomie ou à l'introduction de sextoys.

Je suis bien plus lécheur que léché dans toutes les expériences sexuelles que j'ai eu. J'ai toujours léché l'anus de mes partenaires féminines avec qui j'avais des rapports réguliers et je n'en connais aucune qui n'aimait pas ça!

Je ne lècherais un anus sans être certain qu'il a réalisé un lavement ou passé à la douche juste avant le rapport. Pour ma part je demande toujours avant de le faire. Pour être assez sur de moi, je glisse un doigt sur l'anus à lécher et je flaire mon index. Un anus propre à lécher transpire parfois un peu mais ne sent pas mauvais!

Un anus propre à un parfum particulier , qui ne sent pas la matière fécale , il faut avoir un gros rhume pour ne pas pouvoir faire la différence .

Ce parfum est très excitant pour moi , un peu moins cependant que le parfum sexuel de ma partenaire .

Les parfums de savon ou déodorants ou tout autre qui cachent les parfums d'un naturel propre diminuent mon excitation .

J'ai la même réaction qu'arthur sur l'odeur de savonnette d'un corps féminin.

Je reconnais l'intérêt de l'hygiène générale, mais je préfère, et très nettement, les odeurs naturelles et fortes que peut avoir une femme; et curieusement, plus l'endroit est intime, plus l'odeur est forte, plus elle est sensuelle en moi. L'odeur d'une aisselle est moins forte que celle du pubis, elle-même moins dense que celle de la chatte, elle aussi moins forte, ou autrement forte, que celle de la rosette..

Il doit s'agir d'un comportement naturel inscrit en nous, favorable aux désirs sexuels et à leurs aboutissements. Je supposerais même, mais ce n'est qu'une idée personnelle, objet possible de recherches sérieuses pour un sexologue, que la position de la levrette des temps les plus éloignés de l'humanité naissante, ait favorisée un bon accouplement, justement par l'odeur contributive à cela qui se dégage du sillon fessier dans cette position.

Bon, pour moi, "trop propre", on tombe dans le fade de l'hygiénisme; après quelque sueur et temps de vie normale qui vont développer aux endroits propices (bon, les jeux de mots, hein...humour et sensualité ne s'accordent pas pour moi) ma libido agira à plein pour des plaisirs partagés.

J'adore la feuille de rose, autant à faire qu'à en éprouver les plaisirs, et j'aime donc que l'odeur y soit forte quand je me livre sur une femme, que les choses soient dites ! à ce plaisir très violent en moi après lui avoir ouvert les fesses, après léchages et suçons, de venir rentrer avec insistance le bout de ma langue dans son petit trou du cul ! D'ailleurs, si ce petit pertuis est riche de tant de terminaisons nerveuses, il semble normal qu'en conséquence il soit le lieu de plaisirs. Ou de douleurs de tous ordres.

Mais toutes les femmes n'aiment pas. Comme pour les autres jeux, nous ne sommes pas identiques. D'expérience, et cela sera peut-être confirmé par d'autres, femmes ou hommes, il y a des femmes qui ne supportent pas qu'on regarde, qu'on touche, qu'on mette sa bouche et sa langue entre leurs fesses, fussent-elles les plus jolies du monde ! alors hélas ! J'en ai connues donc, pour lesquelles, "là", c'est tabou, c'est sale, et rien à faire !

J'espère bien que des femmes du site apporteront leur regard sur ce sujet, pour changer un peu de ces considérations surtout masculines