C'est vrai, un suppositoire de glycérine, parce qu'il est doux et mou est difficile à mettre...mais quand on aime certains raffinements érotiques, cela en fait un intérêt : l'insistance qu'il faut alors apporter à le faire rentrer, le soin qu'il faut apporter, en appuyant comme il convient où il convient, le temps que prennent toutes ces attentions, la précaution qu'il faut bien prendre, à cause justement de ces inconvénients, pour le placer correctement et s'assurer qu'il restera pour agir en fondant...lentement ! progressivement, développant petit à petit ses effets...perfides ?...s'y ajoute une savoureuse difficulté supplémentaire quand le sujet est allongé sur le ventre sur le lit : maintenir les fesses écartées, pour que le petit trou soit présenté comme il le faut !
Certaines femmes ont des fesses rondes et fermes qui rendent difficile l'accès à leur intimité... après la suite de plusieurs difficultés à cet accés tant désiré, j'ai trouvé une parade qui m'a comblé de délices !
...souvenir d'un petit jeu avec une femme que appréciait la pseudo nécessité qu'il lui fallait de ces effets... perfides :
Nue dans la salle de bain, avec juste sa culotte. Debout, elle assiste, silencieuse, à la préparation de 4 de ces ovules couleur miel, que je sors un à un de leur emballage, calmement, avant de les passer chacun sous l'eau chaude puis de les placer sur une soucoupe posée au bord du lavabo, opération rendant bien glissant le suppositoire, la chaleur le faisant ensuite fondre plus vite une fois en place...
Elle doit alors se placer devant le lavabo, baisser sa culotte à ses chevilles sans la retirer, puis s'accroupir, et se tenir genoux ouverts en grand les mains posées sur le rebord du lavabo pour ne pas bouger. Avant qu'elle ne s'accroupisse, j'avais placé au sol un petit miroir...
Sa position était idéale ! là, avec indécence c'est vrai, les jolies fesses étaient ouvertes, et bien ouvertes ! bien écartées, et présentaient - enfin ! - le pertuis comme il fallait, dans la plus grande des impudeurs à cause du petit miroir, offrant un petit trou bien dévoilé pour que je puisse faire avec facilité ce qu'il fallait faire...
Elle sentait ce que je lui faisais, me voyant chaque fois venir prendre un suppositoire luisant dans la coupelle qu'elle avait juste sous les yeux au bord du lavabo après lui avoir rentré et placé soigneusement, doigt entièrement rentré, le suppositoire précédent en elle, elle avait beau se serrer intimement, par pudeur ou par crainte, chaque fois qu'elle savait que mon doigt s'approchait d'elle sous elle, c'était en vain; le petit miroir était bien pratique, permettant une vision des plus agréables tout en favorisant le placement correct du suppositoire avant de le voir disparaître tandis qu'elle se mordait une lèvre ou émettait de petits " Oooh ! ", de honte ou de plaisir je ne savais trop. En tout cas, le petit miroir montrait une forte mouillure se faire devant, dans les replis d'une fente que le V des cuisses écartées maintenait ouverte...
Je recommande vivement cette façon de procéder, lorsqu'elle convient évidemment.
Alors finalement, si, les suppositoires de glycérine sont bons, parce qu'ils sont mous justement, je trouve.
Évidemment, il s'agit d'un plaisir tout autre que celui d'avoir à insérer un rosebud à une femme avant d'aller se promener dans les rues à côté d' elle avec ou sans culotte sous sa jupe.
...que c'est coquin tout ça !