Un lavement non autorisé

À 14 ans, je me retrouvais à l'hôpital pour une série de tests suite à un accident d'auto. J'étais à la découverte de la sexualité et je me masturbais plusieurs fois par jour.

Un homme un peu âgé qui avait un air distingué, professionnel, voire un peu sévère, se présentait dans ma chambre d'hôpital ayant, disait-il, des ordres de m'administrer un lavement. Il avait apporté un grand pot de Vaseline et une boîte de gants en latex. Ce monsieur fut un imposteur et il allait m'administrer un lavement non autorisé par les médecins.

Jusque-là je ne connaissais que les petites poires pour des lavements. La vue d'un grand sac rouge et l'odeur de caoutchouc chaud et de savon me terrifiaient donc.

La pensée que cet étranger allait dénuder mon postérieur, encore pire qu'il allait exposer ma cavité anale, me donnait la gorge sèche. Le grand pot de vaseline me prévenait qu'il allait lubrifier le petit trou au fin fond de mes fesses rondes et blafardes.

Mon coeur pesait lourd quand il me commandait de me coucher sur mon ventre. Je pensais mourir quand je sentis ses doigts saisir la taille de mon caleçon blanc en coton et le baisser pour exposer mes fesses qui remuaient d'appréhension et de nervosité.

Sa perfidie se manifestait ensuite.

Nous attendons la suite avec impatience...

Le monsieur prit un moment pour profiter de l'exhibition de mes fesses blanchâtre qu'il venait de dénuder. J'étais plutôt studieux alors mes fesses reflétaient ma paresse: je préférais lire des revues adultes et de me masturber au lieu d'aller au gymnase. Alors, mes foufounes me causaient de la gêne en raison de leur amplitude et rondeur.

J'ai regardé vers l'arrière et j'ai remarqué que le monsieur paraissait moins distingué car un sourire dépravé et pervers animait son visage pendant qu'il contemplait mon séant.

C'est alors qu'il a prononcé des mots que je trouvais peu convenable. « Tu as un joli derrière mon garçon. » J'étais humilié et confus. Je ne savais quoi dire et je cachais mon visage dans l'oreiller.. boudant.

Aussitôt, j'entendais le claquement d'un gant de latex. Le son du pot de Vaseline qu'il entrouvre me remplit de panique. Fébrile, je remue lentement mes joues arriéres à gauche et a droit. Je lance une supplication d'une voix tremblante « vraiment Monsieur, j'ai nullement besoin d'un lavement, je ne suis pas constipé.. mais pas du tout....s.v.p. Monsieur.. non !". Il déposait de sa main gauche le pot de Vaseline sur le tabouret à côté de mon lit. J'ai remarqué avec terreur qu'il y avait un sillon profond dans la Vaseline.. Preuve que son index s'était munie d'un bon montant de la graisse épaise. En réponse à ma supplique, je sentis ses doigts s'insinuer dans la raie profonde de mes fesses. A ma grande déception il écarte les joues de mon postérieur et inspecte un bon moment la petite voûte rose qui frétille nerveusement. Il pose son index sur le centre de ma cavité rectale : ce qui me fit trembler. Ce toucher m'a troublé : c'était comme si un courant électrique m'avait atteint du centre de mon postérieur jusqu'a partout sur mon corps. Mes fesses tentaient instinctivement de se refermer mais, il les empêchait : il enduit de Vaseline le pourtour et le centre de mon oeillet soyeux qui gigote fiévreusement sous le trop plein de sensations. Je gémis doucement.

J'avais pas la conscience que mes tribulations venaient de commencer..Le spectacle de ce gros sac gonflé de liquide chaud et bien savonneux ne cessait de m'angoisser.

Je crois deviner la suite...

Mais il est étonnant qu'une personne étrangère au service puisse s'immiscer aussi facilement pour prodiguer des soins marginaux !

Après une lubrification copieuse qui laissait la Vaseline abondamment sillonnée le monsieur laisse fermer mes fesses et il sort un objet métallique de sa poche. Je dois maintenant t'insérer un suppositoire médicamenté. Il ouvre un empaquetage métallique et ressort un suppositoire en forme de saucisse de 2 pouces et donc l'épaisseur était d'un petit doigt. Boudant.. je ne lui demande pas si ce suppositoire avait un effet purgatif ou autre. Il met un nouveau gant de latex, entrouvre mes joues neigeuses et avance le bout arrondi du médicament prescrit. Il pousse fort et ma bouche anale cède : le petit cylindre blanchâtre glisse lentement mais sûrement : en règle. N'ayant pas l'habitude des insertions dans mon tunnel rectal, cela me trouble les chairs délicates qui spasme autour de l' intrus. Je cache mon visage ne voulant pas montrer ma réaction à l'acuité des plaisirs rectale que je ressens.

