Bonjour à tous,
Oui il y a toujours à rajouter... La mémoire est une chose curieuse certaines choses reviennent vite d'autres plus lentement.
Après la visite du médecin, recommandant la surveillance de la température pendant trois jours,
- elle doit baisser dès demain !
Il fut décidé que Christine opérerait le matin et moi le soir. (Flo et ma soeur sont des amies trés proches...) et moi le soir.
Le lendemain soir, je l'accompagne dans sa chambre, elle se déshabille et se couche, puis se tourne sur le coté,
- allez, prends-moi ma température...
Je m'éxecute ; cette fois, je fais pénétrer le thermomètre d'un mouvement rectiligne, toujours trés lentement, et un peu plus profondément ; ellle ne dit rien.
Discrètement je l'incite à plier davantage sa jambe, pour mieux voir sa conque. Imaginez ma surprise et mon bonheur, lorsque au lieu de la plier elle l'écarte franchement, m'exposant son sexe dans toute sa splendeur.
- Régale-toi bien, je suis heureuse de te montrer ma figue, j'en suis fière !
Timidement je passe un doigt le long de la fente entrouverte et humide en remontant jusqu'au bouton.
- non pas maintenant, je suis trop crevée ; allez ôte-moi le thermomètre et dis-mois combien j'ai ?
- 38°5.
Je la recouvre et rentre dans ma chambre...
Le lendemain matin, en passant devant la chambre de Florence, elle était couchée sur le ventre, un oreiller en dessous et ma soeur tenait le thermomètre bien enfoncé entre les deux fesses bien écartées.
Je rejoignis mes deux nièces dans la cuisine,
- t'a vu tonton Gé, maman prens la température à Flo !
- Oui j'ai vu ça ; hier matin, c'est moi qui lui ai prise !
- Ah bon ! Avant Flo, c'est à nous deux qu'elle l''a prise.
- Vous aussi vous êtes fatiguées,
- pas du tout, mais elle le fait régulièrement - pour voir - et comme Flo était malade l'occasion était bonne.
- Ca vous fait quoi quand votre maman vous prends la température, toi Aurélie ?
- Je déteste pas, elle le fait si bien...
- Et toi Emilie ?
- Moi aussi ; mais j'aime encore mieux quand c'est papa...
- Hé bien figurez-vous que Flo aussi n'est pas insensible au thermomètre !
A cet instant Christine est entrée dans la cuisine, suivie de Florence.
- Elle a 37°8, c'est un peu trop, mais bon...
Le soir, une fois le thermomètre bien enfoncé, j'ai glissé la main entre les cuisses pour aller explorer le joli coquillage.
Les cuisses ont d'abord enserrées ma main puis tout doucement se sont ouvertes entièrement et dans un souffle,
- oui j'en ai envie, touche-moi !
Mon doigt s'est enlisé dans une moiteur onctueuse et a pénétré un vagin plus étroit que je pensais ; oh elle n'était pas vierge, mais trés juvénile... au bout d'un moment j'ai ajouté un deuxième doigt, reçu avec un petit gémissement de satisfaction ; puis mon pouce s'est posé sur le petit clitoris tout dur. Elle a poussé un long gémissement pui s'est complètement détendue. J'ai retiré le thermomètre : 37°8 ! Bon ça allait.
- Reste avec moi ce soir, mais seulement pour dormir.
Le lendemain Christine est arrivée dans la chambre,
- tiens donc, voila autre chose !
- Il ne s'est encore rien passé,
a précisé Flo.
En attendant montre-moi tes jolies fesses ; elle attrapa le thermomètre resté sur la table de nuit.
- tu l'a nettoyé ?
- Oui bien sur.
Florence avait repoussé la couette et s'apprétait à se touner,
- non reste sur le dos et écarte les bien les jambes.
Le thermomètre rentra bien profondément entres les joues postérieures.
Quel joli tableau ! Deux jolies jambes écartées encadrant une fente étroite, emperlée d'une rosée de bon aloi, couronnée d'un petit carré de poils courts et brun et en dessous un petit bout de verre qui dépassait d'une rosace ouvragée qui palpitait chaque fois que ma soeur repoussait l'intrus qui tendait à ressortir.