Ensuite il m'ordonne de me déshabiller complètement et il m'installe sur mon côté.. Fesse vers lui. Il glisse sa main entre mes cuisses, son index frôle l'arrière de mes bourses et sa pousse s'impose entre mes fesses : il avance ma jambe.. Cuisse parallèle au pied du lit. Il glisse un doigt dans ma raie et commence un va et vien frénétique. Il frotte son doigt sur mon anus qui se trémousse et dilate sous l'effet de cette masturbation qui s'intensifie.. La Vaseline devient amincie en raison de la friction. « Tu aimes ça.".. Mon pénis lance un jet de sperme sur les draps. Il répète « Tu aimes ça quand je frotte ta rosette. » le monsieur s'arrête et me dicte d'aller me laver. Il essuie le sperme avec des essuie-tout. La préparation fut toute humiliation et mon corps ne cessait de me trahir.

Je me nettoyais. Je pensais à la canule longue et blanche avec le bout en forme de poire gros comme une mandarine. Que cet instrument effroyable destiné à pénétrer ma pastille tendre me faisait frissonner ! J'ai pensé à la possibilité de rester embarré dans la salle de bain jusqu'à ce monsieur étrange et d'allure sévère parte. L'odeur de savon et de caoutchouc chaud avait envahis jusque dans la chambre de bain. J'ai sursauté quand j'entendit le monsieur frapper fort à la porte des toilettes. « Jeune homme.. Allons ! Il faut que je fasse mon travail. Sortez immédiatement ! » je pris une grande serviette blanche et me la mis autour de la taille. Je sortis : maussade, gène à l extrême et effrayé de ce qui allait m'arriver. J'ai vu que le monsieur avait pris la peine de barrer la porte de ma chambre.

Alors je retourne vers le lit: je dois enfin subir le lavement fatidique, sanctionné, me faisait à croire ce monsieur, par les autorités médicales.

Il se disait le mandataire de ce lavement dûment décrété et obligatoire.

Le lavement est tout près d'arriver, je ne m'attendais pas à cette masturbation en règle...

J'étais timide et soumis a ce vieux satyre pervers que je croyais l'exécuteur autorisé d'une ordonnance authentique.

Il avait placé un oreiller au milieu du lit afin de mieux disposer mon derrière. Il me fit coucher sur mon ventre..Il ajuste ma pose. Il défait la serviette qui contournait me taille il l'ouvre : me dénudant complètement. Il passe sa main entre mes cuisses frôlant mes bourses. « Écarte tes jambes un peu » il ordonne brusquement. Ce toucher m'érotise et a eu l'effet curieux de me faire éprouver encore plus de vulnérabilité dans mes fesses et surtout mon anus que le monsieur avait masturbe avec son gros doigt.

Il m'oblige à l'observer pendant qu'il lubrifie la canule, m'expliquant que les petits trous autour de la pointe en forme de poire allaient créer des jets de liquide provenant du sac. Il enduit le dispositif menaçant avec des montants copieux de Vaseline. « Monsieur, vous n'avez pas une canule plus petite ? » je l'implore timidement. Il hurle... « Garçon ! Comment oses-tu me dire comment effectuer mon travail ? " ...« Pardon Monsieur ». À voix basse...craintif et ébranle.

Le gros sac qui émettait toujours des odeurs très fortes de savon, et dont la grandeur dépassait ceux que j'avais constatés dans les pharmacies, m'effrayait. Je n'osais pas questionner le monsieur à ce sujet, ne voulant pas qu'il me gronde de nouveau.

Il prit la canule reluisante..... comme un celliste prend son archet. Il ouvre mes fesses et je tremble au toucher de l'instrument sur ma cavité surénervée. Il fait tourner la pointe.. pousse.. se retire.. revient a la charge: ..il utilise son « archet » pour créer une symphonie de sensations dans mes profondeurs intimes. Je ne peux que gémir et agiter mes joues pâles autour de l'envahisseur résolu. Son habileté a permis que la pointe de la canule en forme de poire gagne enfin mes entrailles.

J'entendis des « clics » de temps en temps.. J’attribuat cela à monsieur avec son équipement.

«Je vais maintenant te donner ton lavement. »

Les yeux grands ouverts...Plein d'appréhension.. Je ressens d'abord une espèce de fièvre agaçante qui se répandait dans mes entrailles. Cela fut fort agréable et ne cessait d'accroître en intensité. Je n'avais jamais senti de quoi d'aussi merveilleux. Des petits brûlements et picotements titillent mes intestins.

Je cambre mon dos: ce qui ouvre mes fesses..Comme pour accueillir le lavement.. Je remue mes joues rebondies à gauche et à droite ce qui agite les eaux laveuses dans mon rectum et augmente ma félicité. Je fus jeté dans un état de délectation et d’éblouissement. De délicieux chatouillements ravissent mon rectum et mes entrailles.. Des fourmillements chauds et exquis remplissent mon ventre. Le mot « lavement » venait de prendre tout un autre sens pour moi. Transporté par ces sensations douces amères je ressens un puissant orgasme monter du fond des mes entrailles. En proie à un violent orgasme anal, je râle et une lamentation sonore provenant de mes profondeurs sort de ma bouche entrouverte... Mon arrière-train tremble.. Ensuite tout mon corps fait de meme.

OOOHHHHHHHHHHHHHHHHH.

Cet orgasme était plus dévorant que n'importe quelle sensation que j'avais ressentie dans ma jeune vie.

Les plaisirs continuent mais, je commençais à sentir un besoin de plus en plus urgent d'aller à la toilette. Les minutes passent et l'inconfort devient insupportable. Les plaisirs sont oubliés et maintenant il ne reste qu'un désir impérieux de vider mes intestins de ces eaux qui me tourmentent horriblement.. Les chatoiements sont devenus des crampes intenses qui travaillents mes reins qui sont trop remplis. Je me tortille. Je regard par dessus mon épaule.. Le monsieur porte un sourire comme un chat qui vient d'avaler une souris. « Monsieur je dois aller au petit coin maintenant. Je ne peux plus attendre. » Son visage se crispa..« C est moi qui vais décider quand tu pourrais y aller ! »

Je regarde le sac.. Il en restait presque la moitié !

Pendant les longues minutes qui suivent, j'essayais de comprendre pourquoi on m'infligeait cette torture.

En arrivant à hôpital, lors des discussions avec un des médecins.. un vieux pointilleux... je lui avais dit que je me masturbais jusqu'à 10 fois par jour. Plein d'insolence, je lui ai demandé s'il en était jaloux..... Oui.. C’était peu convenable.. Je l'admets...J'ai manqué de respect envers lui.. D'accord oui. Mais est-ce que ce vieux médecin ai ordonné une mesure punitive?.....Et qu'on m'ait administré..... un lavement disciplinaire.?

Je remuais sans arrêt.. Gémissant. Finalement, Monsieur enlève soigneusement la canule.

J'entends un « clic ».. Je regard par dessus mon épaule.... un appareil photo !!! Il prend une autre photo !! « CLIC »

Mais quel spectacle !!.... Le pot de Vaseline ouvert et bien sillonné.. L’imposant sac aplati.., la canule encore reluisante dont la pointe formidable laisse tomber les dernières gouttes de liquide savonneux.. Mes fesses haussées.. Comme en exposition..Ma raie beurrée de vaseline...mon air chagriné et implorateur...........

Le fait d'être photographié ainsi à portée outrage à ma dignité. Le monsieur, devinant ma confusion, me dit « pour les dossiers ». Mais cela ne me consolait guère. Il me dit qu'il faut que j'attend encore 3 minutes.

Il me dit qu'il va aller nettoyer les équipements et de rester couché jusqu'à son retour.

Il est parti.. Laissant la porte ouverte !! J'entendis des passants dans le corridor. J'était humilié à extrême !

(Des années après...Je me suis posé des questions.. Avait-il laissé ma porte grande ouverte pour vanter son délit ? Genre..« Voilà ma victime.. Victime d'un lavement magistrale » ou par simple déviation sexuelle ?)

Après d'autres minutes de gémissements et douleurs atroces une infirmière entre dans ma chambre avec un air d'empressement elle ferme rapidement le rideau et repartit. Ne pouvant plus attendre, je mets la serviette autour de ma taille et je me lève tranquillement.. Cambré.. Je marche vers les toilettes. Une demi-heure plus tard je suis émerge exténué.. Vidé.

Merci pour ce récit agréablement détaillé.

Le coté plaisir était sans égal, mais le coté humiliation et désagréable a gâter l'expérience.

J'ai fait une plainte auprès d'un des médecins. Je lui ai dit que j'avais reçu un lavement affreusement éprouvant. Il n'en portait pas grande attention. Je suppose qu'il était habitué à des gens qui n'aimaient guère ce genre d'ordonnance. À la fin je crois que c'est une infirmière qui a fait de quoi pour aller un peu plus loin.. question de s'informer de ce qui en était. Je n'ai pas eu d'autres nouvelles. En discutant de cet événement avec des professionnels des soins de la santé, on m'a dit que cela pouvait être une employée. On m'a dit que cela était plus susceptible de se produire dans les grands centres dans ces années là. Apparemment, il y a eu un cas bien médiatisé d'un type qui a donné plusieurs lavements non autorisé dans un hôpital en Europe.

C'est dû à cet événement que j'apprécie aujourd'hui les lavements. Cependant, j'aurai aimé découvrir ces plaisirs de moi-même et à ma vitesse.

À mon humble avis, des lavements donnés avec amour sont une source de bonheur pour un couple.

Je partage ton avis sur ta conclusion...

Merci pour tout ce récit.

Merci beaucoup pour ton récit

Pour le récit... bienvenu !

Dernièrement, dans les nouvelles, une nouvelle instance de marginalité ou un individu prétend être infirmière et de détenir les compétences requises. Donc, une personne n'ayant pas de certificat de compétence authentique, réussit à se faire embaucher et exerce le métier d'infirmière pendant 2 mois !!!

Un google de " nurse nabbed for impersonation " vous procure des liens aux articles qui sont, je pense, en anglais seulement.